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Promenade en Forêt

Chapitre 3

Zoophilie
Sur le chemin du retour, mon pauvre vagabond à poils se roula en boule sur la banquette arrière et dormit sans demander son reste tout le voyage. Arrivé devant chez moi, je me garai, arrêtai le moteur et sorti de la voiture, ce qui le réveilla. J’ouvris la porte arrière et il descendit en haletant, tirant la langue. Je me dis qu’il devait être assoiffé. En ce temps, j’habitais une maison mitoyenne qui ouvrait directement sur la rue, avec un jardin à derrière. Je fis entrer mon nouvel ami, et je me rendis à la cuisine où je pris un petit saladier en inox en guise d’écuelle et je le remplis d’eau fraiche. Le chien suivait sur mes talons et manifesta son impatience en entendant l’eau couler dans le récipient. Je me baissai pour poser l’écuelle devant lui, et il se mit à laper bruyamment, longuement. « Mon tout doux, tu avais soif, n’est-ce pas ? ». En guise de réponse, il remua la queue sans s’arrêter de boire pour autant. Pendant ce temps, je me mis en quête de ce que j’allais pouvoir lui donner à manger dans mon frigo, et je lui préparai une assiette avec des restes de poulet rôti, accompagnés de saucisses de Strasbourg, le tout coupé en morceaux. Je comptais sur le fait- qu’il devait certainement avoir faim pour ne pas faire le difficile, et me dis que j’irai acheter des croquettes plus tard. Je mis l’assiette à côté de l’écuelle, et le chien passa directement de l’un à l’autre, et se mit à manger avec visiblement bon appétit mon repas.    Qu’allais-je faire de lui ? Bien sûr, toute à l’heure, encore très échaudée par mon aventure avec le bel étalon, des pensées inavouables m’avaient traversé l’esprit au sujet de ce petit compagnon à quatre pattes... Mais maintenant que du temps s’était écoulé, ce pauvre chien perdu m’inspirait surtout de la pitié. Quel être humain pouvait décider d’abandonner ainsi animal ? Mais peut-être était-il simplement perdu ? Quoique l’absence de collier sembla accréditer la première hypothèse. Je résolus de vérifier plus tard s’il n’était pas tatoué... Ce qui ne prouverait rien s’il ne l’était pas, mais enfin... le laissant finir son assiette, j’allai prendre une bonne douche, bien agréable après l’après-midi que je venais de vivre.
Je me déshabillai, et jetai mes affaires dans le panier à linge : elles exhalaient une odeur de cheval prononcée, et malgré mes précautions quelques traces du sperme de mon bel étalon apparaissaient sur le jogging comme sur le tee-shirt... Je me glissai ensuite sous le jet d’eau tiède, et sentir le liquide s’écouler sur ma peau me fit un bien fou. Je laissais l’eau tombante entrer dans ma bouche pour la recracher ensuite, plusieurs fois, pour me défaire complètement du gout amer et salé du viril animal. Je restai longtemps sous l’eau, à grands renforts de gel moussant. Fermant les yeux, je revis les images de cette scène inoubliable. Cette queue tendue, énorme et offerte à mes mains et à ma bouche. La vision de ces gros testicules rebondis depuis le point de vue du bout de son sexe, que je flattai et palpait en allongeant mes bras. Et sa jouissance puissante, bestiale... Ces évocations firent renaître en moi une excitation honteuse et bienvenue à la fois... Progressivement, une détermination se fit jour en mon esprit. Allai-je pouvoir « séduire » ce golden retriever qui m’attendait dans le salon comme je l’avais fait pour l’étalon ? J’étais toujours disposée à apporter toute l’aide que je pouvais pour permettre à ce chien perdu de retrouver ses maîtres, bien sûr. Mais s’il voulait bien que je lui donne du plaisir tant qu’il était avec moi, je n’allai pas l’en priver. J’avais déjà vu quelques vidéos et lus quelques textes sur le sujet du chien en tant que meilleur ami de la femme. Je me fis une joie de mettre ces connaissances théoriques en pratique. L’excitation sexuelle laissait tout juste assez de place dans ma conscience pour qu’une partie de moi-même m’observe avoir ces pensées, me disant en moi-même : « ban dis-donc, ma belle, te taper un cheval puis un gros chien... Tu es quand même une sacré salope ! »
Je finis tout de même par sortir de ma douche, me laver les dents et me rhabiller. Dans le salon, mon chien trouvé était roulé en boule sur le tapis, dormant profondément. Le pauvre devait surement être bien fatigué. Je le contemplais un moment : c’était un bel animal, à poils mi longs, dans les tons fauve/marron. J’avais déjà remarqué qu’il avait l’air jeune : deux ou trois ans maximum. Il dormait paisiblement, comme en attestait sa respiration lente et régulière. « Qu’il se repose bien, le pauvre », pensais-je. « Il a l’air d’être une brave bête : il mérite qu’on lui donne beaucoup d’amour ». Je le laissai et sorti pour aller faire quelques courses : des croquettes et des friandises pour chien, quelques jouets aussi, un panier en tissu matelassé à sa taille, un collier et une laisse. J’achetais aussi un produit contre les puces et tiques, et quelques produits de bains pour chien. Jenny, la caissière de la superette que je connaissais bien, s’étonna de mes achats.
