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Promenade en bateau

Chapitre 1

Inceste
Promenade en bateau
Je m’appelle Jules, cette histoire se passe il y a dix ans, juste après mes dix-huit ans. J’ai deux sœurs, une plus vielle que moi d’un an, Joelle, l’autre plus jeune de deux ans, Carole. Mes parents sont ce qu’on appelle des libertins, ils passent certaines de leurs soirées en compagnie d’autres couples échangistes, mais, par respect pour leurs enfants, jamais chez nous. Mon père, Pierre, quarante-cinq ans, est grand, athlétique, brun, ma mère, Aude, quarante-quatre ans, est grande aussi, blonde, mince, sportive. Tous les deux paraissent plus jeunes qu’ils ne sont. Pour ma part, je suis très attiré par les filles mais aussi par les bites des hommes. J’ai vécu plusieurs expériences homosexuelles, mais je n’aime que me faire sodomiser, ou sodomiser, faire une fellation, et c’est tout, pas de câlins ou autres signes de tendresse.
Je viens de passer mon bac que j’ai réussi avec mention « BIEN ». Pour me féliciter, mon père décide de me faire faire une virée d’une semaine sur un voilier de vingt mètres avec son frère. Ma tante, ma mère et mes sœurs ne viennent pas avec nous, n’étant pas du tout attiré par ce genre de balade, elles sont sujettes au mal de mer. Mon père et mon oncle, Pierre et Paul, sont de vrais jumeaux, il faut vraiment bien les connaitre pour les différencier, ce dont ils s’amusent beaucoup. Tous les deux sont d’excellents marins, ayant participé à plusieurs régates ensemble depuis leur enfance, ils savent maîtriser un tel navire à eux deux, d’autant qu’il est équipé pour naviguer en solitaire. Vue leur réputation, le propriétaire a accepté qu’ils le louent sans équipage. Nous partons donc de Port Leucate un samedi en début d’après-midi, sous un soleil de plomb, et une petite Tramontane force 3, direction le grand large.
Le bateau loué est magnifique, assez luxe, nous avons chacun notre cabine, mon père et mon oncle m’ayant réservé la suite « propriétaire », la plus luxueuse avec salle de bain privative. Je décide de ne rien faire la première journée et passe une grande partie de l’après-midi allongé à l’arrière du bateau sur un transat à bronzer pendant que le navire fend l’eau à vive allure. La journée se termine doucement, je suis très heureux de ce cadeau, j’adore naviguer, mon père m’ayant appris la navigation dès mon plus jeune âge. Demain, je prends les commandes du navire avec mes deux marins. Mais, l’air marin fatigue beaucoup et vers vingt-deux heures, je ne tiens plus debout et vais me coucher.
Le lendemain matin, je me réveille vers sept heures, le soleil est au rendez-vous, j’enfile un short et un tee-shirt et monte au poste. Mon oncle est de quart, il a passé une bonne partie de la nuit à veiller. Le bateau a beau être équipé de tout le matériel nécessaire à la navigation, pilote, radar, système de surveillance et d’alerte, il est plus rassurant d’avoir quelqu’un qui surveille tout ça, on dort mieux. Cette nuit, c’est mon père et son frère qui ont assuré, mais à partir de maintenant, je dois prendre ma part de boulot.
–Salut Jules, bien dormi ?–Bonjour Paul, oui, très bien, mais le bateau a ralenti, plus de vent ?–Oui, c’est un peu la pétole, on avance à moins de deux nœuds. –Cool, on va pouvoir se baigner.–On verra ça avec ton père.
C’est à ce moment que papa apparait, il est un peu vasouillard, mais Paul a préparé le petit déjeuner et nous nous installons dans la salle à manger. Une fois fini, Paul décide d’aller se coucher pour récupérer un peu, il nous demande de le réveiller vers onze heure. Mon père me laisse la barre et va faire un brin de toilette. Le bateau avance de plus en plus lentement, ce n’est pas marrant. Vers dix heures, comme le bateau n’avance pas, que le radar surveille et qu’il n’y a absolument rien à l’horizon, nous décidons d’affaler, de laisser le bateau dériver avec le courant très faible à cet endroit et de nous faire bronzer au soleil sur la plage arrière. Je vais dans ma cabine pour enfiler mon maillot de bain, mais quand j’arrive sur la plage arrière, je vois mon père allongé sur un transat complètement nu. C’est la première fois de ma vie que je le vois intégralement nu, l’ayant déjà vu en maillot de bain, je me doutais qu’il avait un sexe assez imposant, mais pas à ce point. C’est une vraie trompe d’éléphant qui pend entre ses cuisses légèrement écartées terminée par un énorme gland. Je suis personnellement relativement bien pourvu, les filles et les garçons apprécient en général, mais je dois dire que je développe un léger complexe. Il me voit arriver.
–Tu fais ce que tu veux, mais moi, je préfère bronzer à poil, après tout, on est entre hommes.–Pas de problème, je fais comme toi.
Je fais glisser mon maillot à terre sous le regard de mon père, ce qui me trouble un peu, et m’allonge sur un transat à côté de lui. Le soleil cogne fort, je sens mon sexe gonfler un peu sous son effet. Je regarde du côté de mon père et constate que le sien aussi aime les rayons du soleil, il s’est un peu développé, et ça devient vraiment hors norme. D’un seul coup, j’imagine ce que dois ressentir maman quand elle se fait mettre un truc pareil au plus profond de sa chatte. Si je me réfère aux réactions des filles avec qui j’ai fait l’amour, elle doit prendre un pied d’enfer. Nous discutons un peu de chose et d’autre, le temps passe doucement. Je suis sur le point d’aller réveiller Paul quand je le vois apparaitre.
