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Promenade en forêt par Sophie

Chapitre 1

Trash
Nous sommes en vacances dans notre gite perdu dans la campagneDéjà presque une semaine. Pas de contrainte, personne, on vit comme on a envie, comme on l’avait programmé
Après l’épisode de la nationale qui nous a mis en appétit et encore plus libéré nos pulsions crades, cela fait cinq jours que tu me baise par devant, par derrière, que je fais vicieusement pipi et caca face à toi, sans m’essuyer, sans changer de dessous. A chaque fois, quand je faisais mes besoins, je t’appelais « Yves, mon chéri, vient, c’est urgent »Tu arrivais immédiatement la bite à la main. Là trois options : — soit tu me pinais la chatte et je te pissais dessus en même temps— soit tu me prenais le cul bien merdeux, — soit tu me regardais faire mes besoins puis tu me nettoyais la moule dégoulinante ou l’anus encore gras avec ta langue agile. Tu le fais si bien, un vrai bonheurCe vendredi de beau temps, tu m’emmènes en forêt. Tu m’as dit que tu connaissais un coin sympa pour me baiser en pleine nature en profitant de la douceur des températures. Petite promenade et plus je le sais déjà. Ça sent la pine à plein nez, au sens propre comme au figuré. J’ai une grosse envie de ta biteJe suis en jupe plissée mi longue de couleur bleue marine que j’ai remontée jusqu’au nombril. J’aime beaucoup ce modèle, BCBG, mais ultra pratique pour se faire trousser J’ai les deux pieds sur le tableau de bord, bien écartés pour t’offrir la vue que tu adores. Tu mates comme un salop ma petite culotte en dentelle blanche avec une grande auréole d’urine, de foutre et de cyprine devant et belle souillure d’excréments derrière. Tu ne la vois pas mais que tu la connais bien
Malgré la chaleur, j’ai gardé les vitres fermées pour concentrer à l’intérieur de la voiture l’odeur enivrante de sexe négligé, de baise, de merde et d’urine qui montent de mes cuisses ouvertes. Je n’arrête pas de t’exciter en fouillant sous mon slip ma fente et en suçant vicieusement mes doigts tout en te regardant. Tu quittes la route, gares la voiture dans un petit chemin tranquilleAucune vie en vue
Je retire ma culotte, la sent… C’est la même depuis samedi dernier chez nos amis, 6 jours déjà…Quel pied ce mélange de jute, d’urine, d’excréments.
Le frais et le vieux se fondent en une harmonie dégueulasseLubrique, je te la mets sous ton petit nez mutin. Ma main qui s’est égarée entre tes jambes sent ta queue bander encore plus, un vrai bout de bois. Le fumet de mon entrejambe fait toujours son effet…J’ai très envie d’être ta salope. J’ouvre la braguette de ton short, sort ta queue, les couilles et te branle un peu. Ta queue poisse
Tu sors de voiture le paquet à l’air et nous entrons dans les sous-boisLe lieu sert visiblement de toilettes naturelles. Du PQ taché traine au sol, quelques étrons frais gisentComme toujours, cela m’excite et je sens ma chatte se mouiller encore plus. Je te fais ôter ton short et ton slip que je glisse dans mon sac. Tu es si mignon avec juste ton poloJe te tiens par la bite, sale et collante de nos rapports nombreux de la semaine. Durant cette période, le seule lavage qu’elle a connu c’est ma bouche gourmande et ma langue agile.Mais comme c’était pour me la remettre aussitôt, généralement au petit, c’était un peu vain coté nettoyage
Nous pénétrons un peu plus loin dans le bois et je relève l’arrière de ma jupe pour que tu me suives à cette odeur de pise, de sexe, de cul sale que tu m’as fait connaitre, aimer et qui te fait tant banderJe m’arrête et tu te mets à genoux. Aussitôt ta tête glisse entre mes fesses pour me lécher mon anus barbouillé de nos déliresJe suis bien. Je me plaque au sol, le visage dans les feuilles mortes, les fesses en l’air, la jupe rabattue sur la têteTu te jettes sur mon entrejambe pour déguster ma fente, du clito trempé et odorant à ma raie du cul graissée de traces marrons. J’écarte mes jambes pour te faciliter l’accèsTa langue me fouille avec talent et délicatesse. Tu t’arrêtes souvent pour me humer avant de replonger dans mon intimité puante
