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Promenade coquine en forêt

Chapitre 1

Douce balade

Voyeur / Exhibition
Julie et moi sommes ensembles depuis plus d’un an maintenant. On ne compte pas nous marier pour l’instant. Elle a 22 ans et moi 23, nous avons du temps devant nous. On veux profiter de notre jeunesse pour explorer d’autres horizons, sans pour autant nous séparer. Même si nous avons quelques aventures sans lendemain, chacun de notre côté, nous avons beaucoup de respect l’un envers l’autre. Nous savons que, de toutes façons, on se rejoint dans notre amour.
Nous habitons une petite maison en bordure de forêt. C’est très agréable d’être proche de la nature, sans être trop éloignés de la ville et de ses commodités. Cet après-midi je décide de me promener dans la forêt qui est juste derrière chez nous, pour me détendre d’une semaine de labeur, et voir autre chose que le bureau. Pourquoi pas avec Julie, ma douce et tendre compagne, bras dessus, bras dessous. J’adore me promener avec elle, en amoureux.
– Tu viens Julie ? On va se balader un peu.– Non Damien, pas maintenant. Mais vas-y toi. Ne soit pas trop long quand même, je veux profiter un peu de toi tout à l’heure…
Son refus m’attriste un peu, sans Julie la promenade est moins agréable. J’aime qu’on se promène tous les deux. Je l’imagine près de moi, revêtue de son mini short, moulant ses petites fesses rebondies, faisant ressortir ses jolies cuisses ambrées. Elle a peut être mis son string mauve que j’adore. Son chemisier, qu’elle noue sur le devant, est presque entièrement ouvert, laissant apparaître ses petits seins en forme de poire. Ses admirables tétons forcent un peu plus l’ouverture. Ses longs cheveux blond caressent mon visage, au grès du vent. Mais bon, dommage, je décide quand même de sortir pour profiter du calme de ce bel après-midi.
— Bon d’accord ma chérie. J’y vais tout seul alors.
Un petit bisous sur ses lèvres pulpeuses et gourmandes, et je sors. Pas besoin de m’habiller avec soin, une chemise légère et un short suffisent, il n’y a pas grand monde par ici. Dès que je suis dehors, une douce chaleur couvre mon visage et mon torse. La forêt est accueillante avec ce temps splendide. Je connais presque tous ses recoins, mais je veux me laisser guider par le hasard, en essayant de sortir des sentiers battus, aller en quelque sorte vers une certaine aventure, sans chercher à savoir où je suis. Me perdre un peu peut être, tout en sachant que, de toutes façons, je ne peux pas être très loin de la maison. Le silence dans la forêt, si on veut l’écouter, est peuplé d’une multitude de bruits, inquiétants ou rassurants, selon l’humeur dans laquelle on se trouve. Pour moi aujourd’hui, ces bruits sont reposants, pleins de promesses. Le chant des oiseaux me guide. Un peu de vent, même s’il est tiède, rafraîchi agréablement ma poitrine découverte.
Je marche depuis un moment déjà. Je ne sais pas pourquoi je vais dans cette direction, un instinct sans doute. Je me sens si bien malgré l’absence de ma bien aimée. Pourtant mon cœur bat de plus en plus fort. Je sais que je me dirige vers une partie de la forêt, que je connais bien pour y avoir été assez souvent avec Julie, ou tout seul. Je suis comme attiré vers ce lieu. J’ai décidé de me laisser guider par le hasard, et bien le hasard m’amène vers cet endroit, alors, je me laisse guider.
Qu’est-ce que je veux trouver là-bas ? Tout en avançant les mains dans les poches, je sens mon sexe gonfler. Une de mes poches est trouée. Je n’ai jamais voulu demander à Julie de la raccommoder. Cette déchirure permet à ma main de caresser mon sexe au-dessus de mon slip, et bien vite à l’intérieur de mon sous vêtement. J’aime me peloter comme ça, tout en marchant… Je sens la chaleur de mon membre qui gonfle de plus en plus. Je bande maintenant, alors je m’arrête. Je sors ma bite de mon short déboutonné. Je me masturbe doucement, puis je me branle franchement, tout en ayant pris soin de vérifier qu’il n’y a personne dans les environs. J’arrête net ma masturbation quand je sens que mon plaisir monte un peu trop. J’aime stopper mes mouvements à ce moment pour retarder ma jouissance, c’est encore meilleur pour un peu plus tard…
