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Psychologie d'une petite verge

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Cette histoire m’est arrivée durant ma première année d’étude en psychologie. Je venais d’arriver dans la grande et intimidante ville où se trouvait ma faculté, et je ne connaissais pas grand-monde tout en étant content du sentiment d’anonymité de ce nouvel environnement. J’allais pouvoir entamer une nouvelle vie, créer un nouveau Moi, dans un endroit où de multiples rencontres sont possibles tout en gardant la possibilité de se refondre dans la masse. J’étais en effet un garçon assez timide, plutôt petit. Brun et mince voire un peu maigre, j’étais assez banal, manquant sans doute de muscles.
A la faculté un tutorat avec un étudiant de master nous était proposé, pour mieux comprendre le fonctionnement de la fac et comment réussir au mieux sa scolarité. Sans grande surprise (car les trois quarts des étudiants était en réalité des étudiantes), après m’être inscrit, je découvris que mon tuteur était une tutrice qui s’appelait Mia. Quelques mails et textos échangés puis on se retrouva devant une des machines à café de la fac.
C’était une belle jeune femme assez grande, d’à peu près ma taille, avec des cheveux noirs et bouclés qui reposaient sur ses épaules. Nous étions en octobre et même si je ne pouvais pas les voir directement, ses jambes moulées dans son pantalon semblaient fines et compactes et ses cuisses plutôt épaisses et musclées. Ses fesses semblaient rebondies et probablement fermes, car son polo du club de sport de la fac attestait si on en doutait qu’elle se maintenait en forme. Seuls ses seins assez petits n’étaient pas en accord avec les canons de beauté sexy habituels, mais cela aurait peut-être achevé de me troubler et je ne doutais pas qu’ils étaient mignons et tenaient bien en l’air. Bref, je ne pus m’empêcher de la mater pendant qu’elle entamait gentiment la discussion pour me mettre à l’aise. Me sentant un peu dans la lune, elle me posa des questions personnelles sur ma ville d’origine, puis je repris mes esprits et lui demandai quel master elle faisait.
Elle était dans un master de psychologie clinique et faisait un mémoire sur les perversions, en particulier des fétichismes, considérés comme pouvant être problématiques quand les sujets souffrent de ne pouvoir jouir que par un biais souvent peu apprécié par la société. Elle me demanda en souriant :
— D’ailleurs, tu as un fétichisme particulier que je pourrais étudier ?
Je bafouillai en rougissant légèrement quelque chose comme :
— Pas à ma connaissance…
Etant vierge et très timide avec les filles, je ne connaissais pas encore grand-chose de la sexualité et de mes désirs : le goût vient en mangeant.Semblant me comprendre assez vite, elle me dit que c’était une bonne chose que j’ai demandé à être tutoré, déclarant avec un grand sourire.
— Je vais te prendre en main, et te faire découvrir la vie de la fac !
Notre première discussion s’était bien passée mais était assez courte, car entre deux cours, Mia me proposa de se retrouver à la fin de la journée dans son appartement d’étudiante.
— On ne devrait pas se marcher dessus, j’en ai trouvé un assez spacieux, enfin pour une étudiante !
Un peu nerveux d’aller aussi vite dans notre relation tuteur-élève et de se retrouver en terrain inconnu chez elle, j’acceptai néanmoins de la rejoindre après mes cours, qui terminaient plus tard que les siens.
En fin d’après-midi, je sonnai donc à l’entrée de son immeuble et elle me dit de monter au 5ème étage, sans ascenseur. J’arrivai un peu essoufflé en haut et tapai à la porte entrouverte que je trouvai sur le palier.
— Entre, entre !
Je passai le seuil et refermai derrière moi. Mia s’était un peu mise à l’aise et m’accueillit en chaussettes, pantalon de sport et en simple t-shirt.De mon côté, j’avais assez chaud après la montée des escaliers et déposai mon manteau.
— Enlève aussi tes chaussures s’il te plaît.
