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Psychothérapie nécessaire

Chapitre 1

Hétéro
Tout a commencé lorsque je suis rentré en master dans une université parisienne assez huppée.
Je venais de la campagne et je ne connaissais absolument personne en région parisienne. J’avais trouvé un petit appartement en colocation avec une fille qui s’appelait Lucie.
L’appartement était somme toute assez cosy même si le parquet grinçait comme toutes les portes, il était verni et les tapisseries au mur étaient de bon goût. Sans jurer avec le parquet, elles étaient modernes et ne rendaient pas trop vieillot l’appartement.

Quant à ma coloc, elle avait le même âge que moi et était également en master dans une autre branche au même campus que moi.Pour vous la décrire brièvement, il s’agissait d’une grande fille, même un peu plus grande que moi, très féminine, brune, très fine et élancée, avec les cheveux qui lui tombaient sur les épaules. Et il y a quelque chose que je ne dois pas omettre de vous préciser, c’est qu’elle m’avait prévenu d’emblée qu’elle préférait les femmes.
Elle vivait sur Paris depuis son enfance, ses parents étaient partis en province pour profiter de leur retraite loin de la grisaille parisienne, et elle avait récupéré le petit appartement familial qui comportait deux chambres qui se faisaient face dans le couloir, au bout de ce dernier, une petite cuisine et un coin salon et bien sûr une salle de bain avec toilettes qu’on trouvait directement à gauche dans l’entrée.
Dans l’idée, vivre avec une lesbienne ne m’avait pas dérangé de prime abord. Au contraire, je préférais cela à voir des garçons débouler à l’appartement et venir "sauter" ma coloc sous mon nez.
Si les débuts de cohabitation avec elle avaient été plutôt difficiles, dus au fait que j’avais eu un peu de mal à m’acclimater à la mentalité spéciale des Parisiens, et notamment à la sienne que j’avais trouvée au début assez prétentieuse et autoritaire, nous avions fini par devenir amis. On se retrouvait pour manger au RU, on s’attendait pour rentrer en métro le soir, en somme, en dehors des cours, nous avions fini par passer une grande partie de notre temps ensemble, et nous étions de plus en plus complices. Elle voulait tout savoir de moi, qui je trouvais belle à la fac, sur quelles filles j’avais des vues lorsque nous sortions, comment était ma première copine, quel était mon type de fille...

Si les premiers mois de complicité avec elles étaient vraiment drôles et plaisants, à rigoler de quelle fille nous trouvions belle, de quelle fille nous avions envie... je finis par ressentir un évident malaise à son encontre.
Il était évident en effet que mon envie se portait de plus en plus sur ma confidente et plus sur les objets de nos confidences. Et savoir que je ne pouvais la posséder me rendait fou. Je la voyais le matin sortir de sa chambre nue sous un long t-shirt, je la savais nue dans son lit à quelques pas de moi, je la voyais essayer ses tenues en sous-vêtements, devant le miroir plein pied de l’entrée, mon désir pour elle brûlait en moi.

