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De puceau à maquereau

Chapitre 8

Hétéro
Le retour d’Annie
Lucie nous accueille l’air morose. Par contre Papa fait un grand sourire à Annie qui rougit en baissant les yeux. Comme à l’habitude ils sont nus. Je me morigène, j’aurais dû les avertir pour qu’ils ne se présentent pas ainsi dès notre arrivée. — Je-Je… he-heur-heureux v-v-vous… — Papa te dit qu’il est heureux de te revoir. — Merci Monsieur. — P-p-pa-pas Mon-mon… A-a-an… — Il veut que tu l’appelles Antoine, c’est son nom. — Bien mon… euh pardon Antoine. Il ne veut pas lâcher la main qu’elle lui a tendue en arrivant. — V-v-vo-vous pa-pa-passe. Il lui tient la main. — Ton père demande si ta copine peut passer le voir avant de partir, traduit Lucie. Il n’en est pas question ! Je sais bien ce qu’il a derrière la tête le vieux vicelard. — Bien volontiers monsieur, répond Annie. Elle ignore de quoi il est capable ! Je l’entraîne dans ma chambre. Elle sourit de me voir mettre le verrou. — Auriez-vous des mauvaises pensées Monsieur ? — Mauvaises ? Pas du tout ! Elles sont très bonnes mes pensées ! Je l’enlace, nos lèvres se rejoignent, nos corps se touchent. Mon désir se fait impérieux. Je soulève sa jupe et fait descendre la culotte sur les fesses que je patouille avec ardeur. Elle se dégage et calme mon étonnement d’un ravissant sourire. — Tu ne m’avais pas dit que dès que tu arrivais ici, tu te mettais tout nu ? — Euh… oui. — Alors ? Qu’est-ce que tu attends ? — Euh… Je ne voudrais pas te gêner… — Qui a prétendu que ça me gênait ? Elle commence à déboutonner son chemisier. Nous faisons une course de vitesse pour savoir qui sera à poil le premier. Je gagne haut la main… la force de l’habitude. Je l’aide à dégrafer le soutien-gorge, seul vêtement qui lui reste et le remplace par mes paumes. Elle se laisse caresser un instant puis se retourne.
- Oh ! Monsieur ! Qu’avez-vous là ? sourit-elle en prenant à pleine main la verge qui pointe droit devant mon ventre. A quoi cela vous sert-il ? — Tu vas voir à quoi ça me sert ! Nous nous enlaçons, roulons sur le lit. J’explore son ventre, ses lèvres intimes pendant qu’elle manipule le bâton qui me tient lieu de sexe. Je n’en peux plus… je m’installe entre ses cuisses écartées… Mmmh ! Que c’est doux le sexe d’une fille !…
Un peu essoufflés, nous reprenons haleine. Je regarde Annie qui me sourit, un pauvre sourire. Elle est déçue je le sens. Je ne l’ai pas sentie vibrer. Moi non plus je n’ai pas retrouvé la jouissance profonde, le sentiment de partager quelque chose de merveilleux, d’inoubliable qui nous avait transporté la première fois où nous avons fait l’amour dans la chambre de Jacques. Les précédentes étreintes non plus chez elle ou à la sauvette ne nous avaient pas apporté cette joie, mais je le mettais sur les circonstances, la peur de se faire surprendre, le manque de confort… Ici dans le cocon protecteur de ma chambre j’étais persuadé réussir… Nouvel échec, je n’ai pas su contrôler mon désir, éjaculant dès les premières introductions sans laisser à Annie le temps de jouir… — Excuse-moi ma chérie, je n’ai pas pu me retenir. — Ce n’est rien, tu étais trop excité. — J’ai peur que ce soit autre chose. — Ah ? — Nous avons fait plusieurs fois l’amour n’est-ce pas ? — Euh… oui. — Sois franche avec moi, est-ce que je te fais jouir ? — Oh oui ! — Je parle pas de la première fois. En dehors de ce jour là dont je conserve un souvenir inoubliable, est-ce que je t’ai fait jouir ? — Oh oui ! Tes caresses sont délicieuses. — Mes caresses peut-être mais quand je m’introduis ? — Euh… si. — Tu n’as pas l’air