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Chapitre 4

Rêve ou Réalité ?

Erotique
Ce chapitre m’a été autorisé par ma partenaire de RP. Pour information, celui-ci est hors RP mais il a un intérêt certain pour la suite de l’histoire. J’espère qu’il vous plaira autant que les autres et que la suite de l’histoire.
En sortant du bureau de Mme Valoris, je sortis et repassai à mon bureau pour récupérer mes affaires. Je devais avoir une mine affreuse, avec les cheveux tout ébouriffés. Ma tentative pour me recoiffer rapidement et me rendre à peu près présentable pour les quelques personnes que je pourrais croiser n’avait pas dû y changer grand chose. On pourrait facilement se poser des questions sur ce qu’avait été ma fin de journée au bureau. Est-ce que j’avais dormi au taf ? Est-ce que je m’étais envoyé en l’air ?Je me dirigeai vers la porte d’entrée afin de quitter les lieux et de rentrer chez moi. Ma patronne était toujours cloîtrée dans son bureau. Probablement à peser les pour et les contre pour son verdict final nous concernant, Moreni et moi.Au moment de pousser la porte, j’aperçus une ombre dans le couloir adjacent. Je lâchai la porte et commençai à m’avancer vers cette personne. Qui pouvait encore traîner ici et avoir risqué de me surprendre avec ma tortionnaire ? Je progressai à pas feutrés avant de distinguer la personne éclairée par l’un des spots du couloir. Il s’agissait de Sana, qui venait de ranger son chariot dans le placard d’entretien. Si elle avait terminé son travail, c’était que j’avais dû rester plus longtemps que je ne l’avais supposé dans le bureau de la patronne.Je fus soulagé en l’apercevant, même si je ne savais comment elle pouvait me considérer à présent. Non ! Elle ne m’avait pas vu mais le lien ne serait pas compliqué à effectuer par rapport à son intrusion dans le bureau puisque j’étais la seule personne encore dans les locaux avec la présidente et elle-même ! Je me disais que j’allais peut-être montrer ma compassion envers elle et en même temps ça ne me ferait que me griller davantage. Mais bon ! Au point où j’en étais je ne risquais plus grand chose.— Bonsoir Sana, la saluai-je tandis qu’elle se dirigeait vers le vestiaire où elle allait récupérer son sac à main et sa veste en jean.Elle n’avait probablement pas l’habitude que quelqu’un lui adresse la parole sur son lieu de travail. Probablement même qu’on la snobait pour les tâches qu’elle accomplissait. J’avais déjà eu l’occasion d’échanger de simples salutations avec elle mais rien de plus. Aujourd’hui je me devais d’en faire davantage. La pauvre ! Se faire jeter comme ça alors qu’elle ne faisait que son boulot...! J’avais réellement de la peine pour elle.Elle répondit à ma salutation, le sourire poli aux lèvres tandis que je cherchais comment présenter les choses sans lui faire comprendre que j’étais dans la pièce du méfait. Elle était encore bien conservée. La quarantaine bien avancée lui laissait quelques rondeurs bien placées au niveau de la poitrine et des fesses. Elle avait également des hanches bien marquées et ses cuisses étaient musclées. On voyait qu’elle ne se laissait pas aller. Son visage était assez allongé et avenant. Ses yeux noisettes pétillaient de joie. J’avais toujours trouvé ça étrange au vu de sa situation professionnelle mais ça devait lui convenir ainsi.Je n’arrivais pas à trouver les mots, à tel point qu’un silence gênant se fit. Elle décida alors de poursuivre son chemin vers la sortie.— Bonne soirée, me dit-elle !— Attendez, Sana, l’interrompis-je dans sa lancée !Je pris mon courage à deux mains et continuai.— Comme vous le voyez je suis encore là. Vous pouvez donc aisément vous douter que j’ai entendu que vous avez subi les foudres de la Valoris.J’avais bien conscience qu’il fallait que j’en parle comme si je parlais d’elle à n’importe qui. Mais si cette dernière m’entendait la qualifier ainsi la punition serait probablement terrible.