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Prude salope

Chapitre 1

L'habit ne fait pas la nonne

Hétéro
Chapitre I
Avez-vous déjà connu cet instant au cours duquel vous vous demandez à quel moment une journée tout ce qu’il y a de plus banale a totalement vrillé ?
C’est très exactement ce que je ressens alors que je marche à un rythme soutenu pour rentrer dans mon modeste appartement d’étudiant. Je me suis levé ce matin avec le simple projet d’aller en cours puis de rejoindre Juliette à son domicile afin de travailler une présentation orale et je me retrouve ainsi ; peu fier et le boxer souillé de foutre à rêver d’une bonne douche et de ma couette.
Remontons donc rapidement le temps dans le but de rejouer ce scénario improbable.
La journée s’était déroulée comme escomptée jusqu’à la dernière heure de cours, c’est-à-dire ennuyeuse et peu ou prou identique aux précédentes. Il ne me restait plus qu’à retrouver Juliette à la cafétéria pour que l’on aille travailler chez elle. Nous en profitâmes pour faire plus ample connaissance puisque ce fut le hasard d’un retard commun lors de la distribution des sujets qui nous amena à faire équipe. Contrairement à moi, qui venait de l’autre bout de la France, elle n’avait pas quitté le domicile de ses parents pour poursuivre ses études et vivait de ce fait dans une grande maison bourgeoise que j’eus rapidement le loisir de découvrir. Ma timidité et sa réserve n’amenèrent pas à de grandes discussions et furent même à l’origine de quelques silences pouvant facilement être qualifiés de gênants.
Il convient pour votre bonne compréhension que je vous précise certains points à son sujet : en toute objectivité, Juliette est une très belle jeune femme que certains considèrent comme étant trop réservée, discrète, voire coincée. Elle cultive un style légèrement guindé, très BCBG, qui ne trompe guère sur ses origines bourgeoises. Les rares fois où on la croise aux soirées étudiantes, elle semble vêtue pour aller à la messe et ne reste jamais bien longtemps, ce qui me semble être une idée pertinente si l’on considère la manière dont la plupart terminent. Enfin, je dois vous avouer qu’elle me fait craquer et je la séduirais bien volontiers si elle n’était pas déjà en couple... et moi aussi timide.
Ceci étant précisé, reprenons notre récit. Nous étions seuls chez elle à creuser notre sujet jusqu’à ce que la sonnette retentisse. C’était Mickaël, son ami. Elle me proposa de faire une pause pour me le présenter, ce que j’acceptais, plus par convenance sociale que réelle envie puisque cela impliquait de la voir collée à lui. Cette crainte se révéla fondée puisque je la vis se métamorphoser en lui ouvrant la porte, la Juliette coincée laissa la place à une jeune femme enjouée et souriante, ce qui me fit mal au cœur, car il était évident qu’elle l’aimait.
Je me permets à nouveau une brève interruption dans le récit pour vous toucher un mot sur Mickaël. Pour faire court : vous voyez le beau gosse sportif à brushing qui hante nécessairement tous les films américains se déroulant dans une université ? Et bien c’est lui, le blouson de footballer en moins. J’aurais pu vous dire que ledit brushing dissimulait un vide abyssal dans sa boite crânienne mais il s’avérait qu’il était brillant... et très sympathique.
Par chance, je n’eus pas à supporter sa perfection trop longtemps puisqu’il devait assurer des séances de soutien scolaire (on frôle le cliché, voire, on l’embrasse joyeusement). Vous pouvez dès lors légitimement vous demander quel est l’intérêt de mentionner sa venue pour le faire disparaître aussitôt. C’est tout simplement pour vous faire comprendre qu’à ce moment précis, j’avais définitivement perdu toute forme d’espoir d’une hypothétique éventuelle possibilité de rapprochement avec Juliette.
Nous reprîmes donc nos études, je profitai en lot de consolation de chaque opportunité pour admirer (ok, mater est le mot juste) Juliette. La simplicité de sa tenue la faisait irradier d’élégance, elle était vêtue d’un chemisier blanc cintré et d’une jupe à carreaux qui laissait deviner des hanches voluptueuses et la naissance de fesses certainement rebondies. Elle s’était uniquement autorisée à ne pas conserver son éternel chignon pour laisser ses longs cheveux blonds libres de tout mouvement.
Le contexte étant défini, les acteurs introduits et la scène prête, nous pouvons dès lors aborder l’élément déclencheur du basculement vertigineux de cette journée.
Il arrive parfois qu’une succession de petits événements de prime abord anodins puissent conduire à une situation totalement imprévisible. J’avais un doute sur la définition d’un concept, Juliette voulu la vérifier dans ses cours qui se trouvaient rangés dans un sac posé sur la table. Une simple maladresse fit chuter ce dernier à mes pieds, chute qui laissa s’en échapper un seul objet : un genre d’ogive métallique terminée par un pied décoré d’une imitation de rubis en plastique. Bref ! Un plug anal.
