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De puceau à maquereau

Chapitre 15

Hétéro
Proxénète ?…Et alors ?
Annie et Chloé se partagent le travail, ma sœur le matin, l’après-midi pour ma copine, un client par journée chacune, pas plus. — Il faut savoir se faire désirer, explique Chloé. Puis, cela nous suffit amplement pour vivre. Annie est de son avis, moi non : un peu plus de beurre dans les épinards ne me déplairait pas, mais mon opinion ne compte pas. Nous avons repris nos cours à la faculté qui nous laissent la plupart des après-midi libres. Je lui ai montré la salle de bain et le miroir sans tain. — Espèce de petit coquin de voyeur ! Ainsi tu m’espionnes ? — Euh… Pas toutes les fois. Ne va-t-elle pas me l’interdire ? — Je le savais, m’avoue-t-elle, Chloé m’avait mise au courant. — Pourquoi tu ne le disais pas ? — J’attendais que tu le fasses toi-même. — Tu ne m’en veux pas dis ? — Non, au contraire ! J’en reste baba ! — Cela me rassure que tu sois à portée de voix, explique-t-elle. Ben ça alors ! Je pense plutôt que de se savoir épiée augmente le plaisir qu’elle éprouve lorsque nous nous retrouvons tout de suite après. Du coup je n’ai plus de scrupules à m’enfermer dans la salle de bain client chaque fois que cela m’est possible. C’est ainsi que j’ai découvert que Papa et Lucie sont des habitués du miroir sans tain. Mon père m’a même confié, croyant me faire plaisir, qu’il préfère regarder Annie plutôt que sa fille : il jouit plus vite sous la caresse de Lucie ! Grand bien lui fasse ! Il regrette seulement que l’infirmière refuse de le sucer en même temps. J’en fais le reproche à la jeune fille. — Pas question ! réplique-t-elle. Moi aussi je veux voir ! Papa se console en obtenant souvent de Jacques ou de moi une collaboration active sur la jeune fille qui adore quoiqu’elle en dise, se faire tringler tout en le pompant. Annie tolère ma participation à ce rituel comme un moindre mal, car elle refuse d’imiter Lucie malgré les prières de Papa : une caresse manuelle de temps en temps à la rigueur mais pas de fellation !
Jacques et moi installons des caméras dans la chambre en cachette des femmes. Les premières vidéos ne sont pas un succès, images flous, mal cadrées. Je suggère qu’un opérateur reste aux commandes. Le résultat est plus probant et nous le présentons à la famille. — Fé-fé-félicita-ta-ta-tion, bafouille Papa. Qui-qui-qui… i-i-idée… — Qui a eu cette bonne idée ? traduit Lucie. Autant le paternel et son infirmière sont enthousiastes, autant Chloé est furieuse. — Ouais ! Qui est le responsable de cette abomination ! éclate-t-elle. C’est toi Jacques ? — Euh… C’est Jean, balbutie Jacques peu soucieux de supporter seul la colère de ma sœur.
Je vole à son secours. — Oui, j’ai la conviction que nous ferons un tabac sur internet avec de telles vidéos. — C’est scandaleux ce que vous envisagez là ! Vous voulez ruiner notre réputation ! Je ne me laisse pas démonter. — As-tu reconnu ton partenaire ? — Euh… Non… Je montre une autre vidéo représentant Annie en plein effort avec un inconnu. — Oh ! Quand l’as-tu prise ? m’interroge celle-ci. — A toi de deviner… Elle a beau regarder, elle n’y parvient pas. Pour les rassurer, Jacques explique : — Nous ne diffuserons pas ces vidéos sur votre site. Jean et moi allons créer un site dédié totalement indépendant, il ne sera pas possible de faire le lien entre les deux. Je renchéris. — Et les retombées financières seront importantes, oui, beaucoup plus importantes que vos parties de jambes en l’air. Ce dernier argument emporte leur décision.
