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Le protocole de Delft

Chapitre 1

Inceste
Vous connaissez la Hollande ? Amsterdam, ses canaux et ses musées, Keukenhof et ses tulipes, Volendam et ses petites maisons de pêcheur…C’est bien pratique d’avoir une mère qui aime à la fois les voyages et son fils, et qui a les moyens d’entretenir ses deux passions. Nous étions en route pour un périple d’une semaine au pays des tulipes. Ma mère, Stéphanie, avait tout organisé. Bien sûr, elle n’avait pas pu prévoir ce qui nous arrivait. Il pleuvait à seaux, au point que malgré les va et vient frénétiques des essuies glaces, on ne distinguait même plus la route.― Arrête-toi, on va finir dans le décor, là.Elle entraperçut un panneau bleu qui indiquait un parking. Elle y engagea la voiture, qu’elle immobilisa enfin entre deux silhouettes métalliques. ― Il ne reste plus qu’à attendre que ça se calme, me dit-elle.Je jetais un œil sur une appli météo. Ils annonçaient des pluies diluviennes au moins jusqu’au lendemain matin. Le risque inondation était au rouge.― Alors on va passer la nuit dans la voiture, parce que ce n’est pas près de se calmer, lui-dis-je.― C’est un hôtel, là, non ?L’enseigne qu’on pouvait à peine distinguer au travers du rideau d’eau qui dévalait le pare-brise laissait penser qu’effectivement, c’en était un.― Je te propose qu’on aille voir s’ils ont des chambres pour la nuit, suggéra-t-elle.Mon esprit mal tourné de tout jeune adulte (j’avais 19 ans) me soufflait à l’oreille qu’ils étaient complets. Mais je gardai mon pronostic pour moi.― On prend les bagages ?― Allons voir d’abord, on reviendra après.Nous sortîmes de la voiture et il ne fallut que quelques secondes pour que nous soyons intégralement trempés, sous-vêtements compris. Je n’avais jamais vu de telles trombes d’eau.Le parking se trouvait sur un promontoire, l’hôtel sur un autre, et pour passer de l’un à l’autre, il nous fallait traverser une petite dépression du terrain. Nous étions à peine arrivés à l’entrée de l’établissement, qu’un bruit plus fort encore que le martèlement de la pluie nous fit nous retourner. Le petit ravin que nous venions de traverser était désormais envahi par un torrent impétueux. Nous étions coupés de notre véhicule et de nos bagages. Heureusement, ma mère avait pris son sac à main dans lequel se trouvait sa carte bancaire. Elle résuma parfaitement la situation en deux mots :― Et merde !Une solide flamande, blonde comme les blés, nous accueillit sans se formaliser du fait qu’une mare grandissait autour de nous et envahissait son carrelage.Nous lui demandâmes en anglais s’il lui restait deux chambres. Elle grimaça, ce qui en hollandais comme dans toutes les langues du monde signifiait que nous étions mal barrés. Elle nous regarda, parfaitement inexpressive, et articula :― Just one, with only one bed.Sans nous concerter, nous lui assurâmes que c’était parfait (enfin, “perfect”), et ma mère sortit sa carte, ce qui, en hollandais comme dans toutes les langues, signifie que nous étions ses nouveaux clients.Elle nous encaissa et émit une facture, nous donna une clef magnétique, et nous informa qu’il serait possible de bénéficier d’un room service entre 20 heures et 21 heures.La chambre était de taille moyenne, assez impersonnelle, mais bien chauffée. ― Bon, Valentin, il faut nous sécher le plus vite possible, sinon on va attraper la crève. Donc, douche bien chaude et sous la couette. On étend nos habits sur le radiateur. Je crois que jusqu’à demain matin, nous ne serons vêtus que du peignoir de l’hôtel.