— Heureusement que je la vois jamais la pétasse là-haut, lâcha-t-elle de but en blanc passablement énervée ! Il y aurait bien longtemps que je me serai trouvée un autre employeur. Même si elle paie bien pour mon poste, ça ne lui donne pas tous les droits.Je la sentais vraiment remontée. Ses sourcils froncés lui durcissaient le visage d’un coup mais ses mèches ébènes, légèrement bouclées, encadrant son visage atténuaient cet aspect. Elle était tout le contraire de ma patronne. Elle ne respirait pas la sévérité et l’autorité et, à cet instant précis, j’en avais besoin. Et besoin de sentir que je pouvais faire du bien à quelqu’un.— Je comprend, lui dis-je dans un sourire empli de compassion. Vous faites votre travail et en plus on vous le reproche.Je sentis que j’avais ouvert les vannes. Elle avait besoin de se lâcher.— C’est ça ! Un peu d’humanité ça lui ferait pas de mal à cette connasse mal baisée !Vu le ton employé, je me dis qu’il valait mieux sortir du bâtiment avant de se faire choper par la boss.— Est-ce que vous ne voudriez pas qu’on en discute autour d’un verre, lui proposais-je sans trop y avoir réfléchi avant ?Maintenant que la proposition était lancée, je ne pouvais pas revenir en arrière. Je pense que pouvoir extérioriser sur le dragon qui nous servait d’employeur devait lui faire du bien parce qu’à ma grande surprise, elle accepta. Nous sortîmes ensemble de l’antre de la bête.A deux pâtés de maison, il y avait un lounge bar où j’aimais beaucoup me rendre avec certains collègues ou quelques amis. Elle m’y suivit sans sourciller. Nous nous installâmes dans un coin sur des banquettes et nous commandions chacun un cocktail : un Blue Lagoon pour elle et un Maï-Taï pour moi. Au moment de s’asseoir, ma Maîtresse se rappela à moi. Mes fesses me firent un mal de chien. J’espérais vraiment que la douleur passerait vite, comme elle me l’avait promis.Après avoir bu une première gorgée de nos boissons, elle se détendit et me raconta son parcours, comme si nous étions de bons amis. Peut-être n’avait-elle pas l’habitude de se livrer ou bien devais-je dégager une certaine confiance. Quoi qu’il en était, elle le faisait. Elle détacha sa queue de cheval pour se mettre à l’aise mais elle garda sa veste en jean malgré la chaleur régnant dans le bar. Je comprendrais plus tard pourquoi. Ses cheveux tombaient en boucle sur ses épaules. Elle faisait partie de ces femmes qui avaient une beauté naturelle. Simplement la regarder illuminait ma fin de journée. D’autant que celle-ci n’avait pas été telle que je me l’étais imaginée au matin.Tout en sirotant son cocktail, elle m’expliquait qu’elle travaillait comme femme de ménage depuis le décès de son compagnon onze ans plus tôt et qu’elle avait remplacé la précédente lors de son départ en retraite il y avait six ans de cela. C’était Stéphanie, qui était une amie de sa sœur, qui l’avait recommandée pour ce poste parce qu’elle savait que son taux horaire serait élevé et que ça l’aiderait dans sa situation. Je buvais ses paroles. Elle était vraiment intéressante avec son parcours de vie compliqué. J’aimais les gens qui avaient une histoire, aussi lourde soit elle.
— Je m’excuse, me glissa-t-elle en éclatant de rire sur la petite table. Je suis un vrai moulin à parole quand je bois un peu.J’avais l’impression que ce soir elle avait juste besoin d’être avec quelqu’un. Peu importe qui était là pour parler avec elle.— Ne t’en fais pas ! Je préfère quand les gens sont heureux, lui répondis-je avec un sourire et un clin d’œil.Oui ! À force de se confier - enfin surtout elle - nous avions autorisé le tutoiement.Nous continuions de discuter. L’alcool aidant Sana déblatéra tout ce qu’elle avait sur le cœur à propos de cette femme qui nous embauchait. J’entendis les pires insanités possibles à son sujet. Elle monopolisa tellement la parole à propos de "la Valoris" que je n’eus pas grand chose à dire. Je ne faisais que rebondir sur ce qu’elle me disait sans avoir à me mouiller véritablement. Je savais qu’elle n’était pas présente physiquement mais j’avais l’impression qu’elle avait des oreilles partout et que la punition qui suivrait serait terrible si elle apprenait que j’avais parlé en mal d’elle. Peut-être était-ce accentué par le fait que mes fesses me faisaient grimacer à chacun de mes mouvements sur la banquette.Visiblement elle appréciait se confier à moi, en particulier concernant ma tortionnaire. Nous commandions de nouveaux cocktails. Les heures passèrent sans que nous ne les voyions passer... et