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Promotion à la chaîne

Chapitre 2

Pacte avec le Diable

SM / Fétichisme
Comme je vous le disais, je venais de signer un pacte avec le Diable. Au moment où je déposai le stylo sur le bureau et me redressai, la scène vrilla au cauchemar. Ma patronne ôta sa ceinture qu’elle plia en deux. Elle m’assena alors un premier coup de cuir bien claqué sur les fesses et me demanda alors si j’avais eu mal. Ayant été un peu surpris par le coup et sans comprendre ce qui venait de se passer, je lui répondis par l’affirmative tout en lui demandant la raison de son geste.— Je vous ai dit de vous tenir droit, me dit-elle en ignorant volontairement ma question. Vous voulez avoir l’air de quoi ?Je sentis une vague d’humiliation monter en moi. Elle fit un nouveau tour de ma personne, posa sa main sur mon dos et la fit glisser sur mes épaules en les tâtant pour vérifier la fermeté de mes muscles, un peu comme une bête au marché.— Retirez votre veste et déboutonnez votre chemise, m’ordonna-t-elle !J’étais un peu embêté car je savais que des auréoles de transpirations étaient visibles sous mes aisselles. Cependant, au vu de la transformation de ma patronne en un être cruellement maléfique, je préférai ne pas la contrarier à nouveau et obtempérai rapidement. Tandis que je m’exécutais, elle me demanda quelle était la principale rumeur circulant sur elle. Je me demandais alors quelle était la bonne réponse. Cette femme me faisait de plus en plus peur. Ses yeux me fusillaient du regard en attendant ma réponse. Si celle-ci ne lui convenait pas, je serai probablement puni et si je répondais correctement, elle me le ferait probablement payer également. J’avais quand même décidé de jouer la carte de l’honnêteté tout en lui dévoilant mes épaules et mon torse.— On vous dit autoritaire et sadique, Madame !— Exactement ! Et je m’en délecte. Et maintenant définition d’un sadique, Siccard, m’interrogea-t-elle en me frappant à nouveau le postérieur de sa ceinture ?— Aïe... Un sadique prend du plaisir à faire souffrir les autres, lui répondis-je en posant mes mains sur mes fesses par réflexe.— C’est effectivement le cas. Je te propose donc de promouvoir ta place ici par la soumission. C’est ça ou tu dégages, me proposa-t-elle en me frappant les mains de sa ceinture.Je baissais la tête, repensais au contrat et répondis, renfrogné, tandis qu’un nouveau coup me martelait les mains, ce qui m’obligeai à les ôter sous la douleur.— Je tiens à ma place alors... oui... Et puis j’ai signé...Lorsque je finis par marquer mon acceptation, elle lâcha sa ceinture au sol et passa derrière moi. Elle attrapa alors mes fesses dans ses mains, ce qui me fit sursauter n’étant pas habitué à ce genre de gestes au travail, et me planta le décor de ma nouvelle situation.— Toute bonne attitude mérite une récompense. Toute faute une sanction. À partir de maintenant, au bureau c’est Madame, mais entre nous ce sera Maîtresse. Perchée sur ses talons, elle était quasiment aussi grande que moi. Elle se ficha derrière moi et je la sentis humer mes cheveux. Elle en profita pour me chuchoter quelques mots à l’oreille.— Je t’aurais bien pris comme assistant de direction, mais ce n’est pas ta branche. Quel dommage de ne pas pouvoir profiter de ce cul à ma guise...Elle laissa cette phrase en suspens de l’air et se délecta de cette idée quelques instants. Puis elle se détacha de moi et reprit son sérieux.— Reculez de deux pas, s’il vous plait !— Oui... Maî...tresse, hésitai-je de par cette situation inhabituelle.J’osai quand même une proposition.— Si vous le souhaitez, je peux faire un bilan de compétence et faire une réorientation professionnelle. Je souhaite juste continuer de travailler ici. J’aime vraiment cette boîte.Elle passa devant moi et posa ses mains sur mon torse. Ses ongles glissèrent dessus en appuyant légèrement pour identifier mon degré de marquage. Elle continua en me pinçant les tétons de plus en plus fort afin de tester ma résistance à la douleur. Cependant, ces mains parcourant mon buste et ces doigts tirant sur mes tétons, au lieu de me déranger, commencèrent à m’exciter. J’en fus le premier surpris mais un léger afflux de sang commença à parcourir les veines de mon membre viril, lui faisant prendre un peu d’épaisseur dans mon caleçon, que je tentai, tant bien que mal, de masquer. Ma patronne continua de doucement me torturer jusqu’à ce qu’un petit cri de douleur ne jaillisse de ma bouche.— Plutôt une bonne résistance. C’est plutôt un bon point pour vous, me félicita-t-elle en détaillant les contours de mon visage avec son doigt.Je souris intérieurement en me disant que j’avais réussi mon premier test, même si la situation m’était assez compliquée à vivre et que je savais que je n’avais probablement pas encore appris ce qu’était la douleur avec elle.— Comme vous l’avez remarqué, je passe mes entretiens dans le bureau de la DRH, continua-t-elle. Mon bureau sur la mezzanine est en travaux. Et vous savez pourquoi ?
