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Promotion Immobilière

Chapitre 1

Trash
Sur la façade de la vieille maison coincée entre deux immeubles récents, un grand panneau indique "Nouveau programme - Les terrasses de la vigne". La semaine prochaine, les travaux commenceront ; d’abord la démolition de cette bâtisse avant d’attaquer les fondations d’un nouvel ensemble immobilier, un petit immeuble de quatre niveaux vanté par la publicité agressive du promoteur.
Un homme se gare dans la rue, face à la maison dont la porte est ouverte. Il pénètre dans le couloir menant au bureau de vente, une pièce qui devait être une chambre, rafraîchie à la va-vite pour rendre cet espace agréable aux futurs clients avides de s’offrir un investissement locatif.
— Doc ! Quelle bonne surprise.— Bonjour Stéph... toujours aussi ravissante.
La femme quitte le bureau derrière lequel elle était assise, s’approche de l’homme en faisant claquer ses talons sur le carrelage usé par des décennies.
Il fait beau, un vrai temps de septembre ; la température est agréable, largement au-dessus de 24°. Brune, les cheveux mi-longs attachés par une barrette, vêtue d’une jolie petite robe lui arrivant à mi-cuisses, jambes nues et bronzées, elle lui tend sa bouche. Il la saisit par les hanches, la colle contre lui ; un baiser rapide lèvres contre lèvres. Il se recule, l’observe de haut en bas, s’attarde sur les jambes galbées par les très hauts talons, les cuisses à demi dénudées, les hanches pleines, la poitrine dont le haut est largement visible grâce à un décolleté profond souligné par un long collier.
— Hum... sexy, vraiment sexy ! Tu dois vendre facilement aux hommes qui entrent ici... — Tsss-tsss, c’est grâce à ma compétence que je vends ; d’ailleurs, tu m’en avais bien acheté deux.— Ouais, ton joli p’tit corps t’a bien aidé à me faire signer.
Elle a un rire de gorge, consciente que son physique et la façon de se vêtir contribuent largement à son succès professionnel.
Deux ans déjà qu’ils se connaissent ; ils se sont rencontrés sur un autre programme immobilier où il a fait, comme beaucoup d’autres, un investissement défiscalisé. Ils sont devenus amants, pas réguliers, mais se voient de temps en temps pour un verre dans un bar à vin ou dans un petit resto pour un repas qu’ils aiment partager.
— Tu restes un moment avec moi, ou tu passes en courant ?— Je viens de faire une consultation difficile. Même pour nous, les médecins, ce n’est pas toujours agréable. Te rendre visite me fait du bien.— C’est gentil, ce que tu me dis. — Et d’ailleurs... tu es terriblement sexy. Tu sais que tu me donnerais des envies ?
Elle sourit ; un frémissement court le long de son dos. Elle s’assoit sur le plateau du bureau, croise les jambes, se cambre en posant les mains en arrière.

