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Promenade en Forêt

Chapitre 1

Zoophilie
L’histoire que je voudrais vous raconter m’est arrivée il y a quelques années, quand, jeune étudiante aux beaux-arts, je disposais de pas mal de temps libre que j’utilisais souvent à me promener dans divers endroits, recherchant l’inspiration pour mes peintures. Il m’arrivait aussi de me mettre en quête de sujets précis, pour répondre à des travaux demandés par mes professeurs.C’était le cas ce jour-là. Je devais produire une toile sur un sujet imposé : le Cheval. Pas d’autres indications. J’avais donc décidé de me rendre à un endroit particulier connu de moi ; une pâture de taille limitée – peut-être 2 hectares guère plus - encaissée dans un bois, où au gré de mes balades j’avais vu souvent quelques chevaux accrocher la lumière de belle façon. Plutôt fière de ma maîtrise des verts, acquise de longue lutte au prix d’heures d’un travail tenace, j’espérais pouvoir en tirer avantage dans ce cadre à la fois champêtre et forestier.
Et puis j’aimais me promener en forêt. Le sentiment de solitude choisi qu’on y ressent et la tranquillité qui y règne m’ont toujours inspirée. Tantôt me permettant de réfléchir posément, de prendre les décisions importantes ou difficiles, tantôt m’incitant à rêvasser sans autre limite que celle de l’imagination… Je dois bien l’avouer, ces rêveries éveillées avaient une nette tendance à s’orienter progressivement vers des fantasmes érotiques divers et variés. Ce qui, somme toute, est plutôt normale pour une jeune fille de 18 ans, épanouie et resplendissante.
Ainsi ce matin-là, mes pensées d’abord innocentes avaient lentement dérivé vers l’objet de mes désirs du moment : le beau Jérémy, un étudiant de mon cours, très bien fait de sa personne, mais également sensible et intelligent. Tout ce qu’il fallait pour me plaire, en résumé. En outre, pour parfaire le tableau, il semblait très sage, voire prude, et cela ne faisait qu’attiser ma convoitise : je m’imaginais volontiers dévergonder ce beau jeune homme pour le faire profiter des quelques acquis d’une expérience réelle, bien qu’encore peu ancienne. Rêvant trouver « par hasard » Jérémy au coin de cette forêt où je me promenais, je profitais sans vergogne –en imagination – de cette situation pour… et bien disons-le, pour « me taper » copieusement et sans retenue ce garçon, qui dans mes rêves n’en demandait pas mieux. Ces coupables pensées n’étaient pas sans effet sur mon corps, et avait fait naître en mon ventre une douce chaleur et des chatouillis reconnaissables. Je sentais également ma chatte humide contre le tissu de ma culotte, avec délectation. Ah, les promenades en forêt !
Arrivant près de l’endroit que je visais, je revins à la réalité. Jérémy attendrait plus tard, je le gardais bien au chaud. Le chant s’ouvrait devant moi à travers les arbres, son herbe verte émeraude baignée d’un soleil radieux, encadré par un camaïeu chatoyant d’autres nuances de verts, allant du sombre au clair comme la lumière jouait sur les feuilles de la lisière de la forêt, avec le vent comme pianiste. A peu près au centre du chant, un petit bosquet d’arbres formait comme une île sur ce lac pittoresque. Trois chevaux se tenaient dans ce décor, assez près les uns des autres, broutant tranquillement - du moins c’est l’impression qu’ils donnaient, car en fait une tension invisible régnait entre eux à cet instant, mais je ne pouvais le savoir. J’étais contente de moi, car l’endroit était parfait pour ce que j’avais à faire. Je passais sans difficulté sous la clôture électrifiée, me demandant comme à chaque fois si du courant passait vraiment dedans, et je me dirigeais vers le bosquet, tout en observant les bêtes. Mon idée était de m’installer confortablement dans le bosquet, de manière à croquer cette scène champêtre sur mon carnet, en vue de la reproduire sur toile plus tard.
Arrivée dans le bosquet, je m’aperçu qu’il convenait tout à fait : les branches extérieures formaient comme une haie assez dense mais une fois à l’intérieur, les arbres étaient espacés de deux mètres environ, et au centre s’ouvrait une mini clairière où poussait une herbe accueillante. Je m’installais sur une souche près de l’orée de petit bois, d’où je pouvais mirer à loisir mes trois chevaux. Je remarquai rapidement qu’il s’agissait d’une jument et deux étalons. La belle était d’un beau noir luisant, grande et élancée. Un des deux étalons, de couleur bai avec une queue et une crinière plus foncées, était de même taille, mais plus robuste. Le troisième était plus petit, gris pommelé, et se tenait à quelques mètres des deux premiers, près l’un de l’autre. Je commençai à dessiner.
Pendant que je m’appliquais sur mon crayon, je compris mieux la scène qui se déroulait devant mes yeux. Le jument fouettait l’air de sa queue, et se tenait immobile, la tête relevée. L’étalon bai se tenait derrière elle et humait sa croupe avec intérêt… Je me dis que la femelle devait être en chaleur, et que le mâle semblait intéressé… Hypothèse que me confirma rapidement la réaction de l’étalon : son pénis se mis à s’allonger vers le sol, puis son membre grossit et se redressa soudain à l’horizontale, venant frapper son ventre en des spasmes puissants. J’avais déjà vu des sexes de chevaux, sur des photos ou des vidéos, et j’avais toujours trouvé troublant et excitant de contempler cette nature sauvage et faunesque, ce symbole fort de masculinité et de bestialité réunies. Un cheval en érection est d’une impudeur absolue, exhibant au monde sans aucun état d’âme son organe énorme, exprimant à la fois un appétit impérieux et la promesse d’un festin immense. Mais c’était la première fois que je contemplais un tel spectacle pour de vrai, et l’excitation qui me saisie à cette vue était bien plus forte, et même décuplée par ma position d’observatrice assurée de ne pas être vue – summum du voyeurisme ! Je cessais de dessiner, fascinée par la scène, impatiente de voir ce bel étalon entrer en action. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, et je tremblais d’émotion.