Impossible de dire qui était le plus gêné de la situation, nos visages ayant viré au rouge cerise de manière parfaitement synchronisés.

— Oh ! Merde ! Jura-t-elle, c’était bien la première fois que je l’entendis prononcer une grossièreté.— Euh... (Avouez que vous n’auriez pas dit mieux).— Ce n’est pas à moi, je le garde pour une copine ! Bafouilla-t-elle nerveusement. Mon Dieu, quelle gêne, je suis désolée, on en était où ? Tu n’as rien vu hein ? S’il te plaît, fait comme s’il ne s’était rien passé, je t’en supplie. J’ai trop honte, mitrailla-t-elle de panique sans chercher à reprendre sa respiration.— Euh, t’inquiètes pas, ça va aller, j’ai pas l’intention de te nuire.— Sérieusement, pour quoi je passe ?! En plus c’est pas à moi !— Juliette, tu crois vraiment ce que tu dis ? Enfin on a plus quinze ans, c’est pas un drame.— Tu rigoles ou quoi !— Tu as vu les spécimens avec qui on est en cours ? Je suis pas certain que ça soit avec ça qu’on les choque ! Il doit même y en avoir une partie qui doit avoir essayé bien pire !— T’as pas tort. Tu promets de ne rien dire ?!— Ok ! Pas de souci ! Tu peux avoir confiance en moi.
Nous tentâmes de nous remettre à nos études. Bien évidemment, nous étions incapables de nous concentrer. Ce fut Juliette qui craqua la première.
— Tu en penses quoi ?— De changer la problématique, c’est un peu tard quand-même !— Non, de ce que tu as vu ?— J’ai un délai pour répondre ? Parce que pas grand-chose là tout de suite.— Ça n’a pas l’air de te choquer ? T’en as déjà utilisé ?— Non ! Tu te fiches de moi !— Je veux dire avec ta copine.— Ah ! Euh... j’ai pas de copine... en ce moment.— Oh ! T’en as certainement eu quelques unes pour avoir un pareil flegme dans cette situation.— Si si, quelque unes, dis-je sans oser pas lui dire qu’elle confondait flegme et mélange d’introversion et de timidité.— Ah, d’accord, répondit-elle sans trop de conviction, laissant comprendre qu’elle se doutait de quelque chose.
Nous reprîmes encore une fois nos études, en étant encore moins concentrés que précédemment. Et encore une fois, ce fut elle qui ramena le sujet.
— Je peux te poser une question ?— Bien sûr.— T’es puceau ?— Hein ! Evidemment que non ! Pourquoi tu dis ça ?— C’est une impression. Si tu me réponds franchement, sincèrement, alors je te dirai quelque chose sur moi.— Pfff, après tout ça nous mettrait à égalité. Ok, j’ai jamais vraiment eu de copine.— Là ça se voit que tu es sincère.— Sérieux ?! Putain, c’est la première fois que je le dis, je me sens pas bien là !— Alors à mon tour. Telle que tu me vois, sous mon apparence de pimbêche BCBG coincée... et ne me contredis pas car je connais les ragots sur moi... j’aime le sexe, enfin je veux dire j’aime vraiment le sexe, à tel point que ça m’occupe l’esprit la majorité de la journée.— … (sérieusement, vous voulez dire quoi à ce moment précis !)— Je passe mon temps à baiser avec Mickaël, à me toucher et à fantasmer. — Pour le coup... je m’y attendais pas à celle-là.— Comme ça on est à égalité : t’es un puceau et moi une salope.— Faut pas dire ça... enfin si pour moi c’est un fait, mais tu es encore libre de vivre ta vie comme tu l’entends.— Je le vis bien, c’est juste que je veux que ça reste discret. D’ailleurs j’aime ça mais je choisis mes partenaires avec soin, je préfère largement m’occuper de moi toute seule que de le faire avec une personne pour laquelle je ressens le moindre doute.— Tu sais que je te jalouse, moi j’ai le plus grand mal à approcher les filles, je crains qu’elles me repoussent.— Tu devrais te lancer, oser complimenter avec sincérité, si elle sourit ou mieux encore, elle rougit, alors c’est bien parti. Sinon laisse tomber au risque d’être lourd, me conseilla-t-elle en posant sa main sur ma cuisse.— Ça paraît si simple quand tu le dis.— Parce que ça l’est, répondit-elle en haussant les épaules et en esquissant un petit sourire.— Tu me plais, laissai-je échapper sans m’en rendre compte.— Je l’avais compris, je connais bien ce regard. Laisse-moi faire.