Si bien qu’un jour, et c’est là que les problèmes commencèrent, alors que je n’avais pas cours de l’aprèm et que je me trouvais seul dans l’appartement, affalé sur le canapé du salon à manger des céréales devant des vidéos YouTube et à m’ennuyer viscéralement, j’eus l’idée d’aller fouiller dans ses affaires. Je me suis levé, suis allé vérifier que la porte de l’appartement était bien fermée, me rendit ensuite dans sa chambre, l’ouvrit délicatement ; sans vouloir faire de bruit, comme si j’allais ameuter des fantômes en faisant grincer la porte... J’entrai.
Les volets étaient fermés et il faisait totalement noir. Ne prenant pas la peine de les ouvrir et ne voulant rien changer pour ne pas laisser de traces de mon passage, j’allumai la lumière et m’approchai de sa commode. J’ouvris les tiroirs un par un. Le premier contenait ses chaussettes en vrac, le second ses hauts, enfin le troisième, contenait pêle-mêle ses culottes, ses soutiens-gorge et ses foulards. Je pris un soutien-gorge et le mis devant mon torse, et me mis à me peloter moi même, caressant le tissu doux, l’imaginant être porté par sa propriétaire. Je pris une culotte, la mis à mon nez. Elle ne sentait rien. Évidemment, elle était propre.
Passa alors en moi l’idée vicieuse d’aller fouiller dans le bac à linge, afin d’y dégoter une petite culotte qui avait été portée... Laissant tout en place, les tiroirs ouverts, je sortis de la chambre, sans fermer, ni la lumière ni la porte, j’allai dans la salle de bain, enlevai le couvercle du bac à linge sale, et y mis ma main pour y fouiller. Et ma trouvaille ne fut pas dure à trouver. Je trouvai un string en dentelle rouge, me mis à le toucher, à l’observer,
le mis à mon nez...Hmmm, il sentait fort mais bon, il sentait son vagin, une odeur de sécrétions des plus excitantes, et une petite odeur de sueur anale...Profondément excité, je sentis mon sexe se dresser dans mon caleçon sous mon jean, et la troisième mauvaise idée de l’après-midi me passa en tête. Je sortis mon sexe, passai ma langue sur le coté extérieur du tissu et mis presque le tissu dans ma bouche, puis vint le mettre autour de mon sexe en érection, et fis faire des va-et-vient à ma peau en frottant le tissu à celle-ci, le string sur ma verge dressée, je me masturbais. Je pris une autre culotte dans le bac, la mis également à mon nez, elle sentait aussi bon que le premier auquel je frottai mon gland au tissu, à l’endroit de son vagin et de son fion, puis me branlai de plus en plus vaillamment, l’excitation était bonne, je l’imaginais reporter ce string, porter cette culotte, dont je reniflais l’odeur, observait les traces blanches de mouilles, à deux doigts de vouloir les lécher, j’étais en extase.
Me masturbant debout au-dessus des chiottes, la cuvette claquait au contact frénétique de mes genoux, je n’entendis pas la clé dans la serrure, entendis seulement la porte s’ouvrir d’un coup, ma coloc entra, pressée d’aller aux toilettes, poussa la porte, me surpris, et écarquillant les yeux, voyant ma queue bandante, frottant son string, poussa un "OH PUTAIN DIMITRI !!"
S’en est suivi un long sermon pendant lequel elle me disait ne plus pouvoir me faire confiance, que j’étais un détraqué, qu’il fallait que je me soigne, qu’elle n’arriverait plus à vivre dans cet appartement avec moi... Profondément honteux, je feignais l’impassibilité en me fourrant au plus profond du canapé alors qu’elle faisait les 100 pas dans le salon. Au bout de longues minutes de discussion où elle vint à considérer que je ne pouvais rester, pensant que je ne pouvais pas me permettre de devoir déménager en pleine année scolaire avec tous les soucis que ça engendre, je pris sur moi de jouer de plaider l’irresponsabilité pénale du fait d’une maladie obsessionnelle sexuelle instantanément inventée et avouée. Jouant un jeu d’acteur auquel naturellement doué, je mis ma tête entre mes mains comme voulant cacher mon visage et mon existence aux yeux de ma colocataire et insistai à quel point j’avais honte de moi et de ma maladie qui m’obsédait.
Ma coloc, de tendance de gauche, avec donc une propension à l’empathie pour les comportements victimaires, se calma enfin. Et se mit assise à ma gauche, me regardant comme une grande personne sage, regarde avec bienveillance et désolation un enfant qui a fait une bêtise dont il a honte, et me dis alors :
— Bon, Dimitri, si tu veux rester il faut que tu me promettes de te soigner, et de ne plus jamais entrer dans ma chambre ni fouiller dans mes affaires. — Oui, je te le promets.
Me voici donc, en ce samedi matin, devant une porte en verre à poignée dorée, où est inscrit en lettres dorées "NICOLAS Angélique, Cabinet de Psychologie".

J’entre. Une salle d’attente avec des sièges bas en plastiques, une table basse blanche, avec dessus une plante, des tableaux en noir et blanc sur les murs, je m’assois, j’attends, j’entends derrière le mur une voix de femme. Je déteste les psychologues. Enfin, comme tout le monde... Je n’y suis jamais allé de toute façon, enfin, jusqu’à aujourd’hui. J’attends. Une porte s’ouvre.
— Au revoir Docteur, et merci. — Nous nous revoyons la semaine prochaine de toute façon, vous me direz comment ça a évolué. Au revoir.
Une grande dame blonde élancée, la quarantaine, habillée avec un grand imper beige à boutons, sort du bureau, dont la porte est cachée dans le couloir et que je ne vois pas de mon siège, frappe le carrelage du sol de ses talons et avance jusqu’à la porte en verre, ouvre la porte et part du cabinet.
D’autres talons se font ensuite entendre dans le couloir, s’approchent de moi, une très belle femme surgit, légèrement bronzée, les cheveux châtains, les yeux bleus, un visage aux traits parfaits, habillée avec une robe moulante en cachemire noir s’arrêtant juste au-dessous de ses fesses, épousant parfaitement la forme de ses seins et de ses fesses, et porteuse de cuissardes, elle s’arrête au bout du couloir et me dit :
— Monsieur CARCELA Dimitri ? On peut y aller.

Je suis bouche bée, immédiatement pétrifiée par une telle femme, elle m’impressionne totalement. Que vais-je bien pouvoir lui raconter pour expliquer ma présence ici ?
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