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La pucelle endiablée

Chapitre unique

Hétéro
Une amie m’a confié cette histoire pour qu’elle soit publiée sur le site. Il y a beaucoup de dialogues...
La pucelle endiablée.
Pourquoi mon frère avait-il amené cet homme à la maison... Il savait bien qu’elle, la vieille fille, n’aimait pas ces dérangements de dernière minute... Elle essaya bien de mettre l’intrus dehors, mais son frère insistait tellement qu’elle fit contre mauvaise fortune bon cœur... Pendant qu’elle préparait la chambre de la mère défunte, depuis si longtemps, elle continuait à ronchonner à pester contre la planète entière...
— Je suis désolé Berthe...— Qui vous a donné mon nom ?— Votre frangin bien sûr !— Où est-il ce mécréant ?— Il vient de partir pour une course urgente !— Et il me laisse seul avec un homme ! Mon Dieu quelle misère !— Ne crains rien, Berthe ! Je ne vais pas te violer !

Elle grogna en terminant sa tâche de maîtresse de maison :
— Manquerait plus que cela ! Voilà monsieur ! Faites comme chez vous !— Je m’appelle Gérard !— Bonne nuit alors Monsieur Gérard !— Non ! Gérard !— Et vous voulez quoi encore que je vous tutoie !— Pourquoi pas ! Vous êtes si agréable... et si belle !

Il la sentit frémir sous ce double compliment et comprit alors qu’elle était une vraie pucelle qui n’attendait que cela...
— On se fait la bise ?— Bonne nuit Gérard ! Si vous avez besoin de moi, je suis au fond du couloir...— Je ne manquerai pas de t’appeler si j’ai une petite envie !

Elle claqua la porte brusquement et s’éclipsa...Gérard prit possession de son nouveau domaine, aima le confort de la salle de bain qu’il occupa longuement puis tout nu regagna la chambre ! Le lit était accueillant et se glissa dans les draps blancs espérant trouver le sommeil... Il ne vint pas pour la simple et bonne raison que l’obscurité ne se faisait pas... Deux vitrages blancs haut placés envoyaient une lumière qui rendait la chambre irréelle.Gérard se leva pour voir s’il pouvait éteindre le couloir... Et il se heurta soudain à Berthe qui regagnait sa chambre... Une chaise bien placée sous un des vitrages lui fit comprendre qu’elle n’avait cessé de l’espionner du haut de son perchoir... Il décida de ne pas comprendre, demanda si l’on pouvait éteindre le couloir. Berthe lui fit comprendre que c’était mission impossible...
— Et dans votre chambre il fait noir !— Oui, mais je ne vous autorise pas à y pénétrer.— Dommage j’aurais été très sage...

Gérard s’approcha de Berthe encore perchée toute confuse d’avoir été surprise et comme tétanisée. Il lui saisit les deux chevilles et se mit à les caresser... Puis il remonta lentement mais sûrement tout au long des deux jambes... Berthe ne bougeait toujours pas... Les mains de Gérard arrivaient au bas de la robe qu’il tenta de soulever... Le geste de défense de Berthe fut brutal et Gérard dut lâcher sa prise... Berthe en profita pour s’échapper... Gérard entendit la porte de la chambre se refermer et le verrou claquer...Il pensa :
— C’est dommage elle a une peau très douce ! C’est dommage, vraiment dommage...

