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Promenons nous nues dans les bois

Chapitre 3

rencontre nocturne (partie 1)

Hétéro
Je suis dans mon sous-sol, complètement nue, à quatre pattes, sur le matelas qui est étendu devant la télévision. Je suis prise en levrette par deux hommes dans le début de la vingtaine. L’un pilonne avec force mon petit cul alors que l’autre utilise ma bouche comme un vulgaire trou. Je sens le plaisir monter, la jouissance arrive...
— Léa ! Léa ! Allez ! Réveille-toi !
Cette voix me sort, malheureusement, de mon rêve qui était plutôt agréable et me ramène rapidement dans la vraie vie. Tranquillement, déçue de me réveiller, j’ouvre les yeux. Francis est dans ma chambre vêtu d’un simple boxer. Pour ma part, j’étais par-dessus les couvertures, couchée sur le ventre, toujours dans mon kit de course et je sentais la boule en moi.
— Il est quelle heure ?
— Dimanche matin 7h Am. Tu as dormi 15h de temps. Tu étais crevée, faut croire.
— Effectivement, la course m’a vidée. (Les images de l’homme qui pénétrait ma gorge me reviennent en tête.)
— Allez ! Lève-toi ! Tu te rappelles pas ? Maman et papa partent en voyage pour une semaine; viens au moins dire au revoir.
— J’arrive...
Il sort de ma chambre. Quelques instants pour me réveiller; puis je me lève, et m’installe devant le miroir. Je retire mes vêtements de sport et sous-vêtement. J’observe mes seins ronds aux mamelons pointés. Je les caresse de ma main gauche alors que ma main droite glisse vers ma petite chatte épilée. J’y glisse deux doigts à l’intérieur et tranquillement, je retire la boule qui était insérée depuis pratiquement une journée. Un soupir m’échappe. Je la dépose sur mon bureau, puis récupère ma robe de chambre en satin noir qui était au même endroit et l’enfile.
Je sors de ma chambre et me retrouve face au salon de mon sous-sol. Quelques flashs rapides de mon rêve. Qui pouvait bien être ces deux garçons ? Après quelques instants de réflexions, je monte les escaliers et vois mes parents, valises à la main. Des câlins et quelques indications, bien que moi et mon frère avons respectivement 18 et 19 ans. Pas de partys, pas plus de 2 amis en même temps, dormir, bien manger, etc. Après leurs blablas annuels, mes parents nous quittent, laissant la maison libre pour moi et mon frère pour une semaine. La paix quoi ! Mon frère se rend immédiatement au sous-sol pour aller jouer au Xbox. Pour ma part, je le suis au sous-sol, mais poursuis mon chemin et je retourne dans ma chambre pour y passer la journée sur mon ordinateur portable.
17h00 sonne, je décide donc de préparer une fondue pour moi et mon frère. Depuis quelques années, le premier soir des vacances de nos parents, j’avais pris l’habitude de faire cela. Lors de ce souper, mon frère et moi nous mettons d’accord sur l’horaire de la semaine. Depuis 2 ans, ses amis qui ont des permis de conduire et autos viennent passer la semaine à la maison et me déposent aux endroits voulus. En échange, je dois faire des concessions. Cette année, je dois faire le ménage de toutes les pièces, incluant sa chambre (quel bordel !), les repas pour lui et ses amis, en plus d’accepter que ses amis soient présents toute la semaine. En échange, ils iront me porter à mon job, au sentier pour aller « courir », et iront chercher ma meilleure amie quand je vais demander. Le souper se passe bien, les bouteilles de vin se vident l’une après l’autre si bien que je sens la chaleur monter jusqu’à mon visage.
20h30, le repas est terminé depuis un bon moment déjà quand la sonnette de la porte retentit. Je me lève de ma chaise et me dirige vers la porte avec une démarche d’une fille éméchée par l’alcool. J’ouvre la porte ! Jonathan et Maxime, les deux amis de mon frère sont là. Un flash soudain ! Ce sont eux, les hommes dans mon rêve. Je me sens rougir. Voulant éviter le malaise, je fais rapidement les salutations d’usages et je les fais rentrer. Les trois garçons se dirigent dans le sous-sol pour leur classique soirée de « gaming ».
Pour ma part, je retourne dans ma chambre, retire mes vêtements pour ne garder que mon petit string mauve assorti d’un soutien-gorge plongeant de la même couleur, pour ensuite me glisser dans mes couvertures. J’entends les garçons crier dans le salon du sous-sol qui est adjacent à ma chambre. Ils parlent de tout et de rien. Je finis par me mettre une série sur Netflix et je n’entends plus que les bouteilles de bière qui se cognent souvent l’une contre l’autre. A 21h30, mon cellulaire vibre ! Numéro inconnu. Mon cœur se contracte !

