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Ptricia infirmière

Chapitre 2

Erotique
Au moment où la voiture rentre dans le sous-sol qui conduit au box du garage, Patricia jouit une fois de plus. Dans l’ascenseur qui conduit à mon duplex en haut de la résidence, elle est collée contre moi pour échanger des baisers. Allongé nu sur le lit, je passe et repasse ma langue entre ses lèvres pour recueillir sa cyprine, chaque fois que ma langue effleure son clito elle a un petit sursaut. En même temps j’ai mes doigts qui sont enfoncés dans son petit cul, je lui relève les jambes et j’investis son petit cul bien profondément et la possède de puissants coups de rein, mes doigts ont saisi ses tétons pour les pincer et les étirer. Patricia jouit sans retenue et je continue un long moment avant que ma queue crache mon foutre, sa jouissance continue un bon moment tant que je reste planté en elle.
— Tu veux prendre une douche ?— Non merci, j’aime dormir avec du sperme en moi.
Elle se love contre moi comme une sangsue et le sommeil nous emporte. Je ne sais à quel moment de la nuit, je suis réveillé par Patricia qui tient ma queue d’une main et l’avale en faisant tourner sa langue autour pour développer mon érection. Lorsqu’elle l’estime assez raide elle m’en jambe et l’introduit dans sa minette débordant de cyprine et en douceur, elle prend son plaisir, me noyant le bas ventre de sa mouille. Lorsque j’éjacule, elle reste un moment immobile plantée sur ma queue tant qu’elle est raide puis revient se coller contre moi, pas un mot n‘a été prononcé par aucun d’entre nous.
— Bonjour mon homme, as-tu passé une bonne nuit ?— Superbe nuit ma salope, j’ai dormi comme un bébé, j’ai l’impression d’avoir fait un rêve érotique.— Tu n’as pas fait de rêve érotique mon homme, je me suis servi de toi pour jouir, tu n’as rien ressenti ? Jamais je n’oublierai cette soirée et cette nuit, je me suis offerte totalement à mon patron en lui donnant toute ma sexualité. Il m’a exhibée, j’ai sucé un autre homme, j’ai vraiment joui sans retenue comme la salope que je suis. Que-pense-t-il vraiment de moi maintenant, c’est la question que je me pose.— Tu as oublié que s’il n’y avait pas eu l’ambulance, tu ne serais pas venue dans mon bureau et toute la suite après. Rassure-toi, tu es une salope, tu aimes la soumission, l’exhibition et cela me plaît beaucoup et j’ai très envie de te garder et de continuer avec toi. C’était très bon cette nuit, j’ai continué de faire semblant de dormir, je commence à te connaître tu as envie de ma queue, mais d’abord douche et déjeuner, je meurs de faim.— Je vais te dévorer et tu vas me baiser de partout comme une chienne.— Pas question de se conduire comme des bêtes ce matin, on va faire l’amour.
Je la prends dans mes bras pour échanger des baisers puis je lui tête les seins, ma langue tournant sur ses tétons que je sens grossir et durcir. Patricia est au bord de la jouissance alors je descends passer ma langue au bord de ses lèvres et je l’enfonce un peu plus à chaque passage pour récupérer sa mouille abondante. Maintenant que ma langue s’enfonce au plus profond, elle commence à jouir et pour lui donner un maximum de plaisir ma langue joue avec son clito et mes mains remontent sur ses seins que je malaxe comme de la pâte. Sa première jouissance du matin est intense par moment, son corps se raidit sous le plaisir. Elle reste un moment alanguie, respire par saccade. Les cuisses ouvertes me laissent voir sa cyprine qui inonde les draps.
— Tu es vraiment un expert pour donner du plaisir à une femme, je ne sais pas faire l’amour, mais plutôt baiser sauvagement surtout depuis mon passage avec Mercier.— Je sais pour lui la femme est un objet pour son plaisir sans s’occuper de sa partenaire, maintenant à ton tour de me donner du plaisir.
Patricia se précipite entre mes jambes pour gober ma queue.
— Non Patricia, on fait l’amour.
Elle remonte pour échanger des baisers avec moi, puis sa langue descend sur mes tétons, qu’elle mordille et continue en descendant sur mon ventre. D’une main, elle saisit mes couilles et les caresse doucement, puis les presse avec douceur. Elle s’installe entre mes jambes et sa langue monte et descend le long de ma verge, elle fait tourner sa langue sur mon gland et le gobe entre ses lèvres et elle m’avale entièrement, remonte et recommence toujours en douceur. Lorsque je sens que mon plaisir va arriver je lui dis viens, sa chatte gluante de mouille m’absorbe et là elle ne se retient pas et me chevauche comme un cheval au galop. Je lui saisis les tétons et elle commence à jouir presque en même temps que moi. Patricia continue un bon quart d’heure, sa chevauchée nous éclabousse de nos plaisirs mélangés.
— Voilà, c’est bien ma salope, tu as autant de plaisir comme cela, viens à la douche et direction le week-end au bord de mer.
Pour aller chez toi tu ne mets que ton manteau que tu laisses ouvert, pour le voyage une petite robe et pour sortir ce soir je te laisse choisir. Son manteau est largement ouvert de chaque côté de ses seins et elle est bien cambrée pour les exhiber. Dix minutes elle revient avec une petite valise et vraiment une petite robe courte au trois quart de ses cuisses, ouverte qui laisse voir sa chatte lorsqu’elle marche et vraiment très serrée sous ses seins qui jaillissent, visiblement presque entièrement. Elle porte aux pieds des chaussures à brides avec des semelles compensées. Une vraie tenue de salope, à la sortie de la ville, je lui demande d’ouvrir la boîte à gants ou j’ai déposé un gode-vibromasseur.