Juliette se leva et vint s’asseoir sur mes genoux. Elle me caressa la joue de sa main en chuchotant « j’ai très envie de t’apprendre à faire du bien à une femme, j’ai l’impression que ça correspond à ta façon de voir les choses ». J’étais pétrifié, ne sachant pas quoi faire de mes mains, ou même quoi lui répondre, je ne pensais qu’à mon sexe qui venait de brutalement se réveiller pour occuper tout l’espace disponible dans mon jean. Elle s’approcha de mon oreille pour me susurrer « tu n’as vraiment jamais touché une femme ? Alors laisse-moi te guider ». Elle prit ma main pour l’accompagner sur l’un de ses seins, la promenant tout d’abord sur son galbe avant de s’approcher petit à petit du téton. « Les sensations sont encore plus exquises sans le voile de tissu », ajouta-t-elle en déboutonnant son chemisier pour me faire accéder à son soutien-gorge.
Je profitai de chaque instant de cette découverte, ses seins étaient à la fois doux et fermes, ses tétons clairs durcissaient à mesure que ma main les caressaient. « Sois doux avec la poitrine d’une femme, laisse tes doigts produire leur effet sur la peau, au contraire, n’hésite pas à pincer les tétons, regarde mon visage pour savoir si tu dois y aller plus fort ou plus doucement ». Je n’avais jamais senti mon sexe aussi raide, il était prêt à exploser à tout instant, le risque de ne pas me maîtriser me terrorisait.
Puis Juliette posa ses lèvres sur les miennes, je la laissais me conduire dans son monde. Elle les écarta pour laisser passer le bout de sa langue, je fis de même, me laissant transporter par le plaisir. Elle se retira pour continuer sa leçon : « se faire caresser les seins est délicieux, mais bien moins qu’entre les cuisses. Glisse ta main sous ma jupe, tout doucement, laisse-toi le temps de découvrir, de caresser, d’observer le plaisir que tu me procures ainsi ». Ma main tremblait lorsque je la posai sur sa peau satinée et se calma un peu en sentant la chaleur qui en émanait. J’approchai de l’intérieur de ses cuisses, sa respiration se fit plus profonde, ma main disparut sous sa jupe, la chaleur s’intensifia, Juliette me fit un sourire. Elle me prit la main pour les derniers centimètres qui menaient au tissu de sa culotte, elle se mordit la lèvre inférieure.
— Tu sens cette humidité ? C’est toi qui en es le responsable, ça veut dire que j’aime ce que tu me fais.— Tu es si douce, j’ose à peine te toucher.— Ça viendra, bientôt tu seras capable de chevaucher une femme comme un étalon. Mais il te reste encore un peu de chemin à parcourir, pour cela tu dois tout d’abord écarter ma culotte pour entrer en moi.
Elle était mouillée, mes doigts trouvèrent ce dont elle venait de me parler, je n’eus pas à forcer pour arriver à la destination finale de mon voyage érotique. Sa respiration s’accéléra et se fit encore plus profonde lorsque je fus en elle, Juliette m’invita à utiliser mon pouce pour jouer avec son clitoris qu’elle qualifia de « clef de son plaisir ». Son corps se raidissait, elle était prise de légers spasmes jusqu’à ce que je l’entende gémir et la sente se contracter en se serrant contre moi. Sentir ses fesses gigoter contre mon sexe me fit passer à peu de choses de souiller mon boxer, une intense concentration me permit d’éviter le drame. Je ne parvenais pas à savoir si Juliette venait d’avoir un orgasme ou si elle venait d’atteindre un stade supérieur dans le plaisir.
— Tu te débrouilles bien pour une première fois. Maintenant c’est à moi de m’occuper de toi. On va aller sur le lit, ce sera plus confortable.
Le chemisier à moitié ouvert, Juliette me chevaucha en levant sa jupe, me permettant de découvrir sa petite culotte au passage, afin de mieux sentir le tissu épais du jean sur sa peau. Elle entama de légers mouvements du bassin d’avant en arrière, me prenant les mains pour les mettre sur ses hanches.
— Tu es bien dur, je sens mes lèvres qui veulent s’écarter au contact de ton sexe. J’ai l’impression qu’il est impatient d’aller visiter l’intérieur de mes cuisses, de découvrir la chaleur entre les reins d’une femme. Et si on commençait par lui offrir quelques coups de langue et lui faire découvrir ma bouche. Ça sera l’occasion de lui mettre sa tenue de sortie.
C’en était trop, je ne parvenais plus à me contrôler. Ses mouvements de hanches s’accentuaient et le programme qu’elle m’annonçait m’excitait bien trop, si bien que je sentis mon sexe se contracter dans un orgasme qui répandit mon sperme dans mon boxer. Juliette le remarqua et fit un sourire un tantinet moqueur avant de me réconforter : « t’inquiète pas, j’ai bien joui quand j’étais sur tes genoux. Ça arrive à tout le monde, ç’aurait même été surprenant que tu parviennes à te retenir jusqu’à la fin alors même que c’est ta première fois ». Elle déboutonna mon jean, le baissa et dégagea mon sexe de mon sous-vêtement. Avec un mouchoir, elle essuya le foutre qui s’était répandu. « On va voir si tu peux redémarrer tout de suite » me dit-elle avec le sourire. Mon sexe était pour la première fois entre les mains d’une femme qui le branlait avec soin et dextérité. Très vite l’excitation prit le dessus et je le vis se remettre en érection.