— Salut petite salope, j’espère que tu m’as donné le bon numéro !
A ce message, mon interlocuteur inconnu y a joint une photo ! Une photo de moi à genoux et nue, dans les bois. Mon entrejambe s’humidifie instantanément ! Le sentiment de salope soumise qui se développe en moi me rend folle et incontrôlable. Sans réfléchir, je retire ma couverture et prends une photo de moi, couchée sur le ventre en exhibant mes fesses bien rondes et montrant mon plus joli sourire. Je joins cette photo au message.
— Bonjour Monsieur. :)
Rapidement, une réponse suivit ! Une nouvelle photo est jointe ! Cette fois, une photo de mon inconnu, complètement nu, son torse bien défini et son gros sexe bandé en valeur. Une petite note dans le bas : 22h30 au sentier, en sous-vêtement ! Ceux que tu portes ! Ne réponds pas, mais sois présente !
Merde, le sentier est trop loin pour y aller à pied, je dois convaincre Maxime ou Jonathan d’aller me porter. Je mets un petit jean bleu clair et un petit chandail en laine mauve, et je quitte ma chambre à la recherche de mon conducteur. Maxime n’était pas avec mon frère et Jonathan. Il devait être à l’étage. Ce sera donc lui, ma cible. Je prends les escaliers en passant la main dans mes longs cheveux pour me donner un petit style décoiffé. Je localise ma cible face au réfrigérateur, probablement à la recherche d’une nouvelle bière. Cela ne sera pas trop difficile de me convaincre, ce jeune homme de 23 ans est très joli. D’autant plus que j’aimerais bien réaliser mon rêve de cette nuit. Quoi qu’il en soit, Maxime est très massif, des cheveux noirs, peignés vers l’arrière, s’harmonisent parfaitement avec ses yeux bruns foncés et sa barbe.
Je sors mon attitude de charmeuse et je m’approche rapidement de lui, le contourne en glissant ma main dans le dos et me penche devant lui pour récupérer sa bière qui est sur la tablette du bas. Je prends bien mon temps pour qu’il puisse mater. Je me recule légèrement et appuie mes fesses sur son entrejambe avant de me relever. Je fais rapidement demi-tour en lui tendant sa bière. Je suis à quelques centimètres de son visage. Je peux voir son visage démontrant une incompréhension totale face à mon comportement. Il prend un instant et récupère la bière. Un léger merci, ce à quoi je lui réponds par un beau sourire.
— Hey maxime, j’irais prendre une marche, mais le sentier est trop loin pour y aller à pied, tu voudrais bien aller me porter ? (dis-je, accompagnée d’une face piteuse)
— A cette heure ? Il est tard et je n’ai pas tellement le goût de conduire.
— Allez, s’il te plaît, ça me ferait vraiment du bien, j’ai des problèmes avec mon copain. J’ai besoin de ventiler. Tu sais, j’ai fait des concessions à mon frère pour me faire « lifter » toute la semaine par toi et Jonathan.
Il prit un instant. J’ai alors vu, dans ses yeux, une idée germer. Son visage revint sérieux avec un léger sourire en coin. Pour ma part, je n’avais qu’une envie, me faire prendre par mon inconnu le plus rapidement possible, quoi qu’il en coûte.
— Tu sais, moi ça ne m’apporte rien tes concessions. Et je vais devoir t’attendre pendant combien de temps ? 30 minutes, 45 minutes, 1 heure ? D’autre part, quel genre de problème tu as avec ton copain, sans être indiscret bien sûr ?
— Le genre...de problème intime, lui dis-je, en baissant la tête, et environ 45 minutes, le temps que je fasse la piste à la marche. Au pire, je pourrais aller marcher toute seule et après on fera une marche ensemble et on déterminera la compensation ?
— D’accord ! Comme je suis un bon gars, je vais aller te porter. Et je suis partant pour la marche.
— Tu es le meilleur !
Je dépose mes mains sur son torse et lui fais un bisou sur sa joue. Quelques secondes d’intimités et je quitte la porte d’entrée. Je crie à mon frère que je le quitte pour une heure ou deux, et que Maxime va me conduire. Nous quittons donc la maison : direction, le sentier. La route se passe normalement, sans grande discussion, et rapidement nous voici arrivés au sentier. Maxime me dit qu’il viendrait me rejoindre dans les bois dans 45 minutes.
Pour ma part, après avoir accepté, je quitte rapidement l’auto et me dirige dans le chemin boisé. Une fois que je ne vois plus le stationnement, je m’arrête près d’un banc qui longe le chemin. Je retire chandail et jean pour ne garder que mes sous-vêtements et mon cellulaire dans ma main. Je dépose le tout sur le banc puis poursuis mon chemin vers le sentier qui fait le tour du lac. J’y arrive finalement. La lune se reflète sur le lac augmentant la luminosité. Il est 22h20. La nuit est d’un silence absolu. Seulement, les pas d’une jeune femme pratiquement nue, prête à se faire démonter brisent ce silence. Je marche sans trop savoir où aller. Je regarde à gauche et à droite en avançant tranquillement. 22h30! Mon cellulaire vibre.
— A genoux ! Attends et ne bouge plus, quoi qu’il arrive ! Maintenant !
Mon cœur se met à battre rapidement. Je mouille à nouveau ! J’obtempère sans hésiter ! Je suis sur mes genoux, en sous-vêtement, la nuit, en plein milieu d’un sentier de sable et j’attends un homme que je ne connais pas pour me faire soumettre. Je suis une vraie salope ! Sur cette pensée, deux mains surgissent de l’arrière, saisissent mon cou et le serrent à m’en faire voir des étoiles.
— Bonsoir petite chienne ! Je suis content de te voir.
A suivre ;)
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