les verres non plus. Heureusement, l’alcool nous rendait joyeux tous les deux. Je passais vraiment un bon moment avec elle. Totalement à l’opposé de ma relation avec Madame Valoris, que je ne m’autorisais pas encore à apprécier.Arrivé 23h30, nous avions essentiellement bu et étions passablement éméchés, elle plus que moi encore. Nous avions juste commandé une crêpe et une gaufre pour éponger tout ça. Autant dire pas grand chose. Il était peut-être temps de rentrer. En général, j’allais au boulot en vélo puisque je n’en avais que pour dix minutes par ce moyen. L’avantage que j’avais était que le bar se situait entre mon lieu de travail et mon domicile. À pied, il me fallait encore un quart d’heure pour l’atteindre. Mais je ne savais pas du tout où elle habitait— Tu veux que je te raccompagne, lui proposai-je ?— Je veux bien, me répondit-elle la bouche pâteuse.Je crois que la fatigue, combinée à l’alcool, commençait à avoir raison d’elle. Ses paupières se fermaient par intermittence.— Tu habites où ?Lorsqu’elle me donna l’adresse, je me rendis compte qu’il fallait au moins vingt minutes pour s’y rendre en voiture. Aucun de nous deux n’était en état de conduire et je me rendis rapidement compte que même marcher était une tâche ardue, particulièrement pour elle. Je pris la décision de la ramener chez moi pour la nuit, et, vu son état, elle acquiesça, probablement sans en être pleinement consciente. À cette heure, une femme seule dans les rues et un peu pompette était une proie un peu trop facile pour les prédateurs sexuels.Bras dessus bras dessous pour se maintenir à peu près droit, nous arrivions en bas de mon immeuble, en un peu plus de temps que si j’avais été seul et sobre. Il ne restait plus qu’à prendre l’ascenseur jusqu’au deuxième. Heureusement mon trois-pièces était juste en face. Tandis que nous montions je sentis la tête de Sana s’alourdir sur mon épaule. Il était vraiment temps qu’on arrive. Je la traînais à l’extérieur, pris ma clé et ouvris la porte. Ses jambes ne la portaient plus qu’à peine et je l’emmenai dans le salon, sur un fauteuil le temps d’ouvrir mon canapé-lit.À l’instant où je l’en extirpai, inconsciente, elle fut pris d’un haut-le-cœur et un jet de vomi m’aspergea la chemise, le chino, sa veste, son débardeur et son jean. L’odeur était insupportable. Qu’allais-je bien pouvoir faire ? Je ne pouvais décemment pas nous laisser dans cet état.Je pris mon courage à deux mains et la portai jusqu’à la douche où je l’y déposai. Je commençai par retirer mes vêtements, souillés de régurgitations, et les jetai au fond du bac. Je me retrouvai simplement en caleçon devant elle. Puis je me mis à lui ôter lentement sa veste que je jetai sur le tas formé par mes fringues salies. Je continuai précautionneusement de la défaire de son débardeur pour ne pas la bousculer et parce que je me rendis compte qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins en forme de poire pointaient sous son haut. Mes doigts les effleurèrent et, intérieurement, je m’en excusai. C’était pour cette raison qu’elle n’avait pas enlevé sa veste de la soirée. Je comprenais mieux! Je déboutonnai son jean et descendis sa fermeture Éclair avant de le faire glisser délicatement à ses pieds et le balançai sur le tas au fond de la douche. Et puisqu’il ne restait qu’un tanga noir encore propre, je lui retirai également pour ne pas le lui tremper inutilement. Elle était alors entièrement nue devant moi en boxer, avachie dans la douche à peine consciente.Je saisis le pommeau afin de régler la température du jet avant de la tremper. L’eau tiède commençait à dégouliner le long de son visage, ce qui l’aida à être un peu plus consciente de ce qui se passait.— Que... Qu’est-ce que... tu fais, balbutia-t-elle en observant son corps nu devant moi ?Elle croisa les bras et les jambes en se recroquevillant pour masquer ses parties intimes par réflexe de pudeur.— Tu as vomi il y a quelques minutes, quand j’ai voulu t’installer dans le canapé, lui répondis-je en lui montrant le tas de vêtements au fond de la douche. Du coup, je ne voulais pas te laisser dans cet état. J’espère que tu me pardonneras de t’avoir déshabillée. Je tiens à te rassurer je n’ai aucun intention d’abuser de toi. Et si tu le sens je te laisse te nettoyer seule. Je te dépose une serviette et sors de la salle de bain. C’est toi qui me dit ?!Elle réfléchit quelques instants.