— Doc, voyons, ce n’est ni l’endroit ni le moment.— Ah bon ? D’habitude, tu n’es pas si farouche.
Il s’approche, pose la main sur une cuisse, caresse la peau avec légèreté.
— Doc, c’est mon lieu de travail, on ne peut pas... — Allons, Stéph... Un quickie, ça ne te tente pas ?
La main de l’homme tente de s’infiltrer entre les cuisses croisées ; le tissu de la robe ne cache plus rien.
— Hum... tu as vraiment de belles cuisses... Et ton cul, ton superbe cul... descends du bureau et tourne-toi.— Doc, non ! Tu es fou, pas ici. Mais... tu es vraiment excité ! Je comprends que tu viens de passer un moment difficile. Tu devrais appeler ta salope de banquière, et...
Elle ne finit pas sa phrase : il plonge son regard dans le sien, les traits de son visage se sont tendus. Elle comprend, elle sait... À chaque fois qu’il l’a regardée de cette manière, une sourde excitation l’a envahie. Elle n’a jamais pu lui résister, ou plutôt jamais voulu. Alors elle cède avec veulerie, lui tourne le dos.
— C’est toi que je veux, toi avec ce cul magnifique ! Tu es un régal pour les yeux, Stéphanie. — Doc, écoute-moi ; n’importe qui pourrait entrer. Si tu veux, je vais me rendre disponible à 19 heures. — Non, maintenant ! lui répond-t-il sèchement. Suis-moi !
Il lui prend la main, la tire dans le couloir où un escalier mène à l’étage.
— Monte ! Ne t’inquiète pas : si quelqu’un arrive, on l’entendra.
La femme est maintenant complètement excitée. Elle sait qu’il va la prendre, sans fioritures, comme elle aime. Arrivés sur le palier du premier, il l’adosse à la rambarde de l’escalier.
— Montre-moi tes nichons !
Avec fébrilité, elle sort ses seins du soutien-gorge, puis du décolleté de la robe avec difficulté car avec l’excitation ses globes ont gonflé. Il a sorti sa queue et se branle lentement.
— Bien... Tu sais qu’ils sont superbes tes nichons ? Laisse-toi faire.
Il glisse les mains sous la robe, saisit les bords de la culotte, la baisse jusqu’aux chevilles. Puis il plie légèrement les genoux, glisse le bout de sa queue tendue entre les cuisses de la femme et l’enfile brusquement, profondément, presque violemment, sans aucune difficulté : la vulve de la femme est moite, gluante, avide d’être pénétrée. La voix rauque et hachée, elle l’interpelle :
— Dis donc, Doc, tu es super excité, et pourtant tu ne peux pas m’attacher cette fois-ci... — Toi aussi t’en avais envie : tu es trempée, petite salope !
Elle gémit, fort, les mains agrippées au cou de l’homme qui la baise. D’habitude, ils entament un long jeu de séduction qui se transforme en préliminaires pendant de longues minutes. Mais cette fois-ci, la forte envie du Doc de la prendre, une envie bestiale, s’est transmise à la femme.
Ils baisent furieusement ; il la bourre, les mains accrochées aux fesses de la femme. La rambarde de l’escalier contre laquelle ils sont appuyés tremble. Oubliée, la peur de se faire surprendre : l’excitation est trop forte. Au bout de deux minutes seulement, elle lui murmure :
— Je... j’aime ta bite, salaud... Je... vais venir !
Il glisse un doigt dans le sillon fessier de la femme, l’enfonce avec facilité dans le trou moite. Elle pousse un long gémissement, du plus profond de sa gorge, serrant les fesses sur le doigt qui fouille son cul.
— T’es bonne, Stéph... Bon dieu, j’adore te baiser, ton cul est brûlant !
Alors il écrase sa bouche sur les lèvres de Stéphanie dans un baiser profond, plein de salive ; il accélère encore le rythme de ses coups de queue. Quelques secondes plus tard il se fige, les doigts agrippées dans le cul de la femme, et éjacule en poussant un gémissement sourd. Stéphanie, la bouche grande ouverte, le corps raidi par la sensation de l’homme qui jouit en elle, se met aussi à jouir beaucoup plus bruyamment que le Doc.
— Eh ben, tu avais vraiment besoin de te vider les couilles ! — On peut le dire comme ça, lui dit-il encore essoufflé par l’effort, la queue toujours fichée en elle. J’avais surtout envie de baiser avec toi. Tu sais bien que tu es ma préférée. — Bien sûr... Tu leur dis ça à toutes. Ne t’inquiète pas, c’était très bon pour moi aussi.
Il se décolle d’elle, la queue encore dure dont s’écoule un filet de sperme. Stéphanie, encore hébétée par l’ampleur de leur jouissance, les jambes légèrement écartées, fixe la queue qui bat devant ses yeux. Un mélange de sperme et de cyprine coule de sa fente, glisse le long d’une cuisse, tombe sur le carrelage.
— On en met partout, dit-elle avec un petit rire de gorge. — Ne nettoie pas ; laissons un souvenir de nous dans cette vieille maison.— Salaud, tu es vraiment vicieux !
Son sourire se fige. Les yeux du Doc virent au gris foncé, le regard tendu vers l’escalier. Une tête d’homme dépasse, les cheveux raides et longs. Puis elle disparaît sans un bruit.
— Qu’est-ce qui se passe... il y a quelqu’un ? — Non, non, ne t’inquiète pas. — Ah bon... Pfff, quelle jouissance ! J’en ai plein la chatte, ça coule encore ! — Tu sais que ça fera du bien à ta peau, du foutre mélangé à ta cyprine ? dit-il en riant.
Elle éclate de rire...
— Tiens, essuie-toi, lui dit-il en sortant un mouchoir de sa poche. — Merci. Allez, on descend, si un prospect arrive...