Sauf qu’il n’y avait pas de peignoir à notre disposition. Seulement deux serviettes de bain.― Vas-y en première, lui dis-je, remarquant qu’elle claquait des dents sans même s’en rendre compte.Tandis qu’elle se douchait, du moins le pensai-je puisque je n’entendais rien d’autre que le martèlement de la pluie sur les vitres, je commençai à me déshabiller, fixant ma chemisette et mon pantalon sur deux cintres.Stéphanie réapparut au bout d’un petit quart d’heure, enveloppée dans sa sortie de bain et claquant toujours des dents. Elle se jeta sous la couette.Je me dirigeai vers la douche. J’essorai mon slip et l’étendis aux côtés d’un soutien-gorge et d’une petite culotte à dentelle. L’eau brûlante ne me réchauffa pas autant que je l’avais espéré. Je m’essuyai et mis la serviette aussi à sécher. Je réintégrais la chambre dans le plus simple appareil.Ma mère me regarda mais ne fit aucune remarque. Je me glissai à mon tour dans le lit.― J’ai encore froid, gémit-elle.― Viens, colle toi contre moi.Elle ne se fit pas prier, et je la serrai dans mes bras.― C’est normal que tu aies froid, la serviette est toute mouillée. Il faut que tu l’enlèves.Elle n’hésita pas longtemps et ôta le tissu en éponge dont elle ne savait quoi faire.― Donne-la moi je vais la mettre à sécher.Je me levai à nouveau, disposai la sortie de bain sur le dossier d’une chaise que je rapprochai du radiateur, puis me rallongeai à ses côtés.Je repassai mes bras autour des épaules de Stéphanie et la serrai contre mon torse. Je crus sentir la pointe de ses seins sur mon épiderme. Je l’embrassai sur le front.― Ça va ?― Un peu mieux, fut sa réponse. Voilà des vacances qui commencent très mal…― Hein ? Quoi ? Au contraire. Voilà des vacances qui commencent très bien ! (j’énumérai ce qui s’était bien goupillé et qui aurait pu aussi bien mal tourner.) On n’a pas eu d’accident. Il leur restait une chambre. L’électricité n’a pas été coupée dans cette partie du pays. On ne va pas attraper la crève. La voiture n’a pas été emportée par les flots. Tu imagines le nombre de choses qui auraient pu foirer ? Et les conséquences pour nous si une seule l’avait fait ? Une sortie de route… Plus de place à l’hôtel, nous sommes recroquevillés à l’accueil, complètement trempés, tandis qu’une solide paire de flahutes essaye de nous faire sortir, par la force s’il le faut… Alors, on n’est pas bien là ?― Si, tu as raison. Il faut que je regarde les choses du bon côté. Et je suis d’accord, ça aurait pu très mal s’arranger.Je n’avais pas énoncé tous mes arguments. Parmi ceux que j’avais tus, il y avait le fait que je tenais dans mes bras ma mère nue. Je lui caressai le dos, jusqu’à la naissance de ses fesses.Je m’aperçois que je ne vous l’ai pas présentée. Stéphanie a 47 ans. Elle mesure un peu moins d’un mètre soixante-dix, et elle a su rester mince. Ses cheveux châtain clair mi-longs encadrent un visage doux et régulier. Une poitrine assez généreuse tranche quelque peu avec sa silhouette élancée. Ma mère est une belle femme.Elle est cadre au sein de la Direction des Ressources Humaines d’une grande entreprise. Elle gagne correctement sa vie. Nous vivons seuls depuis le divorce de mes parents il y a sept ans. Stéphanie a obtenu ma garde sans mal. Je ne suis pas sûr que mon père ait même fait semblant de la réclamer. Depuis, il s’est trouvée une petite copine plus jeune que lui, fait des chantiers à l’étranger où il l’emmène systématiquement, et je ne le vois qu’une fois par an, au mieux. Si ma génitrice a un amant ou des aventures, je n’en sais rien. Elle n’a jamais ramené personne à la maison et ne sort pas en semaine ni le week-end. Mais elle pourrait parfaitement entretenir une liaison entre midi-et deux ou le soir après le travail. Elle revient toujours assez tard à la maison. Je ne l’ai