Je le fis avant de la rejoindre dans son salon, assez grand et qui disposait d’un coin chambre. Avec cette grande pièce l’appartement donnait en effet un sentiment d’espace, renforcé par la présence de grandes vitres d’un côté de la pièce.Mia me proposa à boire et je lui dis que de l’eau me suffirait, et elle me rétorqua, taquine :
— Effectivement tu fais jeune, je pourrais me demander si tu es majeur mais puisque tu es à la fac !
Elle me tendit un verre d’eau puis se concocta rapidement un gin tonic. Elle semblait avoir envie de parler et après m’avoir parlé de sa licence et des soirées étudiantes qu’elle avait vécues, elle me révéla que son mémoire la concernait un peu car elle avait des tendances au voyeurisme. Je lui répondis en souriant que c’était presque normal, que tout le monde était voyeur, et elle me répondit qu’effectivement elle avait vu que je l’avais soigneusement observée quand nous étions à la machine à café. Elle ajouta qu’il lui semblait que j’étais assez mince sous mes vêtements amples, mais qu’elle ne pouvait en être certaine. Gêné de son attention, je fus ébahi quand je l’entendis dire que pour assouvir ses envies de voyeurisme, cela ne la dérangeait pas de prendre des initiatives voire d’être autoritaire. Elle me demanda d’un air innocent :
— Tu trouves ça pathologique comme comportement ?— Non, non, je ne pense pas que ce soit grave du moment que c’est consenti, en plus beaucoup de gens aiment aussi se montrer.
Elle me demanda, assise bien ancrée dans son canapé :
— Et toi ? Tu n’aurais pas honte de de déshabiller devant moi ?
Me demandant si elle jouait, je lui répondis :
— Ah ah je ne sais pas, j’espère que je n’ai pas de grosse raison d’avoir honte !
J’étais un peu inquiet car je me demandais s’il était normal que je sois aussi différent des acteurs que je pouvais voir sur les vidéos en ligne qu’il m’arrivait de regarder.
— Peut-être même pas de petite raison, mais pour en être sûrs on peut vérifier !
Elle ajouta en m’observant, le regard fixé sur moi :
— Si tu es d’accord bien sûr.
Je ne répondis rien, comme un lapin pris dans les phares d’une voiture.
— Commence par te mettre debout, on va voir ce qui se cache derrière ces vêtements vagues !
Je m’exécutai.
— Maintenant enlève le haut.
J’enlevai mon sweat, puis alors que je la voyais bouger légèrement la tête et ouvrir davantage les yeux en signe d’encouragement qui n’appelait pas de réplique, je retirai mon tee-shirt. Les bras ballants, je restai debout, torse nu, à la regarder passivement. Je n’étais pas très fier et devais rougir un peu.
— C’est bien ce que je pensais, mince comme tout ! ça manque un peu de muscles mais tu es sans doute plus mignon comme ça !
Elle me dit ça avec un sourire franc malgré le propos un peu rabaissant.
— Allez, les choses sérieuses commencent ! Les chaussettes et le pantalon s’il te plaît.— Je ne sais pas trop, c’est un peu gênant…
Face à mes yeux baissés et un début de chaleur qui me montait aux joues, elle rétorqua avec un sourire en coin et un clin d’œil :
— Ça n’en est que plus excitant, non ?... Allez, je ne te jugerai pas, et tu pourrais rattraper ton retard avec les filles avec mon expertise, je sens que tu as besoin qu’on te dévergonde.
Je dois avouer que l’idée d’être guidé par cette belle jeune femme m’excitait, j’avais l’impression d’être un garçon qui découvrait les petits jeux que l’on fait quand la sexualité commence son éclosion, bien qu’ici ma comparse ne cherchait même pas le prétexte du jeu du docteur pour me mettre à poil.Je me déshabillai donc du bas, enlevant mes chaussettes puis quittant maladroitement mon pantalon, un peu tremblant, manquant de trébucher. Je restai ensuite debout devant elle, les bras ballants.
— On voit à peine la marque de ton pénis dans ton boxer !