Ma queue était tendue à souhait, Juliette passa délicatement ses lèvres sur toute sa longueur. Ses doigts décalottèrent mon gland dont l’apparition fut gratifiée d’un coup de langue, puis d’un autre, et encore d’un autre, avant de le voir disparaître dans sa bouche. Je me disais qu’il valait mieux avoir eu ce petit accident avant car je n’aurais pas su comment réagir s’il était advenu en cet instant : aurais-je dû la prévenir ? Jouir dans sa bouche ? Je n’en savais rien. Tout ce dont j’étais certain en ce moment, c’est que Juliette savait sucer excellemment bien, je ne pensais plus à rien, tout mon stress s’était évanoui, j’étais incapable de dire depuis combien de temps elle s’occupait de moi.
Juliette se redressa pour retirer son chemisier et son soutien-gorge puis retira sa culotte qu’elle expédia au sol. Elle attrapa d’une main l’emballage d’une capote qu’elle déchira, me faisant comprendre ses intentions. N’étant plus protégées par sa culotte, je sentis ses lèvres humides directement sur mon sexe, elle recommença son jeu de hanche.
— Tu peux me toucher si tu veux mais laisse-moi faire le reste, il est temps que ta queue devienne celle d’un homme et c’est ma chatte qui va avoir cet honneur. Je suis aussi humide que tu es dur, ça va être délicieux.
Elle prit mon sexe d’une main, le redressa, pour la première fois je sentis mon gland se frayer un passage entre ces lèvres que je désirais tant. Il était proche de l’entrée. Juliette ferma les yeux, son bassin s’abaissa doucement sur mon sexe qui pénétra en elle. Cette sensation de le sentir enrobé, même compressé, en cet endroit où régnait une douce chaleur humide était exquise. Elle effectuait de lents mouvements de va-et-vient, ma queue glissait le plus naturellement dans la profondeur de son ventre. Elle me fit prendre ses sein à pleines mains en me susurrant « maintenant tu peux les serrer, les malmener, sans être trop brutal non plus ». Je la vis se mettre à jouer avec son clitoris, elle gémissait, ses yeux partaient de temps à autre vers le ciel avant de replonger dans les miens.
Elle accéléra ses mouvements de bassin en accentuant leur amplitude dans le même temps, puis elle ralentit le jeu avant de recommencer à nouveau à plein rythme. « Alterne le rythme et l’intensité, essaye de ressentir les envies de ta partenaire, qu’elles deviennent les tiennes et tu la feras jouir à coup sûr. Tiens, place tes mains sur mes hanches et à toi de jouer ». Je la serrais fort, donnant à mon tour le rythme, j’allais profondément en elle. Juliette put ainsi se laisser aller à son plaisir. Ce qu’elle était belle, je ne l’avais jamais vu aussi libre, sans chercher à se donner un côté guindé et strict. Ses seins bougeant au rythme de mes coups de reins étaient un ravissement pour mes yeux. Je sentis que quelque chose se produisait en elle, comme si elle se laissait envahir, sa respiration devenait plus saccadée, elle haletait la bouche ouverte.
Juliette se pencha sur moi, vint m’étreindre et dut se concentrer pour me dire, entre deux mordillements d’oreille : « je vais être la première femme à venir dans tes bras, tu devrais déguster ce moment ».
Elle se mit à gémir, son corps entier était contracté, serré contre moi. Je pus affirmer en cet instant qu’il n’existait aucun moyen de reproduire cette sensation de sentir une femme s’abandonner complètement à l’extase, ni film, ni roman, encore moins le porno. Il n’en fallu pas plus pour que moi-même j’eus également un orgasme.
Nous prîmes quelques minutes pour nous détendre, sans rien dire. Je regardais son corps nu, son visage, je me perdais dans ses yeux. J’étais puceau, cela me faisait peur, car plus le temps passait, plus je me disais que ma première fois serait avec une fille expérimentée qui me reprocherait d’être un mauvais coup alors que je ne saurais lui avouer la vérité. Juliette n’était pas comme ça, elle venait de m’apprendre que le sexe n’était pas une compétition mais une aventure menée ensemble.
Son téléphone sonna : un message.
— Aïe ! C’est Mickaël, il arrive. On a baisé plus longtemps que je croyais.— Mince, je ne vais pas te mettre dans de beaux draps, j’y vais.— Sors par derrière, il ne faudrait pas qu’il te croise alors que tu pues le sexe... et mon parfum. — Ça marche, je décampe !
Voilà ! Vous savez donc toute l’histoire qui me conduit en ce moment même à rentrer chez moi avec mes fringues souillées de foutre... et de cyprine. Jamais je n’aurais cru en me levant que ma vie prendrait un tel tournant. Pourtant, en l’espace de quelques heures j’avais réussi à perdre mon pucelage avec la fille de mes rêves, qui s’était même donnée pour mission d’être mon professeur de sexe, et à devenir son amant. D’où ce besoin d’une douche, de ma couette, et peut-être d’une bonne bière !