jamais interrogée sur le sujet.De même qu’elle sait se montrer peu interventionniste dans ma propre vie privée. A dix-neuf ans, j’ai connu quelques filles parmi lesquelles le prénom de certaines m’échappe déjà, tandis que leurs traits s’estompent. On le voit, rien de sérieux. Je ne suis simplement plus puceau, mais pas en couple non plus.Mais revenons dans le plat pays et à cette fin de journée un peu particulière.Peu à peu elle desserra mon étreinte. Son mouvement fit glisser un peu la couette, dégageant le haut de ses seins. Elle capta mon regard et réajusta l’édredon d’un geste qui se voulait naturel, l’air de ne pas y toucher.― Tu as une idée de l’heure ? Me demanda-t-elle.J’avais regardé sur mon portable avant de la rejoindre sous les draps.― Environ 17H30.Dehors, le ciel était tellement couvert qu’on aurait pu penser qu’il était beaucoup plus tard, presque à la nuit tombée.― Il est tôt, continua-t-elle. Qu’est-ce qu’on va faire ?― Tu as quelque chose à bouquiner dans ton sac ? Lui demandai-je. Elle hocha la tête en signe de dénégation. Je n’avais rien non plus. On aurait pu lire et relire nos SMS et courriels respectifs sur nos smartphones, mais nous étions réticents à en vider prématurément la batterie sans bonne raison. Et les chargeurs étaient naturellement restés dans la voiture.Il y avait bien une télé, mais pas de télécommande. Je me relevai et trouvait un papier sur le bureau, qui expliquait dans plusieurs langues dont l’anglais qu’il fallait réclamer la télécommande à l’accueil moyennant caution. Aucun de nous deux n’était en tenue pour aller affronter à nouveau le dragon.Je n’avais pas l’habitude de me promener nu devant ma mère à la maison. Mais là, ça me semblait naturel. Je n’allais pas garder ma serviette encore mouillée à portée de main pour m’en couvrir quelques secondes lorsque j’avais besoin de me lever, uniquement pour une question de pudeur. Et puis, j’aimais bien sentir son regard sur mes fesses ou sur mon sexe.Je fouillais les tiroirs des deux tables de nuit et y trouvait une bible. En néerlandais, naturellement. Je la reposai à sa place, me demandant si, dans toute une année, il y avait encore ne serait-ce qu’un seul voyageur qui avait lu quelques pages de cet ouvrage avant de s’endormir. Vous aurez deviné que je pensais que non. Mais les traditions survivent souvent encore quelques temps après la disparition de ce qui avait été leur source. Et il y avait donc toujours une bible dans un de nos tiroirs. ― Donc, il n’y a strictement rien pour nous distraire, me dit ma mère.― Non, rien d’autre que nous deux.― Qu’est-ce que tu veux dire ? Tu veux que chacun propose à l’autre des devinettes ou des charades ?― Non, on va vite s’en lasser. Il y a d’autres occupations possibles plus distrayantes entre un homme et une femme, qui plus est tous les deux nus dans un lit.Elle marqua un temps de silence, comme si elle se refusait de comprendre ce que je suggérai ou cherchait ses mots pour me répondre. Elle aurait pu monter sur ses grands chevaux, mais choisit le ton de la dérision.― Tu te rends compte de ce que tu viens de dire ? De comment ça pourrait être interprété ?― Oh, rien d’ambigu dans mes propos. Je voulais dire exactement ce que tu as compris. Et je déplaçai la couette, dégageant presque entièrement ses seins.― Non mais, Valentin, ça ne va pas ? Je suis ta mère !Son ton était celui de la réprimande, mais je ne la sentais pas en colère. Surprise, oui, et peut-être aussi curieuse. D’ailleurs, ma mère ne se mettait que très rarement en colère. Et je peux vous dire que quand c’était le cas, ça n’avait strictement rien à voir avec la façon dont elle m’avait réprimandé.J’avais posé mes mains sur ses seins que je caressai doucement. Jamais de ma vie je ne m’étais permis une telle familiarité. Je n’en avais même jamais rêvé. Elle saisit mes poignets et les écarta sans violence, presque avec douceur. En attendant, elle n’avait toujours pas remonté la parure de lit.