o o o O o o o

Stupeur ! En retournant dans la pièce servant de bureau de vente, un homme est assis, un homme qu’elle connait bien. Il est déjà venu deux fois.
— Monsieur Lioubov... Bonjour, comment allez-vous ?— Bonjour, Madame Stéphanie ; j’ai besoin d’autres informations. Avez-vous cinq minutes à m’accorder ?— Bien entendu. Même une heure si vous voulez.
Très pro, Stéphanie a vite retrouvé son réflexe d’excellente commerciale. Bien que la jouissance qu’elle vient de vivre soit encore présente dans son corps, la possibilité de transformer un prospect en client, donc en quelques milliers d’euros de commission, prend le dessus.
— Madame Stéphanie, je crois que nous avons terminé, intervient le Doc. Merci pour la visite...— Merci, Monsieur Doc ; bonne fin de journée, réplique-t-elle, l’esprit déjà entièrement tourné vers la vente qui se profile. — Bien. À nous, Monsieur Lioubov. Vous êtes-vous décidé ? C’est un excellent investissement que vous pourriez faire.
L’homme hume l’atmosphère avec ostentation.
— Dites-moi, il y a une odeur particulière ici. — Ah bon ? Je ne sais pas ; je ne sens rien de particulier. Je vais ouvrir la fenêtre.
Stéphanie est intelligente ; elle a tout de suite compris... Elle vient de baiser, de se faire mettre bien profond, et elle a eu un orgasme, fort. Alors, bien entendu, son corps émet l’odeur caractéristique d’une femme qui vient de jouir.
Le Doc lui aussi a compris autre chose : l’homme assis dans la pièce, c’est la tête qu’il a vue dépasser de l’escalier alors qu’il était encore emboîté dans la chatte de Stéphanie. À peine installé dans sa voiture, il écrit un SMS qu’il envoie à Stéphanie : « Attention, je crois que ce type nous a vus ; appelle-moi si problème. »
À l’instant même où elle réalise ce que ce vieux type a compris, elle reçoit le SMS envoyé par le Doc. « Merde, je savais que c’était risqué... Il faut que je me sorte de ce pétrin. » se dit-elle.
Son prospect est moche, vieux : 69 ans, lui a-t-il avoué. Il a dû être beau lorsqu’il était plus jeune, mais avec le poids des ans… Bien qu’elle s’en défende, il a une façon de la regarder qui ne la laisse pas indifférente. Pire, son regard lubrique lui procure des picotements dans l’échine. Elle sent bien que ce vieux type est un vicieux. Tout sauf timide, il ne s’est jamais gêné pour la détailler des pieds à la tête. Et puis il n’a jamais cessé de faire des allusions plus ou moins salaces lors des entretiens précédents.
C’est plus fort qu’elle : à chaque fois qu’elle sent un homme éprouver du désir pour elle, une envie sourde de faire une fellation – sa spécialité – l’envahit ; mais des pensées s’entrechoquent dans sa tête : « Non, pas lui, pas ce type... Il ne doit plus bander, à son âge ; en plus, il est moche. Peut-être que... si je lui fais mon numéro spécial charme, il finira par signer et me fichera la paix. »
— Bien. Cet appartement m’intéresse, mais je veux 3%. — 3% ? C’est beaucoup. Je ne sais pas si... Écoutez, je vais en parler au promoteur, monsieur Lambdales. — Je veux une réponse rapide.— Rapide ? Euh... (elle réfléchit à toute vitesse) pourriez-vous repasser demain après-midi ? — Demain ? Hum... Pas plus tard si vous voulez que je signe, surtout après ce que j’ai vu en entrant ici !
Stéphanie feint d’ignorer l’allusion. Il lui faut obtenir ces 3% de son boss et séduire ce vieux cochon pour qu’il craque. Le sucer ? Non, quand même pas...
— OK. Alors disons demain même heure, dit-il en se levant, le regard volontairement braqué sur le décolleté de la jeune femme.
(À suivre)
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