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Promenade coquine en forêt

Chapitre 3

On n'est plus seuls

Orgie / Partouze
Fin du second chapitre :Il reste un long moment à l’intérieur de mon cul, me serrant contre son ventre. J’apprécie sa présence tout au fond de mes entrailles. Quand il se retire, je me relève avec difficulté, mon corps encore troublé de spasmes.

Le bruissement du feuillage m’interpelle. Près de nous un couple nous regarde. L’homme, tout contre le dos de sa compagne dont le chemisier ouvert dégage une très belle poitrine aux seins gonflés d’envies, lui pelote ses seins et ses tétons d’une main, tandis que de l’autre il caresse son bas ventre sous sa jupe, tout en nous contemplant. Elle n’a ni soutien-gorge, ni culotte. Nue sous ses vêtements défaits, elle inspire l’érotisme et le sexe. Je ne sais pas pourquoi, mais je devine que c’est le couple de la voiture, attiré sans doute par nos ébats, peut être moins discrets que nous le pensons.
– Vous faites bien du bruit, mes coquins. On vous voit d’en bas, vous savez. Vous nous donnez l’envie de vous rejoindre. Vous n’êtes pas fâchés au moins. C’est un vrai bonheur de vous voir baiser. Je m’appelle Pauline et voici Bastien.
Voici une présentation des plus stupéfiante, surtout après qu’ils m’aient vu me faire enculer. Je suis très surpris et troublé à la fois. Me faire surprendre par un couple mateur, à moitié à poil en train de me faire pénétrer par un inconnu, est assez étonnant, et pour ma part très gênant. Je tâtonne du pied pour retrouver mon slip et mon short traînant sur le sol. Je remets tout ça maladroitement, pour tenter de cacher mon intimité, mais ma bite en a décidée autrement, et reste un peu sortie, à portée de leurs regards.
– Moi c’est Damien, et voici, heu…– Moi c’est Georges... Bonjour.
C’est vrai que je n’ai pas eu le temps de demander le prénom à mon enculeur, lui non plus d’ailleurs…
– Georges, vous m’avez l’air épuisé.– Épuise peut-être pas, fatigué un peu oui. Mais je m’en remettrai…– Je n’en doute pas. Damien, vous allez beaucoup mieux, il me semble.
Cette affirmation s’accompagne d’un regard sur ma queue un peu débandée, mais légèrement en forme tout de même. Je trouve adorable l’attention de Pauline à notre égard, c’est touchant.
– Vous nous avez donnés envie de vous rejoindre quand on vous a entendus, puis aperçus tout à l’heure. Je ne vous cache pas que j’ai un petit faible à la vue de deux hommes qui s’enfilent, et là c’était très beau, vraiment. Je vous remercie du spectacle. J’ajoute que Bastien n’est pas insensible à ce genre de situation. Il aime regarder cela aussi. Je suis même sûre qu’il aimerait bien participer à vos ébats. Enfiler sa belle queue dans le cul d’un mec lui donne un extrême plaisir, à condition que ce soit devant moi, vous en pensez quoi les mecs ?
– Je devine tes pensées, n’est-ce pas mon cochon. Rajoute-elle à l’intention de Bastien.– C’est vrai, tu me connais bien. Si Damien est partant, je veux bien. Il me donne envie, avec son beau petit cul, c’est sûr. Tu es d’accord Damien ?
– Damien, si tu en as encore envie, accepte la bite de mon mec. Il va te faire mouiller du cul, ça c’est sûr. Quand il m’encule je n’arrête pas de jouir. Je vous materai tous les deux en me masturbant. J’adore faire la voyeuse. Georges nous regardera aussi en se branlant avec moi s’il veut bien, mais je n’en doute pas, n’est ce pas Georges ?
– Pourquoi pas. C’est une excitante suggestion.