― Pourquoi ? Plaidai-je. Ce n’est pas agréable ?― Si, mais ça ne se fait pas. Je suis ta mère !― C’est la deuxième fois que tu me le dis comme si je ne le savais pas ou si ça pouvait être un argument. Si une mère et un fils ne peuvent pas se câliner, qui en a le droit ?Et je reposai une main sur son sein, l’autre caressant sa taille.― Tu appelles ça câliner ? Moi je dis « peloter ».Mais elle ne m’avait pas encore écarté, sans doute parce qu’elle se doutait que je reviendrai aussitôt à l’assaut et qu’elle mesurait l’inutilité de ce type de défense. ― Qu’est-ce que tu veux ? Coucher avec moi ?― Non, qu’est-ce que tu vas chercher ? Je veux juste faire mieux connaissance avec ton corps. Tu es la plus belle femme que je connaisse. Je n’ai jamais vu une plus belle poitrine que la tienne. Laisse-moi t’admirer, déposer des petits baisers sur ton corps. Ce n’est pas comme si tu avais mieux à faire…Je ne sais si cet argument lui fit un quelconque effet. A mon avis, elle évaluait la situation, cherchait un moyen d’en sortir sans trop de dégâts pour la suite de nos relations. Je déposai un baiser sur la pointe du sein que je tenais toujours en main.Son visage trahit d’abord la surprise, puis une sorte de révolte.― Valentin, arrête ! Je ne te permets pas !Mais ses protestations se cantonnaient au registre verbal. Elle aurait pu me repousser, sortir du lit, s’emmailloter à nouveau dans sa serviette humide et me passer un savon dont je me souviendrais tout le restant de ma vie. Au lieu de ça, elle argumentait, elle négociait et mes mains restaient collées à sa peau.Je rapprochai ma bouche de son sein, et commençait à titiller son téton avec la langue. Il durcit presque instantanément.― Ose me dire que tu n’aimes pas, la défiai-je.― Que j’aime ou pas n’entre absolument pas en ligne de compte. Je te parle de morale ! ― Oh, la morale… Ce n’est que le jugement des autres sur nos actes. Or, nous ne faisons de mal à personne et d’ailleurs personne n’en saura rien…J’abandonnai mes caresses buccales sur sa fière poitrine. Je rabattis un peu plus la couette dégageant son corps entre ses côtes et ses cuisses. Je déposai de petits baisers sur son ventre. J’étais revenu momentanément dans un registre de caresses à peu près convenables entre une mère et son fils. Un peu limites, mais acceptables. Aussi, elle me laissa faire, même si je l’avais presque entièrement dénudée.Je passai ma main sur sa toison pubienne, effleurant ses poils sans entrer en contact avec sa peau.― Je vois que tu te fais le maillot, mais ne taille pas ta touffe. C’est plutôt rare, non ?Elle ne répondit pas. Je comprenais qu’elle ne soit pas d’humeur à se lancer dans un débat académique sur l’intérêt de tailler ou non son buisson intime.Je remplaçai la paume de ma main par ma joue, toujours sans toucher sa peau.― C’est tout doux.Je déposai de petits baisers à quelques centimètres de sa fente, à la naissance de ses jambes. Ses petites lèvres débordaient un peu de ses grandes. Je crus voir un peu d’humidité entre ses chairs délicates.― Tu mouilles ? Lui demandai-je. ― Tu te rends compte de ce que tu demandes à ta mère ?Je décidai d’ignorer sa réplique.― Il me semble bien que si.J’effleurai ses lèvres intimes d’un doigt furtif. Je ne voulais pas lui laisser le temps de protester. Je portai mon index à ma bouche.― Je confirme : tu mouilles.Elle commit l’erreur de me répondre.― N’importe quoi. Et pourquoi mouillerai-je ?― Sans doute parce que, malgré tout ce que tu en dis, la situation t’excite. Ne t’en veux pas, c’est normal.Je déposai un rapide baiser sur ses petites lèvres et lui caressai les hanches.