— Tu as un chien maintenant ? » — En fait, j’en ai récupéré un dans le bois de Saint-Emile. Je pense qu’il a été abandonné, mais il a peut-être perdu. C’est un jeune golden retriever, si tu entends parler de quelqu’un qui le recherche, fais-le moi savoir ! »— J’adore les golden, ce sont de bons chiens... Oh comment peut-on abandonner un chien comme ça ? Ecoute je n’ai rien entendu mais ok, si jamais, je viendrais te le dire. En tout cas, je vois qu’avec toi, il va être chouchouté le chanceux.»— Oh oui, tu n’as pas idée ! J’adore apporter du bonheur aux animaux, moi !» Je prononçais ces mots en lui souriant malicieusement. — Ah oui ? Moi aussi, j’adore ça. » Après un moment d’hésitation elle dit : « C’est un point commun entre nous alors. » Elle poursuivit plus lentement en me regardant intensément « J’espère que tu récolteras de lui au moins autant de plaisir que tu lui donneras... » Elle utilisa le mot « plaisir, » et non « bonheur », et en appuyant légèrement sur ce mot, comme si elle avait voulu me faire remarquer que c’était bien celui-là qu’elle avait voulu utiliser, mais sans trop vouloir en faire non plus. Je marquais un temps d’arrêt, en faisant semblant de fouiller dans mon sac à main. Puis je rétorquai avec douceur, en soutenant son regard : « écoute, je l’espère bien. Je te raconterai, ok ? » Elle détourna les yeux et je vis ses joues se colorer très légèrement pendant qu’elle arrachait le ticket de sa caisse enregistreuse. Elle me le tendit, les yeux baissés, puis, comme je le prenais en lui effleurant la main, elle me jeta de nouveau un regard intense : « Ok, d’accord. A bientôt, alors. » — A bientôt » répondis-je, en hochant la tête de haut en bas, avec un grand sourire. Je m’en allai alors vers la sortie, mais me retournai juste au moment d’ouvrir la porte. Jenny me regardait, et se détourna aussitôt. Décidément, me dis-je, c’était ma journée. Tout me portait à croire que cette fille avait eu une intuition – très pertinente – sur cela manière dont j’apportais du « bonheur » aux animaux, et qu’elle avait voulu me tester pour voir si j’avais saisi son allusion. J’espérais bien – sans avoir guère de doute – avoir répondu positivement à son attente... Bien que plutôt hétéro, je ne me dissimulais pas quelques penchants pour les filles à l’occasion, et avait déjà eu quelques expériences de cette nature, plutôt enrichissantes, quoi peu nombreuses... Les perspectives qu’offriraient une relation avec une fille à mon goût (et elle l’était, incontestablement), et partageant mes autres penchants moins avouables pour les autres espèces me parurent si incroyablement séduisante que je résolu, par peur de la déception, de ne pas trop me faire d’illusion là-dessus. Mais je résolus quand même de revenir discuter de mon invité avec Jenny dès que possible... Sait-on jamais ?
