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La Psy et le Flic.

Chapitre 6

Erotique
La Psy et le Flic. (6).
Sylvie a quitté la ville ; elle est retournée dans sa région natale en refusant le divorce d’avec Laurent, sans donner de raisons particulières. Non, c’était non !A l’initiative de Laurent et par prudence, les trois personnes impliquées dans le meurtre de Marc et l’incendie de l’entrepôt ont décidé de ne plus se voir ni de communiquer pendant quelques semaines. Ce fût un moment pénible pour Jocelyne, insupportable pour Adèle, seul Laurent eut la force de caractère pour supporter l’isolement. Il avait remarqué que l’enquête piétinait et ne passionnait pas les foules. Un beau jour, les filles reçoivent un message de leur idole leur annonçant que la galère était terminée. Dans la foulée, deux messages lui parviennent:
— Jocelyne : « Mon amour, quelle bouffée d’air frais, ce midi au petit hôtel, si tu es d’accord, je t’aime ! « — Adèle : « Mon chéri, j’attendais ce jour sans plus y croire, ce soir chez toi, si tu veux bien, je t’aime ! »
Elles sont formidables, elles se seraient concertées que le résultat n’aurait pas été mieux ; Laurent est aux anges, lui aussi commençait à trouver le temps long. Le réceptionniste du petit hôtel reçoit Jocelyne un large sourire aux lèvres disant : « monsieur est déjà là, chambre 3 ! ». La porte se referme derrière elle, Laurent est là, tout sourire et lui ouvre ses bras ; elle s’y précipite, telle une gamine et le couvre de baisers ; il la repousse légèrement et la regarde pour constater qu’elle est toujours aussi jolie et la serre longuement dans ses bras.
Le déshabillage mutuel est plus rapide que l’effeuillage d’une marguerite, nus comme des vers ils s’allongent face à face les yeux rivés dans le pistil de l’autre, les corps harmonieusement soudés, vagin et pénis dans l’attente du combat si longtemps attendu, l’un s’humectant de cyprine, l’autre se tendant comme un arc ; c’est Jocelyne, sans autre préambule, qui s’allonge sur le dos les cuisses largement écartées qui offre son trésor au vaillant chevalier qui s’y engouffre mort de faim dans une tempête d’allées et venues qui concrétisent ces retrouvailles pleines de fougue et d’amour ; les jouissances communes, simultanées et bruyantes concluent ces agapes sexuelles.
Les deux corps restent joints un long moment, inquiets de devoir à nouveau se quitter ; Laurent enfin, la bite ramollie, se met sur le dos, Jocelyne se précipite pour venir nettoyer consciencieusement le fruit de son éjaculation puis vient se mettre à ses côtés ; ils sont silencieux, enveloppés d’un nuage serein, heureux, simplement.
Le temps leur est compté, ils se rhabillent et se disant au revoir elle lui demande s’il sait à quoi elle a pensé le plus pendant cette longue abstinence ?
— Non, mais je sens que tu vas me le dire, répond-il !— J’ai rêvé cent fois que tu m’enculais, tu te rends compte que depuis que l’on se connaît on ne l’a jamais fait !— Exact, et tu voudrais réparer cet oubli ?— J’en meurs d’envie.— Dans ce cas, rappelle-moi ça la prochaine fois, répond-il avec un sourire narquois.
Le soir venu, Laurent est dans son salon et voit des phares s’arrêter devant son portillon ; c’est Adèle ! Dans la pénombre il distingue le corps mince à la démarche chaloupée de mannequin et va lui ouvrir ; elle saute dans ses bras grands ouverts et fond instantanément en larmes, elle s’accroche à ce corps aimé chancelante en sanglotant et hoquetant ; Laurent, surpris par cette attitude la porte et l’installe sur le canapé et va lui chercher un verre d’eau à la cuisine ; calmée Adèle boit une gorgée et lui dit dans un phrasé saccadé :
— Laurent, mon chéri, pardonne-moi mais j’ai cru ne jamais te revoir ; après avoir buté ce salaud de Marc j’ai eu très peur, de la police, de la prison, de ton absence, je n’arrivais pas à gérer tout cela, c’est pour cela qu’aujourd’hui je décompresse, mais je suis très heureuse de te revoir, c’est certain !