— Je veux bien qu’on fasse comme ça.— Pas de problèmes. Je te pose une serviette sur le panier à linge et je sors.Je fis exactement ce que je dis avant de quitter la pièce, tandis qu’elle tenta de se lever. J’entendis un bruit sourd avant qu’elle ne m’appelle. Je retournai à l’intérieur de la salle d’eau et l’aperçus assise dans le sol de la douche. Ses jambes n’avaient pas dû pouvoir la tenir et elle était retombée.— Au final, je suis tellement vaseuse que j’accepte ta proposition. Mais attention ! Pas de gestes indécents, m’avertit-elle !Je lui confirmai que je n’aurai absolument aucun geste déplacé et alors seulement elle m’autorisa à approcher et la nettoyer. Je continuai ce que j’avais entrepris en mouillant son corps entièrement avant de prendre du gel douche dans mes mains. Pour essayer de la détendre par rapport à sa nudité devant moi, je décidai de commencer par son dos.J’étalai le savon en commençant par les épaules et la nuque, un peu comme un massage. Mes gestes étaient doux mais appuyés. Mes doigts parcoururent ses épaules tandis que mes paumes les malaxèrent tout en étalant le savon. Je remontai lentement le long de sa nuque. Je ne me rendis pas compte de suite qu’au lieu de la frictionner de mousse, mes gestes étaient plus érotiques. Mes mains descendirent lentement le long de ses bras, centimètre par centimètre, jusqu’à ses doigts, ce qui eût pour effet de la faire frissonner. Ce fut à ce moment-là qu’elle me fit la remarque.— Ce n’est pas désagréable ce que tu fais, me fit-elle remarquer avec un léger sourire et encore sous les effets de l’alcool. Mais j’aimerai bien que cette odeur de gerbe arrête de m’écœurer avant demain si tu veux bien ?!Je me rendis alors compte de la sensualité de mes gestes et m’excusai de suite avant de reprendre des mouvements plus rapides. Mes mains parcoururent entièrement son corps sans plus de gestes érotiques, même si je devais bien avouer que l’envie m’en avait traversé l’esprit à l’approche de sa généreuse poitrine. Puis je la rinçai en la touchant le moins possible et l’enroulai dans une serviette. Étant un peu moins frêle, elle sortit de la pièce sur ses jambes et sous mon bras. Nous nous rendîmes dans le salon et nous assîmes dans le canapé ouvert en mode lit. Je l’aidai à s’allonger et pris la couette pour la border. Je lui souhaitai bonne nuit et j’allais à mon tour passer à la salle de bain, l’odeur de régurgitation m’imprégnant encore lorsque je sentis sa main me tenter d’attraper la mienne en me suppliant de rester un peu. Je m’assis alors au bord du lit en la regardant. Sans maquillage, elle était vraiment magnifique. J’avais toujours eu une préférence pour les beautés naturelles.— Je voulais te remercier, commença-t-elle un peu plus lucide.— Me remercier pour quoi, lui-répondis-je naïvement ?— Pour m’avoir traitée avec respect. C’est pas souvent.— C’est normal à mes yeux. Abuser d’une femme est déjà une honte pour moi mais si en plus elle est affaiblie et manque de lucidité je n’ai même plus de mots pour ça tellement c’est horrible.— Merci. Depuis mon compagnon, j’ai rarement pu faire confiance à un homme. Et en cette soirée où je me suis un peu laissée aller, j’avoue, j’en ai rencontré un autre, m’avoua-t-elle en laissant tomber sa serviette laissant sa généreuse poitrine surplombée de ses tétons pointus volontairement à ma vue.Je ne savais plus du tout où me mettre. Elle était encore en état d’ébriété avancé. Je ne pouvais pas prendre certaines initiatives sans me demander si elle le voulait réellement ou non. Je me disais que j’allais probablement le regretter mais je décidai de prendre la fuite.— Je t’en prie Sana. Allez ! Je vais te laisser dormirÉtrangement, j’eus le réflexe de lui déposer un baiser sur le front en lui souhaitant la bonne nuit. Et au moment où je tournais la tête pour repartir dans la salle de bain, je croisai subrepticement son regard. Il y transparaissait un mélange de déception et d’admiration. Ce n’était peut-être pas ce que certains hommes auraient fait, mais s’il devait y avoir une certaine intimité entre nous, je préférais la gagner "loyalement".