De retour chez moi, Dick – j’avais décidé de l’appeler comme ça sur le chemin non sans humour– m’accueillit joyeusement, en remuant la queue et en émettant de petits gémissements. Je lui fis quelques caresses en lui parlant avec douceur. « Oh c’est un bon toutou, ça madame ! J’ai acheté plein de choses pour mon bon toutou, moi ! ». Il avait l’air d’avoir bien récupéré, et semblait en plein forme. Je m’étais remémoré en voiture un vieil article de conseils en relations canines que j’avais lu sur le net il y avait quelque temps. Je décidai de suivre à la lettre toutes les recommandations de cet article, bien documenté. D’abord, jouer avec le chien pour faire monter son niveau d’excitation petit à petit, en espérant que l’excitation du jeu se transforme en excitation sexuelle au bout d’un moment. A cet effet, j’emmenai Dick dans le jardin de derrière, et lui lançai une balle, vers laquelle, bien sûr, il se rua, comme tout chien qui se respecte... Je jouais avec lui pendant une bonne demi-heure, lui lançant et relançant la balle, qu’il ne me rendait pas toujours de bonne grâce, s’amusant à faire semblant de grogner quand j’essayais de lui retirer de la gueule. Je fis courir, et sauter, et courir encore. Plusieurs fois, me mettant à genoux quand il revenait vers moi, je le pris à bras le corps en riant, dans une fausse bagarre improvisée, guettant ses réactions, espérant qu’il tenterait un geste de domination, en m’agrippant entre ses pattes de devant comme pour me monter, comme font tant de chiens... Mais non, à chaque fois, il me laissait faire, et se laissa tomber au sol, sur le dos, pour offrir sa gorge à mes caresses. J’en profitais alors pour étendre mes caresses bien au-dessous de sa gorge... sur sa poitrine, ses flancs, l’intérieur de ses cuisses puissantes... J’effleurai deux ou trois fois le fourreau de fourrure où son sexe restait sagement rangé, pour, là aussi, tester ses réactions : il ne semblait pas en prendre ombrage du tout.
Ce que ce jardin avait de bien, c’était qu’il était absolument sans aucun vis-à-vis, entouré des deux côtés par des murs de briques rouge de 2 mètres de haut sur lesquels poussaient des plantes grimpantes, le fond étant fermé par le mur de derrière, aveugle, d’un entrepôt. Ainsi, je m’y sentais en pleine sécurité, sans risque que quelqu’un s’étonne de me voir jouer ainsi avec ce chien, sans retenue. Enfin, alors qu’il venait de ma ramener sa balle et que j’apprêtais à la relancer, le chien agrippa ma jambe d’appui et mima l’accouplement. Finalement, l’excitation du jeu lui agitait les hormones ! Il était temps, je commençais à désespérer. Je le laissai faire en lui disant sans crier : « Et bien, mon chien, et bien ? Que fais-tu là ? » Je me penchai pour lui gratter la tête, en jetant un coup d’œil sous son ventre pour voir s’il avait un début d’érection. Mon cœur bondit dans ma poitrine lorsque je vis un bout rouge émerger de son fourreau. Je touchais au but ! Je l’énervai encore un peu plus en jouant, puis, soudain, je fis mine de m’enfuir vers la maison en courant, et entra dans ma chambre par la porte-fenêtre. Le chien se mit à courir à mes côtés en jappant, tout excité. Je pris une vielle couverture et un dessus de lit dans l’armoire, et je continuai ma fuite vers le salon, le chien toujours sur mes talons. Je jetai le dessus de lit sur le canapé et la couverture par terre, et me remis à jouer avec Dick dans le salon, le titillant, l’agaçant... Je n’en revenais pas : tout était en place pour me permettre de passer un bon moment, toute seule avec ce chien d’amour.
Plusieurs fois, il m’agrippa la jambe pour tenter de me monter. A chaque fois, je le laissais faire quelques instants, avant de le repousser gentiment, pour parachever son excitation. L’heure était venue de vérifier si les recommandations lues sur le net étaient efficaces : je m’écroulai par terre au bord du canapé. Le chien vint près de moi, mais au lieu de m’entreprendre, il monta à-demi sur le canapé, les pattes avant sur l’assise et les pattes arrière au sol ; il recommença à balancer son bassin de manière frénétique... J’étais très excitée par la situation, le souffle court, et les gestes fébriles, mais je fis un effort pour rester maîtresse de moi. Je glissai ma main sous son ventre, pour palper son fourreau que je sentais aller et venir dans ma main au gré de ses coups de reins. Très vite, je sentis son sexe durcir et le vis émerger du fourreau, d’un beau rouge brillant. Je sentais son nœud à travers le fourreau, masse ronde très dure. Je trouvai incroyable de réussir à le faire bander si facilement ! Je caressai le bout de son sexe délicatement et je sentis sur ma paume ses petites giclées de liquide séminal. Je l’utilisai pour lubrifier ma main, et caressai sa verge, son nœud qui était totalement sorti du fourreau maintenant.
