Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 133 J'aime
  • 14 Commentaires

Promotion à la chaîne

Chapitre 3

Première leçon

SM / Fétichisme
Moreni, fier de lui, s’en alla tout sourire vers le bureau de Madame Valoris, pensant probablement que tout était gagné, au vu de ce qu’il avait fait tout au long de cette année.Moi, curieux de voir quel savon il allait prendre, je le pistai jusqu’au bureau de l’entretien. Les collègues ayant déjà quitté les lieux, je n’avais aucune honte à me planquer derrière un mur et tenter d’entendre ce qui se disait. Malheureusement pour moi, je me rendis rapidement compte que le bureau était bien insonorisé. D’un côté, ça me rassurait un peu puisque ça signifiait que ni ma patronne ni moi n’avions pu être entendu lors notre entrevue. Mais d’un autre côté, j’étais frustré de ne rien entendre et retournai à mon poste. Mon entretien m’avait empêché de terminer ce que j’avais entamé. Je n’aimais pas laisser les choses en plan jusqu’au lendemain, surtout quand il restait si peu de travail à effectuer. Et puis ce n’était pas comme si quelqu’un m’attendait à la maison !Tout en finalisant ma tâche, je guettai l’heure et constatai que les aiguilles tournaient. Moreni n’était toujours pas sorti. Cela faisait plus d’une heure que le rendez-vous avait démarré et, je devais bien l’avouer, ça me stressait. Est-ce que ma supérieure m’avait dit la vérité ou bien n’était-ce que pour me prendre dans ses filets ? L’angoisse m’envahissait davantage lorsque mon collègue sortit du bureau, le sourire satisfait aux lèvres. Je m’attendais plutôt à ce qu’il ressorte tout penaud après l’annonce d’une mauvaise nouvelle. Ne sachant que faire, j’hésitai à plusieurs reprises à frapper à la porte. Je m’éloignai par trois fois et revins, puis finis par prendre une bonne bouffée de courage avant de me décider à toquer.Ma patronne dût avoir l’air surprise qu’il reste encore quelqu’un et, intriguée, finit par répondre un ’oui’ interrogateur. Je passai alors la tête à l’intérieur de la pièce et la trouvai, lunettes sur le nez et stylo à la main, occupée à rédiger des documents. Peut-être le rapport des différentes entrevues de la journée. J’étais tout tremblant, ne sachant pas comment Madame Valoris réagirait.— Excusez-moi Maîtresse, commençai-je par respect pour le dérangement occasionné ! Je viens de voir Moreni ressortir tout sourire. Est ce que j’ai du souci à me faire pour mon poste du coup?Il n’en fallut pas plus pour exaspérer mon interlocutrice. Son sang ne fit qu’un tour dans sa tête. Elle fronça les sourcils et frappa du plat de sa main sur le bureau si fort que deux stylos roulèrent sur le sol avant de se  lever en furie faisant valser le fauteuil de bureau contre le mur derrière elle.— Sérieusement là ? C’est pour ça que tu viens me déranger, me demanda-t-elle furibonde ? Rentre et ferme la porte ! Et que ça saute !J’obtempérai sans broncher. D’autant que je ne savais plus où me mettre. Après avoir refermé la porte, elle s’approcha immédiatement de moi d’un pas assuré et la mine furieuse pour se ficher à quelques centimètres de mon visage. Elle me toisait du regard alors même que, malgré ses Louboutin, elle faisait quasiment une demi-tête de moins que moi.— Il reste combien de personnes dans les bureaux là, voulut-elle savoir ?— Euh...! Si Moreni est parti directement après vous avoir vu, juste moi je crois, lui répondis-je très mal à l’aise.Et après un instant de longue hésitation, je repris.— Et la femme de ménage... elle doit venir dans 30 minutes normalement.Après avoir pris note de ces informations, elle reprit de suite le nouveau rôle qu’elle avait sur moi.— Baisse ton froc, m’ordonna-t-elle d’un ton sec ! Et penche-toi bien sur le bureau. À chaque impact tu répèteras ce que je te dirai !Son ton m’effraya. Je ne m’attendais pas du tout à une telle réaction et fut particulièrement fébrile en baissant mon pantalon et mon boxer. De plus, au vu de mon comportement, elle se sentit obligée de me rappeler certaines règles établies plus tôt.— Je te l’avais dit. Toute bonne action engendre une récompense, tout manquement entraîne une punition. Je pense que tu as deviné que tu étais plutôt dans le deuxième cas là !?!Elle ôta à nouveau sa ceinture et la tordit dans sa main, attendant que je sois en position.— Je suis... désolé... Maîtresse, balbutiai-je en attendant la sanction.Elle leva sa ceinture puis la fit claquer sur mes fesses nues. Premier impact. Je lâchai un petit cri de douleur.— Je ne douterai plus de ma Maîtresse !Comme un perroquet, je répétais la phrase mot pour mot.Deuxième impact légèrement plus puissant.— Je lui vouerai une confiance absolue !Je répétais à nouveau ce qu’elle me disait en serrant les dents pour contenir les petits cris de douleur qui tentaient de s’échapper de ma bouche. Avec ces coups de ceinture, je me sentais un peu comme un animal que l’on dressait. Vous savez? Comme le tigre au cirque. Je commençais à ressentir davantage de compassion pour ces pauvres bêtes.Troisième impact claquant encore plus fort afin que je comprenne bien que ma punition était méritée et qu’il ne valait mieux pas que je recommence.