Reste maintenant à savoir où toute cette histoire va me mener !

Chapitre II
Je me concentrais pour ne pas réveiller toute la maison, me mordant la lèvre inférieure pour ne pas gémir. Il était en moi, allant et venant exactement comme je le voulais, c’était merveilleux ! Je m’offrais en sus ce petit plaisir de jouer avec mon clitoris, promenant mes doigts tout autour de ce petit bouton rendu dur par l’excitation, m’égarant parfois sur mes lèvres. Je ressentais la tension s’emparant de mon corps qui était tout entier tourné vers le brasier qui consumait mon entrejambe. Plus rien d’autre ne comptait que le plaisir, y compris ces maudits cheveux qui me rentraient dans la bouche et me chatouillaient le nez. Il était pourtant hors de question de distraire mon amant dans son héroïque quête pour un plaisir qui prenait progressivement possession de l’entièreté de mon être. Enfin ! Je le sentis venir, le feu s’intensifiait, s’étendait jusqu’à devenir jouissance en un orgasme libérateur qui me força à mettre mon oreiller sur le visage pour étouffer mes cris de plaisir.
Je décidai de rester allongée sur mon lit, les draps étaient défaits après ces galipettes matinales. Une journée débutant par un orgasme ne pouvait que bien se passer et j’avais encore un peu de temps avant d’aller prendre ma douche, d’autant plus que ma famille se serait posée des questions en me voyant essoufflée, ébouriffée et transpirante au petit matin. Je m’efforçai tout de même de nettoyer mon amant de ma cyprine, après tout c’est la moindre des choses que de se soumettre à un tel étalon... et ça n’est pas très hygiénique de ranger un gode sans le laver.
Toutefois, mon esprit fut très vite envahi de questionnements. J’avais trompé Micka. Je me refis le film pour parvenir à comprendre de quelle manière cette journée avait vrillé à ce point. Je devais suivre mes cours puis travailler un exposé avec un type plutôt timide qui m’avait été imposé du fait d’un retard en cours au moment du choix des sujets. Il était plutôt sympathique mais visiblement complexé par son physique : grand et mince, ce qui devait sans doute être l’une des causes de sa grande timidité. Pourtant il n’avait pas de quoi, certes, il n’était pas un « canon » d’après les normes actuelles mais je lui trouvais un certain charme. Si ce maudit bouchon anal n’était pas tombé, rien de tout ceci ne serait arrivé... quoique, en reformulant la problématique : comment, de l’humiliante découverte d’un jouet sexuel, pouvons-nous parvenir à une partie de jambes en l’air ?
Pis ! J’étais ainsi devenue sa première fois, ce qui signifiait que j’allais rester à jamais gravée dans sa mémoire. Cela dit, je vous assure qu’il fut un amant très convenable. Je n’avais aucun doute qu’il avait le potentiel pour devenir exceptionnel, tout simplement parce qu’il s’était intéressé à sa partenaire... et c’était peut-être ça le fond problème.
Il faut que je vous explique quelques points complémentaires pour que vous compreniez pleinement ce dont je veux parler. J’étais en couple avec Mickaël, que je surnommais en mon for intérieur : « Monsieur Parfait ». Il était grand, beau, intelligent, sportif, parfaitement intégré, un modèle pour bien des amis et gentil avec moi. Vous pouvez dès lors très légitimement vous interroger sur les raisons qui ont motivé un tel écart de conduite avec un homme que l’on pourrait qualifier de lambda ou encore d’invisible socialement. En effet, toutes mes copines me jalousaient d’être en couple avec M. Parfait, me répétant sans cesse que j’avais de la chance. De même, mes parents me rappelaient inlassablement que j’avais une chance incroyable d’avoir trouvé un tel homme et que je devrais songer à faire ma vie avec lui. Bref ! Au risque de me répéter : j’en avais de la chance d’être en couple avec M. Parfait !
Et lui ? A aucun moment je n’ai entendu dire qu’il avait ne serait-ce qu’un peu de chance d’être avec moi. Je ne pensais être ni égocentrique ni narcissique mais j’avais parfois envie de crier que j’existais et que je n’étais pas un objet décoratif qui avait exprimé le désir de vivre par procuration. Moi aussi j’en avais des coupes de championne, de très bons résultats et d’autres trucs comme ça. Sans oublier qu’à force de s’entendre dire qu’il était le plus beau et le meilleur, lui le devenait peu à peu ; égocentrique et narcissique. Je l’aimais sincèrement pourtant je supportais de moins en moins ses travers car ils commençaient à avoir un effet sur notre couple, notamment au moment de nos rapports intimes lors desquels il venait à oublier que nous étions deux. Il ne cherchait même plus à savoir si je jouissais ou si je simulais, me donnant l’impression d’être devenue son vide couilles.