La vie s’organise à la maison. Jacques et Chloé changent de chambre, la leur étant maintenant réservée aux visites. La salle de bain ne sert plus qu’aux enregistrements. Je m’occupe des caméras et des corrections à apporter aux films. Jacques me remplace occasionnellement. Notre site de vidéos marche très fort. Je suis devenu un pro de la réalisation. Je prends bien soin que les visages masculins n’apparaissent pas à l’écran. Nous n’avons jusqu’à présent à déplorer aucune réclamation de client d’Annie ou de Chloé mécontent de se reconnaitre sur Internet. Par contre j’ai peur de lasser les internautes en ne présentant que des accouplements hétéro classiques. Jacques a suggéré que Chloé et Annie se caressent devant la caméra. Cela lui a valu leurs reproches cinglants et sa femme l’a condamné à coucher deux nuits sur le canapé du salon ! J’ai eu de la chance car si Jacques n’avait pas été le plus rapide, c’est moi qui aurais exprimé cet avis. Dieu sait ce qu’Annie m’aurait infligé comme punition !
Nous avons recommencé l’étreinte à trois, Jacques entre Annie et moi avec le même succès. Chloé, qu’une indiscrétion de Papa met au courant, commence par piquer une grosse colère clamant qu’Annie veut lui piquer son mari. Ma copine se défend : Non, elle n’a pas l’intention de détourner Jacques. Simplement, affirme-t-elle la possession dans ces conditions est une expérience extraordinaire. Chloé ne se calme pas, nous parlementons. Ma sœur déclare à la fin qu’elle ne nous pardonnera que si nous expérimentons avec elle ce type de triolisme. — Encule mon mari pendant qu’il me fait l’amour ! m’ordonne-t-elle. Au tour d’Annie de ne pas être d’accord ! — Tu m’as demandé la permission d’emprunter Jacques ? Non ! Alors tu n’as pas à m’empêcher d’utiliser mon frère, argumente Chloé. — Dans ces conditions d’accord mais je veux assister. — Pas de problème. Les hommes nous nous regardons en haussant les épaules en signe d’impuissance : que faire devant la volonté des femmes ? Chloé s’allonge sur le lit, cuisses écartées. Elle est belle la chatte de ma sœur ! Dommage qu’elle me soit interdite… Jacques et moi affutons nos dards, Annie s’installe en souriant dans le fauteuil. Mon beau-frère se met en place. Je m’approche du couple. — Attends mon chéri, tu n’as pas mis de crème. — Pardon j’oubliais. Annie prend le pot sur la table de Chloé. Cela me fait sourire : si nous nous amusons souvent à ce petit jeu, la provision de ma sœur va rapidement y passer ! Je tends la main. — Donne. — Non, c’est moi qui tartine, déclare Annie. Elle enduit un doigt d’onguent et le passe sur l’anus. — Mmmh ! Jacques apprécie la caresse sur et dans le trou du cul. — Tu peux y aller mon chéri, déclare ma copine en s’écartant. J’avance : — Chloé, s’il te plait, écarte-lui les fesses. — Je t’aide mon chéri, s’empresse Annie. Elle fait saillir le petit trou brun luisant de crème. Le gland s’enfonce sans difficulté, son cul prend l’habitude ! — Oooh ! s’écrie Chloé. — N’est-ce pas que c’est drôle ? interroge Annie qui nous admire accroupie sur le fauteuil une main entre ses cuisses. — Oh oui… Aah !… Comment tu fais… Aah !… Jacques. — Je… Mmmh !… Je sais pas. Je ne dis rien m’efforçant de ne pas perdre l’équilibre…
