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Promenons nous nues dans les bois

Chapitre 4

Rencontre nocturne (partie 2)

Hétéro
Remise en contexte : Je suis sur mes genoux, en sous-vêtement, la nuit, en plein milieu d’un sentier de sable et j’attends un homme que je ne connais pas pour me faire soumettre. Je suis une vraie salope ! Sur cette pensée, deux mains surgissent de l’arrière, saisissent mon cou et le serrent à m’en faire voir des étoiles.
— Bonsoir petite chienne ! Je suis content de te voir.— Bonsoir Monsieur, dis-je péniblement le souffle coupé par ses mains.— Main dans le dos ! Maintenant !
Rapidement, mes mains furent attachées dans mon dos. Mon inconnu me place la face dans le sable, mais m’ordonne de maintenir mon cul levé. J’obéis. Je sens un morceau de métal passer sur ma cuisse puis sans prévenir, mon string est coupé. Sans même comprendre qu’est-ce qui se passe, je sens un liquide couler entre mes fesses.
— Serre un peu les dents !
Sans autre avis, un jouet force mon anus et s’engouffre rapidement. Un cri de surprise et douleur rompt le silence de la nuit. Quelle sensation étrange !
— Hum !! Pour un petit cul vierge, tu viens de prendre un plug de 20 centimètres comme si de rien n’était. J’ai déjà hâte d’y plonger ma queue.
Je ne parvenais pas à bouger ou parler. La sensation était trop forte ! Mon souffle était coupé. L’homme me saisit les cheveux, me releva légèrement la tête pour placer un pénis en plastique devant ma bouche avant de pousser à nouveau ma tête vers le sol. Sans autre choix, j’ouvris la bouche et me retrouvais avec ce faux pénis profondément dans ma bouche.
J’entends quelques flashs d’appareil photo et le rire de mon amant, visiblement satisfait de ses clichés avant de le sentir se déplacer derrière moi. Il était à genoux derrière moi. La pénétration arrivait. Je gémissais d’envie. Son gland n’eut même pas le temps de toucher mes lèvres, qu’il avait déjà donné un puissant coup de reins. Un puissant cri de ma part brisa à nouveau le silence.
La pénétration était violente. Chaque coup me faisait gémir et crier de plus en plus fort. Il n’y allait pas de main morte. Par moments, il appuyait sur ma tête simplement pour m’entendre m’étouffer avec le pénis en plastique. Il était sadique. J’adorais ça. Après plusieurs minutes à me faire baiser en levrette, il s’est retiré. Épuisée, je m’effondre au sol. Complètement étendue sur le sol de sable et de roche, mon homme tire, sans avertissement sur le plug pour le retirer. Une nouvelle fois, je crie avec force. Il coupe les liens qui retenaient mes mains.
— Si tu en as eu assez, tu peux partir, sinon retire le dildo de ta bouche, mets-le dans ton vagin et viens asseoir ton cul sur mon sexe.
Comme une bonne soumise obéissante, je place mon jouet dans mon vagin qui était déjà complètement ouvert. J’approche mon amant qui est étendu au sol, attendant que je m’empale sur lui. Je place mes genoux de chaque côté de lui et plonge mon regard dans les yeux de l’homme. Je vois son désir et son agressivité. Je descends tranquillement, son gland appuie sur ma rondelle, déjà ouverte. Mes mains appuyées sur son torse poilu, je glisse le long de ce gros membre. Une fois arrivée au bout, je prends quelques instants pour respirer.
— Tu es tellement serrée! Allez bouge, sinon je te détruis le cul petite chienne.

Voulant quand même contrôler ma douleur, je commence moi-même les mouvements de haut en bas. Je gémis et la douleur est rapidement transformée en plaisir. Plus je bouge, plus je prends plaisir. L’homme prend visiblement autant de plaisir. Ses mains sont sur mes fesses et m’aident à bouger. La sodomie est mon nouveau plaisir. Plus jamais je ne vais m’en passer. Durant cette première sodomie, je jouis 3 fois. Après la dernière, je n’ai plus d’énergie. Mes mouvements commencent à être moins rapides.
Mon amant me pousse vers le haut et sort de mon cul. Je retombe à genoux. Rapidement, il se lève et commence à se masturber devant mon visage. Avec les dernières gouttes d’énergie qu’il me reste, je tire la langue et saisit ses couilles. Il n’en fallait pas plus pour que sa satisfaction touche le sommet.
— Je vais venir salope !
Une quantité de sperme, encore plus importante que lors de notre première rencontre, sortit de son sexe. Mon visage, ma langue et ma bouche furent inondés.
— Allez, un beau petit vidéo. Prends le pénis en plastique et utilise-le pour amener le sperme à ta bouche.
Je retire le jouet de mon vagin complètement trempé et l’apporte initialement à ma bouche, seulement pour faire encore plus ma salope. Je le suce quelques instants avant de commencer à me servir de celui-ci pour amener toute la semence à ma bouche. En ouvrant les yeux, je constate toute la satisfaction de mon amant. Il arrête sa vidéo.
— Wow ! Tu es vraiment incroyable. Tu peux garder le plug et le dildo. Je garde tes sous-vêtements. Retire ta brassière et donne.— Bien sûr maître. C’était vraiment bon ! J’ai vraiment aimé l’avoir dans le cul ! (dis-je en retirant ma brassière)— Tant mieux ! Regarde tes messages dans les prochains jours !
En disant cela, il quitte mon champ de vision, me laissant seule, au milieu du sentier de sable, à genoux, du sperme au visage, complètement nue.Je pris une bonne dizaine de minutes avant de me relever. Je marche tant bien que mal jusqu’au banc où j’avais laissé mon linge. Arrivée au banc, mes vêtements n’y étaient plus. Seulement une note.
— Tu sais si bien te servir de ton cul, utilise-le pour retourner chez toi ! Ton conducteur devrait apprécier. Signé : Ton maître.
En finissant de lire la note, je me lève la tête et j’aperçois Maxime qui s’amène dans le sentier. Complètement nue, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir lui dire.

À suivre ;) xx
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