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Le projet artistique

Chapitre 70

Incroyable Gitta

Avec plusieurs hommes
Gitta narratrice
Après ces premiers ébats, j’entendis la douche couler, accompagnée de chuchotements et de rires légers. J’enviais Elisa de vivre un tel bonheur chaque jour. Mais moi, il fallait que je profite de François et de Bertrand au maximum cette nuit-là. Mes amis repartirent dans leur chambre et, après quelques minutes, je les entrainai vers la salle de bain. J’avais en tête de me faire laver par ces deux hommes en même temps. La douche n’était pas si large et il fut difficile de nous y mettre à trois. Nous étions serrés à outrance et pourtant je m’en réjouissais pleinement.
Les mains des deux Français passaient et repassaient sur mon corps, pendant que les miennes naviguaient de l’un à l’autre. Mais dans cette promiscuité, leurs corps étaient autant en contact entre eux qu’avec le mien. Ils n’en retiraient aucune gêne, même un peu de plaisir il me semblait. Je les fis tourner de sorte qu’ils soient bien l’un contre l’autre. Je descendis mes mains sur leurs bites et les branlai lentement.
Subtilement, je mis en contact leurs sexes et frottai délicatement leurs glands l’un contre l’autre. Ils se figèrent un instant et j’allai les embrasser tour à tour, sans cesser ni de les masturber, ni de frotter leurs sexes ensemble. François se détendit le premier mais Bertrand fut le premier à reprendre ses caresses sur mes seins. Quelques instants après, ils se réveillèrent tous deux et reprirent le tripotage de mon sexe. Leurs doigts se mêlèrent habilement pour me fouiller le vagin. Ma mouille remplaça vite l’eau de la douche, que j’arrêtai finalement.
Avant de sortir de la salle de bain, ils me séchèrent tous les deux avec des serviettes et je les essuyai également, avec l’aide de l’autre homme. Nous retournâmes dans ma chambre et nous reprîmes des baisers torrides. Nos mains passèrent d’un corps à l’autre, tous deux embrassant la moindre partie de mon corps qui passait à portée de leurs bouches. Je me mis à genou et entrepris de les sucer tous les deux.
Après quelques tentatives infructueuses, je parvins à les avoir tous les deux en bouche. Ils râlèrent et soufflèrent fortement, se caressant et caressant l’autre au passage. François râla plus fort et se pencha sur Bertrand. Il lui roula une pelle qui me fit presque jouir quand je les vis faire. Accroupie, les jambes écartées, j’aurais bien voulu me branler sauvagement mais il me fallait mes deux mains pour m’occuper d’eux.
François dut s’en rendre compte car il se détacha de Bertrand et vint s’allonger entre mes pieds pour me lécher la chatte. Il s’y prit tellement bien que je ne pus rester dans cette position. J’attirai alors Bertrand au sol avec nous pour continuer à le sucer. Il se retrouva avec la queue tendue de François à quelques centimètres. Ce dernier laissa ma chatte un instant pour regarder son ami. Bertrand se décida et tendit d’abord la main sur la queue de François. Il le branla quelques secondes avant d’aller le sucer. François souffla de plaisir dans mon vagin. Je gémis en conséquence et cela fit grogner Bertrand. Ce triangle me rappela leur première fois avec Paul au retour de RDA.
Je les fis tourner pour prendre François en bouche. Bertrand se mit à me lécher activement et François plongea sur la queue de son copain. Nous reprîmes nos léchages et suçages avec passion, nous faisant gémir et râler les uns les autres. Si je sentais mon orgasme arriver, le leur approchait également rapidement.
Je fis cesser, à regret, ce triangle délicieux et vins m’empaler sur Bertrand. Je me mis à le chevaucher activement ; François, esseulé, ne s’en chagrina pas et vint me téter les seins avec application. Je sentis mon corps s’embraser complètement tandis que Bertrand grogna et souffla de plus en plus. Je me déchainai furieusement sur lui et il se répandit en moi en poussant de puissants râles. Je le sentis me remplir à grands jets et je l’enfonçai bien profondément en moi.
Je finis par me retirer de Bertrand et plaquai François au sol. Il en fut surpris mais ravi. Je me jetai presque sur sa queue bandée pour la faire rentrer dans mon vagin. Son ami venant de jouir en moi, je craignais qu’il ait quelques réticences. Je ne lui laissai pas le choix et, de toute façon, il semblait trop impatient de me baiser. Bertrand s’adossa au lit et me caressa doucement le dos et les fesses. Moi, je me mis à monter et descendre comme une folle sur la queue de François. Le pauvre se mit à soupirer et à gémir comme un damné. Il tenta de se retenir le plus longtemps possible pour me donner du plaisir. Ce n’était pas nécessaire tant mon orgasme approchait. Je jouis en hurlant quelques secondes avant qu’il ne se répande en moi, ajoutant son sperme à celui de Bertrand.