— Ma Maîtresse sait ce qui est bon pour moi.Encore une fois je repris mot pour mot ce qu’elle me faisait dire. Au moment où je me demandais combien de temps allait encore durer ma punition, elle relâcha sa ceinture et la reposa sur le bureau. Je préférais ne pas savoir dans quel état étaient mes fesses tant elles me faisaient mal. Il était certain que je serai marqué.— Je n’annonce pas le licenciement de quelqu’un comme ça, de but en blanc, m’expliqua-t-elle.J’avais l’impression qu’elle ne se souciait pas de mon sort. Je méritais ma punition. Ou alors peut-être que c’était encore pour que je comprenne bien quelle était sa position sur moi. Quoiqu’il en soit, elle continua ses explications sur le déroulement de l’entretien avec mon collègue.— Je fais les choses dans les règles. Ce ne serait pas professionnel de ma part sinon. J’ai écouté ses arguments. Je l’ai laissé essayer de me convaincre, pour que chacun ait la même chance. Et vous recevrez chacun une lettre recommandée avec accusé de réception avec la décision prise à votre encontre à tous les deux. C’est plus clair dans ta petite tête, Slibard ?Son but était clairement de m’humilier en terminant une nouvelle fois par cette déformation de mon nom. Du coup, le stress asséchait ma bouche et je ne trouvais plus mes mots.— Je... je...— Je... je... je..., me coupa-t-elle ! Il y aura une fin à cette phrase ?Je blêmis davantage et me renfermai sur moi-même tentant malgré tout de lui répondre.— Je... je m’excuse... J’ai cru que vous annonceriez la réponse de but en blanc. Avec mes arguments, je pensais que mon poste m’était acquis. La panique m’a prit en le voyant sortir avec le sourire et j’ai cru qu’il restait et donc que c’était moi qui partait... Je suis désolé Maîtresse... La prochaine fois je laisserai les choses suivre leur cours. Je comprend la leçon, acceptai-je en regardant le sol.Elle fit alors quelque chose qui me surprit. Elle se dirigea vers son sac à main et l’ouvrit. Elle en sortit une crème à l’arnica et l’étala de sa main potelée et chaude sur mes fesses rougies. Puis suivirent quelques recommandations. Elle était occupée de me soigner. J’hallucinais. Elle n’était peut-être pas si méchante que ça après tout ! - Ne bouge pas, me pria-t-elle en m’appliquant le baume apaisant ! Et en rentrant chez toi, tu mets un coussin sur ta chaise.Elle me donna également un petit tube de granulés à l’arnica.— Tu en prends cinq ce soir et, tu verras, ça ira déjà mieux demain. Ne t’en fais pas ! Et si tu as toujours mal, prend un comprimé de Paracétamol. Après ces recommandations, pour lesquelles je la remerciai, elle me massa les fesses. Encore. De plus en plus tendrement. Ce massage guérisseur prenait une autre tournure. Il devenait excitant. Mon membre mou commençait lentement à se remplir de sang et à prendre un aspect plus acceptable devant une femme. Au bout de quelques minutes, elle me laissa les fesses à l’air tendue en arrière puis elle se plaça à genoux entre le bureau et moi-même. Elle attrapa ma mi-molle dans sa main et en approcha sa bouche. Je sentis sa langue tournoyer sur toute la longueur de ma verge. Elle lécha doucement mon gland et accompagna ses petits mouvements par un massage de mes testicules. Par intermittence, elle stoppa ses aller-retours sur ma verge décalottée pour gober l’une ou l’autre de mes couilles. C’était terriblement agréable, je devais bien l’avouer ! Puis elle reprit sa fellation accompagnée d’une masturbation de sa main experte.Clairement, après les coups de ceinture, je ne m’attendais pas à un tel traitement. Du coup, je savourai d’autant plus la chaleur de la bouche de ma patronne autour de mon sexe et de sa main montant et descendant dessus. Je fermai les yeux et tirai ma tête en arrière profitant du plaisir procuré, qui, je devais bien l’avouer, était augmenté par le mauvais traitement infligé plus tôt. Je me devais de lui montrer ma reconnaissance.— Merci Maîtresse de me traiter ainsi !— Ne crois pas que ce soit une récompense ! Je te donne une première leçon de soumis. Elle marqua un temps d’arrêt avant de reprendre.