Le scénario est très prometteur, la proposition alléchante. Me faire baiser deux fois dans la même journée, pourquoi pas. Surtout que Bastien est un bel homme, même s’il est légèrement bedonnant. Il parait très bien monté à voir comment il se frotte à sa partenaire. Sa copine Pauline est une mignonne petite brune aux cheveux mi longs, beaucoup plus petite que lui. Ils forment un beau couple. Ils doivent avoir dans les cinquante ans. À sa façon de parler, je suis persuadé que ce petit bout de femme mène la baraque, et aime commander. Bastien doit se tenir à carreaux et exécuter tous ses caprices de femme nymphomane. Mais qui s’en plaindrait ?
Je n’ai pas le loisir de pouvoir dépondre, ni éventuellement de donner mon avis. Pauline se baisse, descend brutalement mon slip et short qui se trouvent une nouvelle fois sur mes chevilles. Elle se jette sur ma bite et l’engloutie dans sa bouche. Ma verge se remet à gonfler avec une vigueur qui m’étonne. Je me retrouve avec Pauline qui me suce avec énergie, curieusement plus brusquement que Georges tout à l’heure. Elle me branle et me suce en même temps, en me faisant bien sentir sa langue. Elle presse mes couilles. Ses lèvres et sa langue glissent sur ma bite bien dressée maintenant. C’est très bon de se faire faire une pipe par cette belle inconnue. Manifestement elle veux que j’éjacule rapidement. Je me retiens au maximum, mais elle ne relâche pas ses mouvements. Elle me branle de plus en plus vite. Elle mange ma bite toute entière, et ce qui doit arriver, arrive. Je ne peux plus me retenir, Pauline a décidée de me faire juter dans sa bouche. Elle montre bien que c’est elle qui mène la dance. Et puis, quand la jouissance vient il est très difficile de se freiner. C’est si bon de jouir.
Je fini par éjaculer dans sa bouche grande ouverte. Pauline se délecte de mon foutre. Elle avale tout jusqu’à la dernière goute. Elle nettoie avec minutie mon membre qui est secoué de nombreux spasmes. Elle me suce encore et encore pour ne plus laisser la moindre trace. Je râle de plaisir. Puis elle prend la main de Bastien qu’elle pose sur mes couilles pour les malaxer un peu. Bastien me retourne. Il prend mes mains et les pose sur l’arbre, qui reconnait mes empreintes. Il frotte sa bite gonflée contre mes fesses, sans lâcher mes couilles.
– Penche toi mon salop. Je vais te défoncer comme tu aime.
Son sexe est énorme. Il écarte mes cuisses, et pointe sa bite sur mon anus. Je suis encore dilaté de ma dernière pénétration, et pourtant sa bite a du mal à entrer. Sentant cela, il me fait pencher davantage en avant en appuyant sur mon dos, puis pénètre ses doigts dans mon anus, les faisant bouger avec délice. Il les tourne autour, les introduit un peu, recommence à caresser mon trou qui n’attend que cela pour les recevoir. Il les ressort, les rentrant de nouveau, encore et encore. Il branle mon trou qui s’ouvre de plus en plus, c’est un délice.
Je me cambre davantage pour lui donner mon cul que je remue comme une salope que je deviens. Je veux recevoir cette grosse bite prometteuse. Bastien rapproche son membre sur mon anus trempé et m’encule promptement. Cette fois sa bite entre dans mon trou bien dilaté, pour mon plus grand plaisir. Mon cul est complètement rempli par sa grosse queue qui s’agite dans mes boyaux, forçant mes parois, écrasant ma prostate. Il exerce des va-et-vient d’abord très doux puis, très vite, de plus en plus rapides. Il sait y faire. Il sort et rentre dans mon cul avec des gémissements qui se mêlent aux miens. Pauline nous regarde nous donner du plaisir, en masturbant son clitoris et pelotant ses seins gonflés. Elle branle sa chatte, pénétrant ses doigts très loin dans son vagin, ses cuisses écartées. Manifestement elle apprécie au plus haut point de me voir me faire enculer par son homme. Elle regarde Bastien me baiser et Georges se masturber.