Je m’effondrai sur François et il me fit quelques doux baisers dans le cou tandis que Bertrand s’était agenouillé pour me caresser les cheveux et la joue. Je finis par me détacher de François pour glisser lentement entre ses jambes. Je pris Bertrand par la main et l’allongeai près de son ami. J’entrepris de lécher et nettoyer ces queues ramollies qui venaient de me donner tant de plaisir, et plus encore. En quelques coups de langue, elles furent resplendissantes et je leur donnai un dernier baiser sur le gland. Je me rallongeai entre mes deux hommes et ils m’embrassèrent longuement. Je ne voulus plus bouger alors ils nous installèrent plus confortablement avec le duvet et les oreillers de mon lit. Je m’endormis pour quelques temps, blottie entre ces deux hommes.
Dans la nuit, je sentis quelques caresses sur mon corps. Je me réveillai et trouvai François tout aussi éveillé que moi. Discrètement, je tournai mon cul vers lui et pris sa queue en main. Elle devint vite dure et je la dirigeai vers mon vagin affamé. Il me baisa ainsi en silence de longues minutes avant de jouir une nouvelle fois en moi. Il se retira, m’embrassa longuement et m’enlaça. Je m’endormis ensuite pour une petite heure. Je fus réveillée par Bertrand qui me tétait un sein. Mon corps s’échauffa rapidement et je me tournai pour lui présenter mon cul. Ravi, il se planta en moi sans que j’ai besoin de faire quoi que ce soit. Il me baisa quelques instants puis se vida dans mon vagin. Il m’offrit un baiser torride avant de se rallonger et de s’endormir. Je posai ma tête sur son torse et plongeai dans le sommeil.
Au matin, je m’éveillai la première, j’entendais un peu de bruit dans la cuisine. Paul et Elisa devaient prendre leur petit-déjeuner en essayant d’être discrets. Je bougeai et sentis Bertrand se réveiller aussi. Son sexe semblait tout aussi réveillé que lui, je le pris en main pour le branler activement. Il devint assez dur pour que je me tourne et insère son pieu dans mon vagin. Il se permit de m’empoigner les seins pour s’accrocher quelque part et me donna de petits mais rapides coups de reins.

Je ne pus retenir des gémissements qui réveillèrent François. Il me regarda et comprit tout de suite ce qu’il se passait. Il me caressa le ventre et la fesse; il se pencha et m’embrassa longuement. Derrière moi, je sentis Bertrand se crisper de plus en plus. Il voulait tenir encore et encore pour me faire jouir mais il céda et inonda mon vagin de son sperme. Il déposa de nombreux baisers dans mon cou tout en me câlinant la poitrine.
Devant moi, je sentis contre mon ventre le pieu dressé de François. Il m’embrassait toujours et attendait son tour. En tout cas, il fut surpris que je vienne masturber son sexe. Il gonfla un peu plus et je me collai contre lui. Je passai une jambe par-dessus sa hanche et François s’avança entre mes cuisses. Son sexe pénétra le mien avec une grande douceur mais avec fermeté aussi. Il se mit à me donner des coups de reins amples et vigoureux tout en me fixant dans les yeux.
Derrière moi, Bertrand me bécotait dans le cou, me caressait tendrement les fesses ou le dos. Mon corps se mit à trembloter et mon vagin se contracta follement. Je jouis enfin dans un long râle tout germanique. François se fit traire le sexe et il lâcha son jus fertile en moi à grandes giclées puissantes. Après quelques secondes pour reprendre mes esprits, je les pris tous les deux dans mes bras et posai leurs têtes sur mes seins :
— Merci. Je suis folle heureuse.— Moi aussi, répondit Bertrand.Moi aussi, Gitta, me dit François.— Dites les hommes, j’ai une demande à vous faire...
* * *


Bertrand et François avaient été plus que surpris, un peu choqués aussi ; mais après avoir demandé quelques explications à Paul et Elisa, ils avaient accepté. Tant pour ce que je leur proposais de faire que pour ce qu’ils risquaient de voir. Elisa appela les jeunes et leur expliqua mes intentions. Ils étaient déjà tous chez Amandine pour un déjeuner entre jeunes. Ce devait être officiellement un déjeuner de travail autour de leur projet artistique. Ils furent surpris et inquiets de ma demande. Ils voulurent se concerter avant de donner une réponse.
Il leur fallut une heure avant de rappeler Elisa et de lui dire qu’ils étaient d’accords. Apparemment, rencontrer Bertrand et François les intéressaient beaucoup. D’autre part, ils savaient ce qu’ils avaient fait pour le couple. Et, surtout, ils savaient ce à quoi ils pouvaient s’adonner entre hommes. Sans en avoir la preuve, les jeunes auraient pu laisser le bruit courir et ruiner la réputation des deux hommes.
Ils ne le dirent pas clairement mais on sentit l’arme de dissuasion derrière leurs mots. Je fus un peu peinée pour Bertrand et François mais Paul les rassura longuement. Les jeunes n’iraient jamais leur nuire tant qu’eux ne le feraient pas. Et puis, la plupart partirait dans d’autres villes ou à l’étranger, donc l’épée de Damoclès ne serait pas longtemps au-dessus de leurs têtes. Je les serrai bien fort contre moi, je les embrassai amoureusement et ils cédèrent.