— Te retenir ! Tu as interdiction de jouir sans que je ne t’y ais autorisé. Au final, ce si agréable moment se transforma en la pire des tortures. Elle pompa de plus en plus rapidement en refermant davantage sa main autour de mon membre, histoire de bien faire monter la pression. — D’aaaaa...ccord... Maîtresse, lui répondis-je en essayant de me retenir à la suite de ses propos !Je sentis mon sperme monter de mes testicules. Puis elle ralentit ses mouvements pour quasiment s’arrêter avant de repartir de plus belle. Elle reprit sa manœuvre à quatre reprises. Je savais que je pouvais lâcher la sauce à tout moment mais ma dominante avait l’expérience et savait quand s’arrêter, ce qui, évidemment, me frustrait. Je n’avais qu’une seule envie : tout évacuer dans sa bouche. Elle dût se rendre compte de mon état au vu de mes râles étouffés car elle stoppa net et relâcha mon pénis tendu.— La retenue est la clé de cet exercice, m’informa-t-elle. Continuons ! Pour la prochaine étape, allonge-toi sur le sol !— Bien Maîtresse, répondis-je, en m’exécutant, à contrecœur sachant que je ne pourrais toujours pas expulser mon plaisir !Ma patronne me laissa à plat dos sur le sol quelques instants. Elle reprit sa ceinture et tourna autour de moi dans un sens puis dans l’autre, me toisant du regard avant de m’ordonner de placer mes mains au-dessus de ma tête. Elle enroula sa lanière de cuir autour de mes poignets et me les fit descendre derrière ma nuque. Lorsque je lui eus obéi, elle se redressa et tourna à nouveau autour de moi, guettant le moment où mon pénis se ramollirait. J’étais à sa merci totale.— Bien, soumis ! Tu commences à comprendre apparemment.Dans cette position, je l’observais, ne sachant pas quels sévices elle m’avait encore réservé.— Tu vas être un bon garçon, d’accord, me dit-elle en se délestant de sa jupe et de son string ?Elle se retrouvait, pour seul bas, en porte-jarretelles et avait gardé ses escarpins Louboutin. Elle plaça ses pieds de chaque côté de mon visage et resta ainsi debout quelques instants, ce qui était un régal pour mes yeux. Je devais bien l’avouer.— Oui Maîtresse !Une belle vulve bien juteuse en ligne de mire. Mmmm... Malheureusement, j’eus bientôt l’occasion de la voir de plus près. Trop près en fait ! Elle vint s’asseoir sur mon visage, buste dirigé vers ma verge, écrasant ses lèvres intimes sur ma bouche. Je fus comme bâillonné par ses parties génitales. Je ne savais si je devais apprécier ou non.— Un bon garçon sait comment faire plaisir à sa Maîtresse ! Allez !Je la sentis énervée par cette inactivité de quelques instants. Agacée que je ne réagisse pas plus tôt. Je commençai alors à agiter tant bien que mal ma langue à l’intérieur de son sexe. Il me fallut quelques minutes pour m’adapter à la situation et que mes mouvements buccaux ne deviennent plus fluides. J’entrai bien à l’intérieur et lui titillai le clitoris en passant.Tout en me laissant la déguster, elle me branla et me massa les testicules, mêlant plaisir et douleur lorsqu’elle enserra de toutes ses forces ma verge et qu’elle fit de même avec mon scrotum. Je fis de mon mieux pour lui procurer un maximum de plaisir, même lorsque la souffrance commençait à se faire sentir.Je devais quand même être assez efficace car je l’entendis gémir. Son entrejambe sécrétait un flot de plus en plus abondant sur mon visage tandis qu’elle jouait avec mon pénis. Elle me branlait fort jusqu’à ce que je m’approche du point de craquage. À ce moment-là, elle s’arrêtait subitement et reprenait de légères caresses, histoire de me frustrer davantage et de me faire redescendre. Je la maudis intérieurement pour ce supplice.Je continuai tant bien que mal à m’occuper de son entrejambe. Elle couina, prête à exploser et décida de relever son postérieur m’offrant alors la possibilité de respirer à nouveau normalement. Elle se dirigea vers son sac à main et en sortit un étui en plastique, que je reconnus facilement. Elle le déchira et prit le préservatif entre ses doigts. Elle revint vers mon sexe qu’elle avait laissé bien raide et le fit glisser tout le long de celui-ci avant de se positionner dessus. Mon gland, recouvert de sa capuche, passa ses lèvres et vint frotter à l’entrée de son vagin. Cependant, elle ne se planta pas au fond. Elle dandina juste dessus en me fixant pour voir ma réaction.