Finalement, je n’avais sans doute pas besoin de psy, avoir surnommé mon gode du sobriquet « mon amant » n’était sans doute que la première étape avant de franchir le pas. En y réfléchissant, il était parfaitement logique que mon mal-être se soit matérialisé ainsi, car je me dois de vous faire un aveu : j’aime le sexe, enfin je devrais dire : j’aime vraiment beaucoup le sexe. Sous mon apparence prude, j’assume intérieurement le fait d’être une salope, enfin c’est ce mot qui serait certainement employé à mon égard si les gens le savaient.
Je me traînai finalement dans la salle de bain afin de prendre une douche bien chaude qui serait le remède approprié pour lutter contre cette aigreur teintée de colère qui s’était emparée de moi. L’eau qui coulait sur ma peau me calmait et faisait naître de nouvelles pensées bien plus agréables. J’avais envie de revoir mon nouveau camarade de jeu, rigolant au passage de ce rôle de professeur de sexe que je m’étais attribuée. Mon esprit se prit à l’imaginer me prendre avec fouge après quelques cours, alors devenu plus confiant en ses capacités. Les papillons commencèrent à battre des ailes dans mon ventre, mes doigts constatèrent que mon clitoris avait reçu le message, ainsi que mon sexe dont l’humidité s’expliquait à présent autrement que par l’eau de la douche. Je caressai mes seins et pinçai mes tétons les imaginant entre ses mains et entre ses dents.
Je n’eus pas à attendre bien longtemps avant de jouir : simple et efficace, sauf que je n’avais plus qu’à me savonner à nouveau, zut ! Et je ne pensais plus qu’à baiser avec mon nouveau partenaire... re-zut !
Il s’avérait en outre que je devais le retrouver ce même jour pour continuer à travailler notre exposé. Par chance, le rendez-vous était fixé dans un bar prêt de l’université. Un lieu public plein de têtes connues me paraissait être la garantie que nous ne fassions pas de bêtises.
Ce fut une erreur de ma part. Nous nous installâmes à une table, sortîmes nos affaires, commandâmes un café... Ah non, zut, deux bières (premier indice que ça commençait mal) et débutâmes la lecture de notre prose pour échanger sur nos idées. Je n’écoutais pas un mot de ce qu’il disait en me doutant que la réciproque était fort probable également. Ses yeux s’écarquillèrent soudainement, j’étais tellement plongée dans mes pensées que je ne m’étais même pas rendue compte que je lui faisais du pied.
— Tu sais, j’ai beaucoup aimé nos... révisions hier, mais je me sens mal à l’aise par rapport à... enfin tu vois, c’est pas mon genre.— En principe c’est pas le miens non plus, je n’ai pas vraiment compris comment nous en sommes arrivés à cette, euh, conclusion.— Tu lui en as parlé ?— Non, je ne crois pas qu’il ait besoin de le savoir.— Tu penses qu’on pourra quandmême terminer ce devoir ?— Certainement, d’autant plus que tu n’as pas terminé tes leçons !— Gloup (enfin c’est plus où moins le bruit qu’il a fait en manquant de s’étouffer avec sa bière), euh...— On pourrait aller à un endroit moins bruyant pour mieux se concentrer, qu’en dis-tu ?— Mon appart est pas bien grand mais on y est bien.
Nous quittâmes donc le bar pour se rendre dans son appartement. J’aimais beaucoup pénétrer pour la première fois dans le logement de quelqu’un d’autre, en apprécier la décoration, l’aménagement, la propreté, les odeurs, il n’y a rien de plus révélateur sur la nature d’une personne. Il avait raison, son appartement était un petit studio aménagé simplement mais avec goût. Parfaitement rangé et nettoyé, il y régnait une odeur de fraîcheur. J’avais affaire à un « geek », son ordinateur bardé de néons multicolores trônait fièrement au milieu du séjour, entouré de quelques figurines médiévales fantastiques et de guerriers de l’espace qu’il avait peint avec grand soin. Deux altères flambant neuves étaient posées dans un coin, sans doute pour la décoration plus qu’autre chose, et des affiches de groupes de rock des années 70 encadrées sous verre étaient accrochées aux murs, rien à voir avec de vieux posters scotchés et punaisés.
Il me proposa de boire un verre, m’attendant à ce qu’il me proposât une bière, je fus surprise de le voir sortir deux verres de vin et un château Margaux de 2015, une excellente année (J’assume également mon extraction bourgeoise !), qu’il agrémenta avec une planche de fromages qui révéla toute sa gourmandise.
— Tu me gâtes ! Ça ne me donne pas vraiment envie de bosser quand je vois ce que tu nous sers.— On est pratiquement prêt quand on y réfléchit, plus qu’à assembler nos parties et répéter une ou deux fois et ce sera bon ! Du coup je me suis dit qu’on pourrait fêter notre partenariat improbable ainsi !— Si tu places la barre à ce niveau pour un exposé, je n’ose pas imaginer le jour où tu fêteras ta première saint Valentin ! Il y a une femme qui sera aux anges !— Je l’espère !— Tu devrais prendre confiance en toi ! Je te connais peu mais j’ai envie de croire en toi.