Il fallut nous serrer à cinq dans la voiture de Paul pour les ramener à celle de Bertrand. Je restai dans celle de Paul afin de leur laisser le choix de nous suivre chez Amandine ou non. Je voulais avoir avec eux un dernier rapport mais je ne voulais pas les forcer. Au fond de moi, je stressais follement. Je n’osai regarder derrière moi jusqu’à ce que nous arrivions. Quand Paul se gara dans la rue, je vis passer la voiture de Bertrand sans savoir si François y était encore. La voiture se gara un peu plus loin et, miraculeusement, les deux hommes en sortirent. Je courus vers eux et me jetai dans leurs bras. Je les tirai avec moi et nous nous dirigeâmes vers la maison devant laquelle Paul et Elisa nous attendaient.
Une fois dans la maison, je sentis une atmosphère déjà licencieuse. Le très grand salon avait été aménagé de sorte de laisser un large espace en son centre. Quelques présentations officielles furent faites entre les jeunes et mes deux amants. Ceux-ci furent agréablement surpris de l’accueil qui leur fut réservé. Ils se détendirent mais moi je restai inquiète; je me collai contre eux plus pour les protéger que pour me rassurer. C’était mes deux hommes, mes deux amants, mes deux amours, presque. C’était fou comme je les aimais à ce moment-là.
Après quelques minutes, Amandine nous rappela que si elle disposait de la maison de ses parents, ce n’était pas illimité. Amandine, Marie et Sylvie se portèrent volontaires pour commencer. Maxime et Paul, Germain et Olivier, Esteban et Felipe se préparèrent pour aller s’occuper des jeunes femmes. Ils se mirent nus et commencèrent à déshabiller et caresser les filles. Mais ils nous demandèrent de faire comme eux, ne se sentant pas de faire le show devant un public habillé, ce que nous fîmes tous. Les jeunes femmes caressées ricanèrent et gloussèrent avant de gémir doucement. Je me rendis compte, qu’au bout de trois ans, ils n’avaient plus vraiment besoin d’Elisa ou de quelqu’un d’autre. Même les Allemands avaient si vite progressé que plus rien n’était à leur apprendre.
D’un côté de la pièce, Elisa avait placé son caméscope et filmait la scène à sa façon si professionnelle. Les filles sucèrent un peu les mecs pour les rendre bien durs, encore que cela me paraissait être plus par envie que par nécessité. Sans perdre plus de temps je commençai à indiquer aux jeunes la marche à suivre. Maxime, Germain et Esteban s’allongèrent au sol. Les trois jeunes femmes se glissèrent sur leurs copains et s’empalèrent lentement.
Dans leur râle de plaisir, je sentis le bonheur qu’elles avaient à se faire pénétrer. Les attentions de leurs copains et de l’autre garçon les avaient fait mouiller suffisamment. Amandine avait la bouche grande ouverte comme si elle cherchait de l’air. Marie avait la tête penchée vers le bas, je ne voyais pas son visage mais j’entendais ses soupirs de plaisir. Enfin Sylvie geignait doucement en se déhanchant langoureusement sur Esteban. A côté de cela, les autres hommes se placèrent devant les nanas pour se faire pomper un peu.
Marie n’eut aucun mal à sucer Olivier, elle avait un peu l’habitude de s’occuper de plusieurs garçons. Sylvie se cala un peu difficilement mais parvint à sucer Felipe, qu’elle connaissait bien. Amandine eut par contre beaucoup de mal à se synchroniser entre les coups de reins de Maxime et la fellation à appliquer à Paul. Elle dut se contenter de la lécher sur toute la longueur et de suçoter le gland.
Devant ce spectacle mon sexe dégoulinait de mouille et parce qu’il savait ce qui l’attendait ensuite. Un peu à l’écart je voyais mes deux amants regarder tout ça avec stupéfaction. Certes, on leur avait expliquer ce qui allait se passer mais c’était autre chose de le voir en vrai. Ils se touchaient régulièrement en passant des trois trios à moi et inversement. Dans la pièce, les autres filles se touchaient tout en enviant celles qui étaient à l’œuvre. Je dus me caresser les seins moi aussi, histoire de profiter de la situation et pour éviter d’exploser. En passant une main sur ma poitrine, j’allai jouer avec mes tétons érigés et fébriles. Cela me fit couiner mais je dus me reconcentrer et reprendre mon rôle de professeure.
Je me lançai courageusement dans des indications en français mais je me rendis compte de la limitation de mon vocabulaire. Je poursuivis en mélangeant français et allemand avec de rares traductions de la part de mon amie. Ses élèves étaient quasiment bilingues et tout ce que je disais était compris rapidement. Je conseillai enfin aux trois hommes de bien s’enduire le sexe de gel, plus que pour une sodomie classique. Le vagin des filles était déjà largement occupé et il valait mieux tout faire pour que l’autre pénétration se fasse aussi facilement que possible. Je vérifiai attentivement la quantité que mit Paul, avec son énorme queue il fallait vraiment l’enduire abondamment.