Honteux sous la remarque et le sourire narquois, je me doutais qu’elle était véridique car je sentais mon sexe flasque et minuscule, réduit par le stress de cette situation incongrue et nouvelle pour moi... Il était déjà nouveau pour moi de me retrouver en caleçon devant une fille, mais encore plus devant une fille habillée qui me donnait des ordres !
— Allez, finis de te déshabiller complètement, je veux te voir nu.
Obéissant, alors que j’avais du mal à m’imaginer ce que j’allais ressentir d’être autant offert devant elle, je fis glisser mon boxer le long de mes cuisses mais stoppai au-dessus des genoux et plaçai mes deux mains par-dessus mes parties. Après m’avoir regardé dans les yeux, avec un regard bienveillant mais curieux, elle m’ordonna :
— Mets tes mains le long du corps.
Je lâchai prise et écartai mes mains, dévoilant ce que j’avais de plus précieux à cacher.
Mon sexe minuscule révélé, elle eut un sourire triomphant et sembla acquiescer de la tête, comme si elle confirmait une hypothèse, avant de relever les yeux.
— Une seule main aurait suffi si tu voulais le cacher…
Paralysé, faisant face à un sourire un brin ironique, je restai immobile avec mon sexe rétréci observé sans vergogne. Elle continua de me regarder avec attention, me parcourant de haut en bas, puis me lança avec un joli sourire un peu plus bienveillant :
— En tout cas, je vois tout ! Il est tout petit et tout mimi !
Je me sentis mortifié par ces qualificatifs, mais aussi soulagé de sa réaction plutôt positive face à la découverte de mon pénis recroquevillé, taquine mais pas méchante, néanmoins humiliante.Elle fit tomber mon caleçon sur mes chevilles, fixa encore un moment ma fine et réduite virilité puis son regard revint au niveau de mon visage rougi, ses yeux souriants semblant être satisfaits d’avoir dévoilé un secret.Elle se leva lentement puis me demanda de me tourner, ce qui me soulagea tout en me troublant encore plus, ne sachant plus ce qu’elle regardait ni ce qu’elle préparait. J’en profitai pour dégager mes pieds de mon sous-vêtement qui trainait de manière ridicule autour de mes chevilles. Puis je sentis qu’elle se permettait un effleurement de mon derrière :
— Elles sont bien tes fesses, plutôt musclées !
Elle me fit me retourner à nouveau puis avec un clin d’œil et d’un seul doigt, caressa délicatement mon ventre jusqu’à mon pubis. Légèrement anxieux, je me laissais aller entre ses mains... Puis sa main passa sur mon pubis peu poilu, presque imberbe, profitant de sa douceur. Enfin elle approcha le dos de sa main mon sexe ridicule, l’effleurant. Face à ce premier geste intime, je me sentais offert, et me laissai docilement faire alors qu’elle me prit littéralement en main, soupesant du même coup mes testicules et ma verge. Je frémis et émis un léger gémissement.
— Désolée, j’avais trop envie de mettre ton petit sexe imberbe dans ma main !
Je rougis sous la remarque, je me sentais tellement vulnérable tout nu devant elle tandis qu’elle faisait rouler mes testicules entre ses doigts.Mon sexe recroquevillé commençait à réagir aux attouchements, et en baissant la tête je vis que mon gland émettait du liquide séminal, sans érection. Comme si me sentir dominé me donnait du plaisir mais que la honte m’empêchait de durcir et de se dresser fièrement.
— Il est mignon tout plein ton zizi, ça me change de mon dernier amant, il était long et teeellement épais !
Ce disant elle enleva sa main et me tourna le dos. Je restai debout tandis qu’elle rejoignait son canapé et s’asseyait tranquillement, me faisant face de nouveau et arborant un air un peu plus sérieux.
— Tu sais, je trouve ton cas - et ton corps - intéressants. Je pense que tu as beaucoup de choses à découvrir sur qui tu es, et contrairement à ce que tu peux imaginer ça ne se passera sans doute pas pendant les cours de psychologie mais plutôt en dehors, en discutant avec les autres étudiants, en allant à des soirées et en testant tes limites. Concernant la découverte de ta personnalité sexuelle, vu ta timidité et ton sexe qui est honnêtement le plus petit que j’ai vu chez un adulte, même jeune, j’ai eu une idée qui pourrait vous satisfaire, toi et ta toute petite queue. D’ailleurs montre-la-moi encore !