Pensant que la question était purement rhétorique et qu’elle allait continuer, je ne répondis pas.— Siccard ! Je vous ai posé une question. Alors on répond. On ne vous a jamais appris la politesse ?— Euh... Si... Désolé..., bafouillai-je. Non...— Votre réponse est oui ou non ? Vous n’êtes pas clair.Madame Valoris avait l’art de me déstabiliser. Je sentais ses yeux verts pénétrer mon âme tant son regard était puissant. Son teint plutôt pâle lui donnait un air froid qui accroissait ce sentiment de malaise. J’essayai de me dépatouiller comme je pouvais pour me rattraper. — Oui on m’a appris la politesse... et non je ne sais pas pourquoi vous faites des travaux, lui rétorquai-je embarrassé.— La prochaine fois, répondez plus vite sinon vous serez puni, m’avertit-elle avant de continuer. Alors mon bureau va être agrandi pour prendre la totalité de la mezzanine. Il y aura mon bureau, celui de mon assistante, ou assistant tout dépend des personnes motivées. Ce deuxième bureau serait uniquement séparé par une cloison en verre et une pièce supplémentaire. La seule indication que le moindre client ou employé aura sera le panneau "Privé". Cette pièce sera toujours fermée à clé et sera en réalité ma pièce, si tu vois ce que je veux dire.En terminant sa phrase, elle me fit un clin d’œil en me pinçant à nouveau les tétons. Elle adapta progressivement la pression à mon seuil de douleur, ce qui me fit grimacer, tout en remarquant que sous ma taille une bosse se formait. J’étais à peu près certain que le constater la faisait jubiler intérieurement mais elle n’en montra pas davantage.— Je pense... que je vois... très bien... ce que vous voulez dire, Maîtresse, répondis-je en tentant de cacher mon ressenti à la douleur.Je tentai tant bien que mal de faire redescendre l’excitation de mon pantalon mais je fus surpris de constater à quel point c’était compliqué. Ma nouvelle Maîtresse en profita pour carrément planter ses ongles dans la chair de mon torse et me lacéra jusqu’à la bosse de mon entrejambe. Je ne voulais pas crier, même si la douleur était impressionnante, voulant garder le peu de fierté qu’il me restait.— Tu vas être ma pute à moi et tu vas faire absolument tout ce que je te demande. Ok, me menaça-t-elle en défaisant ma ceinture et en déboutonnant mon pantalon ?Elle fit descendre mon boxer en même temps que mon chino afin de libérer mon membre bien tendu sans que je n’esquisse le moindre mouvement de recul. Tenant à mon service trois-pièces aussi bien qu’à mon poste, je lui répondis par l’affirmative, ne sachant pas le moins du monde si j’apprécierai cette nouvelle situation mais j’étais déjà à sa merci, nu comme un ver dans le bureau. Les dés étaient jetés.— Eh bien, ça a l’air appétissant tout ça, fit-elle remarquer en tapotant du bout de son index mon pénis déjà bien raide.Elle s’abaissa pile au niveau de mon sexe et le décalotta. Puis elle posa le bout de sa langue dessus le parcourant du gland à la base et remontant en sens inverse. Elle réitéra cette manœuvre et s’interrompit brutalement en se relevant et en retournant s’asseoir sur le fauteuil de l’autre côté du bureau en m’expliquant son geste ainsi :— Hummmmm... Vraiment dommage qu’on n’ait pas beaucoup de temps. Rhabillez-vous ! Et quand vous aurez terminé, vous passerez sous mon bureau pour me montrer vos réelles motivations. La récompense viendra peut-être plus tard.Elle marqua une courte pause.— Ou peut-être pas. Tout dépend de vous.Elle releva sa jupe pour accompagner ses propos, histoire que je comprenne bien ce qu’elle voulait dire. Son intimité n’était vêtu que d’un simple string bleu nuit complétant l’ensemble visible de tous avec le soutien-gorge. De plus, sa fleur débordait de chaque côté. Qu’elle était appétissante ! Je devais bien avouer que ces quelques mouvements de langue sur mon phallus m’avait vraiment excité. J’étais donc particulièrement frustré. Je pris donc cette annonce comme une légère compensation, même si le fait de remettre mes vêtements avait signifié à mon cerveau que l’entrevue était terminée. J’eus besoin de quelques instants pour prendre conscience de cette nouvelle information et, au lieu de me diriger vers la porte, j’allai me placer de l’autre côté du bureau, à l’endroit indiqué, entre les cuisses charnues de ma patronne. Celle-ci les écarta afin de me signifier encore davantage ce qu’elle attendait de moi.Je commençai par approcher ma main afin d’écarter le bout de lingerie me masquant la partie centrale de sa vulve et la touchai en surface du bout de mon index. De suite, un filet de cyprine s’agrippa à mon doigt, m’indiquant