Annie doit se demander pourquoi je bougonne en retournant dans notre chambre après avoir laissé ma sœur et son mari dans les bras l’un de l’autre. En réalité je suis jaloux de leur plaisir surtout de celui de Jacques, mais la peur de me faire enculer me bloque. Jamais je n’aurai le courage de réclamer ce service à mon beau-frère. D’ailleurs le voudrait-il ? La réponse ne tarde pas à venir. Un après-midi alors qu’Annie et moi, son client parti, nous prenons du bon temps, Jacques nous surprend. Je veux me dégager, mais Annie me maintient prisonnier. Il s’approche et me caresse l’anus. Un frisson m’ébranle. — Cela fait du bien ? interroge ma copine. — Oh ! Vous étiez de mèche ! — Chloé m’a reproché de baiser Annie, explique Jacques. Comme ta copine voulait continuer à recevoir une queue qu’on encule, on a trouvé ce moyen. — Je voulais connaître avec toi le même plaisir que je ressens quand tu encules Jacques, me murmure-t-elle à l’oreille. — Il… Il va m’enculer ? — Voyons Jean, tu peux me refuser ce que je t’accorde si volontiers, argumente mon beau-frère. La crainte me paralyse. — Tu… tu ne me feras pas mal ?… Aaah !… Que fais-tu ? — J’enduis ton cul avec de la crème. T’aimes pas ? Le vagin d’Annie masse ma queue. Le désir qui avait diminué revient. Le doigt qui pistonne dans mon cul me procure un bien immense… Oh ! qu’est-ce que c’est ? — Je mets le gland sur le trou, explique Jacques. Prépare-toi. Annie écarte mes fesses. — Merci, lui dit mon beau-frère. Il donne un coup de rein. Sa queue s’enfonce de plusieurs centimètres. — Ouch ! — Tu as mal ? interroge Annie un peu inquiète. — Oui… euh… non, non j’ai pas mal. C’est vrai, après une douleur fugitive au passage du gland, la pénétration ne m’envoie que des ondes bénéfiques. Je sens le manchon progresser dans mon intestin. Jusqu’où va-t-il entrer ? Ah ! C’est fini, les poils pubiens butent contre mon cul. Ooooh ! J’ai l’impression que la queue qui recule entraîne mes intestins et avec eux mon estomac, mes poumons… Quelle sensation ! De nouveau la verge rentre. — Aaah ! Je le repousse des fesses, ma queue recule dans la chatte. Il donne un coup de rein. — Mmmh ! — Ouiii ! s’écrie Annie quand la verge touche le col de l’utérus. Jacques se retire. Je sens le gland prêt à sortir. Oh ! Non pas ça ! Je lance le cul en arrière pour retrouver la douce dilatation. Ce faisant ma verge coulisse dans Annie. — Allez Jean ! Montre que tu es un homme, montre à Annie que tu sais la baiser ! J’ai compris. Je prends appui sur les coudes et les genoux et balance d’avant en arrière. C’est délicieux, les sensations se combinent dans le cul et sur la queue. Je suis Jean qui baise ma tendre amie et en même temps Annie qui se fait baiser. Je suis… Je ne sais plus… J’halète comme un phoque mais je ne peux m’arrêter. Je ne sens plus mes membres, mon corps n’est qu’un immense frisson, mais je continue mes va-et-vient. Le plaisir m’envahit. Ce n’est pas la jouissance habituelle qui rayonne à partir du bas-ventre, c’est le corps tout entier qui s’embrase… C’est est trop… Je vais mourir de bonheur… Aaah !
— Hé Jean ! Réveille-toi ! On me secoue. J’ouvre les yeux. — Ah ! Il reprend connaissance. La voix de Jacques. Annie me scrute l’air inquiet. — Qu’est-ce qui t’es arrivé ? Tu nous as fait peur mon chéri. Peu à peu tout me revient, nous étions entrain de faire l’amour Annie et moi et Jacques s’en est mêlé. — Ce… Ce… — Que veux-tu dire ? — C’était… C’était merveilleux… oui, merveilleux… — Hé bien ! On dirait qu’il a récupéré… Tu vois Annie, tu n’avais pas de craintes à avoir, il est solide ton homme ! Bon, je vous laisse les tourtereaux, n’oubliez pas, le repas est à sept heures !
A suivre...
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