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Psychologie d'une petite verge

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Bien que la dernière séance chez Mia m’eût épuisé mentalement et physiquement, je revins quelques jours plus tard à sa demande. Elle m’accueillit avec une tenue un peu plus classe que d’habitude, en chemise blanche et en jupe noire, et me demanda de seulement enlever mes chaussures pour l’instant, au lieu de me mettre nu dès mon entrée.Je la suivis dans son salon où je vis un homme d’âge moyen qui attendait confortablement assis dans le canapé. Sans être en costume, sa tenue était élégante, il émanait de lui une certaine aisance. Il se leva pour me serrer la main d’une poigne ferme et rêche, et je pus me rendre compte qu’il m’était bien supérieur en taille.
— C’est donc lui qui va servir à votre étude de cas. Qui sera anonymisée bien sûr. — Tout à fait M. Otoole, répondit Mia, son nom n’apparaîtra pas dans mon mémoire, mais il illustrera parfaitement le masochisme sous sa forme légère, essentiellement cérébrale, et le plaisir que ressentent certains petits pervers à être humiliés, voire soumis.
Celui qui je suppose était le professeur qui allait corriger le mémoire de Mia me regarda des pieds à la tête puis dit :
— J’ai hâte de voir si votre sujet est aussi obéissant que vous le prétendez.— Il a toujours été un bon garçon depuis que je le connais, dit-elle en se tournant vers moi. Déshabille-toi, des pieds à la tête.
Je sentis mes joues chauffer, mon visage avait dû bien rougir devant cet échange qui se faisait comme si je n’étais pas présent, et l’ordre avait achevé de m’humilier. Mia me regarda dans les yeux, fermement, et je vis qu’elle ne plaisantait pas. Je craignais de la perdre si je ne suivais pas son ordre, mais m’aventurais en terrain inconnu si j’obéissais. Je finis par me déshabiller maladroitement, sous leurs yeux, laissant sur le sol un petit tas de vêtements encore chauds. J’enlevai mon caleçon dos à eux, les laissant voir mes fesses mignonnes d’après Mia, avant de me retourner les deux mains sur mon bas-ventre, masquant mon pénis rétréci par la honte de m’exposer devant deux personnes, dont un homme expérimenté. Mais Mia n’allait pas laisser passer ça :
— Tiens-toi bien droit, les bras le long du corps, jusqu’à ce que je te dise de faire autrement.
J’obéis, laissant voir mon sexe pendant que M. Otoole, de nouveau assis, me regarda de bas en haut, fixant sans gêne mon pénis ridicule et mes petites bourses, se penchant même comme pour mieux la voir. Je sentis l’air circuler entre mes cuisses et à la surface de mes couilles imberbes alors qu’il se redressait.
— Je préfère ôter tout doute : quel âge as-tu, mon garçon ?— Dix-huit ans, balbutiai-je.— Je vois. Eh bien, effectivement, il n’est pas très bien pourvu, c’est le moins que l’on puisse dire. Dans certains cas, passer par un processus d’humiliation permet de s’accepter comme on est. Certains esprits parviennent à transformer la honte en plaisir...— Oui, il semblerait que ce petit vicieux adore exhiber son petit sexe à présent. D’ailleurs, écarte bien les jambes. Et mets les mains sur la tête ! Approche-toi pour que monsieur te voie mieux !
Ce faisant, je sentis un courant d’air tourbillonner autour de ma verge et de mon scrotum, qui pendaient librement et à la vue de tous entre mes jambes.A nouveau, les yeux de cet homme plus âgé parcoururent ouvertement mon corps sur toute sa longueur et sa surface, notant chaque détail de ma nudité.
— Heureusement qu’il n’a guère de pilosité, sinon ce pénis semblerait encore plus petit. Vous avez pris l’habitude de le toucher et il se soumet à toute manipulation, c’est bien ça ?