— Allez, mettez-vous en position, leur indiquai-je.
Les trois hommes se placèrent derrière les filles et celles-ci se tendirent quelque peu. Pour les calmer, leurs copains les embrassèrent tendrement. Je les vis se détendre un peu et je chuchotai discrètement aux autres de se lancer. Felipe poussa le premier dans le cul de Sylvie. Elle ferma les yeux et grimaça avant d’embrasser de plus belle son copain. Olivier enfourna son gland dans le cul de la fine Marie. Avec le volumineux mandrin de Germain dans sa chatte, je craignis un instant qu’elle souffre de cette présence supplémentaire.
Mais celui-ci la caressa longuement pour la détendre et elle n’eut qu’un léger rictus de gêne sur le visage. Enfin, Paul entra son gland dans le cul d’Amandine. C’était sûrement pour elle que cela devait être le plus compliqué. Elle rompit le baiser avec Maxime pour ouvrir grand la bouche et écarquiller les yeux à les faire sortir de leurs orbites. Maxime lui prit les fesses et les écarta doucement. Paul lui demanda si elle voulait arrêter mais elle lui dit de continuer. Il poussa à nouveau et Amandine se relâcha au mieux pour laisser le gland proéminent la pénétrer.
Les trois glands étant tous à l’intérieur, j’indiquai aux filles de commencer à appréhender cette nouvelle sensation. Même pour les gars, il fallait qu’ils comprennent cette situation : sentir une autre queue longer la leur à travers les organes de la fille. Maxime sembla aimer beaucoup la présence de Paul, Germain et Olivier se regardaient avec un mélange de gêne et plaisir. Tandis que les jumeaux semblaient déjà plus qu’à l’aise. Ils furent les premiers à bouger après le go de Sylvie. Felipe poussa lentement et elle souffla tout du long de la pénétration, jusqu’à ce qu’il rentre totalement. Quand il fut au fond, Sylvie râla profondément et embrassa fougueusement Esteban. Felipe voulut commencer les va-et-vient mais je lui conseillai d’attendre un peu.
A côté, Amandine demanda à Paul d’avancer un peu, histoire de voir si elle pouvait supporter sa présence. Paul s’exécuta précautionneusement et inséra sa hampe dans le fondement de la fille jusqu’à la moitié de celle-ci. Amandine geignit et souffla; elle lui demanda quelques secondes pour se faire à cette invasion supplémentaire.
Pendant ce temps, Marie avait demander à Olivier de se lancer à son tour. Il s’inséra dans le cul de la sportive avec un plaisir évident; la présence d’une autre bite le long de la sienne lui était visiblement des plus agréables. Il arriva bientôt en butée et Marie soupira de plaisir et de douleur. Le premier sembla rapidement prendre le pas sur le second.
Amandine autorisa Paul à terminer sa sodomie et il enfourna totalement son sexe en elle. La deuxième partie de son pieu la pénétra plus aisément, arrachant à la belle blonde de puissants mais discrets soupirs. En-dessous, Maxime souffla longuement, semblant même se retenir de jouir trop vite. J’entendis Felipe et Olivier commencer les premiers va-et-vient sur un tempo lent. Sylvie et Marie semblèrent gérer cela correctement et je proposai à Esteban et Germain de reprendre leurs allers-retours en se calant sur le rythme de l’autre gars. Ils eurent un peu de mal à bien se synchroniser au début. Mais cela venait petit à petit, en même temps que le plaisir de frotter son sexe contre celui d’un autre gars.
Amandine chuchota quelque chose et je vis Paul se retirer doucement. Je crus un instant qu’elle laissait tomber mais le mari d’Elisa s’enfonça à nouveau en elle avec la même lenteur. Il fit ainsi quelques va-et-vient pour laisser à Amandine le temps de se faire à tout ça. Je la vis se détendre un peu, prendre un peu de plaisir et je proposai à Maxime de se lancer aussi. Il se synchronisa avec Paul plus vite que les autres et je vis sur son visage tout le plaisir qu’il éprouvait. Il s’en suivit une augmentation généralisée du rythme des doubles pénétrations. Les filles se faisaient de mieux en mieux d’être doublement remplie, prenant maintenant plus de plaisir que de gêne.
Les six hommes se démenaient ardemment en elles tout en surveillant les réactions de la fille qui se trouvait entre eux. Elisa m’avait souvent raconté que ces gars étaient toujours très attentifs à leurs copines. J’en avais la démonstration devant moi. Malgré le plaisir qu’ils prenaient je les sentais pourtant prêts à tout stopper plutôt que de faire mal à la jeune femme. Mais pour moi, ils pouvaient même y aller un peu plus franchement, vu les réactions qu’elles avaient. Je leur demandai de se lâcher un peu plus et ils obtempérèrent après accord des nanas. Le rythme des pénétrations vaginales et anales pris de l’ampleur; tout comme les gémissements des protagonistes qui se muaient lentement en cris.
