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Promenade au bois

Chapitre 1

Découverte homo

Gay
J’ai toujours aimé me promener seul, dans les bois, au fil du temps j’ai appris à observer, les animaux sont fascinants... quand je m’assois au pied d’un arbre, je fais silence, je regarde, j’apprends. J’enrage quand des promeneurs indélicats secouent la paix des lieux par des paroles, des cris, des rires, tous ces comportements qui effraient les hôtes de ces lieux. Je m’enfonce alors plus loin, je connais une clairière au centre de laquelle on a construit un minuscule abri, ce devait être depuis plusieurs années, car je n’y ai jamais rencontré qui que ce soit et des broussailles l’ont peu à peu envahi.Or ce jour, en approchant, je saisis des bruits inhabituels, des claquements, des craquements. Intrigué, je pousse en avant et discerne le toit de la maisonnette, puis ses murs dégagés de tous les végétaux qui y proliféraient. Brusquement de la porte ouverte surgit une forme humaine, c’est un homme grand, bedonnant, une barbe lui dévore le visage, il doit avoir la soixantaine Pour ma part, j’ai tout juste 19 ans, 1,70m pour 80 kilos, un peu rondouillard, imberbe autant au menton qu’ailleurs.D’emblée, il me salue
— Bonjour, en balade ?— Oui, j’aime me promener au calme... c’est votre cabane ?— Oui, ça fait au moins trente ans qu’elle existe, mais je n’y viens plus depuis longtemps et puis tout à coup l’idée m’en est venue. Vous faites aussi des photos, comme je vois— Oui, j’adore ça, c’est une passion, j’aime prendre sur le vif, un mouvement d’animal, une feuille qui tournoie...— Poète en plus ! Je m’appelle Christian— Moi c’est Manu— Viens entre, j’ai des rafraîchissements
Je lui emboîte le pas, il doit se baisser pour entrer, moi non, je passe comme ça. Il fait un peu sombre, mais très vite mes yeux s’habituent. Il y a deux gros tabourets posés près d’une table rustique en bois, dans le coin une cheminée rudimentaire. Sur la table, un panier avec des bouteilles. Il me sert un gobelet, c’est du vin.
— Je préfère de l’eau si vous en avez— Malheureusement non, mais bois ça va te faire du bien, tu verras
Je n’ai pas l’habitude, de refuser et puis il fait chaud, j’avale un grand trait, c’est agréable, frais.
— C’est vrai, ça fait du bien. Pourquoi êtes-vous revenu, si ce n’est pas indiscret ?— L’histoire est simple, j’étais parti à l’étranger pour mon travail et, quand je suis revenu, par curiosité, j’ai voulu voir ce qu’il était advenu de ma construction, j’ai retrouvé l’ambiance qui m’avait plus tout au début... et me voilà occupé à débarrasser, je compte y revenir souvent, maintenant que je suis retraité, car j’aime beaucoup observer, respirer l’odeur du bois— C’est vrai, moi aussi je viens souvent— Si tu veux tu pourras y venir aussi
— C’est vrai, merci beaucoup
Tout en discutant, j’avais vidé mon gobelet, il m’a resservi, je commence à être un peu euphorique, il s’en aperçoit.
— Tu te sens bien mon garçon ?— Oui, ça va, c’est le vin, je n’ai pas l’habitude et puis il fait chaud— Tu n’as qu’à faire comme moi
Le voilà qui enlève sa chemise, laissant apparaître un poitrail velu et une panse rebondie par-dessus la ceinture du pantalon. Je fais comme lui et je vois qu’il me regarde.
— Wouaw, tu n’as pas de poil, c’est très joli et puis t’as de la poitrine aussi
Le voilà qui se met à rire comme d’une bonne plaisanterie, du coup je ris aussi. Il me ressert du vin que j’avale aussitôt d’une rasade.
— Doucement, si tu n’es pas habitué, tu vas t’enivrer— Pas grave, je me sens bien, la vie est belle, il fait un temps splendide, je bois du vin dans la forêt en compagnie d’un homme charmant, c’est cool, non ?
Il s’approche alors de moi juste au moment où, les jambes tremblantes, je m’assois. Il reprend mon gobelet, me caresse les cheveux que j’ai mi-longs, les ébouriffe en souriant. Il s’accroupit, pose la main sur ma cuisse, comme je porte un short, directement sur ma peau, j’ai un petit frisson à ce contact, mais il me regarde gentiment dans les yeux en souriant.
— Tu devrais t’allonger un peu, je vais mettre une couverture sur la table, tu te sentiras mieux.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il me soulève dans ses bras, me pose délicatement sur la table, comme je transpire abondamment, il me frotte avec une serviette humide, le visage, le cou, la poitrine, passant et repassant ici et là, le ventre ensuite, puis les cuisses, les jambes...Une sensation de bien-être m’envahit, je sens ses mains sur mon ventre, ma poitrine, il me caresse les tétons, je me détends tout à fait, presque à m’endormir...Une main descend alors lentement, pétrissant doucement la chair de mon ventre, les doigts glissent parfois sous la ceinture de mon short. J’aime cette douceur, il est tendre et câlin, je me laisse de plus en plus aller...Puis les deux mains se glissent sous l’élastique le tirant vers le bas, entraînant mon slip dans la descente pour me libérer tout à fait.Les yeux mi-clos, je le vois, il semble en extase... j’ai la vue brouillée, comme si une brume me remplissait la tête.