― Tu as vraiment un corps de rêve. Une vraie déesse.― Parce que tu as rencontré beaucoup de déesses, toi ?― Non, mais je sais les reconnaître quand j’en ai une sous les yeux.A ce moment-là, on tapa à la porte et une voix juvénile articula un guttural « room service ! »― Tu peux y aller ? Je ne suis pas très présentable, même avec la serviette autour des hanches… Lui demandai-je en lui montrant mon sexe en érection.― Tiens, tu as peur de choquer quelqu’un, toi ?― Non, j’ai peur de la rendre accro à mon anatomie et de provoquer le renvoi de son petit ami parce qu’il ne soutiendrait pas la comparaison. Je suis pour la paix des ménages.― Prétentieux !Mais elle se leva. J’admirai sa silhouette et ses fesses bien charnues. Elle saisit la serviette que j’avais mis à sécher, s’entortilla dedans et ouvrit la porte. Après un bref échange de politesse, la jeune fille disparut, sans doute pour effectuer une autre livraison. Stéphanie posa le plateau sur le bureau.Je me levai à mon tour et lui déposai un baiser dans le cou.― Qu’est-ce qu’on a ?― Je te laisse deviner, me répondit-elle, d’un ton un peu plus léger que lors à de nos derniers échanges.Il y avait par personne deux morceaux de hareng en sauce, deux biscottes que j’aurais qualifiées de suédoises, et un sandwich en pain de mie avec une tranche de jambon, quelques rondelles de concombre et une tranche de gouda ou d’un autre fromage du coin, ainsi qu’une bouteille de coca light.Elle me regarda d’un drôle d’air, en faisant une moue qui semblait dire « pas terrible ». J’étouffai un petit rire et embrassai furtivement la commissure de ses lèvres.― Bon, ça pourrait être pire. On aurait pu n’avoir rien à manger, être restés à grelotter dans la voiture ou dehors, en essayant de nous protéger de la pluie, etc. Bon appétit.― Toi aussi.Nos relations semblaient s’être re-normalisées à une vitesse qui m’étonnait.― Prochain repas, le petit déjeuner. En terrasse, parce qu’il fera un grand soleil.― Je crains que là, tu rêves. Lorsque nous eûmes terminé, j’arrangeais plus ou moins les reliefs de notre repas sur le plateau et le posai un peu plus loin. Elle s’était rapprochée de la fenêtre et contemplait les trombes d’eau qui cinglaient la vitre. Je m’approchai d’elle par derrière et l’enlaçai, mes mains se refermant sur sa poitrine.― Valentin… soupira-t-elle. J’étais persuadé qu’elle allait vouloir conserver la serviette. Pour éviter ce désagrément, j’entrepris de la défaire de son corps. A ma grande surprise, elle ne s’y opposa pas, et se retrouva à nouveau toute nue. J’étendis le tissu éponge devant le radiateur, tandis qu’elle se dirigeait vers le lit. Ses seins étaient encore plus impressionnants lorsqu’elle était debout. Ils dodelinaient sur sa poitrine ; j’avais l’impression qu’ils me faisaient signe de les rejoindre. Mon sexe était à l’horizontale tandis que je la détaillai, la bouche ouverte. Elle se moqua de ma réaction.― Ferme la bouche, tu vas gober une mouche !― Ce n’est pas une mouche que j’ai envie de gober, mais un téton.― Obsédé !Elle s’allongea mais ne rabattit pas la couette. Je m’allongeai à mon tour à ses côtés et lui coinçais le bout de son sein entre mes dents.― Ah, il y avait longtemps.― Ça t’a manqué ?Elle ne répondit pas et je ne dis plus rien, ma langue trop occupée pour perdre son temps à articuler des mots inutiles. L’heure n’était plus aux paroles.Je passai ma langue et mes lèvres sur chaque centimètre carré de ses seins. Elle ne disait rien, mais ne me repoussait plus, comme s’il était désormais acquis que j’avais le droit de la caresser.Je sentis bientôt ses mains se poser sur mon cou, me caresser doucement la nuque. Ce n’était pas tout à fait un encouragement, mais disons un accompagnement bienveillant. Elle tolérait mes privautés.Je m’attardais longtemps sur ses chairs laiteuses, m’émerveillant du fait qu’un corps si mince puisse être doté d’une poitrine aussi voluptueuse. Puis mes mains remplacèrent ma bouche au contact de ses mamelles tandis que ma langue traçait un sillon baveux depuis la naissance de ses pis jusqu’à son buisson dont elle fit le tour, ne perdant pas le contact avec sa peau nue. Comme tout à l’heure, ses petites lèvres dépassaient des grandes de quelques millimètres. Je les léchais le plus délicatement possible. Elle avait un peu resserré ses cuisses, ce qui ne faisait pas mes affaires. Je ne voulais pas la brusquer.