Il n’insista pourtant pas, regagna son lit en laissant la porte de la chambre grande ouverte, se coucha sur les draps et attendit un bon moment...Il savait qu’elle reviendrait...Tout en faisant semblant de dormir, il s’offrit une belle érection ! Il eut envie de se caresser, mais s’en empêcha estimant que ce ne pouvait qu’être Berthe qui le branlerait...Et soudain son visage réapparut...Elle le regardait de nouveau...Elle n’avait pas pu résister...Il offrit à Berthe quelques simulacres de caresse, une belle petite branlette...Puis il fit semblant de s’endormir...Il n’attendit pas bien longtemps pour sentir la présence de Berthe à côté du lit...Il continua à faire semblant de dormir et comprit qu’elle se penchait pour mieux examiner cette verge qui bougeait encore devant son visage...Gérard la laissa faire, persuadé qu’elle oserait le toucher...Mais Berthe ne faisait que regarder de plus en plus près...A un moment, il lui sembla sentir son souffle et prit plaisir à cette douce présence...Il n’avait qu’une peur : qu’elle s’en aille...Et comment lui proposer d’oser...Il ne trouva pas la solution et comprit que Berthe s’éloignait et regagnait sa chambre...Perdu ! pensa-t-il...C’est perdu dommage...Le sommeil l’emporta soudain...Pendant la nuit, sa prostate lui rappela son âge et il dut aller se soulager dans la salle de bain...A son retour, il jeta un regard dans le couloir et fut surpris de voir que la chambre de Berthe était ouverte et éclairée...Il s’avança par curiosité et découvrit la belle endormie...Belle et nue, les jambes écartées dans une position totalement impudique. Son regard se promena sur tout le corps qu’il trouva appétissant...Sur le visage de Berthe, un beau sourire qui contrastait avec le regard grincheux qu’elle avait manifesté depuis son arrivée...Sa main gauche reposait sur un sein... l’autre sein était petit bien rond avec un téton très sombre...Il n’osa pas la réveiller... approcha son visage de l’entrecuisse et huma son odeur de femme... sa verge réagit tout de suite à cette titillation de son odorat...Il s’apprêtait à regagner sa chambre quand il aperçut entre les deux jambes de Berthe un magnifique gode assez volumineux...Sans aucune hésitation, il s’en saisit et retourna se coucher en plaçant le gode bien au chaud entre ses cuisses...Un peu plus tard, la main de Berthe lui secoua l’épaule... Il lui fut agréable de revoir le beau visage de son hôte...
— C’est vous qui avez piqué mon jouet ?— Oh je ne l’ai qu’emprunté.— Pour quoi faire ?— Pour que vous veniez le chercher et c’est fait, j’en suis très heureux.— Je peux le récupérer ?— Pourquoi ? Vous en avez encore besoin ?— Cela ne vous regarde pas Monsieur Gérard !— Je croyais que l’on se tutoyait !— Rendez-moi ce gode !— Mais vous en avez du vocabulaire !— Avez-vous joui au moins ?— Cela ne vous regarde pas !— Pas assez en tout cas, puisque tu es venue le chercher ! Assieds-toi Berthe !— Donnez-moi mon vibro avant !— Il est là entre mes jambes bien au chaud... Tu peux le prendre si tu veux...

Berthe avança le bras et fouilla entre les cuisses de Gérard pour essayer de récupérer l‘objet... Sa main glissa entre les cuisses musclées, alla le plus loin possible, saisit le gode et voulut se dégager... Gérard serrait fortement les cuisses et elle ne put se libérer. Sanglotant à moitié, elle dit :
— Vous me faites mal !

Gérard se délectait de ce visage tout proche de son pubis et de sa verge... Il n’avait qu’un geste à faire pour ramener la tête de Berthe et se faire sucer... Mais il voulait qu’elle soit consentante, demanderesse même pourquoi pas.Il relâcha son étreinte, Berthe retira sa main et s’assit sur le bord du lit... Gérard savait qu’il avait gagné et qu’il pouvait alors tout se permettre... Mais avant ! Il voulait connaître cette femme tout excitée d’avoir un homme sous son toit.
— Qui es-tu Berthe.— Devine ?— Une femme, je sais ! Mais pourquoi cette solitude... pourquoi cette agressivité ?— Désespérée de n’avoir pas pu vivre tout simplement... Au service d’une maman malade, je n’ai même pas vu passer le temps.— Et maintenant qu’elle n’est plus là !— Maintenant j’ai peur... Je sais qu’il est trop tard.— Trop tard pourquoi.— Trop tard pour aimer tout simplement.

La conversation dura longuement... mezzo vocce les questions succédaient aux réponses et quelques fois même les précédaient... Gérard offrait à Berthe ce qu’elle désirait dans le dialogue, la parole, l’échange, les confidences...C’est Berthe qui la première prit l’initiative de faire remarquer l’heure tardive et souhaita se retirer... Gérard ne s’opposa pas... Elle se leva... fit quelques pas vers la porte et se retourna pour lui dire d’une voix très douce !
— Gérard demande moi de rester !— Oui Berthe je souhaite que tu restes, je veux que tu restes, je te demande de rester...

Elle revint vers le lit et se coucha de tout son long à côté de Gérard... Elle se fit la réflexion que c’était curieux cette femme vêtue du cou aux chevilles à côté de cet homme nu... Elle se disait que cette fois elle allait connaître les choses dont elle rêvait depuis tant de nuits... Elle souhaitait déguster chaque seconde de ce moment... Qui allait prendre l’initiative ? Elle qui voulait faire, voir, entendre tant de choses, ou lui qui dans son esprit était un dieu du sexe... Elle osa se rappeler la belle érection qu’elle avait vue de très près lorsqu’il lui serrait la main entre ses cuisses et la taille et l’épaisseur de ce zob, de cette verge, de ce sexe... Elle jongla dans sa tête avec tous ces mots qu’elle avait trouvés ici ou là dans les lectures paillardes dont elle se régalait chaque jour...Rien ne bougeait dans la chambre ! Berthe eut un moment la crainte que Gérard ne se soit assoupi... Elle tourna son corps vers lui et lui demanda :
— A quoi penses-tu, Gérard ?— A la même chose que toi Berthe !— Tu lis dans mes pensées maintenant.— Mieux ! Je les ressens au fond de mon cœur !