Il me présenta son appartement, me parlant avec passion de musique, d’univers fantastiques, de son goût pour les beaux livres. Je dois admettre que je buvais ses paroles comme une jeune fille lors de son premier émoi : il ne se contentait pas de me présenter ses brillantes réussites (comme un autre...) mais il voulait m’inviter dans son univers, le partager avec moi.
Nos verres sonnèrent au moment de célébrer cette belle rencontre alors que nous étions confortablement installés dans son canapé et très vite la conversation s’orienta sur cette autre chose qui nous reliait désormais.
— Ton vin est très bon mais sais-tu ce qui le sublimerait ?— Je ne vois pas trop.— Le goûter sur tes lèvres.— Je crois que mon cours vient de commencer.— En effet, tu as pu découvrir mon corps avec tes doigts, m’explorer avec ta queue, pourtant il reste encore l’un de mes trous que tu n’as pas visités.— Tu voudrais qu’on essaye par derrière ?— C’est pas un gros mot tu sais, tu peux le dire, je veux que tu me sodomises, c’est ta leçon du jour. — Tu es sûre de toi ?— Pas vraiment, parce que ta queue est bien plus... comment dire... grosse que celle de Mickaël, mais normalement c’est à ce moment que tu arrêtes de poser des questions et que tu commences à me chauffer.
Enfin, il me caressa la cuisse avant de m’embrasser. J’avais oublié ce que c’était que de ressentir ces papillons qui s’agitaient au moment de se faire toucher par un homme. J’aimais Mickaël mais il ne me faisait plus ressentir ces sensations comme au début de notre relation.
Mon amant avait bien intégré sa première leçon, il promenait sa main sur mes seins en prenant son temps, en profitant de la géographie de ma poitrine qu’il arpenta tout en douceur. Je remontai mon haut pour lui permettre d’accéder à ma peau, ses doigts étaient froids, il était nerveux. Ma main passa sur son ventre, il n’était pas très musclé mais plutôt sec, puis elle s’égara sur son entrejambe qui était déjà bien dur, la nature avait été généreuse avec lui. Il peina à ouvrir mon soutien-gorge et je perçus un bref moment de solitude lorsqu’il se rendit compte que mon haut relevé l’empêchait de retirer les bretelles.
Il se rattrapa de très belle manière en descendant entre mes cuisses, sa tête disparut sous ma jupe et je sursautai au moment de sentir sa langue passer sur ma petite culotte déjà trempée de mon envie. Il prenait son temps, alternant ses caresses en différents endroits de mes cuisses et de mon sexe, utilisant ses doigts, ses lèvres et sa langue, cherchant à savoir ce qui me ferait le plus réagir. Il ne lui fallut pas très longtemps pour découvrir mon péché mignon : tourner très lentement le bout de la langue autour de mon clitoris, ce qui me provoqua rapidement un premier orgasme au cours duquel il continua à honorer mon intimité avec bien plus de vigueur. Alors que je m’apprêtai à lui retourner la politesse, il me plaqua sur le canapé et poursuivit son œuvre. Sans même me laisser reprendre mon souffle, il voulait déjà me renvoyer au septième ciel, il poursuivit sans relâchement ses coups de langue, les agrémentants de caresses sur l’intérieur des cuisses.
Ses doigts s’attardèrent ensuite sur mes grandes lèvres avant d’entrer en moi. Le deuxième orgasme fut bien plus intense, j’en vins à crier et à taper les coussins du canapé. Bon sang ! Micka me procurait un orgasme tous les cinq ou six rapports et lui venait de m’en offrir deux en cinq minutes.
Il se releva, sans même me poser de question je me mis à genoux devant lui, autant de dévotion me donnait envie de goûter cette queue qui trépignait d’être libérée de son carcan de tissu. Lorsque je la vis, je ne pris même pas le temps de préliminaires pour préférer la prendre directement à pleine bouche en m’efforçant de lui offrir la meilleure de mes compétences de salope. A mon tour, je m’efforçais de trouver son péché mignon, alternant entre coups de langues, succions, faisant tambouriner son gland sur le fond de ma bouche. Il se raidit d’un coup lorsque j’effleurai son gland avec mes dents, cela ne semblait pas lui déplaire, mais pas autant que le massage de ses couilles. Lorsque je le sentis s’agiter, signe qu’il allait bientôt jouir, je l’invitai à profiter de ma bouche, lui disant qu’elle était faite pour ça. Il y répandit son foutre, l’envahissant au gré de ses giclées qui coulaient le long de ma langue et au fond de ma gorge.
Je l’avalais avec joie, n’en laissant pas couler une goutte. Il s’était donné de la peine pour me faire grimper au rideau, c’était donc avec joie que je lui fis la démonstration de mes talents.