Je n’ai qu’une grosse envie, qu’en pleine nature tu m’encules contre un arbre. Je veux ta grosse matraque dans mon cul dégueulasse mais, avant, je veux te donner un petit plaisir de plusJe me relève, ôte ma jupe et mon chemisier. Je suis totalement nue maintenant. Mes seins généreux, ma motte partiellement épilée jouent dans les rayons de soleilTu enlèves ton polo, regroupant nos vêtements au sol sur une vieille soucheJe mate ta belle queue bandée à fond, tu as rasé tout ton bas ventre et ton sexe pour cette semaine de débaucheJ’écarte les jambes et ouvre avec mes doigts les lèvres de ma chatte. Tu as compris et te mets à genouxTu fixes mon trou à pipi de tes yeux fascinésJ’ouvre les vannes en grand et ma pisse coule dans ta bouche et inonde ton visage, coule sur ton torse. Tu me regardes uriner et soudain un bruit de branche sèche qui craqueTon regard en cherche l’origine et je te vois soudain fixer quelque chose, entre mes cuissesTu relèves ton visage vers moi et me glisse tout bas : — Je vois des yeux qui fixent ton cul dans les buissons en contrebas à quelques mètres. Arrête de pisser s’il te plait Tu me malaxe les fesses et les écarte pour montrer mon anus souillé à ces yeux espions et perversTu me fais mettre à quatre pattes pour mieux exposer tous mes trous et commence à me caresser, tes doigts passant alternativement de mon bouton d’amour tout décapuchonné à ma chatte béante et trempéeTu m’informe que je me fais mater le cul comme une chienne. Pendant ce temps, de la main droite je caresse ta bite en émoiTu plantes ta queue dans ma bouche et je me régale de ton odeur de baise d’une semaine complèteJe te suce le gland, insiste sur le frein, te nettoie les couilles rasées et te lèche jusqu’à ton petit œillet sombre
Nous continuons ainsi quelques minutes pour finir d’exciter à mort celui qui nous regarde. Puis, ensemble et rapidement, nous nous nous relevons pour s’approcher de ce voyeurEn écartant les branches, nous découvrons une jeune femme accroupie, les joues écarlates, le regard fixé sur nos sexes, la culotte aux chevillesNous nous arrêtons debout devant elle, à moins d’un mètreTu m’écartes les cuisses pour me caresser le minou et le clito devant son visage fasciné
Je lui dis— Tu as l’air d’aimer ce que me fait Yves. Tu t’appelles comment ?Elle répond— MarieJe la détaille :Elle a l’air prude, décente, habillée d’une jupe plissée à fleurs et d’un chemisier blanc, un beau sac Longchamp noir à ses côtés. Elle sent bon, un parfum de luxe j’en suis sureElle n’est pas très grande, blonde, les cheveux mi- longs, des lunettes d’intello.Des seins moyens à priori, pour le reste on découvrira plus tardOn pourrait la prendre pour une oie blanche si ce n’était sa main qui ne cesse de s’activer entre ses lèvres intimes, même devant nous, signe de son intérêt pour nos pratiques et de de son excitationJe remarque que le fond de son slip blanc est bien en évidence.Je découvre avec surprise et joie la belle tâche humide et jaune sur le devant et une plus foncée au fond
Tu lui demandes — Alors ma belle, on t’a dérangée ?— J’avais envie de faire pipi et me suis éloigné de la route.Quand vous êtes arrivé et que vous avez commencé à manger le cul de la dame, je n’ai plus osé faire un seul bruit surtout que j’étais fasciné par le spectacle que vous offriezJe me demande bien pourquoi elle s’est autant éloignée de la route et s’est si bien cachée
Tu me dis : — Tu entends ça ? Elle aime nous voir nous lécher, alors, ma chérie, viens engloutir ma queue devant elle, le plus près possible, montre lui comme tu aimes sucer mes poils collés de foutre et du reste de toute une semaine, de baise intense, ma peau collante de nos jus intimesAussitôt je me penche et ma langue joue avec ces filets de jute, de cyprine, de merde séchéeTu la regarde et Marie mate ta bite et ma bouche active, fascinée par le spectacleJe m’énerve sur tes couilles. Comme moi, je sens qu’elle t’excite à mort