Parmi les spectateurs, je vis pas mal de plaisir et d’impatience, Elisa, Liz et Carine semblaient être pressées d’essayer la chose. Même si Carine avait peut-être un peu d’appréhension au fond des yeux. Mes deux amants bandaient fortement et se touchaient de temps en temps. Les trois nanas ne s’en privaient pas non plus, il était clair qu’elles n’allaient pas avoir de souci de lubrification. Moi-même je me sentais, encore une fois, complètement surchauffée par ce genre de spectacle. Comme avec les élèves de Dieter, j’allais avoir besoin qu’on s’occupe de moi. Mais cette fois-là, j’avais mes propres amants.
Des cris de jouissance me ramenèrent aux trois trios. Olivier était en train de se vider dans Marie qui couinait fortement. Germain poussa un long râle à son tour, accentuant la jouissance de Marie. Cela dura quelques secondes et ils s’affalèrent tous les trois ensemble. Les queues des mecs sortirent des orifices de Marie et Elisa vint filmer tout cela en gros plan. Bientôt, Amandine poussa des cris plaintifs bien plus puissants. Elle avait un intense orgasme qui fit craquer son copain. Maxime se déversa en elle à grand renforts de gémissements. Paul put encore faire deux va-et-vient avant de se planter au fond de la fille et de jouir en elle. Elisa abandonna le premier trio pour filmer celui-ci.
Felipe souffla fortement avant de se ficher dans les entrailles de Sylvie. Son frère ne put se retenir plus et se lâcha dans le vagin de sa copine. Celle-ci se frotta le clitoris sur le ventre d’Esteban avant de monter au septième ciel à son tour. Elisa s’approcha des fesses de Sylvie pour immortaliser ses trous en gros plan. Le silence retomba peu à peu dans la pièce, brisé de temps en temps par quelques baisers tendres. Elisa, Carine et Liz vinrent embrasser leurs copains ou mari et leur demandèrent de bien se reposer pour qu’ils soient au top pour elles. Je m’étonnai un peu d’entendre les autres filles demander la même chose à Germain, Esteban et Maxime.
Il fallut une bonne heure pour que les mecs redeviennent aptes à ce second round. Pendant cette pause, mes amants furent l’objet que bien des regards mais ceux-ci furent discrets et pas appuyés ou insistants. Nous prîmes un café, un dessert pour passer le temps. J’avais François et Bertrand à côté de moi, je n’hésitai guère à laisser trainer régulièrement mes doigts sur leurs queues raides.
Les autres nanas en faisant autant, surtout pour tâter de la vigueur retrouvée ou non des six hommes. Ceux-ci, en retour, caressaient une fesse, pelotaient un sein, glissaient un doigt le long d’une vulve. De mon côté, mes deux hommes avaient les mêmes attentions à mon égard ; François accompagnant volontiers ses attouchements par des baisers dans mon cou.
Elisa proposa de reprendre et je sentis un frisson parcourir les échines de tous, y compris de mes amants. Ils savaient ce qui les attendaient ensuite et je les sentis s’impatienter fortement. Bertrand serra même ses doigts sur ma cuisse en me regardant fiévreusement. Je vis dans ses yeux son désir brûlant tandis que les lèvres de François se firent plus langoureuses dans mon cou. Mais je dus revenir à mes apprentis qui étaient déjà en train de se mettre en place. Sylvie avait pris la caméra et les trios s’étaient formés : Elisa avec Paul et Maxime, Carine avec Felipe et Esteban, Liz avec Germain et Olivier.
Les trois jeunes femmes s’agenouillèrent devant des sexes bien raides. Elles les embouchèrent rapidement; plus pour commencer à les lubrifier que pour les raidir davantage. Ils se mirent à gémir sous les coups de langues des trois jeunes femmes. Elles semblèrent plus pressées que leurs copines et elles allongèrent leurs copains sur le dos après seulement une minute ou deux de fellation.
Ceux-ci ne se firent pas prier, tant il paraissait évident qu’ils avaient hâte de recommencer. Elisa s’empala prestement sur Paul en lui roulant une pelle. Liz plongea sur Olivier et tous deux s’embrassèrent intensément. Enfin, Carine se mit à chevaucher Felipe avec ardeur. Maxime, Germain et Esteban ne perdirent pas de temps et revinrent devant leurs visages de nanas pour se faire encore un peu sucer.
Elisa se débrouilla comme l’ex-actrice qu’elle était et suça Maxime comme si elle n’avait que lui à satisfaire. Liz avait déjà tenté un trio et se retrouva assez vite à l’aise avec une queue à sucer. La difficulté vint de la taille de l’engin de Germain qui nécessitait de sa part un peu de concentration. Enfin, Carine eut plus de mal à gérer les queues des jumeaux et n’arriva vraiment qu’à faire une chose à la fois. Pendant ce temps, Bertrand et François étaient venus près de moi et me caressaient doucement. Je les branlais un peu aussi pour être certaine qu’ils seraient tout de suite disponibles dès que les trios finiraient. Les trois autres nanas, les spectatrices, se touchaient aussi un peu devant ce show lubrique.