Gentleman, il me proposa de me rafraîchir à la salle de bain. Mon délicieux amant parut gêné de ce qu’il venait de faire, gêne qui dissimulait fort mal qu’il avait grandement aimé ma friandise. Après tant d’émotions, nous nous reposâmes avec un verre de vin et quelques morceaux de fromage pour reprendre des forces, car il restait le plat de résistance : mes fesses !
— Bon sang, j’ai l’impression d’être passé directement de l’équipe des poussins à l’équipe de France.— Drôle de comparaison, mais je dois admettre que tu te défends bien pour un poussin !— J’aimerais savoir...— Quoi donc ?— Tu connais beaucoup d’autres choses comme ça ?— Quelques unes, je suis pas en équipe de France mais je crois avoir un petit niveau quandmême!— Y a des trucs que t’as particulièrement aimé ? Ou détesté ?— Vaste question ! Disons simplement que je suis très curieuse mais j’ai mes limites. Il y a encore des choses que j’aimerais essayer, peu qui m’ont déçu, certaines que je ne souhaite pas faire.— Quoi donc ?— J’essayerais bien avec une femme, j’imagine qu’elles doivent lécher comme des déesses. Je n’ai pas trop aimé le faire en pleine nature, sans doute parce que j’avais peur qu’un truc planqué dans l’herbe vienne me rendre visite. Enfin je n’ai pas du tout envie de finir en sandwich entre deux hommes ou plus. Et toi ? Y a des trucs que tu voudrais essayer ?— Ben mon expérience, jusqu’à récemment, se limitait au porno et à ma main droite, du coup je viens de réaliser la quasi-totalité de mes fantasmes en à peine deux jours. A la rigueur j’essayerais bien le SM soft, pas le truc façon cuir et latex, plutôt la soumission et la petite fessée.— Manière soubrette ou infirmière ?! Questionna-t-elle d’un ton gentillement moqueur.— C’est pas bête, ce serait sympa de le faire déguisé.— Je n’ai jamais essayé, pourquoi pas ?! Ça pourrait être drôle !
Nos verres de vin terminés, je lui expliquai la suite. Contrairement à la pénétration classique, il y avait deux ou trois choses à savoir concernant la sodomie. La première me concernait : aller aux toilettes et prendre une petite douche permettait d’éviter quelques mauvaises surprises. La seconde était de bien lubrifier tout ce qui était susceptible de se dilater et de frotter !
Après lui avoir offert une deuxième gâterie pour rendre son aspect majestueux à son sexe, je l’habillai de sa tenue de gala et le recouvrait du lubrifiant qui allait avec mon bouchon anal. Je me relevai, me mettant dos à lui, frottant mes fesses contre son sexe turgescent. Je lui expliquai enfin qu’avant de me prendre, il lui faudrait me rendre accueillante à l’aide d’un doigt, sans doute de deux. Je me penchai en avant sur sa table. Il hésita, son doigt fit le tour de mon trou, il appuya doucement, je sentis enfin s’écarter mon petit trou. Puis un deuxième doigt se joignit au premier, il dut forcer un peu plus le passage pour entrer. Une fois prête, je m’allongeai sur la table, les genoux collés à mes épaules, offrant une vue magnifique sur toute mon intimité.
Sa queue approcha de mon trou jusqu’à ce que je sentisse son gland posé contre lui. Il me regarda, je lui fis signe qu’il pouvait y aller. Il s’agrippa à mes hanches et commença à pousser. Son membre était bien plus épais que celui de Micka, je le sentis écarter mes chairs, s’engouffrer en moi en me donnant l’impression qu’il voulait toujours plus m’écarter. Enfin, quand le gland fut entré, la hampe suivit en allant profondément dans mes entrailles. Je ressentis une brève douleur qui se dissipa rapidement. Il commença ses coups de reins, en douceur, sur presque toute la longueur de sa queue. A mes premiers gémissements, il intensifia le rythme, encore et encore. Son bassin vint heurter mes fesses, il me prenait fougueusement, ajoutant à cela quelques papouilles sur mon clitoris du pouce et deux doigts dans mon sexe. J’étais sur une autre planète, profitant pleinement de l’instant car je le savais : une telle pression sur sa queue l’amena à rapidement à se vider entre mes fesses.
Difficile de le lui reprocher, j’étais moi aussi complètement vidée, épuisée, mais heureuse et détendue.
Je serais volontiers restée dormir chez lui, confortablement serrée dans ses bras, mais il me fallait rentrer chez moi, ne serait-ce que pour éviter tout soupçon. Mon téléphone indiquait cinq appels en absence de Micka, flûte, j’étais moins embêtée par l’excuse à inventer que par le fait que je n’avais pas envie de le voir. Je l’aimais et je me voyais mal l’embrasser alors que quelques heures auparavant j’avalais le foutre d’un autre, la bonne vieille ruse du mal de tête aurait encore de beaux jours devant elle, ou pas. En effet, une chose m’était totalement sortie de la tête : mes parents l’avaient invité à dîner... oups !
Je fus soudainement assaillie par un nouveau questionnement : vers où allait bien pouvoir m’emmener cette histoire ?
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