J’ai envie de la rendre folle, alors j’écarte mes cuisses et mes fesses pour que l’odeur de mon sexe sale et vicieux lui monte à la tête. Mon parfum puissant de chienne lubrique envahi les buissonsJe veux qu’elle vienne laper ma vulve odorante et mon trou à merde gluant. Vu l’état de son slip elle aime cela. J’en suis sure. Elle est à point, ses narines frémissent, sa langue joue sur ses lèvres.Marie craque et se jette sur ma fente, mon clito, sa langue tendue viens l’avaler et le sucer goulument, le nez dans mes effluves qui l’on rendues folles de désirJe me frotte vicieusement sur sa bouche. Elle a les yeux bleus grands ouverts, plein de désirs Elle aime ma chatte puante, remplie de mouille. Sa langue est active et le plaisir monte en moiJ’abandonne ma sucette sur ton sexe pour mieux apprécier le savoir-faire de Marie
Etant inoccupé, tel un chien en rut, tu vas lui renifler l’entrejambe— Ça sent la truie ma chérie, comme ta chatte, à peine un peu moins fortTu lui défais sa jupe, dénude sa poitrine, dégrafe son soutien-gorge et ôte son slip que tu portes à ton nez et le sent longuementTu confirmes — A l’odeur, elle est comme toi et aime les culottes souillées, comme Sylvie dimanche dernierChic on va pouvoir se faire plaisir sans tabous. On va pouvoir la rouler dans la fange de nos désirs pervers
Elle est maintenant nue comme nous. Pas mal foutue tout compte faitJolis petits seins visiblement fermes, petites aréoles claires mais superbes tétons qui bandent à mortChatte partiellement rasée, un peu comme la Sylvie des toilettes. Tout l’entrejambe est glabre, une touffe blonde bien taillée orne son mont de vénus. Ses petites lèvres dépassent largement de sa fente, lui donnant un air lubrique à souhait
Tu lui suces son bouton d’amour pendant que je guide sa langue sur mon trou du cul merdeux. Elle n’a aucun recul devant le gout d’excréments et pipi mélangés. Elle m’écarte même les fesses pour mieux me lécher. Je sens son petit gant de toilette agile me faire peau propre.
Je décide d’aller plus loin et te voyant t’activer sur son sexe j’ordonne— Marie, pisse dans la bouche d’Yvesil adore l’urine parfumée des blondesElle n’a aucune hésitation et écarte à deux mains ses lèvres sexuelles exposant son intimité secrète. Je vois venir son besoin, quelques petites gouttes puis un gros jet qui t’asperge le visage, coulant le long de ton cou, te trempant de nouveau le torse
Ça me donne envie moi aussi, je l’écarte de moi, me penche sur toi pour lécher ton visage couvert de champagne chaud et odorant puis me glisse à mon tour entre les cuisses de Marie pour boire à la source son nectar doré
Une fois sa miction finie, je la couche par terre, sur le dos, les jambes ouvertes.Je me mets en soixante-neuf et lèche sa pisse sur son pubis glabreComme m’avait prévenu Yves, elle sent comme moi, on dirait mon bas ventre, le gout du sperme en moins. Un mélange de pisse, de mouille de merde. Répugnant et délectable en même tempsElle ne reste pas inactive sous mes caresses et de son côté me dévore l’anus, continuant son ouvrageElle me lubrifie bien la rondelle, ce n’est pas sa première feuille de rose, il y a du savoir faireMon œillet s’entrouvre et sa langue darde à l’intérieur de mon boyau puant
Yves annonce — Je vais t’enculer mon amour. Je vois que Marie te prépare l’anus pour que j’y mette ma grosse matraqueTu commences par frotter ton gland dans ma raie. Notre petite salope tente de te sucer à chaque fois que ta bite passe à sa portéeJe te sens appuyer sur mon anus alors je m’ouvre avec délectation, c’est ce que je voulais depuis le début une grosse enculade merdeuse bien dégueulasseTu t’enfonces dans mon cul plein qui se retient depuis ce matin. Je soupire des plaisirs de la pénétration tout en nettoyant la chatte collante et en partie imberbe de SylvieTa queue va et viens. La langue de notre petite lèche tout le long de la hampe quand elle ressort