— Bonne nuit, me souhaita-t-elle en me regardant quitter la pièce !Je pénétrai à nouveau dans la salle d’eau et me rendis sous la douche. J’avais oublié le linge à laver. J’étais cramé mais il fallait bien que ma protégée soit décente et propre pour quitter mon appartement. Je mis ses affaires dans une bassine et les miennes dans une autre, avec de l’eau et un peu de lessive. Je frottai et, heureusement, le vomi partit facilement. Je laissai tremper le tout et partis moi-même me nettoyer pour enlever cette odeur de moi. Je m’enduisis de savon et frottai fort. J’en oubliai même les mauvais traitements subis ce jour... jusqu’à ce que je passe mes mains sur mes fesses. Mais la douleur était déjà moins forte. Était-ce lié à la médication de ma tortionnaire ou bien à l’alcool qui m’anesthésiait la douleur? Je ne pouvais clairement le dire mais en tous cas ça allait déjà mieux.Je sortis de la douche et aperçus les deux bassines. C’est vrai! Corvée de rinçage! Bon bah pas le choix! C’est parti! Je me séchai rapidement et enroulai une serviette autour de la taille et m’y attelai.Une fois la tâche effectuée, je plaçai les vêtements dans le sèche-linge et le programmai afin d’être sûr qu’ils soient secs pour Sana le lendemain matin. Puis je sortis de la salle de bain et me rendis directement dans ma chambre en passant par le salon. La maghrébine était bien lovée sous la couette et dormait à poings fermés. Ça faisait plaisir à voir.Je pénétrai dans ma chambre et entrai nu dans mon lit, déposant ma serviette sur une chaise. La douleur au niveau de mes fesses était de moins en moins présente. Ça me soulageait beaucoup. Il ne me fallut pas plus de dix minutes pour partir dans les bras de Morphée.En plein milieu de la nuit, je sentis une présence dans la chambre. Mes yeux s’ouvrirent à demi et quelqu’un était debout aux pieds de mon lit. Qui cela pouvait-il bien être ? Mme Valoris qui se rappelait à moi en pleine nuit, comme le fantôme des Noël passés dans l’œuvre de Charles Dickens ? Mes yeux s’ouvrirent davantage et la silhouette s’approcha. Je reconnus alors ma locataire emballée dans sa serviette de bain. Je me redressai légèrement et me frottai les yeux, histoire d’être bien certain de ne pas rêver. Non ! Elle était encore là !— Sana ? Que fais-tu là, lui demandai-je à demi éveillé ?— Je me suis réveillée avec l’envie de te remercier maintenant que je vais mieux.Je regardai mon réveil. Il était 4h12.Elle s’approcha langoureusement du côté du lit en roulant des hanches et laissant tomber sa serviette tandis qu’elle progressait vers moi. La clarté de la lune au travers des rideaux éclairait ses courbes magnifiques. Arrivée à mon niveau, elle souleva mon drap et se glissa dans mon lit une jambe après l’autre jusqu’à ce que corps ne se colle contre le mien. Je restai allongé sur le dos tandis qu’elle était accoudée sur son bras droit qui maintenait sa tête.Il émanait d’elle une chaleur qui me fut aussitôt transférée. Sa généreuse poitrine était posée contre mon bras. Ses tétons étaient durs d’excitation. Peut-être que la serviette encore un peu humide aidait aussi. Quoiqu’il en soit ils me stimulaient déjà un peu. Les doigts de sa main gauche remontaient le long de ma cuisse.— Tu es sûre, commençai-je avant qu’elle ne pose son index sur mes lèvres pour me suggérer de me taire...?— Profite et ne pense à rien d’autre, me répondit-elle simplement !Elle redescendit sa main sur mon genou et remonta très lentement jusqu’à mon entrejambe. Elle souhaitait faire monter le désir par ses caresses alors elle réitéra la manœuvre mais en remontant avec le bout des doigts, ce qui me fit frissonner. Elle recommença encore une fois en approchant sa bouche de mon cou pour y déposer un long baiser, suivi d’un deuxième. Son souffle chaud était si excitant. Je me laissais complètement aller entre ses mains. Ses lèvres remontèrent chaque parcelle de mon cou jusqu’à mon oreille. Elle attrapa mon lobe entre ses dents, me le mordilla, me le suça et le tira doucement avec sa bouche. De petites explosions de plaisir commençaient à se manifester dans mon cerveau. Mes sens étaient de plus en plus en éveil.Sa