J’avertis les trois mecs qu’ils pouvaient aller s’enduire le sexe de gel, ce qu’ils firent tout de suite. Elisa, Liz et Carine recollèrent leurs lèvres à celles de leurs mari ou copains en les attendant. Germain prit le soin de bien se badigeonner le manche pour faciliter l’enculage de Liz. Esteban et Maxime mirent suffisamment de gel également et je les autorisai à se présenter devant les sphincters des jeunes femmes.
Amandine, Marie et Sylvie se penchèrent en avant pour observer plus attentivement l’intromission des glands ; comme leurs amies l’avaient fait une heure plus tôt. Ils assouplirent les anus des filles avec leurs doigts et ils présentèrent leurs glands. Liz se crispa un peu mais les attentions d’Olivier la détendirent. Carine et Elisa soufflèrent longuement avant de dire à Esteban et Maxime qu’ils pouvaient y aller.
Elles grimacèrent un peu quand les deux jeunes hommes poussèrent doucement pour forcer l’entrée. Les glands entrés, je vis sur le visage d’Elisa un plaisir profond se dessiner. Carine portait les stigmates de la douleur mais ceux-ci s’estompèrent en quelques instants, ne laissant qu’un peu de gêne et beaucoup de plaisir. Liz hésita un moment puis donna son top à Germain. Conscient de la taille de son membre, il se montra prudent mais décidé. Il poussa, Liz grimaça et souffla ; Olivier lui murmura quelques mots doux, des mots d’amour et lui proposa de stopper. Mais comme son homologue allemande, elle s’obstina et se concentra pour se relâcher.
Germain poursuivit et son gland finit par franchir la barrière anale de Liz qui lâcha un cri de surprise et de douleur. Il lui fallut un long moment pour que celle-ci disparaisse. Un long moment que les autres mirent à profit pour terminer l’enculage, Maxime et Esteban enfilant la totalité de leurs sexes dans les culs d’Elisa et de Carine. Elles lâchèrent quelques râles satisfaits, tout comme leurs compagnons qui appréciaient d’avoir la queue massée par une autre bite. Ils se mirent à faire de lents va-et-vient quand les deux femmes se sentirent prêtes. C’est à ce moment-là seulement que Liz put dire à Germain de pousser sa hampe en elle.
Il y alla par étape, laissant la jeune femme s’habituer petit à petit. Il finit par entrer en entier, collant ses couilles à celles d’Olivier. La lenteur de la sodomie permit à Liz d’indiquer à Germain de commencer tout de suite les allers-retours, lui permettant de rattraper son retard sur les autres femmes. Maxime, Germain et Esteban pilonnèrent doucement le cul des trois femmes puis Paul, Olivier et Felipe voulurent reprendre leurs propres coups de reins. Ils avaient réalisé cela une heure plus tôt ; ils purent donc se synchroniser bien plus vite. Tous les neufs commencèrent alors à ahaner d’abord doucement. Puis, à mesure que le rythme augmenta, leurs gémissements se firent de plus en plus puissants.
Sylvie, Amandine et Marie se caressaient toujours tranquillement mais mes deux hommes intensifiaient leurs caresses sur mon corps, mes seins, mes fesses, mon sexe. Moi-même je les masturbais avec plus de vivacité, les faisant râler et grogner. Ma chatte était plus qu’humide et c’était ce que je recherchais. Mais il fallait garder le contrôle pour ne pas jouir immédiatement et continuer à surveiller les opérations. Mais les trois trios ne semblaient plus du tout avoir besoin de moi. Les six mecs avaient réalisé une première double et semblaient mieux appréhender celle-là. Les trois femmes les avaient vu faire et paraissaient prendre énormément de plaisir.
Seul Liz gardait un peu de gêne sur le visage. Celle-ci ne la quitta que lorsque Germain jouit dans son cul et se retira. Elle se sentit libérée et se déchaina sur la queue de son copain. Ils atteignirent tous deux l’orgasme à une seconde d’écart et s’embrassèrent longuement. Sylvie vint filmer en gros plan les orifices de Liz d’où sortaient un peu de sperme.
Quelques secondes plus tard, Carine commença à crier assez fort. Elle jouissait intensément sous les derniers coups de reins des jumeaux. Felipe embrassa sa copine et se répandit dans son vagin. Esteban se crispa et s’enfonça au fond du dul de Carine pour se vider dans ses intestins. Enfin, Maxime gémit longuement en se plantant dans le cul de mon amie. Ses doigts se crispèrent sur ses fesses et il trembla quelques secondes. Cela laissa le temps à Sylvie de bien filmer les trous de Carine avant de se diriger vers le dernier trio. Elle n’eut pas à attendre longtemps car Paul et Elisa eurent un puissant orgasme conjoint qui emplit la pièce de cris et de plaintes jouissives.
Une sorte de pause tendresse eut lieu entre les différents protagonistes des trios avec l’ajout de leurs copines spectatrices. Des gestes d’une grande tendresse et affection furent échangés au milieu de ce salon transformé en baisodorme. Mes deux amants se firent plus insistants, me pelotant et m’embrassant plus activement.
