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De puceau à maquereau

Chapitre 7

Hétéro
Le soir dans ma chambre je rêve… je rêve qu’Annie me rejoint dans le cabinet où j’attends sans pantalon ni slip… Elle s’agenouille et prend mon sexe en bouche comme l’avait fait Lucie… Ce n’est pas entre ses lèvres que je veux jouir… Je la relève… Je soulève sa jupe sur son ventre nu… J’avance la queue pointée… Je m’enfonce dans un océan de douceur… Zut ! J’ai maculé les draps. Chloé va encore m’enguirlander !
Annie n’a plus peur de s’afficher en ma compagnie. Les autres étudiants prennent l’habitude de nous voir ensemble et nos bécotages en public ne nous attirent que des regards indulgents, voire envieux. Par un accord tacite, nous évitons d’aborder les sujets qui tournent autour de ma famille et de Jacques en particulier. Comme moi, elle regrette les révisions en commun, mais refuse de venir à la maison. Elle ne veut pas se retrouver face à Jacques me confie-t-elle. Je la comprends. Bien qu’il m’ait promis de ne plus y toucher, je ne lui fais pas confiance. Elle propose de nous réunir chez elle. Sa chambre qui lui sert de bureau est coquette, le lit confortable, mais malheureusement il y a sa mère… Chez moi, il y a un verrou à la porte de ma chambre et quand je le ferme je suis sûr que personne ne viendra me déranger tandis que chez Annie… Madame Mère a la fâcheuse habitude d’entrer à l’improviste sous les prétextes les plus futiles. Je suis sûr qu’elle le fait exprès. De plus les cloisons sont si fines que le moindre gémissement la fait rappliquer. Nous en sommes à guetter ses déplacements pour échanger quelques baisers brûlants qui nous laissent insatisfaits. C’est d’autant plus navrant qu’Annie a inventé un nouveau jeu…
Un jour, alors que nous étions assis côte à côte dans un amphi, elle a découpé le fond de ma poche avec une paire de ciseaux. Malgré mes recommandations de prudence, la coquine a glissé la main et s’est amusée à me chatouiller. J’ai voulu me dégager. — Reste tranquille ! Tu tiens à ce que tout le monde nous remarque ? Ses doigts ont fait le tour de ma queue raide comme un bout de trique. — Je t’interdis de recoudre ta poche, m’a-t-elle murmuré. Et dorénavant tu t’abstiendras d’enfiler un slip. — D’accord, mais à condition que tu ne portes rien sous ta jupe. — Oh ! Le cochon ! Tu n’as pas honte ? — Non. Les regards désapprobateurs de nos voisins ont interrompu ce dialogue coquin mais n’ont pas dissuadé Annie de poursuivre sa manipulation. — S’il te plait… Je vais encore tacher mon pantalon. — Tu n’as qu’à te retenir ! Je ne sais comment j’ai résisté jusqu’à la sonnerie de fin du cours. Je me suis arraché à la caresse et j’ai foncé aux toilettes me soulager. L’heure suivante, Annie m’a montré un bout de tissu rose dans son porte-document. — J’ai rempli ma part de marché, et toi ? — Excuse-moi… Un détour rapide par les W.C. pour ôter mon slip et je l’ai accompagnée au dernier rang…
Jusqu’aux vacances, sauf pour les matières primordiales, nous nous précipitons (les places deviennent chère en cette fin d’année) au sommet de l’amphi parmi les couples d’étudiants plus préoccupés par leur plaisir que par les études… Là, assurés de leur discrétion nous nous caressons mutuellement. Pour éviter les taches suspectes, j’insère discrètement un mouchoir dans ma braguette tandis qu’Annie prend soin de ne pas s’asseoir sur sa jupe… De temps en temps, un soupir appuyé, un gémissement mal contenu nous fait lever la tête pour rencontrer les sourires entendus de nos voisins… Il me reste peu de souvenir de l’enseignement dispensé pendant ces cours ! Heureusement, les examens de fin d’année ne portaient pas sur ces matières… Nous avons essayé chez Annie mais au premier soupir la porte s’est ouverte. Par chance nous n’en étions qu’aux préparatifs et avons pu discrètement, moi dissimuler ma braguette ouverte, elle rabattre sa jupe et nous composer une mine studieuse. — Ne vous dérangez pas pour moi (tu parles !), je venais juste chercher un mouchoir propre dans ton armoire Annie, les miens sont tous au sale.