Je savais à peu près à quoi m’en tenir en théorie: j’avais déjà vu des scènes semblables, et lu sur le sujet tout ce que je pouvais trouver d’intéressant. Mais le vivre pour de vrai était tout autre chose. C’était hyper excitant, et je sentais un immense désir de sexe m’envahir les entrailles. Son sexe était de très bonne taille, dans les 20 centimètres de long nœud compris. Il était épais aussi, plus enflé vers le milieu de la partie située entre le bout et le nœud. Il se terminait par un bout presque droit, sauf en bas ou une petite partie saillait, d’où jaillissait en petites giclées régulières son liquide séminal, transparent. Dick haletait fortement, en forniquant ma main. Comme je l’avais lu, je ne serai pas ma main sur sa tige, laissant son sexe aller et venir sans contrainte... Mais je reculai lentement ma main jusqu’à ce qu’elle recouvre le nœud, que je serai légèrement, très progressivement. De suite, ses balancements de bassin se firent moins forts. Je m’allongeai au sol sur le dos, pour glisser ma tête sous son sexe, afin d’y promener ma langue. Je n’oublierai jamais la vision de son sexe entièrement bandé me surplombant, et le plaisir que je ressentis à le lécher, l’embrasser, y faire glisser mes lèvres. Dès que je relâchais la pression sur son nœud, il reprenait sa copulation de plus belle, et son sexe frottait alors délicieusement contre ma bouche d’avant en arrière. Dès que l’enserrais de nouveau, il ralentissait considérablement, me permettant alors de titiller son bout de ma langue, pour en éprouver le gout, puis de le sucer carrément. En contrôlant ainsi ses mouvements je le fis aller et venir dans ma bouche pour une fellation démente. Je sentais son liquide couler librement et s’écouler de ma bouche sur le dessus de lit couvrant le canapé. Jamais je n’ai pris autant de plaisir en suçant le sexe d’un  homme, je vous assure.
N’y tenant plus, je décidai de passer à la vitesse supérieure. Ma bouche abandonnant son sexe à regret, je me relevais et mon jean et ma culotte eurent tôt fait d’être ôtés, jetés dans la pièce, pour me laisser les jambes, le sexe et le cul à l’air, ne portant qu’un sweat-shirt dans l’idée d’éviter qu’il ne me blesse de ses griffes si je réussissais mon coup.  Le chien arrêta de forniquer le canapé dès que je relevai, et parti dans la cuisine où e l’entendis boire à grandes lampées dans son écuelle. Je me mis à quatre pattes, les coudes et le haut du corps sur l’assise du canapé, et écarta les cuisses, en espérant l’inciter à me monter à son retour. Mais quand il revint dans le salon, il se contenta de me renifler la raie, puis vient me léchouiller la figure. « Dick, Dick, oui gentil chien, mais ce n’est pas ça que je veux Dick ! » Mais il continua sa léchouille, puis, passa ses pattes antérieurs au-dessus de ma tête et recommença à agiter son bassin comme si il voulait me prendre par ce côté. Je ne résistai pas à l’envie d’y gouter encore un peu, je glissai ma tête près du bord du canapé et happai son sexe tout en lui maintenant son nœud d’une main. Cette fois-ci je dus m’y prendre mal, car il ne ralentit guère l’allure, et m’enfonça son sexe tressautant loin dans la bouche, me provoquant un haut-le cœur. En reculant un peu la tête sur le canapé, je pus heureusement rétablir les choses, et je le laissai me prendre la bouche littéralement un moment. Qu’il était viril ! Quel pied de sucer un chien ! J’arrêtai pourtant encore  la fellation et cette fois-ci je me mis au milieu de la couverture, le cul bien remonté, la tête contre le sol dans mes bras repliés. Et j’attendis.