Je fondis complètement et les tirai par la queue, littéralement, pour les mener au milieu de cet attroupement. Les regards se fixèrent sur nous comme s’ils savaient déjà ce que nous allions faire. Ils en avaient certes une idée assez proche mais pas tout à fait exacte. Je me sentis totalement stressée et apeurée. Mais je croisai le regard d’Elisa, qui était seule dans la confidence, qui m’emplit de force et de courage.
— A mon tour. Avec mes deux hommes, dis-je sans trembler.
Stressés, eux aussi, je plaçai François et Bertrand devant moi. Je craignis que ce stress ne les bloque et je pris mon temps pour les caresser, les cajoler et les embrasser. Mes doigts descendirent lentement vers leurs queues et je débutai de lentes masturbations. Les bites qui avaient perdu en fermeté reprirent doucement de leur superbe. J’eu bientôt deux pieux raides et durs entre les mains. Je m’agenouillai et vins les lécher tour à tour. Mes Français se mirent à râler et à gémir tout de suite. Mais je ne les sentis pas tout à fait libérés. Ce ne fut le cas que lorsque je les pris réellement en bouche, les enfonçant profondément dans ma gorge.
Elisa avait repris la caméra et je ne pus m’empêcher de me placer de façon à ce qu’elle ait un bon angle de vue. Je me focalisai sur mes bites et les pompai ardemment. Je les gobai toutes les deux faisant couiner de plaisir mes deux hommes. Je crus distinguer quelques regards envieux de garçons et filles qui me voyaient faire avec aisance. François et Bertrand apprécièrent cette fellation en mode colocataire et ils se mirent à donner de légers coups de reins pour m’accompagner. Ils étaient maintenant bien dans l’ambiance et je pus alors passer à la suite.
— A vous mes amours, osai-je les appeler ainsi.
Bertrand fut surpris et François me sourit. Je les regardai et ils s’enduisirent les sexes d’une belle dose de gel. J’étais plus que trempée mais pour ce que je voulais faire, ils avaient intérêt à être parfaitement lubrifier tous les deux. François fut prêt le premier et je l’allongeai au sol. Je rampai sur son ventre pour venir l’embrasser longuement. Ses mains se posèrent sur mes fesses pour m’aider à me placer sur sa queue.D’un mouvement de hanche je me retrouvai avec son gland à l’entrée du vagin. D’un autre mouvement, il me pourfendit et me fit gémir de plaisir. François s’enfonça très facilement en moi et ne s’arrêta que l’lorsqu’il toucha le col de mon utérus. Nous fîmes quelques allers-retours histoire de bien huiler et lubrifier mon antre. Puis je me tournai vers Bertrand qui attendait patiemment mais avec une certaine appréhension.
— Viens..., lui dis-je dans un souffle.— Tu es sûre ?— Oui...
Alors il se mit à genou derrière moi et avança son sexe vers moi. Du coin de l’œil je vis quelques regards entendus chez ces jeunes adultes. Mais quand Bertrand colla son gland le long de la queue de François leurs visages se figèrent d’incrédulité. Ils venaient de comprendre ; comprendre qu’ils allaient tous les deux me prendre par le vagin. J’allais bientôt avoir leurs deux sexes dans ma grotte. Je relevai mon cul pour que l’angle libère un peu d’espace à Bertrand sans pour autant sortir François de là. Je ne l’avais jamais pratiqué ; je ne l’avais vu faire que deux fois sur des tournages. C’était d’ailleurs une des raisons de mon arrêt. Tout cela devenait trop. Trop extrême, trop hard avec des filles et des garçons qui ressemblaient de plus en plus à des bêtes de concours agricoles.
Le gland de Bertrand se présenta contre mes lèvres et il poussa fermement mais délicatement. Mes chairs semblèrent se déchirer à mesure qu’il força le passage. Sous moi, François soupira, le sexe compressé et écrasé par celui de Bertrand. Ce dernier n’était pas beaucoup plus à l’aise mais poursuivait courageusement son insertion. Le gland entra et je poussai un cri plaintif pour exorciser ma douleur. Mes deux hommes se figèrent, je sentis leurs sexes palpiter et se contracter.
J’eus peur qu’ils ne viennent sur le champ mais ils réussirent à se contrôler au bout de quelques secondes. Malgré ma douleur je pus voir les jeunes et mes amis le regard éberlué posé sur nous. Jamais ils n’auraient cru que je me lance dans cette acrobatie. D’ailleurs, je regrettai presque mon insouciance sur le moment.
Mais la douleur s’estompa assez pour je demande à Bertrand de pousser en avant. Son sexe força le passage, élargissant, étirant, distendant mon vagin. J’étais remplie et plus que ça même ; sur le coup je pensai qu’un bébé tentait de rentrer à l’intérieur et pas d’en sortir. Mais Bertrand coinça à mi-chemin. Sentant le blocage, François se retira doucement pour faire un peu de place. Le coulissement d’une hampe sur l’autre les fit fortement couiner et trembler. Ils durent se figer et contrôler leur respiration avant de terminer le mouvement. Bientôt j’eus le sexe de Bertrand planté tout au fond de mon vagin et celui de François presque sorti de moi.