Elle me fit signe de me rapprocher et saisit ma verge de deux doigts pour me décalotter précautionneusement !
— Voilà, tu es encore plus nu comme ça ! Ça te plaît avoue !
Elle sourit devant mon rougissement.
— Donc je disais, je pense qu’une amie un peu plus âgée que toi, qui t’aide à prendre confiance et qui t’éduque lentement à toutes les possibilités de la sexualité, ce serait pile ce qu’il te faut.
Elle m’affirma cela en relevant les yeux après avoir maté mon petit gland décalotté. Ce dernier geste avait achevé de m’exciter et j’observai impuissant mon zizi raidi se lever pour appuyer sa suggestion.
— Alors, tu es d’accord pour qu’on se revoie et que je t’aide à découvrir ta sexualité ?
Je pus répondre un simple oui et soutenir son regard une minuscule fraction de seconde. Elle sourit de satisfaction après avoir jeté un œil sur mon bas-ventre :
— Tu es vraiment monté comme un gamin…
Elle pointa son doigt noir juste devant mon sexe pâle et droit. Le contraste entre les deux membres était saisissant voire esthétique, et uniquement dû à la différence de couleur, car les tailles étaient assez semblables.
— Je vais bien m’amuser avec toi, et je ferai en sorte que tu prennes du plaisir avec ta petite bite. J’ai prévu de sortir ce soir, mais on peut se voir demain, on aura plus de temps à passer ensemble !— D’accord, Mia…
J’avais répondu timidement mais étais en réalité assez excité de ce qui m’attendait, comme le montrait mon petit membre raidi et sa tête mouillée. En riant devant mon corps nu, elle me lança :
— Tu peux te rhabiller maintenant, et ne te touches pas trop ce soir, je te veux en forme demain !
Je remis mes vêtements devant elle, maladroitement, puis elle me raccompagna à sa porte. Rentré chez moi, comme elle l’avait deviné, je me touchai en repassant dans ma tête les événements de cette surprenante et humiliante journée, et n’osait imaginer la suite. En moins d’une minute j’avais éjaculé sur mon ventre et encore honteux pris une rapide douche avant d’aller me coucher, épuisé d’émotions.
Le lendemain soir, j’arrivai chez elle sans avoir encore mangé, car elle m’avait dit qu’elle avait de quoi faire pour deux. Dès mon entrée, elle me dit de me débarrasser de mon manteau et de mes chaussures, puis d’enlever le reste dans son salon. Elle était largement installée sur son canapé, totalement à l’aise. La lumière était allumée et les rideaux non tirés devant les vitres mais je n’osais pas faire de remarque et me mis tout nu sans aucune protestation, tremblant et rougissant quand je baissais mon caleçon.Mia de son côté ne semblait jamais manquer de mots piquants à m’adresser et me lança sans attendre :
— Elle m’avait manqué, ta petite queue épilée, on dirait une bite d’enfant ! Trop mignonne !
Elle fixa un instant mon bas-ventre puis elle ajouta en me regardant dans les yeux :
— Ce sera la règle de base quand tu viendras chez moi, tu te mettras tout nu, sans même que j’aie à te le demander. Maintenant on peut manger mon petit chéri, tu es à croquer heureusement que j’ai des pâtes à me mettre sous la dent !
Nous mangeâmes en parlant de tout et de rien, bien qu’une tension sexuelle persistait puisque je restai nu. Puis je l’aidai à débarrasser, et quand je la rejoignis dans le salon, elle recommença à me taquiner :
— Mon mignon, ça t’excite de te balader le sexe à l’air ? Tu n’as pas grand-chose à montrer pourtant. Approche que je vois mieux.