Mon cul est chaud et serré. Je sais que tu as senti ma merde au fond de moi car tu la pénètre et la malaxe avec ton gland qui a encore grossi de me savoir pleineJe me dilate au maximum pour que tu puisses m’enculer plus profond, mon étron épousant amoureusement ton vit souillé. Je suis bien, pleine de ta bite et mes excréments compressés, une situation amorale et dépravée qui m’exalte tantTu rentres et tu ressorts doucement, sans faiblesse, pour me prendre de toute ta longueur de ta queue maintenant bien brune et bien graissée qui s’enfonce en moi comme dans du beurre
Notre jeune amie du vice en veut plus, elle chope ton sexe souillé pour le sucer entre chaque coup de queueTu tentes de résister mais Marie t’enfonce son doigt dans ton œillet si sensible pour te faire déculer et t’attirer dans sa bouche gourmandeSes lèvres et sa langue brunissent un peu plus à chaque fois. Un coup de bite maladroit à zébré la joue gauche d’une trace de ton vit souilléTu t’attardes dans sa bouche, sa langue te nettoyant, insistant sous le gland, là où ma merdre collante et odorante se concentreTu reviens dans mon trou bien chaud et tu me défonce de plus en vite. Tu vas me remplir de foutreMarie vide sa mouille sur mon visage pendant que tu m’enculesTu viens une première fois et vide tes couilles de ton sperme bouillant dans mon conduit.
Tu restes profondément enculé en moi et je te sens doucement débander. Tu te presses même encore plus contre moi, ton pubis collé à ma raie.
Je crois savoir ce que tu veux et effectivement, soudain je sens un liquide chaud m’envahir les fesses. Je serre mon sphincter anal, retenant ta pisse qui me fait gonfler le ventre. Tu continues de me remplir, m’appuyant sur le ventre pour augmenter la tension et mon plaisir. Tu insistes encore, je n’en peux plus, j’ai l’impression d’exploserTa main vient sur ma chatte et me fouille de ses doigts habiles et fureteursTa queue regonfle et tu recommence à me pistonner, ta queue touillant mon anus plein de pisse, de sperme et de merde, montant ma mayonnaise excrémentielleJe n’en peux plus et la jouissance m’emporte dans ce plaisir fou et sale que j’aime tantJe m’écroule sur Marie en gémissant
Dans cette position la tension dans mon ventre semble moins forte et je continue à verrouiller mes intestins. C’est trop bon ce poids, cette pression. Je me remets petit à petit et reprends mon souffle. Ton sexe se retire doucement de mes entraillesMarie se branle et suce ses doigts.
Je pense que la petite Marie n’est pas si innocente que ça et décide de fouiller son sac. Je l’ouvre et découvre avec stupeur à l’intérieur deux énormes godemichés. Un rouge, pas très long, mais d’une largeur de la taille d’un bras d’enfant et un noir court et trapu. Je renifle ce dernier. Il doit souvent aller dans son cul, son odeur ne trompe pas
Je montre à Yves qui me regarde incrédule. Je demande à la demoiselle— C’est pour se faire du bien tout ça ?Elle arrête sa masturbation et nous explique, les joues rouges de honte— C’est de la faute de ma tante Christiane. Elle m’a initiée avec ma sœur Sylvie aux plaisirs lesbiens, à l’exhibitionnisme, au voyeurisme. Puis elle nous a formé à l’ondinisme, à la scato. On a découvert et prit gout aux culs sales et collants de pisse et de merde. Homme ou Femme on adoreJe viens souvent ici, cachée derrière ces buissons, je mate ceux qui viennent faire leurs petits et gros besoins. Cela couvre deux de mes pulsionsAuparavant, je me fourre mes deux godes dans les trous et remonte mon slip trop petit à fond sur mes hanches pour maintenir ces deux pines en moi. Des fois je pisse en même temps trempant mon slip. Cette perversité supplémentaire augmente mon plaisirJ’aime voir les femmes, cuisses ouvertes, découvrir leur lèvres qui s’ouvrent sous la poussée de l’urine, le pipi coulant sur leurs cuissesJ’aime tous les types de chattes, des poilues au glabre en passant par toutes les variantesDes fois, certaines se font une branlette rapide, la culotte sur les chevilles, entrouvrant leur intimité luisante de mouille, titillant leur clito, se doigtant le vagin plein de pipiCe que je préfère c’est quand elles chient.Voir leur cul s’ouvrir sous la poussée du caca pressant me fait mouiller en deux secondes