–C’est la nouvelle tenue à bord ?–Pour ceux qui le veulent bien.
–Ok.
Paul enlève son short et sa chemisette. Comme c’est la copie conforme de papa, il a la même chose qui pend entre ses cuisses, aussi énorme avec un gland peut être même plus gros.
–Quelqu’un veut quelque chose à boire ?–Un panaché s’il te plait.–Pareil pour moi.
Paul va chercher les boissons fraîches et revient nous donner chacun une canette très fraîche. Il vient s’installer à côté de moi en sirotant sa boisson. Comme nous, sa bite gonfle un peu sous l’effet du soleil. Je suis encadré par deux énormes bites qui se réveillent au soleil. Nous discutons jusqu’à ce qu’il soit l’heure de déjeuner. Le repas est vite pris, salade, grillade et fruits. La chaleur devient de plus en plus insupportable, même sur l’eau, les rayonnements du soleil nous grillent la peau. Je décide de me baigner.
–J’ai bien envie de piquer une tête.–Ok, mais pas seul et quelqu’un doit rester sur le bateau.–Tu peux accompagner ton fils, je vais rester sur le bateau.
Je plonge de la plage arrière suivit par mon père. Nous nageons un petit moment, l’eau est fraîche, c’est très agréable et je prends un énorme plaisir à nager à côté de mon père. Nous chahutons tous les deux comme d’habitude quand nous sommes ensemble dans l’eau. Mon père me ceinture et m’entraine sous l’eau, je sens son sexe mou entre mes cuisses, je suis un peu étonné de ne pas ressentir de rejet, voire de dégout. Je sens plusieurs fois le sexe de mon père contre ma peau en fonction de ce que nous faisons, moi-même, je le touche de temps en temps avec mon sexe, mais tout se passe naturellement. Au bout d’un moment je décide de remonter à bord, mais l’échelle est un peu courte et mon père doit m’aider. Il me pousse en posant ses mains sur mes fesses. Ce contact ne me laisse pas indifférent, j’aime sentir des mains sur mes fesses, mais ce sont celles de mon père, je ne devrais pas réagir comme ça. Je réussi à attraper l’échelle et monte à bord. Une fois sur la plage arrière, je lui tends la main et l’aide à monter à bord. Je constate tout de même que son sexe ne pend pas entre ses jambes, mais est légèrement gonflé malgré la fraîcheur de l’eau et pointe à quarante-cinq degrés devant son pubis. Il devient très impressionnant. Je dois dire que je suis quasiment dans le même état. Je décide de prendre une douche pour me rincer et vais faire une petite sieste. Je me réveille deux heures plus tard, le vent ne s’est toujours pas levé et le bateau dérive lentement sous la surveillance des deux frères.
–C’est toujours la pétole ?–Comme tu peux le constater.
La température étant toujours aussi torride, je vais me baigner avec Paul. Comme avec mon père, nous chahutons pendant plus d’une heure, mais je remarque que les contacts avec lui sont plus francs, plus appuyés. Je suis étonné que ça me plaise autant, mais surtout, étonné de constater que la bite de mon oncle s’est considérablement durcie. Lors d’une empoignade, elle s’est glissée entre mes cuisses, à quelques centimètres de ma rondelle. J’ai été électrisé par ce contact, ce qui m’a aussitôt fait bander à mon tour. Autre étonnement, nous continuons à nous amuser comme si de rien était, les contacts sont plus nombreux et nos bites durcissent de plus en plus. Je suis de plus en plus excité au contact de cette énorme bite qui se glisse souvent entre mes cuisses jusqu’à remonter entre mes fesses sans aller plus loin. Je frissonne à chaque fois que ça se produit. Quand je commence à fatiguer, je fais signe à Paul qui s’éloigne un peu. Cela me laisse le temps de débander. Comme avec mon père, Paul me pousse par les fesses pour me faire monter sur le bateau et je l’aide à mon tour. Nous nous allongeons sur des transats, je regarde mon oncle d’une autre manière, ce qui est réciproque. Une nouvelle complicité s’est établi entre nous. Mon père a préparé les cannes à pêche et nous pêchons pendant plusieurs heures pour attraper un simple maquereau qui est venu se suicider. Nous mangeons assez tard.
A la nuit tombée, papa décide d’aller se coucher en nous demandant de le réveiller à trois heures et nous laisse de quart. Avec la chaleur ambiante, nous ne nous sommes pas habillé, nous sommes toujours nus. Je m’installe à la barre et contemple l’horizon. Le ciel sans lune est complètement dégagé, les étoiles scintillent en se reflétant sur la mer d’huile, c’est un magnifique spectacle. Paul s’est assis à côté de moi en retrait, il me regarde fixement. Je ne m’occupe pas de lui, je regarde la mer. Au bout d’un bon moment, je me retourne vers lui, je reste médusé. Il est assis sur un fauteuil, il lit un magazine. Mais sa main droite caresse sa bite qui est raide, à la verticale sur son ventre. C’est la première fois que je la vois raide à l’air libre. Je suis fasciné par cet énorme vit qui se dresse majestueusement sous mes yeux. Cela m’excite et ma bite se redresse elle aussi pour venir se coller à mon ventre. Paul me regarde avec un sourire entendu.
–Je vois que le spectacle ne te laisse pas indifférent.–Non…/…
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