Je suffoquais, je geignais faiblement mais j’étais folle de bonheur de les avoir tous les deux en moi. Je bougeai les hanches pour les inciter à faire des va-et-vient. Il leur fallut quelques essais avant de trouver le bon rythme, la bonne synchronisation. Comme dans une double pénétration normale, si on peut qualifier cela de normal, quand l’un sortait l’autre entrait.
Leurs queues frottant l’une contre l’autre les faisaient couiner, gémir et grogner à chaque passage. Je me félicitai qu’ils éprouvent autant de plaisir ; ce qui n’était pas vraiment mon cas. Enfin, pas physiquement parlant. Mes chairs me donnaient l’impression de vouloir se déchirer à chaque instant, mon vagin me brûlait d’être autant agressé, mes lèvres étaient irritées de tant de frottements...
Mais psychiquement, je prenais mon pied; Je voulais, une dernière fois, les sentir en moi. Me donner à eux, qu’ils se donnent à moi, en parfaite égalité, sans favoriser l’un plus que l’autre. Je voulais qu’ils finissent par jouir tous les deux en même temps dans mon vagin. Mais mon corps commença à trop souffrir, je les sentis vouloir ralentir mais je me déhanchai sur eux pour qu’ils aillent jusqu’au bout :
— Arrêtons-là, me murmura François à l’oreille.— Non, non, lui répondis-je.
Il céda malgré ses craintes et ils reprirent leur chevauchée endiablée. Bientôt, je perçus les prémisses de leur jouissance. Leurs sexes devinrent fébriles et vibrants. Leurs souffles se précipitèrent et les mains qui étaient sur mon corps se crispèrent. Ils crièrent tous deux et, pris dans leur orgasme, ils se figèrent aux tréfonds de mon vagin. Les deux sexes emplirent mon espace intérieur de façon démesurée, y ajoutant de longues rasades de sperme chaud. Ecartelée, déchirée, cassée, je me libérai en criant à plein poumons. Ma douleur s’échappa par ma voix et mon esprit, repu et satisfait d’avoir atteint son objectif, jouit de sa réussite. Jamais je ne repris un plaisir aussi cérébral que ce jour-là, plus jamais je ne le connus à ce point.
Bertrand et François se retirèrent bien vite et je m’effondrai sur le second. Ils me déposèrent tous deux de nombreux baisers un peu partout et m’enlacèrent de leurs bras. Je me blottis contre François et tombai à moitié dans les vapes. La suite de la journée ne fut pour moi qu’un brouillard peuplé de formes indistinctes et de fantômes. Je me rappelai simplement, ce qu’Elisa m’en dit aussi, que les jeunes furent très choqués de ma folie. Ils étaient partagés entre l’horreur de ma souffrance et la stupéfaction que je pus en tirer un quelconque plaisir. Mes deux hommes m’aidèrent à me relever et à me doucher sommairement. Ils m’habillèrent et me portèrent à moitié vers la voiture de Paul.
Là, ils m’embrassèrent logement et me parlèrent mais je ne pus leur répondre consciemment. Paul et Elisa me ramenèrent chez eux où j’allai me coucher directement malgré l’heure peu avancée. Je me réveillai le lendemain matin et ils m’emmenèrent à la gare avant d’aller au lycée. Ce fut sur le quai que je repris vraiment conscience quand Elisa m’enlaça affectueusement :
— Ça ira, Gitta ?— Oui, oui. Ça va. Merci.— Tu es certaine ? me demanda Paul.— Oui. Je vais encore me reposer dans le train. Mais ça va, vraiment. J’ai un peu mal mais ça va aller.— Tu as eu ce que tu voulais ?— Oui, je crois, Elisa.
Il fallut monter dans le train. Je me mis du côté du quai et pus dire au revoir à mes amis. Je ne cessai de leur faire signe que lorsqu’ils furent hors de ma vue. Je me rassis à ma place et m’installai confortablement. Je fermai les yeux et posai les mains sur mon ventre. Ce ventre meurtri mais que j’espérai maintenant fécondé par l’un ou l’autre. Comme je l’avais avoué à Elisa, leur future adoption, le nouveau bébé d’Hanna avaient réveillé mon horloge interne.
Ces deux hommes que j’avais aimé une fois il y a plus de dix, et de nombreuses fois ce week-end-là, j’avais voulu avoir un enfant de l’un d’eux. J’avais choisi ma venue en fonction de mon cycle et ne prenais plus la pilule depuis déjà deux mois.
Ce bébé serait pour moi, un souvenir de ces hommes, une image de leur douceur, de leur fougue, de leur gentillesse, de leur force. Mais jamais ils ne devraient savoir, si ça marchait, qu’ils étaient pères. Enfin l’un d’eux. Je leur faisais un enfant dans le dos et je n’en étais pas très fière. Elisa avait tenté de me raisonner mais j’étais trop campée sur mes positions. Maintenant que le train me ramenait chez moi, je priais pour que la graine soit plantée. Les yeux fermés, je rêvassai un moment ; revoyant les visages de François, de Bertrand, de François, de Bertrand, de François... Avant de m’endormir pour de bon.
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