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Pseudo Vénus

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Pseudo VénusChaque nuit, Vénus faisait le même rêve et se réveillait, humide, la main enfouie dans sa chatte.Ce rêve, toujours le même la hantait. Elle se tourna vers son mari toujours endormi, lui dont la sagesse en toutes choses lui renvoyait une image bien virtuelle de la honte qu’elle éprouvait.Vénus porta silencieusement sa main à la bouche pour en lécher chaque doigt ; elle aimait le goût de ses sécrétions comme le parfum musqué de son intimité.Ah ce rêve ! Depuis toujours, Vénus combattait vainement ses pulsions de soumission et de saphisme, car c’était bien ce qui peuplait ses nuits.
Le rêve.L’homme qu’elle rencontrait, trouvé sur un de ces sites spécialisés ne lui avait laissé aucun doute quant à ce qui l’attendrait si elle acceptait de devenir sa « soumise ». Humiliation et punitions seraient la règle ; elle ne réfléchit pas longtemps. Il lui suffit d’enfouir ses craintes et sa mauvaise conscience qui depuis toujours la paralysaient ; cette fois-ci, elle céderait !Lorsqu’elle le rejoignit la première fois, chez lui, elle était prête.Vénus, consentante, ne pouvait cependant s’empêcher de chercher encore et encore la raison qui la poussait vers cette « aventure » ; portant un pantalon de coton fin et blanc, sagement assise dans le taxi qui la conduisait vers cet homme elle décortiquait vainement sa mémoire pour tenter d’y découvrir l’origine de ses pulsions.Lorsqu’elle sortit, elle renonça à sa recherche toute à ce qui allait suivre.
Après un bref coup de sonnette, la porte s’ouvrit sur une femme ni très jeune ni très belle, un peu ronde, de cette rondeur qui donne envie ; son regard vicieux était sans équivoque. Nue si ce n’est un collier de cuir posé autour du cou, la femme avait un pubis fourni d’une toison noir jais et épaisse ; elle la fit entrer sans un mot. Vénus fut brièvement désemparée.Lorsqu’elle lui fit signe de la suivre, toujours muette, Vénus put observer de longues zébrures sur ses fesses rougies et la présence d’un plug noir dont la base écartait largement ses lobes. Elle fut menée dans une pièce où, sans un mot, Vénus se laissa déshabiller.
— Elle est prête ? Au son de ces mots, Vénus reconnut la voix de celui qui allait ce soir lui faire découvrir, enfin, ce à quoi elle aspirait depuis si longtemps.
Vénus entra alors dans un vaste salon où l’homme se tenait assis ; sur la table basse devant lui étaient étalés une panoplie d’objets, d’instruments qu’elle ne connaissait que pour les avoir vus dans des vidéos. Fouets, martinet, pinces, cravaches, poids, écarteurs, liens, bougie, godes...
Elle eut soudain une bouffée de crainte.
— Céline la femme qui t’a accueillie est soumise comme toi, mais très aguerrie, elle est là ce soir pour assouvir tes envies de femme ; tu te souviens me l’avoir avoué ? — Oui Monsieur, mais ... — Mais quoi ? — Vous ne m’aviez rien dit à son sujet Monsieur.
— Je n’ai pas à le faire ! Tu te souviens que tu n‘as qu’à obéir et subir ? — Je m’en souviens, Monsieur, mais j’ai un peu peur.— De quoi as-tu peur ? — De tous ces instruments, de ne pas vous satisfaire.— C’est une première séance, je ne l’ai pas oubliée, tu seras traitée moins sévèrement que Céline. Maintenant, tiens-toi devant moi cuisses écartées, mains sur la tête.
Les premières caresses sur mes seins devinrent plus rudes, ses mains les serraient et commencèrent à pincer de plus en plus fort mes tétons qui durcissaient sur la douleur ; il y posa une pince sur chacun. Commença l’inspection de ma chatte ; sans ménagement, il écarta les lèvres déjà humides et fit coulisser un, deux puis trois doigts dans ma chatte.
— Ta chatte coule beaucoup ! Tu as envie d’être maltraitée ?
C’est dans un murmure que je répondis « Oui ».
— Tourne-toi et penche-toi, cuisses écartées ; Céline, ouvre-lui les fesses.
Ordres humiliants que j’exécutais ; les premières larmes me montaient aux yeux sans que je ne puisse m’empêcher d’aimer cette situation. Ses doigts parcoururent mes fesses pour ensuite s’attarder sur mon trou ; je n’avais jamais été enculée et son doigt me pénétra avec difficulté.
— Très serrée, trop serrée ! Ton cul a besoin d’être dilaté ; Céline, prépare-la !
C’est à quatre pattes que je dus me soumettre à cet ordre ; je sentis le souffle chaud de Céline qui commença à me lécher longuement l’anus, sa salive m’imprégnait, sa langue poussait pour me pénétrer et sur un ordre, elle se retira pour m’enduire d’une pommade grasse. Je pus voir l’homme s’emparer d’un plug ; doucement posé, il commença à pousser, lentement, je ressentais mon orifice s’ouvrir, lorsqu’enfin il pénétra, une nouvelle sensation m’habita ; envahie, j’en venais à aimer cette présence.
— Je vais maintenant faire subir à Céline ce que tu subiras ensuite. Ne prête pas attention à ses gémissements, elle aime s’exprimer ainsi.
Il accrocha une laisse à son collier et la mena vers une crédence devant laquelle elle dut s’agenouiller.
— Venus, attrape chacun de ses seins et pose-les sur la crédence.