― S’il te plait, écarte un peu tes jambes. Un petit moment passa au cours duquel elle ne bougea pas. Je comprenais qu’elle ne s’exécutât pas. C’était ce à quoi je m’étais attendu. Mais je n’avais pas de plan B, refusant tout geste qui aurait eu pour effet de la forcer.Puis elle se détendit et écarta peu à peu ses cuisses qu’elle finit par enrouler autour de mon cou, m’ouvrant en grand l’accès à sa vulve. Je ne me précipitai pas dessus comme un mort de faim sur un morceau de hareng. Je savourai d’abord la vue. Ses petites lèvres n’étaient désormais plus soudées et laissaient voir un peu l’intérieur de son vagin, plus rose.En croisant ses jambes autour de son cou, elle avait remonté son bassin, me mettant quasiment sous les yeux son orifice anal. Je ne me jetais pas voracement sur son sexe comme j’en mourrai d’envie, mais continuer à explorer son intimité avec ma seule langue que je glissai d’abord entre ses petites lèvres. Elle poussa un petit gémissement. Puis je descendis peu à peu vers sa rosette que je titillais du bout de la menteuse. Ses gémissements s’amplifièrent. Mes mains désertèrent à regrets ses seins pour se positionner sous ses fesses et les écarter un peu plus. Pourquoi l’homme n’a-t-il pas quatre mains ? J’aurais eu de quoi les employer !Je m’attardais plusieurs minutes sur son anus. Ses gémissements avaient fait place à des petits « Oh ! » qui exprimaient plus le plaisir que la surprise. Puis je remontais vers sa vulve. Mon visage était aussi trempé que si j’étais resté dehors. Je crus d’abord qu’il s’agissait de ma salive que je récoltais en caressant ses chairs de ma joue, mais je finis par me dire qu’il y en avait trop. Ma mère mouillait abondamment, preuve que mes attentions ne lui étaient pas du tout indifférentes.Je glissai ma langue entre ses petites lèvres aussi profondément que je le pus. Je sentais bien que son excitation commençait à fléchir. Mes mains reprirent possession de ses mamelles et j’abandonnai mes tentatives forcément limitées de pénétration pour lui sucer le clitoris.Ses petits cris reprirent de la vigueur, laissant bientôt la place à un gémissement continu qui me semblait gagner peu à peu en puissance sonore, comme le ferait l’avertisseur sonore d’une voiture de pompier qui se rapprocherait de nos oreilles.Je voulais qu’elle jouisse, et savais qu’après cela, il nous faudrait nous calmer et dormir. Mon sexe me faisait mal tellement il était tendu. J’allais devoir passer la nuit avec ma frustration, à moins de me relever pour me soulager dans la salle de bains. Ses mains étaient posées sur ma tête pour pas que je ne m’échappe, ce que, je vous rassure tout de suite, je n’avais nullement l’intention de faire. Lorsque je la sentais se rapprocher un peu trop près de son orgasme, je cessai tout mouvement, parfois même éloignait ma bouche de sa vulve.Elle râlait alors un peu par frustration, mais je ne consentais à revenir au contact de son petit bouton que lorsque j’estimai que la tension était suffisamment retombée pour qu’elle ne jouisse pas aussitôt.Je jouais ainsi un moment avec son désir, le plus longtemps possible en fait. J’en appris plus sur ma mère et sur le désir féminin que ce que représentait la somme des savoirs que j’avais