d’en être sûre. Elle se réfugie contre moi. J’ai compris. Avec mon éjaculation précoce je ne lui apporte pas tout le plaisir qu’elle attend. Comment se fait-il que la première fois, cette merveilleuse première fois nous avions atteint ensemble des sommets de jouissance ? Que sans me forcer j’avais pu contrôler la montée du plaisir pour le faire durer à notre bénéfice commun ? A quoi cela est-il du ? A la colère qui m’a envahi quand j’ai surpris Jacques entrain de la baiser ? Non, je ne crois pas, cela aurait dû renforcer ma précipitation. Au fait que nous avions des spectateurs ? J’ose espérer que non. D’ailleurs je me souviens ils sont sortis immédiatement et nous ont laissés seuls. Alors ? Est-ce de passer après Jacques qui m’a rendu si performant ? Pendant ces réflexions, Annie s’amuse à chatouiller la verge flaccide… qui ne le reste pas longtemps. Pour la remercier, je triture un téton que je sens raidir sous mes doigts. Un long baiser nous unit. Sans lâcher ma queue, Annie se renverse sur le lit désirant à n’en pas douter une deuxième pénétration. Ma foi ! Pourquoi pas ? Peut-être qu’à présent, la pression dans mes couilles étant moins forte, je résisterai plus longtemps…
Résultat décevant… Il ne m’a fallu que quelques pénétrations pour me vider… Et encore je dois m’estimer heureux car si je n’avais pas contrôlé, j’aurai éjaculé à l’orée du vagin ! — Je suis bon à rien ! C’est désespérant ! Annie ne dit rien, visiblement déçue. Si elle me compare avec Jacques je ne fais pas le poids ! Avec un soupir elle se lève et prend sa culotte tombée sur le sol. — Euh… Tu pars ? — Je crois qu’on a fait le tour du sujet, tu ne penses pas ? — Tu m’avais promis la journée rappelle-toi. — Oui, c’est vrai mais… — S’il te plait… reste… — Bon d’accord, je veux bien rester encore un peu. Elle fait mine d’enfiler la petite culotte. — Pourquoi tu t’habilles ? Tu sais bien que nous avons l’habitude de nous balader à poil dans la maison. Tu avais accepté la dernière fois où tu étais venue. Elle hésite à reposer le dessous rose. — Tu ne te souviens pas de ce qui est arrivé par la suite ? Oh oui ! Je m’en souviens parfaitement, Jacques en avait honteusement profité. — Tu n’as rien à craindre il n’est pas là… S’il te plait… Annie balance, me regarde, contemple sa culotte… Que lui dire pour la convaincre ? — Tu as promis à mon père de passer le voir, il ne comprendrait pas pourquoi tu t’habilles. A peine ai-je proféré ce conseil que je me mors les lèvres. Ce n’est pas une bonne idée ça ! Avec un obsédé comme Papa, les conséquences sont prévisibles. Dieu sait où cela va nous mener ! Néanmoins l’argument porte : Annie pose son slip sur une chaise et range ses habits épars dans la chambre. — Bon, je veux bien… pour te faire plaisir. Impossible de revenir en arrière…
Nous retrouvons Papa et Lucie dans le salon. Les yeux du paternel brillent en nous voyant, ou plutôt en admirant Annie. — Vous-vous-vous… be-be… — Mon père te trouve belle. — Oh monsieur, vous me faites rougir. — Y-a pas de quoi, réplique Lucie un peu jalouse. Elle veut pousser le fauteuil roulant hors du salon. — No-no-no… rest-reste… i-i-ici-ci. Papa manœuvre son fauteuil à côté d’un siège et fait signe à Annie de le rejoindre. Elle m’interroge du regard. Je sais ce qu’il a en tête mais je me sens pieds et poings liés : n’ai-je pas insisté pour qu’elle le rencontre ? Puis, comment être jaloux d’un infirme ? Je baisse les paupières en signe d’accord tout en m’installant sur le canapé leur faisant face. Lucie vient me rejoindre. — Tu vas voir qu’il va vouloir qu’elle le caresse, me glisse-t-elle en confidence. — Tu