Rapidement, mon chien perdu revint me léchouiller la tête mais je ne cédai pas, et restai sans bouger. Il émettait des petites plaintes et essayait de me prendre dans cette position en repliant ses pattes postérieures presque à s’assoir, mais ça ne marchait pas. Au bout d’un moment, il se détourna de ma tête et je l’entendis tourner autour de moi... Puis je le sentis qui me humait le derrière de sa truffe humide encore une fois. J’écartais ostensiblement les cuisses, pour l’inciter. Et soudain, ce fut gagné : il me monta sur les reins, m’enserrant les hanches dans l’étau de ses pattes. J’étais très impatiente de le sentir en moi, j’en haletait moi aussi sous l’excitation. « Vas –y, vas-y Dick, allez mon chien ! » Je sentis son sexe battre contre mon ventre et mes cuisses quand il commença à bouger contre moi. Quelle sensation ! Je passai une main sous moi, et tentai de guider son engin vers ma chatte.
D’un coup, je réussi ! Je sentis son membre gonflé et tout dur pénétrer ma chatte trempée, en m’arrachant immédiatement un gémissement de plaisir. A peine prise, je fus alors secouée par les coups de reins puissants de cet animal en rut. Il me baisait à un rythme bien plus rapide qu’aucun homme ne peut le faire et son sexe hors concours avec ceux de la gent masculine me fouillait le vagin sans retenue, provoquant des ondes de plaisir dans mes entrailles. Dès les premiers mouvements, des frissons me parcoururent le ventre et le bas du dos, et je couinai plutôt que je gémissais sous la sensation. Tout participait à mon plaisir : le poids de ce chien posé sur mes reins, le contact de ses poils contre la peau nue de mes cuisses et de mes fesses, le son de ses halètements et le souffle de la bête sue je sentais caresser ma nuque. L’interdit de cet acte sexuel avec un animal renforçait, décuplait mon désir.
Je me concentrai sur ces sensations, je voulais déguster ce moment tant attendu... Sur un mur du salon était fixé un miroir en pied, devant lequel je m’apprêtais le matin : en y jetant un regard,  je vis ma croupe, dans la position indécente de la levrette, et le corps de Dick qui la chevauchait, me sautant comme une chienne en chaleur. Je me sentis partir. Mes couinements se muèrent en râles, puis en cris comme les assauts d’un premier orgasme me secoua les entrailles. Les vagues de plaisirs me parcoururent, en faiblissant lentement pendant que le chien continuait de me pilonner sans ralentir, et je sentis son nœud venir frapper ma vulve avec de plus en plus d’insistance comme il trouvait petit à petit la meilleure position pour me sauter. Je me relâchais au maximum. Je savais ce qui m’attendais, je m’y étais préparée, j’appelai cet instant de mes vœux même. Comme son nœud était plaqué contre ma vulve, et reculai soudain mon bassin et je sentis mes chairs s’élargir pour laisser le passage à cette boule de chair. Ca y était, son sexe était en moi jusqu’à la garde : Dick cessa de remuer son bassin, et son sexe fut parcouru de palpitations. La sensation de son nœud qui grossit encore, m’élargissant de l’intérieur, et la sensation de son sexe gonflé déversant son sperme dans mon ventre en l’entendant haleter comme jamais me firent un effet dévastateur : le deuxième orgasme monta en moi très vite, et me submergea. Je tremblais comme une feuille de plaisir, expirant en gémissant avant d’inspirer à fond pour recommencer. Nos deux corps ne faisaient plus qu’un, unis par un pur, immoral et sans complexe plaisir sexuel des plus instinctifs. Petit à petit, ma jouissance se calma. Je restai sans bouger, le vagin bourré comme jamais par cette queue et son nœud. Dick se retourna alors en passant une jambe par-dessus mes fesses, pour se tenir cul à cul avec moi, sa queue toujours verrouillée en moi ressortant entre ses pattes arrière. Au bout d’un moment, son nœud avait assez rétréci pour qu’il puisse se retirer, en s’en allant boire dans la cuisine. Dès que son sexe quitta ma chatte, un flot de sperme animal s’écoula de mon vagin sur la couverture.
Je me relevai et retournai sous la douche pour me laver. J’avais fait jouir un cheval et un chien, et je n’éprouvais nulle honte, nul regret. Je me sentais fier : la reine des allumeuses d’animaux ! Et si j’étais physiquement vannée, dans ma tête je n’avais qu’une envie : recommencer.
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