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Le propriétaire

Chapitre 1

Gay
Bonjour, je suis Mathieu, j’ai vingt ans et je vais vous raconter le premier mois de ma rentrée universitaire et comment il a changé ma vie.
— Voilà donc les clefs de l’appartement, vous avez bien signé le contrat de bail, tout me semble en ordre, je repasserai sans doute dans la semaine pour réparer la lumière de la salle de bain comme convenu. Est-ce que tu as des questions Mathieu ?
Lui c’est Thierry, c’est grâce à lui que j’ai trouvé cet appartement, c’est le père d’un membre de mon groupe d’amis. Son fils est parti en étude dans une autre ville et il avait un appartement à louer, vu que c’est juste à côté de ma fac, j’ai dit oui directement ; quelle aubaine ! C’est un homme d’affaires qui a bien réussi dans la vie, même si j’allais souvent chez son fils pendant mes années lycée, je l’ai rarement croisé, tant mieux, car il me fait un peu peur.Il doit faire dix centimètres de plus que moi, barbe de trois jours et cheveux toujours impeccables. Il y a un énorme décalage entre lui et moi. Je suis frêle, pas très grand, toujours les cheveux longs en pagaille et je porte peu d’intérêt au dress code et à la mode, un fossé nous sépare.
— Mathieu, est-ce que tu as des questions ?— Ah, non, non tout est bon pour moi Mr Tenlec.— Parfait, profite bien de l’appartement, bon emménagement et à bientôt.
Pour la première fois, je suis seul chez moi, quel pied ! Je viens d’une famille nombreuse, j’ai partagé ma chambre avec mon frère pendant dix-neuf ans huit mois et douze jours, mais maintenant, je suis libre, je peux faire ce que je veux. C’est avec le cœur léger et le sourire aux lèvres que je vais me coucher pour la première fois dans mon lit, tout seul, sans personne à côté de moi.

Une semaine passe et tout se passe pour le mieux, mes cartons sont défaits, l’appartement est bien rangé et je me sens à l’aise, demain c’est la rentrée et je suis confiant, tout va bien se passer. Depuis que je suis seul, je me sens revivre, c’est comme une bouffée d’oxygène pendant un plongeon. Sur les coups de 19 h, à la tombée de la nuit, on sonne à la porte.
— Bonjour monsieur Tenlec, c’est pour la lumière ?— Bonjour Mathieu, bien je vois que tu as pris tes aises, oui c’est pour réparer ce qui marche mal dans cette maison.
La tournure de sa phrase est étrange, mais de toute façon, tout le personnage me semble bizarre, je ne fais pas attention.
— Pendant que je suis là Mathieu, il manque un document à signer, tu peux prendre mon PC portable dans ma sacoche et l’ouvrir ?
Je cherche donc la sacoche et prends le MacBook, je l’ouvre, il n’y a pas de mot de passe, l’ordinateur s’ouvre devant un lecteur multimédia avec «play me» d’inscrit dessus.