— Sage, m’avertit-elle ! Pas de mouvements de bassin ni de coup de butoir. Tu te laisses faire à 100%, ou tu es à nouveau puni. Ok?Évidemment, j’avais une furieuse envie de me planter au fond de sa cavité intime mais j’en étais rapidement dissuadé par ses menaces. Du coup, je ne fis qu’acquiescer à son avertissement.— Com...pris, Maî...tresse !— Brave bête, me dit-elle en se plantant sauvagement sur mon pieu !La sentir enfoncer sa vulve bien chaude sur ma queue m’apportait une vague d’excitation. Elle fit deux rapides aller-retours puis se releva et recommença à se frotter sur mon gland.Cependant, à ce moment-là, la porte du bureau s’ouvrit. La femme de ménage entra en marche arrière, les écouteurs sur les oreilles, tirant son chariot.— DEHORS ! TOUT DE SUITE, hurla-t-elle furieuse en tournant la tête à la pauvre Sana qui ne faisait que son travail !Ma patronne n’osait bouger davantage pour ne pas que l’intruse remarque sur quoi elle était assise.La maghrébine sursauta à cette réprimande et ne demanda pas son reste. Elle sortit et referma porte derrière elle pour continuer son travail dans les autres bureaux.Afin d’être certaine de ne plus être dérangée, Madame Valoris se leva pour fermer la porte à clé.— QUELLE DÉBILE, hurla-t-elle condescendante au possible et, l’espérant, assez fort pour qu’elle entende ! S’il y a de la lumière dans un bureau c’est qu’il est encore occupé. Bordel !Puis elle s’éloigna de la porte alors que je compatissais avec la pauvre femme de ménage qui ne faisait que son travail. Et puis il s’avérait que j’avais un faible pour cette femme qui devait être de dix ans mon aînée, donc ma compassion était aussi un peu altérée.— Bon, s’exclama-t-elle en revenant vers moi ! J’en étais où moi ?Elle fit mine de chercher avant de lâcher un "Ah oui !" comme si elle venait de, subitement, retrouver la mémoire. Elle se plaça à califourchon au-dessus de mon visage tout en se masturbant, pour que je puisse admirer son entrejambe luisante de sécrétions vaginales. Puis, d’un seul coup, elle appuya à nouveau son attitude dominante par cette simple question :— Tu es urophile ou la pisse te dégoûte ?Je fus tellement surpris que j’en grimaçai avant de réellement me poser la question. Niveau humiliation ma patronne était déjà partie loin, mais là on passait un niveau au-dessus. Que serait la prochaine étape ? Quelques instants après avoir repris mes esprits, je lui répondis en toute honnêteté tandis qu’elle agitait toujours ses doigts sur sa vulve à cinq centimètres de mon nez.— Euh... Urophile c’est un bien grand mot. J’ai pas peur de l’urine. Après on ne m’a jamais pisser dessus, admis-je. Je ne peux pas dire si j’aime ça ou pas. Juste si ca vous plaît, je veux bien essayer... — Par contre..., voulus-je lui préciser, vous allez tremper mes vêtements là...— C’est bon à savoir, me dit-elle en se penchant en avant avec un clin d’oeil. Mais je ferai pas ça aujourd’hui.Elle se recula pour se planter à nouveau sur mon membre et recommença ses aller-retours.— Surtout, me prévint-elle en marquant une pause, tu attends que je te dise pour jouir. Si ça sort avant que je ne t’en ai donné l’ordre, je ne donne pas bien cher de ta peau.En entendant la menace, je déglutis et me concentrai pour ne pas éjecter mon liquide de manière anticipée. Je finis par répondre, tout penaud.— Je... je vais faire de mon mieux... Maîtresse...