Mia s’approcha de moi sans hésiter. Elle mit sa main en coupe et l’amena entre mes cuisses, fermant délicatement ses doigts frais autour de mes testicules sensibles pour les tenir au creux de sa main. Alors qu’elle touchait mon scrotum, ma respiration se bloqua quelques secondes. Elle effleura de ses ongles le dessous de mes bourses, caresse chatouilleuse qui m’excita un peu plus.
Elle prit ensuite en main mon pénis flasque, le souleva, et pressa la douce chair de mon membre de ses doigts fins, puis me décalotta nonchalamment, dévoilant mon gland rougi. Je frémis, embarrassé, humilié par mon durcissement involontaire devant elle et un autre homme. Je regardai avec obéissance Mia tenir mon pénis et le bouger de gauche à droite comme pour parfaire son examen, avant de le laisser retomber, le gland humidifié par ses attouchements.
Après qu’elle eut lâché mon pénis gonflé avec désinvolture (bien qu’ayant grossi il restait peu impressionnant), elle mit doucement sa main sur ma hanche avant de mouvoir ses doigts délicats sur mes fesses, lentement. Le bout de ses doigts glissa dans ma raie, me faisant frémir, gêné par cette exploration en public. Je baissai la tête pour oublier que je me montrais à deux personnes, mais Mia me releva le menton pour que je regarde son professeur dans les yeux. Puis elle finit ses caresses entre mes fesses par une petite tape sur mon derrière et recula.
— Eh bien, c’était une belle démonstration de votre ascendant sur lui !... Approche-toi mon garçon ! Quant à toi Mia, amène-moi donc une chaise pour la suite.
Je me déplaçai en tremblant lentement juste devant cet homme bien plus mûr que moi, assis dans le canapé, qui se pencha vers moi et ma mince virilité. Effleurant mon ventre et mon pubis glabre, il enveloppa de sa main large et rugueuse mon pénis et mes testicules tout en me regardant dans les yeux. En sentant mes attributs contenus dans la main d’un homme plus âgé, mon sentiment de soumission était total. Tandis qu’il soulevait mes bourses dans sa main, je sentis que mon sexe restait mou, mais que mon gland devenait encore plus mouillé que quand Mia avec naturel m’avait décalotté durant ses manipulations.
— Qu’est-ce que tu ressens, à avoir ton corps observé et touché par un inconnu ?
Le professeur continuait d’avoir mes testicules dans sa main. J’avalai difficilement et répondis :
— J’ai honte.
Il serra un peu et j’ajoutai :
— C’est humiliant.— Oui, ça l’est, n’est-ce pas ?
Le professeur de Mia ayant fini de soupeser mes bourses, il retira sa main, laissant pendre piteusement mes attributs, mon appendice devenu rikiki sous cette soumission complète, se leva et s’assit sur la chaise qu’avait amenée Mia.
— Approche-toi, gamin !
Il me fit signe de venir alors qu’un coup d’œil vers mon pubis me montra que du liquide séminal perlait le long de ma verge molle, symbole d’une excitation mâtinée d’impuissance. Je me dirigeai donc vers lui tandis que mon sexe se balançait lamentablement devant mes deux dominateurs.
— Allonge-toi sur mes genoux mon petit, Mia m’a dit qu’elle ne t’avait jamais donné de fessée tellement tu étais sage. Ce sera encore mieux si ta première correction t’est donnée par un homme, les coups seront plus forts et ta virilité plus troublée.
Incapable de réfléchir, je me plaçai sur le côté et commençai à me pencher au-dessus de ses cuisses.
— C’est bien mon petit, mets-toi à plat ventre sur mes genoux...
Je m’y plaçai docilement, mais il me demanda de me placer davantage vers l’avant, la tête bien en bas, jusqu’à avoir mon sexe qui pende entre ses deux cuisses larges. Une fois que je fus correctement placé, il les resserra, mais sans compresser mes discrets attributs.Puis cet homme au ton dominateur me caressa mes fesses, les parcourant comme pour en prendre possession. Il alla jusqu’à glisser ses doigts dans la raie de mes fesses, ce qui me fit frémir, mais je ne protestai pas.