Je restai debout devant elle, assise dans le canapé. Elle mit ses doigts resserrés sous ma verge, comme pour la porter et la soupeser. Puis elle la saisit entre deux doigts en disant :
— Elle est toute douce. C’est la plus petite que j’ai eue entre mes doigts… je suis la première à la tenir comme ça ?
Je lui avouai que oui, honteux d’être totalement puceau mais fier d’être enfin touché par une fille.Elle relâcha mon sexe et me demanda de marcher dans la direction opposée au canapé puis de revenir. J’obéis, sachant qu’elle pouvait mater mes fesses puis mon sexe qui se balançait légèrement.
— J’aime bien te voir te balader cul nu, et toi ?
Elle me demandait cela sans doute pour affermir sa supériorité sur moi. Je m’inclinai :
— Oui, j’aime bien me montrer devant toi...
Les autres garçons ne se moquent pas de toi dans les vestiaires ? Tu es déjà allé dans les douches communes ?Je lui dis que j’évitais au plus cette situation car j’avais observé que la plupart des autres mecs étaient bien mieux membrés que moi. Elle m’observait avec délectation rougir devant cette confession forcée.
— Je comprends que ce n’est pas évident pour toi de parler de ça. Tu sais, c’est la plus petite que j’ai jamais vue, mais elle est trop mignonne, et toi tout entier tu es adorable.
Totalement exposé, je fus presque soulagé quand elle me proposa de m’assoir à côté d’elle dans le canapé pour regarder une série. Me refroidissant un peu, je lui demandai si je pouvais me couvrir et elle me donna un plaid bleu clair qui recouvrait la majeure partie de mon corps. Au cours de notre visionnage, elle n’hésita pas à poser sa tête sur mon épaule puis à glisser sa main sous le plaid, effleurant mon torse, mes tétons, glissant sur mon ventre, et caressant avec douceur mon bas-ventre et mes cuisses, me faisant bander par intermittence. A la fin du second épisode, elle éteignit la télé puis enleva le plaid et me demanda d’aller avec elle dans sa chambre. Je me demandai si enfin après s’être bien rincé les yeux et avoir effleuré mon corps elle n’allait pas me dépuceler.
Elle me dit d’un ton clair et même assez ferme de m’allonger sur son lit, les bras et les jambes écartées. J’obéis, passif et attendant une récompense en échange de mon obéissance. Elle se plaça entre mes jambes et observa mon sexe encore mou, car je restais intimidé. Puis elle palpa ma modeste virilité, semblant vouloir vérifier qu’il n’y avait rien d’autre d’anormal que sa taille. Elle cligna de l’œil, semblant dire que j’avais passé le test, puis se redressa et saisit son téléphone. Je paniquai intérieurement alors qu’elle le pointait vers mon petit sexe :
— Tu permets que je la prenne en photo, je la montrerai à mes copines pour rigoler, mais je dirai pas que c’est toi ! Je te raconterai leur réaction si tu veux.
Je la laissai faire, lui montrant ma confiance, et la photo ne comprenait pas mon visage. J’étais à la fois totalement humilié mais très excité à l’idée que d’autres filles ou plutôt jeunes femmes me voient nues, et se demandent si ce qu’elles voyaient appartenaient à un garçon ado ou à un jeune homme.Puis à ma grande déception, Mia m’annonça qu’il était l’heure de dormir, mais que je pouvais rester avec elle cette nuit :
— Viens dormir nu dans mon lit.
Partager avec elle son lit était tentant, mais je sentis que me laisser venir en elle n’était pas sa priorité et qu’il n’allait sans doute pas se passer grand-chose. Je l’observai cependant me tourner le dos tandis qu’elle se déshabillait du haut pour enfiler une nuisette. Je pus apercevoir de côté un petit sein arrogant et je sentis mon sexe se durcir aussitôt. Puis elle enleva son jean et sa culotte, et je pus apercevoir ses belles fesses sur lesquelles s’appuyait la base de sa nuisette. Se penchant pour rentrer dans le lit, je n’aperçus pas davantage son corps. Elle ne s’était pas cachée devant moi pour se changer, ce qui aurait été de la fausse pudeur, mais ne m’avait pas tout montré non plus. Jouant jusqu’au bout de son penchant un brin sadique, elle me parla jusqu’à l’endormissement des soirées auxquelles avait pu assister durant sa licence et qui s’étaient souvent terminées chaudement.