main finit par se poser sur mon membre déjà bien gonflé. Elle le caressa de haut en bas avant de remonter et de me décalotter. Puis elle me recouvrit le gland en tirant au maximum sur mon prépuce jusqu’à en sortir les premières gouttes de mon liquide pré-séminal. Elle descendit son visage au niveau de mon bassin afin de présenter le bout de sa langue pour laper cette petite viscosité extirpée de ma verge. Elle continua en déposant de doux baisers descendant sur toute la longueur jusqu’à mes testicules qu’elle malaxa de sa main. Puis elle remonta en effleurant la peau de mon pénis de sa langue accompagnée par sa lèvre inférieure. Elle savait vraiment faire monter le désir. Ce traitement était tellement aux antipodes de ce que j’avais vécu dans la journée qui avait précédé que je ne savais pas si j’étais juste dans un magnifique rêve ou bien si j’avais vraiment la chance de vivre ça.Je ne perdis pas plus de temps à me poser des questions car Sana avait déjà engouffré mon membre. La douce chaleur de sa bouche et ses mouvements lents avaient un caractère particulièrement érotique. C’était bien la première fois qu’une femme prenait autant de temps pour faire si agréablement les choses depuis mon initiation il y avait une vingtaine d’années. Sa langue travaillait particulièrement bien. À chaque fois qu’elle revenait sur mon gland, elle me le titillait. Elle me rendait complètement fou d’excitation. Je savourais chaque seconde tandis que j’étirais mes muscles sous le plaisir procuré. Elle s’y prenait si bien que je n’avais aucune envie de la guider. Juste me laisser transporter par ce qu’elle me réservait.Elle décida alors de remonter ses lèvres sur chaque parcelle de mon corps, de mon sexe à ma bouche, me suçant les tétons de manière très agréable au passage, tout en gardant une main enroulée autour de mon pénis le masturbant doucement. Puis elle passa sa jambe gauche par-dessus mes hanches afin de placer son entrejambe sur mon gland. Je la sentis particulièrement humide alors que je ne l’avais pas vraiment stimulée jusque-là. Mais, visiblement, cette situation avait mis tous ses sens en éveil et la lubrification de son sexe en était la preuve. Elle s’empala très lentement et sa chaleur intérieure s’empara de moi à vitesse grand v. Elle me chevaucha à rythme s’accélérant à chaque mouvement de hanche, que je tenais entre mes mains pour l’aider dans ses mouvements. Elle étirait son corps en arrière pour accentuer sa croupe et les sensations en elle. Ses seins dansant devant mes yeux était un spectacle magnifique que je n’avais pas envie d’interrompre. Quelques rebonds supplémentaires sur mon lit. Ses mains s’emmêlant dans ses cheveux. Ma verge butant au fond de son vagin. Encore et encore. Une vision des plus envoutantes. La cadence augmenta encore. Des cris répétés et de plus en plus forts s’extirpèrent de sa gorge. Ses yeux se révulsèrent de plaisir. L’éclairage donné par la lune rendait cette scène érotique à souhait. Après avoir passé trente secondes à gémir de plaisir, Sana se retira de moi et reposa sa main sur mon sexe luisant de cyprine.— A ton tour, me dit-elle !Elle goûta d’abord à sa cyprine en me léchant de bas en haut et me branla en même temps. Elle y alla de plus en plus rapidement.— Ouiii... Continue comme ça... Mmmm..., commençai-je déjà à gémir.Elle ne se fit pas prier et augmenta encore l’intensité, plaçant sa bouche bien en face de mon gland sentant que ma semence serait expulsée dans très peu de temps. Et elle avait bien raison.— Je viiiiiiiieeeeennnnnsssss... Ouiiiiiiiiiiiiiiii...Et là ! Une sonnerie retentit. Le visage de Sana est remplacé par celui de ma Maîtresse. Mes yeux s’ouvrirent en grand et je criai de stupeur, ma bite à la main, les jets de sperme s’évacuant sur mon abdomen. C’était un rêve ! Un putain de rêve qui avait l’air bien réel ! Est-ce que mes rêves se termineraient toujours en cauchemars maintenant ? Je n’avais pas envie de revivre cette expérience traumatisante mais impossible de la contrôler non plus. Je regardai alors mon téléphone. La sonnerie était un message de ma patronne me rappelant mon rendez-vous pour mon dépistage. Putain de dépistage !

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