À ces mots, j’eus l’impression qu’elle accéléra délibérément le rythme de ses va-et-vient, histoire de me mettre à l’épreuve. Elle couinait de plus en plus et sa cyprine continuait de couler sur mon membre mais elle se retint de jouir. — Tu vois que la maitrise est possible ?Il fallait absolument que je me concentre sur autre chose pour ne pas être tenté de cracher mon jus. La seule vision qui me vint à l’esprit était d’imaginer ma voisine qui était adorable mais n’avait, malheureusement, rien pour elle. Ma patronne sortit sa grotte de mon pieu et se retourna avant de se planter à nouveau sur moi. J’avais une vue directe sur ses bonnes fesses bien rebondies et sa chute de reins à damner les saints. L’angle différent lui permit d’appuyer davantage sur ma verge ce qui la fit atteindre le septième ciel.— Tu attends que je te le dise pour jouir. Tu te rappelles, se permit-elle de me redire ?J’hochai la tête en balbutiant un ’Oui Maîtresse!’À ma réponse, elle commença à émettre de petits cris. Puis les gémissements se firent beaucoup plus puissants. Son corps fut prit de spasmes et elle tressauta sur mon entrejambe. Son orgasme était extrême, ce qui eût pour effet de m’exciter au plus haut point. Qu’est ce que c’était dur de résister ! Mais ne voulant pas décevoir ma Maîtresse, je me concentrais sur l’image de ma voisine. Je n’avais pas le choix.Une fois son plaisir expulsé, elle s’allongea, dos à moi, sur mon torse en se mouvant toujours doucement sur mon pénis, afin de reprendre sa respiration jusqu’au moment où elle se redressa.— Maintenant tu as l’autorisation de jouir, lâcha-t-elle enfin.Ses paroles arrivèrent comme une libération. Elle retira le préservatif de mon membre bien raide et pressa sa main autour. Elle laissa aller ses doigts sur mon gland et y fit remonter des gouttes de mon liquide préséminal en le recouvrant de mon prépuce. Puis elle accéléra le mouvement, faisant des aller-retours de plus en plus rapides sur mon pénis. Je n’en pouvais plus. J’allais craquer.— C’est vraiment booon... Je sens que... je viens, l’avertis-je.Je pensais qu’à ces mots elle poserait sa bouche sur ma verge pour avaler tout mon liquide. Que nenni ! Elle passa la vitesse supérieure et dirigea le tir vers mon buste. Quelques secondes plus tard, je lâchais tout. Le premier jet fut tellement puissant qu’il atterrit sur mon menton. Les suivants terminèrent leur course sur mon torse. J’étais souillé par ma propre semence et frustré qu’elle ne termine pas sur ma patronne ou dans sa bouche. Mais ce n’était pas à moi de choisir ! Je commençais à bien le comprendre.— Tu as bien travaillé, dit-elle à mon sexe en le caressant.Ces propos étaient une petite consolation.Puis elle se remit sur ses deux pieds et retourna vers son sac pour en sortir un paquet de lingettes qu’elle jeta à côté de moi toujours allongé au sol.— Essuie-moi tout ça ! Et que ça saute, m’ordonna-t-elle !Je m’assis en quatrième vitesse suite au ton utilisé, chopai les lingettes et me nettoyai visage et torse afin qu’il ne reste plus un seul résidu de ma semence sur moi-même. Puis je les jetai à la poubelle.— Bien ! Maintenant rend-toi présentable et je vais te donner un papier à donner à un de mes amis le plus tôt possible. Je vais lui téléphoner pour le prévenir que tu vas passer. C’est pour un dépistage. J’ai pas envie de m’embêter avec une capote à chaque fois. J’étais bien d’accord avec elle pour une fois.— Si tu ne le fais pas, me menaça-t-elle, notre contrat est caduque et c’est Moreni qui reste. Compris?Je n’étais pas décidé à jouer mon poste sur un dépistage alors j’acquiesçai et avais décidé d’y aller dès le lendemain matin avant d’aller au boulot.— Ah ! Et au fait Siccard... Demain, vous êtes en congé, m’avertit-elle. Vous et Moreni. Le temps que vous receviez ma décision par lettre recommandée. Le stress me gagna à nouveau et me fit frissonner. Tant que je ne savais pas quelle décision était prise à mon égard, cette épée de Damoclès au-dessus de ma tête me ferait paniquer. C’était certain. Et je pense que ma patronne trouvait cette situation très jouissive. Il allait peut-être falloir que je trouve un moyen de me déstresser à nouveau. Sur ce, je quittai le bureau de Mme Valoris en lui souhaitant bonne soirée.
N’hésitez pas à vous abonner à mes histoires. Et si vous les appréciez, montrez-le-moi par un ’j’aime’ et/ou un commentaire. Ça fait toujours plaisir.

Diffuse en direct !
Regarder son live