— Monsieur, il y a une vidéo, est-ce que je dois...— Lance la vidéo, j’arrive tout de suite.
Je lance la vidéo et mon visage se décompose, c’est une série de clips vidéo de l’intérieur de la maison, on me voit très clairement agir et bouger dans la maison, me gratter les fesses, me faire à manger.
— Mr Tenlec, je ne comprends pas, je...
Très vite, les images de la vie quotidienne sont remplacées par des vidéos de moi devant mon ordinateur, on me voit aller sur différents sites web, plusieurs en même temps, regarder des tonnes et des tonnes de vidéo différentes, tantôt avec des femmes noires aux grosses fesses, tantôt sur des filles qui s’introduisent d’énormes godes dans la chatte. Les vidéos me montrent aussi sur mon téléphone en train de discuter sur des applications de rencontres, avec une vidéo porno derrière. Bien sûr on me voit en train de branler ma petite bite sur des vidéos de plus en plus hard au fil des images, des gangs bang, des bukkakes, des femmes attachées et fouettées sur les seins et la chatte, dans des salons snapchat à montrer mes éjaculations.
Je découvre avec stupeur qu’en à peine une semaine, j’ai déjà fait autant de saloperies, je suis vraiment accro au porno et ma libido crève le plafond depuis que je suis seul, j’ai trop longtemps été bridé à une simple branlette sous la douche, là que je peux laisser mon corps s’exprimer, je tombe dans la débauche.
— Bien je crois que la lumière est réparée, tu as eu le temps de tout voir ? Rassure-toi, j’ai encore plein de fichiers comme ça, j’ai juste mis les meilleurs moments sur celui-ci. Dis donc Mathieu, tu t’es bien lâché, et tout ça en seulement une semaine, ça promet.— Qu’est-ce que... comment vous avez...??
Je ne comprends pas comment ni pourquoi, dans quel but fait-il ça ?
— Je ne vais pas y aller par quatre chemins, j’ai envie d’avoir une petite salope docile et malléable sur Amiens et tu es le candidat parfait, j’ai de quoi te faire chanter, un seul mot de travers de ta part et j’envoie toutes les données que j’ai de toi à tes amis, à ta fac, à tes parents et sur Internet. En d’autres termes, tu as le choix entre devenir ma petite pute pour quelque temps ou être celle d’Amiens pour toujours, je pense que la question est vite répondue, tu ne penses pas ? Ne reste pas là comme ça, va me chercher un truc à boire.
Des tas de questions filent dans ma tête, est-ce que j’étais directement visé ou les caméras sont là depuis longtemps ? Est-ce que c’est vraiment en train de m’arriver ? Est-ce que j’ai un recours face à ça ? La rentrée c’est demain, je n’ai jamais été très bon élève et je dois travailler si je dois réussir, j’ai encore le temps de changer de ville peut-être ? Il connaît ma famille, je n’ai pas envie de leur montrer mon historique hardcore Internet sous peine de les faire fuir... Merde, je suis en train de servir un verre de whisky à un homme qui compte abuser de moi. Comment ça a pu déraper aussi vite ?
Mr Tenlec prend le verre que je suis en train de lui tendre et me regarde directement dans les yeux, ils sont froids et lubriques, on peut sentir une perversion certaine.
— A poil ma nouvelle pute, me lance-t-il alors que mon regard sombre timidement vers le sol «fous-toi à poil pour moi et viens embrasser ta nouvelle condition de petite pute soumise» les mots sont forts, mais une boule dans mon caleçon vient chasser les idées noires et les remplace par une bonne dose d’excitation. Je me déshabille maladroitement et me retrouve nu devant cet homme. Il retire doucement les boutons de son jeans et déboutonne son pantalon dévoilant progressivement la bosse qui déforme son caleçon.— Je te présente « condition, viens l’embrasser », dit-il avec un regard carnassier.
Je me dis que je suis déjà foutu, que je n’ai pas d’échappatoire. Résigné, mais étrangement un peu excité, je m’assois à côté de lui dans le canapé et commence à mettre ma main sur sa bite, elle est plus grosse et longue que la mienne, ici aussi il y a un fossé entre nous. Ma main paraît petite quand elle est sur son chibre et je commence à le branler doucement de haut en bas, il plonge sa tête en arrière et me laisse faire, voyant qu’il ne m’oblige à rien et surtout qu’il ne me regarde pas, ma tête fonce vers son sexe fièrement dressé. Au moment où mes lèvres touchent le sommet de son sexe, c’est comme si je savais déjà quoi faire, comme si j’avais l’habitude, peut-être que le porno m’a éduqué sans le savoir, mais mon instinct prend le relais. Je commence par encercler son gland avec ma bouche, ma langue dessine des ronds tout autour puis le suce, des mouvements s’impriment de haut en bas sans que j’aie besoin de réfléchir.
J’arrive à mettre presque la moitié de sa bite dans ma bouche, mes mouvements s’accélèrent et je vais de plus en plus loin, focalisant son gland dès que mes lèvres passent dessus, léchant, humidifiant cet organe de chair. Mes lèvres se posent sur sa hampe, je monte de haut en bas, ne réfléchissant plus à ce que je fais.
Après peut-être dix minutes de ce traitement, je sens que son bassin commence à bouger de lui-même, sa main commence à remonter sur ma tête et à encercler mon chignon afin de dicter lui-même le rythme. Il dirige la danse maintenant, me faisant aller plus loin et plus vite, je manque de m’étouffer une fois ou deux, il l’entend à cause des «gag reflex», mais il continue de baiser ma bouche. De temps en temps, il retire complètement sa grosse bite de ma bouche et tapote violemment la joue avec sa verge pleine de ma bave et me laissant respirer. Il y a une odeur forte, mélange de ma bave, de son sexe et de la sueur des couilles qui monte jusque dans mon nez, quelle odeur enivrante ! Puis il replonge son sexe dans ma bouche rapidement. Je suis en train de me faire baiser la bouche par un homme viril et je bande sous les coups de boutoir qu’il imprime dans ma cavité buccale. Mon sexe me fait mal à force de bander, mais je n’y touche pas, par peur de rendre tout ça trop « réel ».
Après une dizaine de minutes d’un tel traitement, je suis à ma limite et par chance, c’est à ce moment qu’un téléphone sonne, ce n’est pas ma sonnerie, c’est son téléphone.
J’entends que c’est le boulot, ça parle d’un rendez-vous et d’une grosse annonce à faire. Il parle naturellement alors que je suis toujours en train de le sucer, plus lentement cette fois. Lorsque l’appel prend fin, il tire violemment sur mes cheveux pour me faire cesser ma fellation, un trait de bave relie son sexe et ma bouche.
— C’était une très bonne première fois, je sens qu’on va bien s’amuser, dit-il en tapotant son sexe sur mes lèvres. Je dois y aller, mais tu es très prometteur.— Tout de suite ? dis-je timidement, qu’est-ce qui m’a pris de dire ça. — Oui, rassure-toi nous allons nous revoir bientôt, et cette fois, tu auras ce que tu attends.
Il me sourit et se rhabille, alors que je suis toujours nu dans mon canapé. « Je te laisse un petit paquet, libre à toi d’en prendre connaissance pendant que je ne suis pas là, vois ça comme un petit cadeau pour la suite de l’aventure», il se rapproche de moi, place son pouce sur mon menton et le tire vers le bas pour ouvrir ma bouche, il y fourre alors son caleçon, me donne une petite claque amicale sur la joue. Il sort également un sac de sa mallette de travail, la dépose sur la table basse et quitte la maison.
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