Elle ne manquait pas en même temps de m’effleurer un peu partout, et n’oubliait pas de caresser mon sexe durci par ses propos comme ses attouchements. Elle finit par s’endormir une main sur mon pubis, me tenant le sexe jusqu’au dernier moment.
Le lendemain matin, je l’entendis se lever avant moi et ouvrir les rideaux avant de se pencher sur le lit et d’abaisser les draps. J’apparus nu devant elle et n’osait pas cacher ma virilité matinale. Bien qu’au mieux de sa forme, ma verge restait sans doute petite et d’humeur déjà vicieuse, elle n’hésita pas à me taquiner :
— Je vois que tu es à fond le matin, elle a l’air plus grosse que d’habitude ! C’est presque impressionnant !
Elle prit mon sexe en main puis avec deux doigts fit mine de le recalotter, puis ramena le prépuce en arrière. Je poussai un petit gémissement qui l’encouragea :
— Ça te plait ce que je te fais ? Tu as réussi à dormir cette nuit, tu n’étais pas trop frustré mon pauvre petit ?
Elle fit un nouveau va-et-vient en disant cela et je couinai, honteux, incapable de répondre.
— Waouh, déjà du pré-sperme, tu es rapide comme garçon !
J’observai honteux un peu de mouille s’échapper de mon gland et venir toucher ses doigts. Elle reprit ses va-et-vient et en quelques secondes je jouis entre ses doigts, sans faire plus de manières et en lâchant quelques petits cris. Elle me dit en riant :
— Eh bien tu es un rapide toi, ça se voit que c’est la première fois qu’une fille te touche ! Je suis contente d’être la première, ce n’est que le début tu vas voir...
Le plaisir que j’avais ressenti en me faisant ainsi manipuler étant immense et j’étais encore un peu sous le choc de cet orgasme. J’avais éjaculé sur mon ventre et Mia continuait à faire de lents mouvements sur mon sexe, comme pour finir de me vider.
— Bon tu ne vas pas te rhabiller sans prendre une douche, allez suis-moi !
Elle me tira par la main alors que de l’autre j’essayais d’empêcher le sperme de couler le long de mon corps, et la suivis jusqu’à sa cabine de douche. J’y rentrai et commençai à me laver devant elle, sans réfléchir, elle avait déjà tout vu et tout entendu, même mes gémissements en plein orgasme. A un moment, elle me demanda d’arrêter l’eau, de me tourner et ouvrant la porte me savonna elle-même le dos, puis les fesses. Elle passa une main entre mes cuisses pour me masser les testicules par derrière, puis glissa ses doigts entre mes fesses, jusqu’à jouer avec mon anus avec un doigt qui titillait son entrée, ce qui à ma grande honte me refit bander. Ayant fini de s’amuser, elle m’ordonna de me rincer et j’obéis docilement.
Après m’être séché, je pris le petit-déjeuner avec elle, toujours tout nu, le sexe à l’air, et ne me rhabillai que quand il fut l’heure de partir à la fac. Entre-temps, elle se doucha elle-même mais en refermant la porte derrière elle, et même si elle ne l’avait pas verrouillée je restai tranquillement dans le salon, sentant qu’elle était confiante dans le fait que je n’oserais pas venir la mater. Elle se rhabilla dans sa chambre, dont la porte était restée entrouverte mais je n’aperçus pas grand-chose, je la vis à peine passer devant l’ouverture, même si je pus apercevoir une portion de ses fesses nues et sexy, cela restait très fugace et frustrant. Quand allait-elle me juger digne de la voir vraiment nue ? Qu’attendait-elle de moi pour passer cette étape et poursuivre mon initiation ? Malgré la rapide masturbation matinale que j’avais reçue, j’étais déjà frustré avec toutes ces stimulations…
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