que la situation l’excitait considérablement. Je posai à nouveau mon index mais, à présent, de toute sa longueur. En une fraction de seconde, il se retrouva trempé du liquide qui suintait à son entrejambe. J’entendis un léger gémissement de la part de ma supérieure. Il était à peine audible mais il me donna la motivation nécessaire à la suite. J’insérai lentement mon doigt à l’intérieur de son vagin. Je commençai à fouiller de plus en plus en profondeur ce qui provoqua un deuxième gémissement plus perceptible cette fois-ci, puis ressortit afin que mon majeur le rejoigne. Je repris alors le chemin de ses profondeurs intimes et démarrai alors de doux va-et-vient ce qui lui laissa échapper un nouveau gémissement. Ces petits cris à répétition me permettaient de constater que je lui faisais de l’effet, ce qui me rassérénait.  Puis la main de la fondatrice de la société m’agrippa une touffe de cheveux et me fit une remarque désobligeante.— Et c’est comme ça que vous me montrez votre motivation ? On dirait une mauviette qui a peur de donner du plaisir ! En vrai, vous n’avez jamais donné du plaisir à une femme. C’est ça ? Je suis tombé sur le puceau de service. Franchement, j’ai pas de bol !Jamais je n’avais été aussi humilié. Bien sûr que je connaissais différentes facettes du sexe et que j’avais de l’expérience dans ce domaine. Par contre, dans la soumission beaucoup moins. Comment aurai-je pu savoir d’avance ce qu’elle souhaitait exactement ? Je m’excusai sur-le-champ puis essayai de me rattraper.— Pardon... Maî...tresse... ! C’est que... j’ai l’habitude de faire comme ça... Faire monter le désir... progressivement... Mais si ça ne vous plait pas, je vais m’y prendre autrement.— Il y a plutôt intérêt sinon je ne donne pas cher de votre place, m’avertit-elle.Je redoublai alors mes efforts. Mes va-et-vient se firent un peu plus rapides et j’approchai mon visage afin d’apposer le bout de ma langue sur le bouton intime qui surplombait son vagin. J’ôtai sa petite capuche et donnai quelques coups de mon muscle buccal avant de le prendre entre mes lèvres et de le sucer.L’effet sur ma supérieure hiérarchique fut immédiat. Elle poussa de suite un cri de plaisir bien plus audible. Ses muscles se raidirent. Elle plaqua sa tête en arrière sur son dossier et serra la mienne contre son pubis rasé. J’avais du mal à respirer mais j’avais compris la leçon alors peu importe ce que je devais subir, il fallait que je continue. Je posai le plat de ma langue sur son clitoris et la remontai comme je pus avant de le lui tirer avec mes lèvres tandis que mon annulaire rejoignait ses deux compagnons à l’intérieur de son vagin en accélérant la cadence. Ma nouvelle Maîtresse couinait de plus en plus fort tout en frissonnant de plaisir et en m’enfonçant ses ongles dans le crâne.— C’est mieux, me chuchota-t-elle. C’est même beaucoup mieux. Fais ça tous les jours et tu pourrais même viser une augmentation.Ces quelques compliments me stimulèrent davantage. Je fis entrer mon auriculaire que sa cavité accepta sans plus de difficultés et augmentai encore le rythme de mes mouvements digitaux et buccaux.— Je serai ravi de vous faire ce plaisir tous les jours, Maîtresse, lui rétorquai-je en reprenant mon souffle.Je devais vraiment lui donner entièrement satisfaction car quelques instants plus tard son excitation atteignit son paroxysme. Ses muscles se tétanisèrent et son vagin libéra un jet de cyprine qui me prit par surprise et me recouvrit le visage. Je me délectai de la sensation des gouttes de son jus roulant sur mes joues et mon nez.Ma patronne, après avoir manifesté son plaisir, me repoussa et redescendit sa jupe aussi sec, en me tendant un paquet de lingettes.— Prends-en une et nettoie-toi ! Tu es tout collant. Et dépêche-toi, nom d’un chien ! Moreni attend que tu vienne lui dire que c’est son tour. Et surtout n’oublie pas ! Tout ceci doit rester confidentiel. Moreni m’a trahi l’an dernier. Je t’assure qu’il va le sentir passer dans les minutes qui viennent.Je pris la lingette et m’essuyais le visage tout en remerciant ma nouvelle Maîtresse pour ce geste et en lui assurant ma discrétion avant qu’elle ne me congédie. Quelques gouttes avaient mouillé ma chemise mais, à cette heure-ci, il ne devait plus rester grand monde et je pourrais aisément les cacher à un quelconque observateur.Je sortis donc du bureau et allai trouver mon collègue pour le prier de se rendre à son entretien. Il souriait. Je jubilai au fond de moi, sachant qu’il n’en serait pas de même lorsqu’il ressortirait.
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