Céline avait des seins lourds et de belle taille, je m’exécutais. Elle posa sans attendre les mains sur sa tête en attente.
— Maintenant, attrape ses tétons et étire ses seins.
J’hésitais un court instant avant d’obéir ; ses tétons étaient proéminents, la prise fut facile. Une badine en main, il commença par tapoter chacun de ses seins puis vinrent les coups mesurés, mais vifs ; ses mamelles rougissaient tandis qu’en effet je l’entendais gémir. Elle reçut 20 coups sur chaque sein. Lorsqu’il s’arrêta, elle leva vers lui un regard d’envie.
— Tu es prête à plus n’est-ce pas ?
Céline se contenta de hocher la tête. Il reprit sa badine pour de nouveau l’abattre posément sur chaque sein ; à la fin de la punition, les globes de Céline étaient écarlates, mais rien ne trahissait sa douleur. Elle avait un regard où se lisait l’excitation. Vénus était muette et fascinée.
— C’est ton tour Vénus, mais comme c’est une première fois, tu n’auras que 20 coups et Céline te donnera un peu de plaisir en même temps.
J’étais pétrifiée, mais je ne pouvais pas reculer dès la première épreuve. Je pris position, Céline déposa chacun de mes seins sur le meuble et j’attendais mains sur la tête. Céline passa derrière moi et je sentis ses doigts commencer à fouiller ma chatte.
— Un constat Céline ? — Oui Monsieur, elle coule encore beaucoup.
J’entendais sa voix pour la première fois.
Lorsque le premier coup tomba, je me mordis les lèvres et restai ainsi jusqu’à ce que je ressentis la douleur se transformer doucement en plaisir, aidée par les caresses de Céline.Voilà donc ce que je recherchais confusément depuis si longtemps.
— Tu peux te relever, Céline et toi allez avoir un moment de douceur.
Lorsque je fus debout, elle s’approcha de moi, nos seins se collèrent l’une à l’autre tandis que sa bouche prit possession de la mienne ; premier baiser de femme que je rendais avec fougue. Je sentis la main de Céline glisser le long de nos ventres. C’est vers son sexe qu’elle se dirigea et je sentis ses doigts s’agiter dans sa vulve. Elle plongea ses doigts humides dans nos bouches collées ; nos langues mêlées aspiraient avidement sa mouille tandis que l’odeur puissante de son sexe m’envahissait.
— A toi maintenant, murmura-t-elle.
Je sentais le regard de l’homme suivre nos ébats, mais la honte qui m’habitait ne résista pas au désir ; je plongeais à mon tour mes doigts dans mon intimité et les portais à nos bouches. Céline absorbait, léchait mes doigts avec application et je sentais son bassin onduler, se frotter contre moi. Sa main se glissa entre mes cuisses et saisit le plug qu’elle commença à faire doucement coulisser ; je ressentis d’abord une légère douleur lorsqu’en sortant l’objet dilatait mon anus presque vierge et puis lentement l’excitation prit le dessus. Sans attendre ses mots, je fis de même. Son plug plus gros que le mien entrait et sortait sans difficulté.
Sans retenue, Céline s’exprimait : « Dilate-moi le cul, plus fort, plus fort, encore ... »
— Ca suffit !
L’ordre claqua et Céline s’arrêta presque net.
Aucune de nous n’avait eu le temps de jouir, mais nous étions toutes deux au bord de l’orgasme.La frustration était là !
— Céline a déjà eu une longue fessée comme tu l’as constaté, mais elle n’en a jamais assez. Elle aime que son cul soit brûlant et marqué. Je vais te montrer comment faire, tu continueras Vénus.
Je ne m’étais jamais vu dans ce rôle, mais je n’osai rien dire sinon acquiescer d’un hochement de tête. Sans qu’une autre parole ne soit prononcée, elle s’agenouilla devant lui, fesses bien relevées, dans l’attente.Il choisit de nouveau la badine. Je devais regarder. Il faisait en sorte que ses coups se posent sur les zébrures déjà existantes de ses fesses ; Céline tressautait et gémissait, mais sans se dérober. Après un temps qui me parut long, il me tendit la badine.
— Tu lui donneras 20 coups de plus ; à toi.— Non pas elle !
Céline s’exprima ainsi sans y avoir été invitée.
— Pardon Monsieur, je ne voulais pas dire ça, poursuivit-elle.— Mais tu l’as dit et tu n’aurais pas du. Vénus, tu trouveras dans la boîte posée sur la table un objet enveloppé d’un film, apporte-le-moi.
J’ouvris la boîte et pris ce qui ressemblait à un plug et lui apportait. Lorsqu’il retira le film, je reconnus l’odeur familière du gingembre. Je regardais le visage de Céline, toujours immobile, mais ses yeux étaient embués ; elle savait ce qui l’attendait, moi pas vraiment.
— Ce plug de gingembre va lui faire regretter ses paroles ; Vénus, retire son plug et enfonce ceci dans son cul.
Je m’exécutais.
— Maintenant, tu peux te servir de la badine, mais avant, laisse-moi lui poser un bâillon.
Céline gémissait fort et tortillait ses fesses. Une fois le ballon posé, il me dit :
— Vois-tu, le gingembre va irriter ses muqueuses et à chaque fois que la badine se posera sur ses fesses, elle contactera naturellement son anus ; plus elle le contractera plus la brûlure du gingembre se fera sentir.
J’étais sidérée par tant de vice, mais son côté vicieux faisait partie de cette séduction à laquelle j’avais été sensible.Je m’en voulais quand même de faire souffrir Céline ; je savais que je n’avais pas le choix cependant.A suivre
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