Piètre excuse pour justifier son inspection. — Qu’est-ce qui te prend d’être toujours en jupe ou en robe ? Ça ne te ressemble pas. — C’est plus agréable en été maman. Je jette un coup d’œil à mon poing crispé sur le slip d’Annie. Non rien ne dépasse, pourvu que je n’attrape pas une crampe ! La vieille tourne dans la pièce en nous observant d’un œil critique. Ne trouvant rien à redire elle nous laisse enfin seuls. — Dis, elle pourrait pas nous lâcher la grappe ta mère ? Toi et moi on est majeurs que diable ! — Elle dit comme ça que tant que je vis chez elle, elle est responsable de moi. Nous reprenons notre révision que j’ai du mal à suivre sachant ma copine nue sous sa robe… En pure perte, quel gâchis !…
Bonne nouvelle ! Pour la dernière révision avant les examens, la mère d’Annie prend le thé chez une amie. — Je suis désolée de vous abandonner, mais je ne peux refuser cette invitation. Je vous ai laissé des rafraichissements dans le réfrigérateur. J’espère Jean, que vous ne m’en voudrez pas. — Je vous en prie madame, nous saurons nous débrouiller tous seuls. C’est trop beau pour être vrai ! Annie me sourit et prend discrètement ma main. — Au revoir les enfants, ne faites pas de bêtises. — Maman ! Voyons ! La porte refermée, nous nous postons derrière la baie vitrée du salon pour observer son départ. Nous ne respirons que lorsqu’elle a tourné au coin de la rue d’un pas décidé. Un même élan nous précipite dans les bras l’un de l’autre. Nous semons nos vêtements sur le chemin de la chambre, alternant baisers et déshabillage jusqu’au moment où, entièrement nus, nous roulons sur le lit… Nous sommes tellement excités que nous ne résistons pas à la déferlante de plaisir qui nous emporte…
Il me faut plusieurs minutes pour redescendre sur terre. Je m’allonge sur le dos, libérant Annie qui se redresse : — Vite, il faut ranger ! — On a le temps ! — Tu ne te rends pas compte de la cata si elle découvrait nos vêtements ! Bon, elle a raison. Nous refaisons le chemin inverse jusqu’au salon, récupérant sur le sol ou sur les meubles nos affaires éparpillées. Je redresse un lampadaire, tire sur la couverture du lit. Annie englobe la scène d’un œil critique : — Bon, je crois que tout est en ordre. Elle veut se rhabiller. — Pourquoi ? On n’est pas bien comme ça ? Souviens-toi, chez moi, tu avais accepté… — Chez toi, c’était naturel puisque tout le monde le fait, pas ici. — Ça ne t’arrive pas de te promener toute nue dans ta chambre ? — Si, mais… — Donc c’est naturel ici aussi ! — Mais Maman… — On l’entendra rentrer. Tu n’as qu’une robe à passer et moi un t-shirt et un pantalon. Y en a que pour quelques secondes. Je les pose sur cette chaise, tout près de nous. — Tu crois ? — Sûr ! Nous nous installons à son bureau. — Ce n’est pas tout ça, mais on est là pour réviser n’est-ce pas ? Je crois que je m’avance un peu trop. Notre tenue, ou plutôt notre manque de tenue n’est pas propice aux études sérieuses. J’ai de la peine à me concentrer, il semblerait qu’il en soit de même pour elle. Je laisse pendre négligemment ma main qui comme par hasard atterri sur sa cuisse. Je promène les extrémités des phalanges sur la peau tendre. Un ongle coquin soulève mes poils, près de l’aine. Nous évitons de nous regarder. Des doigts frôlent la hampe de mon sexe qui se redresse tandis que j’insinue l’index dans sa fente… Moments de tendresse qui devrait durer éternellement…
Le bruit de la porte d’entrée nous réveille. — Hou ! Hou ! Les enfants ! Vous êtes là ? — Oui Maman ! En un clin d’œil nous sommes rhabillés et ce sont deux jeunes gens sagement assis à la table de travail qui accueillent la mère d’Annie. — Vous avez bien travaillé ? — Oui madame, nous avons terminé nos révisions. Je vais vous quitter. Je n’ai pas le courage de rester une minute de plus sous le regard inquisiteur de la vieille sachant sa fille nue sous la robe ! — Tu pars déjà ? regrette Annie. — Oui, je suis attendu. — Bon, ben… à demain à la fac. Devant sa mère nous nous embrassons sur la joue… A la maison, mon père et Lucie, tentent de m’intercepter. Je sais ce qu’ils veulent ces deux là : que je baise la bonne pendant qu’elle le suce… Pas le moment ! Ils n’ont qu’à s’adresser à Jacques si ça les démange. Je m’enferme dans ma chambre où, étalé sur le lit je revis en pensée, tout en me caressant, les événements de l’après-midi…
Les examens de fin d’année nous accaparent. Plus question de penser à la gaudriole, notre avenir en dépend. Ce n’est qu’une fois les épreuves terminées que je propose à Annie une sortie cinéma en lui susurrant à l’oreille que je n’avais toujours pas fait raccommoder ma poche. Dans l’obscurité complice nous nous sommes saoulés de caresses… Nous retournons plusieurs fois voir (si l’on peut dire) des films, mais cela ne nous suffit pas. Comme il n’est pas question d’aller dans sa chambre où sa mère s’ingénie à contrarier nos efforts pour nous isoler et qu’Annie refuse toujours de venir chez moi, nous nous contentons d’étreintes à la sauvette en pleine nature (ce n’est pas confortable, croyez-moi) où dans des toilettes publiques (bonjour le romantisme !), rencontres qui nous laissent un goût d’inachevé. Cela ne peut durer. Il me faut convaincre Annie de revenir à la maison. A force de palabre, je parviens à la faire venir un matin, quand Jacques est au travail, je précise.
A suivre…
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