J’aime aussi les hommes qui pissent, imaginer leur queue bandée à la taille de ce que je devineCertains baissent leur pantalon et je peux visionner leurs couilles pleines et velues, leur bite pendanteDe temps en temps il y a des PD. Je les adore. Ils font semblant de pisser et l’un se tourne vers l’autre qui a le même stratagème. Ils se font face, leur sexe à la main. Ils se rapprochent. Je vois leurs queues se durcir. Puis l’un commence à caresser l’autre. L’autre l’imite et baisse son falzar et son slip. Parfois ils se sucent jusqu’au foutre ou l’un encule l’autre en le branlantAlors je me pine avec mes godes et me donne du plaisir
Tu la coupe et lui dit — Sylvie, ta sœur, j’y pense on l’a peut-être croiséeElle est châtain avec des reflex roux, solide avec des jolis yeux marron et un beau sourire ?Elle a une Clio noire, non ? — Oui c’est bien elle— C’est donc ta sœur que l’on a rencontrée dimanche dernier, j’en suis sûr. Comme toi elle faisait la voyeuse mais dans les toilettes de la nationale. On s’est occupé d’elle avec un autre couple. Elle a eu ce dont elle rêvait : du hard, du très crade. J’espère qu’elle t’a raconté ce qu’on lui a fait et le plaisir que nous avons pris— Oh oui. A peine sortie de là, Sylvie a foncé me voir. Quand ma sœur est arrivée chez moi, elle puait l’enfer et donc pour moi le paradis Elle avait juste remis sa jupe et son chemisier sans rien au-dessous. Elle m’a avoué plus tard avoir utilisé ses sous-vêtements souillés pour se nettoyer un petit peu et les avoir laissés aux toilettes de la nationale pour encourager d’autres usagers à se laisser aller à leur instinct les plus vilsElle était toute collante de vos jeux de pisse et de merde. Ses yeux étaient sans équivoques : comblés, plein de vices assouvis. Je n’ai pas pu résister et l’ai couchée direct sur le carrelage de l’entrée en refermant à peine la porte. J’ai ouvert sa chemise, troussé sa jupe, ouvert ses cuisse en grand.et foncé direct à la source fétide et irrésistible de son entrejambe souillée. Dommage que ma tante Christiane n’ai pas été là. Elle aussi aurait été comblée. J’ai pris mon temps pour le sentir puis le laver de ma langue pendant qu’elle m’expliquait sans omettre un seul détail ce qu’elle avait vu et ce que vous lui avez fait subir. Elle m’a avoué que cela a été le plus grand pied de sa vie et que vous êtes des vrais experts en trucs dégueulasses. J’ai joui rien qu’en lui faisant toilette et en écoutant son récit, sans même qu’elle me touche Depuis ce soir, je rêvais de vous rencontrer pour avoir droit moi aussi à du sordide crade. Je me suis préparée la moule comme ma sœur me l’a indiquée. Cinq jours qu’elle baigne dans son jusIci c’est en réalité un coin chaud et qui est tout prêt des toilettes de la nationaleQuand je vous ai vu arriver j’ai pensé que ce pouvait être vous. Je me suis dissimulé et je vous ai laissé commencer à vous sucer puis vous pisser dessusConnaissant vos goûts, cela m’a convaincu que ce ne pouvais être que vousJe me masturbais en vous regardant. Puis pour attirer votre attention j’ai volontairement cassé une branche sècheLà, je ne me suis pas cachée et que je me caressais ouvertement devant vous, les doigts dans la mouleJ’avais mis en évidence ma culotte tachée de pisse et de merde sur les chevilles, pour vous exciter à fond et vous faire comprendre que j’aime le sale, comme vous— J’imagine mieux à présent tes goûts Marie.Recommence à te branler on va s’occuper de toi comme tu en as envie, jolie petite perverse !