pu accumuler depuis ma naissance. Il faut dire que la connaissance de ma mère était restée sur le plan strictement psychologie et jamais physique, alors que mon savoir sur le plaisir féminin provenait principalement des échanges entre garçons dans les cours de récréation, vous imaginez le niveau, agrémentés plus tard de quelques travaux pratiques dans l’ensemble plutôt maladroits.Mais elle finit par mettre fin à son supplice de Tantale. Alors que je m’apprêtais à m’éloigner une nouvelle fois de sa vulve en fusion, elle me bloqua le cou avec une vigueur à laquelle je ne m’attendais pas, tout en projetant son bassin vers moi. Elle se cabra aussitôt, et je compris qu’il n’aurait pas été fair play de ma part de ne pas lui donner ce qu’elle réclamait depuis plusieurs minutes. Je collai à nouveau ma bouche à son sexe, lui gamahuchant le clitoris avec plus de vigueur que jamais. Elle poussa un cri des plus vigoureux qui aurait attiré l’attention de tous les habitants de l’hôtel si la pluie qui martelait sans cesse les fenêtres n’avait pas plongé chaque chambre sous une espèce de dôme d’intimité inviolable.Elle s’effondra sur le dos, bras et jambes bien écartées, offerte et comblée, toute gêne désormais évaporée.J’avais envie de lui demander si elle avait eu du plaisir, mais lui faire exprimer par des mots ce que je savais déjà me semblait être une façon inconvenante de lui forcer la main. Je remontai à sa hauteur, prenant appui sur un coude, une main jouant nonchalamment avec un téton.― Tu es très belle.Elle me retourna un sourire que je qualifiai d’enfantin, bien que, évidemment, je n’ai jamais connu ma mère enfant et n’avais donc aucune idée du sourire qu’elle avait alors.― Merci mon chéri !Je ne sus pas à quoi elle disait merci. A mon compliment ou au plaisir que je lui avais donné ?― Qu’elle heure il est ?On avait dépassé 22h30.― On va dormir, maintenant.Je savais que ça finirait ainsi, mais j’en fus malgré tout un peu affecté. Elle accepta sans protester que je me colle à elle, le sexe plaqué contre sa raie, les mains collées à ses mamelles.

* * *

Ce furent mes doigts qui s’éveillèrent en premier, triturant aussitôt ses tétons, quelques secondes ou quelques minutes avant que je n’en prenne conscience.Il ne pleuvait plus et le soleil inondait la chambre. La veille, nous n’avions pas baissé les stores, le ciel était si noir que ce n’était pas utile.― Tu vois, je te l’avais dit, lui dis-je en augmentant la pression de mes mains sur ses seins.― On arrête maintenant, Valentin, me répondit-elle en se levant et se dirigeant vers la salle de bains.J’admirai pour la dernière fois sans doute le galbe de ses fesses que j’avais exploré sous toutes les coutures avec ma langue. Je savais que nos quelques heures d’intimité incestueuse étaient terminées et ne reviendraient jamais. Sa voix était calme, douce même, mais son ton sans appel. La parenthèse avait pris fin en même temps que la pluie. La chanson de Brassens me vint spontanément à l’esprit :Parlez-moi de la pluie, et non pas du beau temps,Le beau temps me dégoutte et m’fait grincer des dents…Elle attrapa sa serviette qui devait maintenant être sèche et disparut dans la salle de bains. Elle en ressortit un quart d’heure plus tard, entièrement habillée. J’entraperçus même les bretelles de son soutien-gorge.Je me douchai à mon tour, un peu maussade. Je ne bandais plus et m’abstins de me masturber.Nous prîmes le petit déjeuner sur la terrasse. Quelqu’un avait posé des parpaings et des planches sur le lit presque asséché du petit torrent qui s’était formé la veille entre l’hôtel et le parking.Et nos vacances reprirent le cours qu’elles n’auraient jamais dû quitter s’il n’était pas tombé autant d’eau en quelques heures. A SUIVRE…
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