— Pour le plaisir de ma petite salope pendant le voyage pour t’occuper, il y a environ une heure trente de route.
Elle pose ses pieds sur le tableau de bord, cuisses grandes ouvertes et commence à passer le gode le long de ses lèvres. Elle va s’offrir trois jouissances dont la dernière le gode enfoncé au maximum est en vitesse maximale de rotation, un arrêt de cinq minutes pour réserver une chambre et dix minutes pour arriver à la plage. Je sors deux grandes serviettes et du produit solaire et referme le coffre.
— Je n’ai pas eu le temps de prendre mon maillot de bain.— C’est pas nécessaire, on va sur une plage naturiste.— C’est une première pour moi, je n’y suis jamais allé.— Tu vas pouvoir t’exhiber en bonne salope, cela doit te plaire.
Je ne suis pas surpris, lorsqu’elle étale sa serviette pas loin de trois hommes seuls, alors qu’il y peut de monde sur la plage, sa robe tombe au sol et elle s’allonge les jambes bien écartées pour laisser voir sa minette brillante de cyprine avec des traces des dix centimètres bien visibles. Je lui propose de passer de la crème sur son corps, je m’attarde sur ses seins et elle jouit serrant les dents pour rester discrète.Lorsque je m’attarde sur son pubis, elle a de nouveau une jouissance moins discrète. Lorsqu’elle s’installe à genoux pour m’enduire de crème solaire, elle prend soin de se mettre de dos par rapport aux hommes et leur offrir la vue de son cul et de sa chatte. Cette petite salope insiste sur ma queue pour la rendre bien ferme. Une demi-heure plus tard, crème sur le dos et j’en profite pour introduire deux doigts dans son cul pour une troisième jouissance encore moins discrète.Nous allons de temps en temps nous baigner.
Bientôt il ne reste que les hommes qui sont en semi-érection devant le spectacle offert par Patricia.
— Ma salope, je vais aller nager seul, profite pour t’amuser à moins que trois, c’est trop pour toi.— Merci, mon homme, je peux tous leur offrir.— Si tu veux, je te laisse libre d’en profiter suivant tes envies.
Elle me roule une vraie pelle, arrivé au bord de l’eau, je me retourne, elle est déjà à genoux devant les trois hommes et presque immédiatement elle a une queue dans la bouche et les deux autres dans ses mains. Je nage un peu et je m’assois dans l’eau pour profiter du spectacle offert. Patricia est empalée sur un des hommes, un autre la sodomise et elle suce le troisième. Je continue de nager et rapidement les trois hommes ont changé de place. Dix minutes plus tard, nouveau changement. J’attends qu’elle retourne sur sa serviette pour sortir de l’eau, en me voyant revenir les trois hommes quittent la plage. Patricia m’embrasse la bouche encore pleine de sperme.
— Merci mon homme, tu es un amour, tu vas me rendre folle de toi si tu continues de m’offrir.— Il te reste assez d’envie pour satisfaire ton homme.
Patricia commence par une fellation, puis allongée sur le dos, ma queue nage dans le mélange de sa cyprine trois doses de sperme, elle noue ses jambes autour de mon torse pour que je m’enfonce le plus possible en elle et pour finir je la sodomise et ajoute une nouvelle dose de sperme en elle.
— Tu veux te laver où tu restes comme cela pour rentrer à l’hôtel.— Tu sais bien que j’aime avoir les trous pleins, je préfère aller à l’hôtel, remplie de sperme.
En montant l’escalier, je remarque une superbe auréole de sperme imprégnée sur sa robe, comme nous avons encore du temps avant d’aller au restaurant Patricia se balade nue dans la chambre et les traînées blanches lui arrivent au genou. Je lui demande de se regarder dans une glace.
— Là, je fais vraiment très salope, prends des photos avec ton téléphone, tu veux bien pour faire un album souvenir pour nous deux.
J’ai droit à toutes les positions, je fais bien une vingtaine de photos, debout, accroupie, un pied sur une chaise, de dos, à genoux avant qu’elle aille prendre sa douche. lorsqu’à mon tour, je sors de la douche, je découvre une magnifique poupée, une jupe très courte, un chemisier transparent et des talons assortis, tout est rouge, bien entendu elle ne porte aucun dessous. Je pense qu’au restaurant, elle va encore en faire bander plus d’un. Notre arrivée ne passe pas inaperçue, tous les regards sont braqués sur Patricia en attendant le serveur, il nous place dans un coin qui est visible de presque tous les convives. Je demande au serveur de placer les deux couverts côte à côte, cela permet que Patricia soit plus visible n’étant pas devant elle. Aussitôt assise, elle écarte ses jambes, son instinct de salope la guide à s’exposer à la vue de plus de personnes possible. Le serveur a les yeux rivés sur sa poitrine et balbutie en prenant notre commande.
Instinctivement, ses jambes se ferment et s’ouvrent. Au moment du dessert, elle me chuchote, chéri je suis trempée, j’ai envie de jouir.
— Attends notre sortie pour cela, profite pour avancer tes fesses au bord de la banquette et écarte tes jambes au maximum.
Un client plus troublé que les autres laisse tomber sa fourchette dans son assiette, un autre plus voyeur laisse tomber sa serviette et prend son temps pour se relever, il se réprimander par sa femme. La note payée, Patricia m’embrasse devant tout le monde, et se précipite presque vers la sortie. Arrivé à la voiture, il me suffit d’une caresse sur son clito pour qu’elle jouisse, je la colle contre la portière, me dégrafe le pantalon pour investir sa minette béante et pleine de crème, sa jouissance augmente. Trop excité par le spectacle du restaurant mon foutre rejoint sa cyprine, ce qui ne m’empêche pas de continuer un bon quart d’heure.
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