Je te glisse à l’oreille ton plan lubrique. C’est sûr, comme sa sœur, elle va se souvenir de nous ! Et tu ordonnes— Marie, remet ton slip et ton soutien-gorge, on a un nouveau jeu qui va surement te plaireSophie vient de l’imaginer, même Sylvie n’y a pas eu droitElle s’exécute et réajuste son soutien-gorge enveloppant blanc et son ample culote qui la serre.Tu glisses ses vêtements sous ses fesses pour rehausser son bassin et mieux avoir accès à ses trous
Je sais qui tu adore deviner à travers le tissu les doigts des filles jouer dans leur motte d’ailleurs tu lui dis sans détour — Marie glisse tes mains dans ton slip et branle toi fort ! Elle s’exécute avec plaisir et sitôt son bas remis, ses menottent se glissent avec frénésie dans sa chatte trempéeTu t’empares de mon sac et ressort la cordelette que l’on a acheté tout à l’heure pour réparer le fil à linge cassé de notre gite ainsi que le couteau Suisse qui est toujours làTu coupes quatre bouts de corde et tu attaches les bouts d’un arbre à chacun de ses membres, formant ainsi une croix perverse, impudique.Marie est offerte à nous comme une déesse païenne et lubriqueTu prends ses godes et les poses à côté d’elle. Elle nous sourit toujours, les yeux plein d’envies vicieuses
Je découvre ses seins, ses tétons bandent et je les pince. Marie gémit Tu viens et t’accroupis au-dessus de sa poitrine. J’écarte tes fesses pour qu’elle puisse tout voir. Ses yeux brillentTon œillet s’ouvre et un énorme étron gluant et mou tombe sur un sein. Je remets le bonnetTu passes de l’autre côté, idem, même merde puante que je couvreJe commence à lui malaxer la nouvelle garniture chaude et collante. Tu te glisses au-dessus de sa têteTu t’assois sur son visage et te frotte sur ce dernierJe vois sa langue s’activer pour gouter à ce qui pend de ton anus.
Je lui branle les nichons, sentant à travers la toile fine la purée qui la couvreTu tends ma queue vers moi et je commence à te sucerTa bite est bonne, gout de sperme, de vice, de merdre, comme j’aimeTu rebandes vite sous l’effet de mes caresses buccales
Mon ventre plein se rappelle à moi et je mets à exécution notre plan. J’abandonne donc ma pipeJ’abaisse le devant de la culotte de Marie, découvrant à nouveaux ce superbe con ouvert, aux lèvres saillantes Je m’accroupis juste au-dessus de sa fente et vide enfin de ce qui encombre mon fondement. Le contenu de mon rectum, ma mayonnaise anale remplit complétement son slip. Une pensée nouvelle et totalement dégueulasse me vient,Je vous abandonne pour un court instant et retourne vers la voiture et saisis trois étrons laissés par des chieurs précédents. Je reviens et les rajoute à ma merde, un entre les fesses, deux sur sa chatte. Je referme le tout et commence à lui malaxer ce contenu. Le chaud et le froid, le dur et le souple….Tu me regarde en souriant, ta bite est sur le point d’exploser à la vue de ce que je viens de faireA travers le tissu, mes doigts lui remplissent la chatte, lui fourrent la raie.Je la branle à travers sa culotte souillée qui a viré au marron dégueulasse
Tu te relèves, ton sexe dans une érection de béton, et prends ton couteau. Tu incises le devant de son slip, juste de quoi passer ta bite gonflée dans cet antre chaud et merdeux sans que tout ne couleTu t’allonges sur elle et glisse ton vit par le trou dans sa chatte embourbéeJe te remplace, mon sexe sur la bouche de MarieTu m’explique — Que c’est bon de la profaner ainsi, ma queue est si bien dans son vagin merdeux. Elle voulait du sordide, elle est servie. Je n’avais jamais osé te le faire mon amour.Il y a eu sa sœur dans les toilettes de la Nationale, puis aujourd’hui MarieNous sommes vraiment vernis pour ces vacances alors là j’en profite à fond Marie ne me lape plus, tout à son bonheur. Je me soulève, tourne la tête et la regarde. Ses yeux sont fermés, sa bouche ouverte et elle halète en gémissant de bonheur
Tu la pilonnes longuement, tu ne vas pas jouir rapidement puisque tu déjà éjaculé une foisUn peu du jus de mon cul suinte des élastiques qui serrent ses cuisses fermesPour amplifier son plaisir, je lui masse les seins à travers les bonnets garnis au caca de son soutien-gorge. Tu annonce— Je vais l’enculer maintenant, son con est trop ouvert, il me faut du plus serré Tu te redresse et je vois son bas ventre maintenant tout marron de ma purée qui a débordé sous tes assauts