Le troisième animal, lui aussi intéressé par la jument, se rapprocha d’eux et s’interposant il cacha à ma vue l’étalon en rut. Il se mit lui aussi à renifler le cul de la femelle, qui ne semblait pas indisposée du tout d’avoir ainsi deux soupirants à ses côtés. Toutefois, sa tentative s’interrompit rapidement : subitement, l’étalon bai le mordit à la cuisse et le repoussa d’un coup d’épaule en hennissant. Le cheval blanc, plus petit, ne demanda pas son reste et s’éloigna rapidement, se retourna fougueusement une fois arrivé à une dizaine de mètres, et s’ébrouant en secouant la tête il leur tourna le dos et sorti de ma vue au petit trot. La jument, effarouchée, s’éloigna également en galopant, faisant un grand cercle qui l’amena à quelques pas de l’orée du bosquet, où je me tenais.
Le grand étalon bai ne fut pas refroidi longtemps par cet accroc dans son opération de séduction. Après avoir poursuivi son rival pendant quelques mètres, il stoppa, et revient vers la femelle d’un pas tranquille. Les deux se retrouvèrent ainsi en face de moi, tournés sur le côté, idéalement placés vis-à-vis de mon regard. L’étalon flatta de la tête les flancs de sa promise, et je vis à nouveau son sexe se mettre à bander. Il était vraiment énorme, devait faire un bon 80 cm depuis les testicules, et fort épais. Il était très foncé, et venait régulièrement battre son ventre. Je ne pouvais détacher mon regard de ce pieu impressionnant, me demandant malgré moi si je pouvais en faire le tour de mes deux mains. J’étais dans un état d’excitation tel que ma bouche était toute sèche et que j’avais du mal à respirer. Excitée par le risque d’être surprise à reluquer ainsi des chevaux pendant leurs ébats… Excitée sexuellement, aussi : je sentais ma chatte toute mouillée, et mon ventre était en feu.
L’étalon passa alors aux choses sérieuses : prenant appui sur ses puissantes pattes arrière, il se hissa sur la croupe de la jument, enserrant son bassin entre ses pattes avant, et avança sur elle jusqu’à ce que son sexe bandé à l’extrême vienne glisser sur la croupe de la femelle, qui se tenait immobile, attendant. Alors, avec des mouvements sûrs, le mâle repositionna sa longue verge et la fourra d’un coup de rein puissant dans le vagin de la jument. Je vis ce morceau de chair impressionnant pénétrer très profondément dedans, et entendis la jument pousser un léger hennissement en réaction à cette pénétration. Je lâchai moi-même un profond et vibrant soupir d’excitation à ce spectacle, et ma main vint presque inconsciemment se glisser sous l’élastique de mon jogging pour commencer à caresser ma chatte à travers le tissu de ma culotte trempée.
J’observais médusée le grand étalon prendre sa femelle, fascinée par ce membre épais dont je ne voyais plus qu’une partie, si gros, si viril. Je sentais l’odeur musquée des bêtes, et du me faire violence pour ne pas sortir de ma cachette et m’approcher davantage. Rapidement, le rapport arriva à son terme : le mâle, juchée sur la jument, émis comme un grognement, très bas, et souffla plusieurs fois. En même temps, je vis son sexe se tendre comme un arc comme il éjaculait dans la femelle, et je ne pouvais que m’imaginer le flot puissant de liquide séminal qui devait en jaillir en grandes giclées. Peu après, l’étalon retomba lourdement sur ses pattes avant, ce qui dégagea son membre qui, bien qu’encore long, se mit à pendre sous son ventre, presque jusqu’à toucher terre. De son extrémité dégonflée s’écoulait un filet de sperme blanchâtre… Son sexe se rétracta progressivement, momentanément satisfait. Les deux animaux se tinrent là, sans bouger, comme si il ne s’était rien passé et qu’ils avaient brouté le pré sans s’arrêter.
C’est alors qu’encore tout à mon état d’excitation intense, un bruit de craquement de bois sec résonna derrière moi, me faisant sursauter et provoquant instantanément un subit frisson de peur qui me parcourra la colonne vertébrale. Je me retournai précipitamment, persuadée d’avoir été surprise en pleine voyeurisme animalier, et toute honteuse de cette attitude immorale. Mais ma frayeur retomba aussitôt : juste derrière moi, à 5 mètres à peine, me regardant fixement, se tenait le troisième cheval, le petit étalon pommelé, auquel je ne pensais plus du tout.
Je soupirai de soulagement, me leva et m’approcha doucement de lui, présentant à son museau ma main ouverte paume vers le haut. « Bonjour, mon joli » lui dis-je tout bas ; « tu sais que m’a fait peur, toi ? » dans ma voix trainait encore un certain chevrotement, dernier reste de mon excitation. Pour toute réponse, le cheval huma ma main en soufflant légèrement, et je caressais ses joues, toutes douces. Je parcouru rapidement du regard le bosquet et la clairière, encore un peu soupçonneuse… Mais non, décidément il n’y avait personne. J’étais seule. Toute seule. Enfin… seule, avec un cheval, à l’abri des regards.

La suite bientôt !
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