n’y penses pas ! Pas devant moi ! — Il va se gêner ! Effectivement, la main valide de Papa se promène sur le genou remonte la cuisse. Je fronce les sourcils, il ne veut pas toucher le sexe quand même ! Non, la main évite l’aine et attrape les doigts d’Annie. — Antoine… S’il vous plait, gémit-elle. Elle tente de se dégager mais Papa tient bon. Il attire la main prisonnière vers son bas-ventre. Annie me lance des yeux un SOS auquel je ne réponds pas car au même instant Lucie empaume ma verge qui se développe. Le regard de ma copine se durcit. Elle serre les lèvres et empoigne franchement la bite de Papa. — Me-me-mer-mer-ci-ci. — De rien Antoine. Cela me fait plaisir de vous faire plaisir, réplique-t-elle en me fixant droit dans les yeux. Gêné je détourne le regard. Je devrais réagir, m’arracher à la caresse de Lucie et emporter Annie loin de ce lieu de débauche. Impossible, je suis collé au cuir du canapé, serrant les lèvres pour étouffer le gémissement qui m’échappe. — Pl-pl-plu-plu… balbutie Papa. — Plus vite, mademoiselle traduit Lucie. Annie obéit tout en me lançant des regards incendiaires. Je pense que nous, les deux hommes, allions éjaculer de conserve si une voix masculine dans le couloir n’avait interrompu ma copine qui se lève brusquement. — C’est Jacques ? Je parviens à m’arracher des doigts experts de Lucie pour la rejoindre. — Non, c’est ma sœur qui raccompagne un ami. Papa gémit sa frustration. — Heureusement que je suis là, s’empresse Lucie qui s’installe à la place occupée auparavant par Annie et se penche sur le sexe délaissé. Chloé en déshabillé vaporeux ouvre la porte. Elle jette juste un regard désabusé à son père qui, un rictus béat aux lèvres, apprécie les attention de son infirmière. — Oh ! Vous êtes là Annie ? Vous restez avec nous pour le repas ? — Euh… — Bon, Lucie, quand tu auras fini, tu mettras un couvert de plus. Je vous quitte, le temps de me mettre à l’aise. En attendant Jean, si tu voulais te rendre utile, tu servirais l’apéritif. Sous prétexte de m’aider, Annie s’approche de moi. — Tu as eu ce que tu voulais, siffle-t-elle entre les dents. — De quoi tu parles ? — Comme si tu ne savais pas ce qui m’attendait en entrant dans ce salon. — Je t’assure… — Tais-toi ! Tu profèrerais des mensonges. — Euh… Elle a raison, l’attitude de mon père ne m’a pas étonné, comme si c’était naturel. — Que vas-tu exiger de moi encore ? Me mettre dans le lit de Jacques ? — Oh non ! — Pourquoi pas ? Lui au moins savait me faire jouir. L’entrée de Chloé retarde mon explosion de colère. Je ne peux m’empêcher de la comparer à Annie. Ce sont toutes les deux de magnifiques femmes, les rondeurs qu’il faut là où il faut sans graisse superflue, peut-être un peu plus de poitrine du côté de ma sœur. Si j’avais à choisir entre les deux, à coup sûr j’hésiterais. — Alors cet apéritif ? Ça vient ? Je connais les goûts de chacun et remplis les verres de leur boisson préférée. Annie prend le verre de Papa et lui apporte. Elle s’assied à ses côtés en me lançant un regard de défi. Je fais celui qui n’a rien vu. Pendant que d’une main elle l’aide à boire, de l’autre elle farfouille l’entrejambe tout en épiant pour voir ma réaction. Pour me venger je caresse les fesses de Chloé à ma portée. Vlan ! Une gifle magistrale m’ébranle. — Que je t’y reprenne ! menace ma sœur. Annie rit aux éclats et consent à lâcher mon père. — Le pauvre chéri qui se fait gronder ! — Bon, ça va, ça va ! Je suis vexé de m’être fait gifler devant Annie. Je me lève donnant le signal du départ vers la salle à manger.
A suivre...
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