Je range tout soigneusement puis je reprend ma marche, toujours les mains dans mes poches. J’arrive sur le lieu convoité. C’est près d’un chemin carrossable éloigné de la route, un peu en surplomb d’une petite clairière où parfois des couples, ou des hommes seuls cherchant l’aventure, viennent se donner du plaisir. Je m’accroupis, comme pour être aux aguets, attendant une éventuelle arrivée. Cela ne tarde pas, le lieu est assez connu pour ceux qui aiment ce genre de situation. L’endroit reste rarement désert. Une voiture roule doucement pas trop loin de moi, ce qui me fait m’accroupir un peu plus. Mais en fait, je ne risque pas d’être vu grâce à ma position légèrement surélevée. Un couple est à bord de la voiture, l’homme au volant. C’est une décapotable, et par cette chaleur la capote est ouverte, je m’en félicite car je peux voir aisément les passagers. La voiture s’arrête, le contact coupé. Le silence de la forêt reprend ses droits. Je tends l’oreille. Ils ne sont vraiment pas loin de moi. Ils parlent un peu, se regardent, s’embrassent de temps en temps. Je peux les voir s’installer plus profondément sur leurs sièges. Ils se regardent tous les deux tout en se souriant. J’entends un peu l’homme.
— On est bien, là. Tu veux qu’on commence ?— Oui, vas-y.— Non, toi d’abord.
Je vois la femme peloter tendrement ses seins tout en regardant son complice. Son chemisier ouvert me rappelle Julie, mais ses seins n’ont rien à envier à ceux de ma chérie. Ils sont très beaux, mais beaucoup plus gros. Malgré tout ils sont très agréables à regarder. Je dois avouer que j’aimerai bien les caresser... Elle écarte ses jambes et se caresse sous sa jupe. L’homme la regarde, ouvre son pantalon, et sort son sexe qu’il masturbe gentiment. Sa compagne regarde faire son amant, puis reprend ses caresses sur sa poitrine, en malaxant ses seins avec envie, pinçant ses tétons, pendant que son autre main s’active entre ses cuisses bien ouvertes. Elle regarde son compagnon, comme pour lui lancer un défi. Leur position n’est pas des plus aisées, mais apparemment cela ne les gêne pas plus que ça.
Je n’ose pas bouger, mes yeux grands ouverts profitent au maximum de ce spectacle qui me fait bander grave. Je me lève un peu, changeant de position pour mieux les regarder. J’en profite pour ressortir ma bite qui a mouillée mon short. Je me branle avec un grand plaisir en les regardant de caresser. C’est beau à voir, et très bandant. Ce manège dure un petit moment. Ils se caressent seuls, chacun de leur côté, tout en se regardant intensément. Puis, sans doute n’y tenant plus, la jeune femme se penche vers son homme et l’embrasse goulument, joignant sa main à la sienne pour l’accompagner et branler sa bite avec lui. A mon avis, ils jouent à qui se jette sur l’autre le dernier. Petit jeu original et très jouissif. Elle a perdu la gourmande, au grand bonheur de son homme. Elle glisse sa tête sur sa poitrine, mordille ses tétons, l’homme est aux anges. Elle le lèche et descends vers sa queue pour la prendre dans sa bouche. Il baisse son pantalon sur ses chevilles. Cela a pour effet de lui faire soulever un peu son beau petit cul sans slip, d’après ce que je peux entrevoir. Il profite de la position de sa maitresse pour glisser sa main entre ses fesses. Je vois qu’il doigte son petit trou vigoureusement, partageant la mouille de sa chatte qui paraît abondante. Ses doigts semblent entrer avec une grande facilité. Je peux la voir se dandiner avec envie, pour mieux recevoir ses pénétrations.
De les voir se faire du bien m’excitent terriblement. Je m’approche un peu plus, pour mieux les mater. Là je glisse, et je suis à deux doigts de tomber dans la pente, heureusement légère. J’attrape une racine pour me rétablir. La queue à l’air, j’ai une position un peu comique. Ma semi chute m’a refroidi, mais voir ces deux coquins se branler mutuellement me redonne de la vigueur. De mon nouvel emplacement, je peux les entendre s’échanger des cochonneries et les entendre gémir.
— Oui comme ça. Hoooo branle mon cul chéri, encooore !— T’es une bonne salope. T’aime ça hein t’aime ça. Dit le !— Oh ouiiii. Oui j’aime tes doigts dans mon trou. Oui encore, c’est bon, ouiiiii. Branle mon cul !
Cela provoque en moi une irrésistible envie de me masturber. C’est vrai que j’aime me branler et qu’il ne me faut pas grand-chose pour me caresser, et là, ils m’excitent vraiment. Je me lève, caché par la végétation, mon short et mon slip sur les chevilles. Je branle ma bite en pinçant un de mes tétons.
— Ça donne envie, non ?
J’ai un sursaut, mon cœur bat la chamade. Qui parle doucement tout près de moi ? Je sens des frissons parcourir tout mon corps en voyant un type tout à côté, la bite à la main, se masturbant doucement. Je me sens comme un écolier pris en faute.
A suivre...
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