Tu te retires et je te vois tâtonner pour trouver l’entrée étroite et délicieuseTu passes à coté et ta queue glisse dans sa raie grasseTu m’expliques qu’elle serre les fesses pour mieux te branler et que c’est divin. Quelle salope !!Tu en profite et fais de nombreux allers et retours entre ses fessesTu te redresses et cette fois tu la prends au petit, direct, d’un seul coupMarie crie une fois puis ses gémissements reprennent, plus forts, plus rapidesTu t’actives comme un fou dans son rectum serréJe glisse une main dans sa culotte pleine de nos matières, c’est chaud, gras, pervers de la branler comme une truie dans sa fange pendant que tu l’enculesJe lui triture le clito, le roule, le pince. Marie couine pour de bon. Elle jouit dans un feulement
Mon chéri continue de lui baiser le cul sauvagement. J’ai une idée pour mieux te comprimer la bite. Je saisis le gode rouge et tu te recules un peu pour me donner accès à son trou.Je soulève son slip pour profiter du spectacle : dégradant à souhait, son bas ventre n’est plus qu’un fumier d’où les lèvres de sa chatte ressortent et baillent laissant voir son vagin rempli de nos immondices. Ta pine qui s’active dans son anus ne se distingue plus que par ses mouvementsJe prends le phallus artificiel et l’enfonce d’un long geste continu. Sous la pression du monstre, de la purée marron sort sur les côtés. Je pousse encore, tout rentre, je rabats sa culotte souillée et maintient ma main dessus pour qu’il ne puisse pas ressortir Tu me dis que là, tu es serré comme jamais, que le gode te comprime le gland et la hampe et que tu vas venir rapidement. Ton souffle s’accélère, celui de Marie aussi et, à l’unisson vous gueuler votre jouissance bestiale
Tu te retires et vas directement à la bouche de notre petite salope. Elle n’en peut plus, mais fait son travail docilement, nettoyant consciencieusement ton sexe pestilentiel. Le contraste de sa langue rose sur ton chibre marron est touchant de tant de dépravation. Ses lèvres sont barbouillées de traces brunes qu’elle ne peut essuyer
Je décide de l’achever et saisis la bite en plastique qui reste. Elle va être prise par ses deux compagnons habituels. Je baisse son slip le plus loin possible compte tenu de ses jambes ouvertes.La vue de ce sexe ouvert et offert, maculé de nos débauches, l’odeur indescriptible et enivrante me fascinent toujours autant, Le godemiché qui fut rouge est toujours à sa place, juste un peu ressortiL’œillet de son anus palpite et baille encore de la pénétration subie.J’y glisse le membre noir à fond. Il y a une entaille en bas pour que le sphincter puisse le retenir bien au fond de son trou.Je la travaille de ses deux godes, parfois alternativement, parfois en même temps. Ses gémissements reprennent de plus belle et en deux minutes, ses yeux chavirent et elle explose de nouveau sans retenue
Je lui remets sa culotte, remontant les élastiques des entrejambes. Je me saisis du reste de cordage, le divise en deux, fait quatre nœuds sur une longueur de quinze centimètre. Je prends la ceinture de sa jupe, la serre bien Je lui passe entre ses fesses souillées mon petit équipement et l’attache fermement au ceinturonVoilà, ses godes ne pourrons plus bouger, maintenus au fond de sa chatte et de son anus merdeux
Elle est belle, attachée, en croix, offerte, les orifices pleins, ses dessous souillée. Ça donne presque l’envie d’y retourner…
Qu’allons-nous faire d’elle ?
Au loin des bruits de pas et soudain un chien arrive. C’est une superbe et énorme bête arlequin, un mâleSon maitre ne doit pas être loinD’ailleurs une grosse voix d’homme se fait entendre— Jean Claude, le chien, tu es où ?Nous prenons immédiatement la décision de laisser Marie ainsi attachée, livrée à la personne qui va arriver et filons à toute vitesse avant que le nouveau venu nous surprenne.Si celui-ci veut se faire une petite minette ligotée, pleine de pisse, de foutre et de merde, il va être comblé…Si c’est un couple avec une mamie, elle va être outrée et surement troublée, voire excitée par la scèneNos imaginations s’affolent tandis que nous rejoignons la voiture en nous rhabillant
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