Ils s’embrassent langoureusement, elle se blottit contre lui, soulagée, toute cette période bousculée s’évanouit au profit du bonheur qu’il lui procure ; le sexe ne semble pas encore être sa préoccupation, elle veut profiter de la protection de l’homme, de sa force, de sa puissance, s’abriter derrière ce corps d’athlète et ne plus bouger pour atteindre enfin la sérénité. Quelques minutes ont passé, Laurent se lève et sert deux verres de Bourbon qu’il avait préparé, la boisson préférée d’Adèle. Ils trinquent, émus, Laurent dit :
— Bois, ça va te faire plus de bien qu’un verre d’eau !
Après une chaude gorgée de cet élixir, elle retrouve le sourire, dégrafe un à un les boutons de son chemisier, l’entrouvre, laissant apparaître la poitrine d’une jouvencelle, menue et ferme en harmonie avec ce corps mince et élancé : Laurent s’en approche, sautant de l’un à l’autre sa langue contourne les tétons humectant les aréoles, les palpe de ses mains friandes, il sent alors une présence reptilienne autour de sa braguette qui fait coulisser le zip, entreprend d’extraire la verge saillante, des ongles en amande griffent légèrement la peau tendue, le gland a les faveurs du bout des doigts moins rudes ; Adèle change de position, sa bouche affamée se porte à hauteur du sucre d’orge aux fortes odeurs du mâle en rut et le suce avidement à cadence égale ; Laurent se pâme, mais reste suffisamment stimulé pour dégrafer la robe de la dame qui coulisse vers le bas laissant apparaître le dos cabré et les fesses sans petite culotte, invitation à les parcourir d’une main trapue, son index titille l’anus, (il a alors une petite pensée pour Jocelyne), vite oubliée grâce aux bienfaits buccaux d’Adèle.
Laurent pense que le lit serait plus confortable, soulève Adèle et l’emmène dans la chambre, la dépose au bord du lit ; elle est nue et entreprend de le déshabiller ; ceci fait elle le pousse sur le lit, le chevauche et sans autre préalable branche la prise femelle sur la prise mâle ; et la lumière fût : cette extraordinaire sensation des pulsions sexuelles enfin rassasiées, les chaleurs et les tensions tant désirées qui s’épanouissent, les jouissances animales à leur sommet, plus rien n’existe si ce n’est ces deux corps qui n’ont aucune envie de débrancher, qui voudraient à jamais restés connectés ; seuls les orgasmes foudroyants de l’un et de l’autre vont progressivement voir les amants se relâcher, s’abandonner, s’assoupir doucement et se préparer à un retour à la vie. La nuit ne fût qu’un chapelet de joutes sexuelles jamais encore atteintes ni par l’un, ni par l’autre.
Au réveil, la morosité a repris le dessus : Adèle n’est plus la même, angoissée, silencieuse. Après le petit déjeuner, Laurent lui dit :
— Adèle, je vois que tu ne vas pas bien ; je connais une psy à la brigade qui m’a soigné il y a quelques temps ; si tu acceptes je peux lui parler de toi, tu pourrais la voir en dehors de ses heures de bureau, qu’en penses-tu ?— Merci, mon chéri, je veux bien essayer.
Rappelez-vous : Laurent avait eu une idée pendant l’isolement, il avait imaginé faire se rencontrer ses deux compagnes ! L’occasion est trop belle et ne l’implique en rien dans cette coïncidence.Dans la journée il en touche deux mots à Jocelyne qui est d’accord sur le principe, bien qu’elle ait quelques doutes sur la relation entre Adèle et lui, mais il lui sera facile d’en avoir le cœur net.La première rencontre entre les deux femmes a lieu à la brasserie. Devant deux tasses de thé elles se jaugent ; fait assez troublant, elles se trouvent mutuellement très attirantes, elles n’ont pourtant aucun antécédent lesbien, mais un lien sensuel chaleureux s’installe entre les deux ; elles conviennent d’un rendez-vous chez Adèle le lendemain soir et se quittent en s’embrassant comme des amies de longue date.
Chez elle, Adèle attend Jocelyne et pense à Laurent et à cette nuit inoubliable, ce qui met son corps dans un état d’excitation qui la pousse à se caresser la chatte au travers de sa culotte qui s’imprègne presque immédiatement de cyprine…, la sonnerie de la porte d’entrée la fait sursauter, elle se lève, ajuste le bas de sa jupe et va ouvrir.