— Que tu es beau !
Comme déjà dit, je n’ai que très peu de poils, quasiment un duvet, mon sexe modeste repose sur mes testicules, j’ai la peau blanche de la marque du slip de bain. Je ne sais pas ce qui m’arrive de m’abandonner complètement à cet homme rencontré quelques instants auparavant. Je sens sa bouche sur mon ventre, sa barbe soyeuse me caresse agréablement, ses lèvres et sa langue passent et repassent glissant vers mon pubis, cette fois je ferme les yeux. Je sens mon pénis aspiré par la bouche gourmande, il le roule avec la langue, le faisant se raidir, sa taille modeste ne l’empêche pas de durcir de plaisir. L’homme est debout contre la table, son ventre touche mon bras, à moitié couché sur moi, ses mains me caressent les cuisses... il les écarte soudain, glissant ses doigts sur mes bourses, puis caressant jusqu’à mon anus, sa bouche quitte ma verge et sa langue vint se planter dans mon orifice, je me souviens d’avoir poussé un petit cri, il respire vite, il grogne aussi me malaxant les fesses avec frénésie, un doigt entre, forçant doucement le passage, jusqu’à la paume, immobile un instant, il recule pour revenir tout de suite en petits va-et-vient de plus en plus rapides...Peu après, il dégage son ventre de la table, d’une main il baisse son pantalon découvrant un sexe gonflé au milieu d’une forêt de poils gris, prenant ma main il la guide et je le touche, c’est la première fois que je touche un sexe autre que le mien... J’essaie cependant de faire comme pour moi et peu à peu lui vient une belle érection.Il se recule alors, retire ce qu’il lui restait de vêtements, je le regarde bouche bée, un véritable ours, velu de la tête aux pieds et le dos pareil, tout en gris, frisé, bouclé...Il me fait asseoir sur la table, face à lui, son visage s’approche du mien, sa bouche prend la mienne, la couvrant de petits baisers très doux, il est de nouveau tout tendre, sa langue finit par entrer, fouillant profondément, il respire violemment... parfois il me lâche pour murmurer :
— Ma chérie, comme tu es belle...!
Il passe sur ma poitrine, suçant et tétant mes mamelons dressés, de plaisir...Puis il me fait descendre de la table, debout devant lui, j’ai sa poitrine sous mes lèvres, je prends ses tétons à travers les poils, les agaçant des dents et de la langue, il pousse un soupir de plaisir, m’incitant à continuer, il appuie sur ma nuque pour me maintenir.Après quelques instants, il presse fermement pour me faire descendre sur son sexe... j’ouvre la bouche et reçois son gland que je décalotte lentement, j’ai d’abord un mouvement de recul car il sent un peu trop la transpiration et le mâle, mais très vite je m’habitue et le suce avec grand plaisir... ma première (bite, queue... !!) je me répète ces mots magiques, mon érection reprend de plus belle à cette évocation. Je m’aventure à lui caresser les testicules, puis un peu plus bas sa rondelle, mais je n’ai pas le temps de faire plus, il me crache dans la bouche un jet de sperme, pas vraiment abondant, son plaisir nous fait trembler tous les deux tellement il est violent, il me tient la tête, si bien que je dois avaler... sa verge diminue de volume et devient toute molle dans ma bouche, mais il continue à me tenir. Je l’entends souffler fort, puis peu à peu, il se détend et me relâche.
— Il y avait longtemps que je n’avais pas joui comme ça !
J’attends la suite, il me regarde dans les yeux, puis prend mon visage et m’embrasse à pleine bouche, un baiser tendre et passionné, ses poils me caressent le visage, je me détends aussi et lui rends son étreinte.Puis il s’écarte un peu, me regarde, me fait tourner, ses mains s’attardent sur mes fesses bien rondes, il les palpe, il semble apprécier la "marchandise". Je suis en pleine excitation, érection bien dure, quand tout à coup...
— Allez, on se rhabille, faut que j’y aille, tu reviens demain ?
C’est une invitation, mais j’aurais aimé continuer tout de suite, frustré, je passe d’abord mon t-shirt, puis enfin mon short, il garde mon slip.Je repars un peu triste, mais avec espoir pour le lendemain.Suite si vous voulez...
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