— Impressionnant, vous avez trouvé le parfait sujet, Mia !
Puis sa large main s’abattit sur mes deux lobes, de manière rapide et alternée. Une grande chaleur mêlée de honte et de plaisir de laisser-aller m’envahit tandis que les claques s’enchaînaient sur mon derrière. Mes jambes frétillaient et mes lobes fessiers ballotaient, laissant apparaître au moins une partie de mon intimité. Dans ce lâcher-prise marqué d’une aboulie totale, j’éprouvais une pure soumission, à moins qu’il n’y eût aussi le sentiment quelque sensualité honteuse refoulée. Si je ne bougeais pas trop au départ, je commençais à gigoter devant la chaleur qui se répandait dans mes fesses. Comme pour me dire de me calmer, les claques se firent plus dures et douloureuses, mais je ne parvenais pas à rester immobile et tentais d’éviter que les claques ne frappent les zones les plus sensibles. Or, ce faisant j’écartais parfois les cuisses, toute pudeur oubliée, dévoilant l’arrière de mes bourses et mon anus imberbe, peut-être un bout de ma fine virilité.
Mon fesseur connaissait maintenant chaque détail de mon anatomie, sous tous les angles. Ce manège continua un moment, je ne pouvais m’empêcher de gigoter sur les genoux de l’homme mûr...Je me tortillai encore sur ses genoux lorsque les coups cessèrent, et que la main large et rêche de mon fesseur passa sous mon ventre pour se saisir de mon petit membre. Il tint fermement ma tige tout en me disant de me calmer. Sous ce contact intime réalisé par une personne du même sexe que moi, je fus suffisamment surpris pour cesser tout mouvement. Puis il lâcha mon sexe et le spectacle reprit aussitôt, sous les yeux brillants de Mia, qui après avoir observé mon petit cul rougi se plaça du côté de ma tête. Je regardais jusque-là tout simplement le plancher, sentant le sang me monter à la tête, pas seulement à cause de la gravité, mais aussi du fait de l’humiliation d’être sur les genoux d’un fesseur qui avait pris pleine possession de mes fesses, de mes cuisses, et de ce qu’elles ne cachaient plus. Mais s’accroupit juste devant mon visage et souleva mon menton pour me forcer à la regarder dans les yeux et mieux voir mon expression mortifiée.
Puis elle attrapa mes mains et les tint tandis que je sentais mon fessier rougir encore davantage.Je repris mes tentatives pour esquiver les claques, occasionnant des frottements de mon sexe contre le pantalon. Malgré moi, je sentais que je développais une érection contre les cuisses de cet homme dominant. Il s’en rendit sans doute compte lui aussi, car cessa la fessée et m’ordonna de me relever, ce que je me préparais à faire, soumis à son autorité. Mais il me souleva lui-même et me mit debout devant lui, toujours nu.
Je m’affichais donc devant lui et Mia et apposai mes mains froides contre mes fesses, toute pudeur oubliée. Mes deux dominateurs mataient tous mes attributs, et notamment ma tige durcie qu’ils scrutaient attentivement. La main de M. Otoole attrapa mon pénis pour en tester la fermeté, puis il joua avec mon sexe rigide, montrant qu’il était maître de mon corps. En même temps, son autre main glissa le long de mes fesses et pressa la partie moelleuse et courbée de ma fesse droite :
— Qu’est-ce que ça fait quand j’appuie là ?— J’ai mal, ça chauffe...
Le professeur relâcha sa prise et demanda à Mia :
— Vous l’avez déjà pénétré ?— Il a déjà été fouillé par un ou deux doigts...— Rien de plus gros ?— Non, mais j’y ai pensé...
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