Assises face à face, Jocelyne dans un fauteuil, Adèle sur le sofa, la psy, par des questions d’ordre général met Adèle en condition avant d’entrer dans le vif du sujet ; Adèle, assez docile, se livre volontiers à l’étude de Jocelyne, non sans quelques larmes.
La séance terminée, Jocelyne décline l’invitation d’Adèle à boire un verre de vin blanc lui précisant qu’elle préfère ne pas mélanger travail et intimité ; cela ne les empêche pas de se faire la bise de façon appuyée, les mains d’Adèle sur les hanches de Jocelyne. C’est elle qui est déstabilisée par l’attitude de sa patiente, mais pas choquée trouvant ses attouchements plutôt agréables.
Ce soir il est prévu que Laurent la rejoigne chez elle, mais étant d’astreinte il lui envoie un message disant qu’il sera un peu en retard ; elle se sert le vin blanc, reprend sa place sur le sofa, sa main retrouve sa culotte un peu plus humide ; elle se demande pourquoi elle se sent attirée par cette belle exotique, pourquoi Jocelyne ne semble pas se dérober, que penserait Laurent de son attitude ; autant de questions sans réponses. La sonnerie la sort de ses rêveries, elle bondit vers la porte et retrouve son amant avec fougue :
— Laurent, mon chéri, entre, je suis si heureuse ! — Et moi donc ! Comment vas-tu ?
Ils s’installent sur le sofa avec les verres de vin blanc, la tête blottie contre sa poitrine, elle raconte la visite de Jocelyne qu’elle trouve à la fois sympathique et très jolie, la séance pour laquelle elle l’a trouvé très pros, elle va même jusqu’à évoquer ce qu’elle pense être une attirance sensuelle mutuelle !
En provocant cette rencontre Laurent espérait pouvoir les réunir dans son lit un jour prochain ; les révélations d’Adèle, si elles sont inattendues, sont plutôt positives dans cette perspective et il l’embrasse tendrement, comme pour la remercier. Après un diner léger, ils se dirigent vers la salle de bain, à ce moment le téléphone de Laurent vibre, c’est l’appel fatidique, les yeux d’Adèle s’embrument, pour la première elle va devoir laisser partir Laurent et se morfondre dans une attente angoissée.
Quelques séances ont suffi à Jocelyne pour qu’Adèle retrouve une sérénité relative ; elle a bien sûr deviné que sa patiente avait pour elle les yeux de Chimène, (et réciproquement !) et à la fin d’une séance, au moment de se saluer, Jocelyne attire vers elle le corps d’Adèle et l’embrasse fougueusement ; Adèle qui n’avait pas osé prendre l’initiative se laisse aller, ses mains plaquent les fesses rebondies de Jocelyne, les pubis frottent, chacune fait glisser la jupe et culotte de l’autre, d’un bond elles se retrouvent sur le canapé, comme par hasard tête-bêche, les langues jusqu’alors nouées se retrouvent chacune dans la foufoune de sa copine, sortes de limaces ondoyantes goûtant les sucs aux senteurs légèrement musquées, leurs nez frôlent les anus qui exhalent d’autres odeurs plus fortes, mais qu’importe, les envies de sexe sont sans limites chez ces deux femmes qui se désirent sans se le dire depuis bientôt un mois ; habituée de scènes porno, Adèle maîtrise la situation mieux que Jocelyne et cela s’entend aux gémissements feutrés qu’elle émet ; elle prend d’ailleurs l’initiative en changeant de position, à genoux face à face, elles s’embrassent, puis les lèvres d’Adèle sont attirées par les seins ronds et bien plus volumineux que les siens, ses doigts roulent à bonne allure sur le clitoris bien ferme, Jocelyne suit le mouvement et les deux corps en fusion sont secoués par leurs orgasmes.
Elles se regardent en souriant, puis éclatant de rire, comme surprises par ce qui vient de se passer.En se rhabillant Jocelyne demande ingénument :
— Et Laurent, comment tu le trouves ?— Il est formidable, je suis folle de lui, d’ailleurs il est temps que je le rejoigne, répond Adèle qui n’a pas senti que la question était piégeuse.
(à suivre).
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