Elle attrape la bite de Georges pour la branler de sa main libre, tout en continuant à masturber sa chatte. Elle branle cette queue qui s’offre à elle en la léchant de temps en temps, au grand plaisir de Georges. Elle la branle si rapidement, en l’approchant tout près de sa bouche, que Georges fini par jouir, arrosant le petit minois qui accueille son sperme chaud. Cette femme aime le sperme. Elle en a partout, dans sa bouche, sur ses joues, sur son front, autour de ses yeux, autour de ses lèvres, jusque dans ses cheveux. Elle est couverte du foutre de Georges qui râle de plaisir. Bastien m’encule encore et encore. J’aime sa grosse queue dans mes entrailles.
Pauline s’approche de moi, son visage couvert du sperme de Georges. Elle frotte son visage contre le mien, étalant ce liquide épais et encore chaud sur mes joues. Sa langue sortie me lèche les lèvres, cherchant ma langue que je ne peux m’empêcher de sortir. Elle m’embrasse goulument, mélangeant le sperme de Georges avec nos langues et nos salives. Je suis d’abord surpris, mais je ressens vite un réel plaisir. Nos bouches s’aspirent mutuellement, nos langues s’entremêlent. Je sens et j’aime l’odeur et la chaleur du sperme qui vient de sortir du corps de Georges.
– Nettoie-moi le visage avec ta bouche et ta langue. Balbutie Pauline.
Ce que je fais sans grande hésitation. Je lèche son visage, récupérant avec ma langue le sperme dégoulinant, l’avalant après l’avoir goûté. C’est une première pour moi. Je suis assez étonné d’aimer ça. Bastien, sentant, et voyant ce qui se passe, accélère ses mouvements dans mon corps, et moi aussi, partageant ainsi notre plaisir. Lui, enfonçant sa bite dans mon cul. Moi, sentant sa grosse pine allant et venant dans mon trou béant, tout en embrassant et léchant de visage de sa copine. Il finit par jouir dans mes entrailles en poussant des cris de jouissance. Devant tout ce plaisir, je prends possession de ma bite et me mets à la branler avec vigueur, au grand bonheur de Pauline qui, quand j’éjacule, reçoit mon sperme sur son visage. Cette fois, c’est Georges qui lèche Pauline à sa demande. Je vois qu’il prend, lui aussi, du plaisir à la nettoyer, en la léchant avec vice. Pauline finie par jouir de ses masturbations en poussant de grands cris, la chatte en feu.
Bastien sort sa bite de mon cul, et réajuste sa tenue. Georges essuie sa bouche en essayant de remettre ses vêtements. Pauline, encore couverte d’un peu de sperme, essuie son visage d’un revers de la main. Elle se relève, toute émoustillée et haletante. Nous avons tous jouis avec délice de nos envies respectifs. Nous sommes assez ébranlés et fébriles, prenant conscience de nos situations respectives.
– Et bien, il faut qu’on se revoie, ici ou ailleurs. On a vraiment appréciés vos bites et vos petits culs les mecs. N’est-ce pas Bastien. A recommencer, d’accord ?
On s’échange nos téléphones vite fait, dans l’espoir d’une nouvelle rencontre, peut être dans un endroit plus confortable...
– Heu, oui les amoureux, à un de ces jours j’espère. Rentrez bien. Salut Georges, si tu passes par ici, j’espère y être aussi.– Ok Damien, j’ai vraiment aimé tout ça. Ce sera à ton tour de m’enculer, si tu veux bien.– J’aimerai bien aussi. A bientôt Georges.
Pauline, et Bastien qui n’est pas un grand parleur mais un très bon enculeur, descendent sur la petite place où leur décapotable les attends. La voiture démarre et s’éloigne. Je peux voir un bras sortir en guise d’au revoir. Georges part de son côté en titubant un peu. Je me retrouve seul, le cul à l’air, dans cette forêt si tranquille. Je penses à Julie qui doit trouver le temps long. Au fait, j’allais où tout à l’heure ?...

PS : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous…
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