Berthe fut saisie par ce mot... Le cœur pour elle c’était l’amour ! Elle aurait voulu vivre une histoire d’amour, mais elle reconnut que ce qu’elle recherchait ce soir c’était le plaisir, la jouissance, l’orgasme, les caresses, le jeu amoureux... Elle jongla encore avec ces mots qui lui brûlaient les lèvres. Elle reprit l’initiative !
— Souhaites-tu dormir ?— Non ! Pas du tout !— Veux-tu quelque chose ?— La même chose que toi !— Dis-moi ce que je pense alors...— Non ! Je ne te le dirai pas ! Tu sais très bien ce que tu désires... Tu sais très bien ce que je désire... Et nous sommes tous les deux perplexes devant le champ des possibles... qui prendra l’initiative ?— J’ai tellement envie que tu me guides ! Oui Gérard ! Guide-moi... je te suivrais comme une petite chienne !— Suis-moi comme une femme ! Ce sera déjà très bien ! Tu es nue sous ta longue robe noire ?— Oui toute nue !— Tu aimes être nue ?— Oui je me balade partout sans slip et sans soutien !— Tu es vierge ?— Oui !— Tu te caresses ?— Oui souvent ! Quelques souvent le matin au réveil... L’envie me vient aussi quand je lis un ouvrage érotique...— Erotique ou Porno ?— Les deux mon ami ! Les deux... j’aime les mots qui font frissonner, j’aime les images de cul ! Alors en lisant je me caresse ! Certains jours de tristesse, plusieurs fois !— Tu acceptes de te caresser, maintenant, à côté de moi ?— Oui j’en ai envie ! Avec ou sans le vibro ?— Comme tu le souhaites ! Comme tu le sens.

Berthe soulève un pan de sa robe, place le vibro à l’entrée de sa vulve, presse pour l’introduire, le tourne de gauche et de droite pour trouver la bonne direction et écarter les chairs...Gérard entend le grondement de l’objet et se laisse emporter par ce fantasme qu’il n’a jamais pu assouvir... une inconnue à côté de lui se caressant... Il se dresse sur un coude et regarde Berthe qui a les yeux fermés, occupée qu’elle est par la lourde tâche de se faire jouir devant témoin ! Toute seule elle serait déjà montée au ciel... mais dans les circonstances actuelles le plaisir curieusement la fuit... Elle utilise alors ses mains... Une sur un sein et l’autre sur le pubis... Au travers du tissu elle fait passer les messages, les appels à la jouissance...
Gérard admire le spectacle et soudain il voit le visage de Berthe s’illuminer d’un extraordinaire sourire un peu crispé au début, mais ensuite resplendissant... Seules les deux mains bougent, son corps reste presque de marbre, mais le souffle s’accélère, l’orgasme emporte Berthe qui ouvre alors les yeux...
— Tu me regardais ?— Oui tu es si belle lorsque tu jouis...— Embrasse-moi !
Les deux visages se rapprochent, les lèvres s’effleurent, deux langues se touchent, se tâtent, se goûtent, s’emmêlent... l’homme pèse de tout son poids... la femme accepte, la pression s’ouvre totalement, mugit soudain, car le vibro continue son travail et l’emmène de nouveau au plaisir... Gérard sent les deux bras de Berthe l’entourer comme pour l’empêcher de la quitter et pour que ce baiser dure éternellement... Elle a le souffle court... Son corps ne cesse d’onduler sous celui de Gérard à moitié couché sur elle...
— Laisse-moi respirer un peu !— Désolé j’ai été trop brutal !— Non ! Tu m’as fait du bien ! Tu veux m’enlever ce vibromasseur ?

Gérard ne répond pas, mais passe la main sous la robe de Berthe, cherche entre les jambes de la femme l’objet de plaisir... Il le saisit, mais au lieu de l’enlever, il la branle comme il sait le faire... enfonçant le gode le tournant de gauche puis de droite, cherchant tous les recoins du vagin... il fait semblant de le retirer... Puis l’enfonce à nouveau !
— Arrête Gérard tu vas me faire jouir encore ? Arrête ! S’il te plaît ! Laisses-en un peu pour toi...

Gérard obtempère enlève le vibro, coupe la vibration... Berthe n’a pas le temps de le remercier qu’une main d’homme prend possession de son entrejambe... Un doigt fouille son sexe... puis deux doigts...
— Ce n’est pas de jeu Gérard !— Mais si c’est le jeu... offre-moi ta vulve, tu es trempée, tu es chaude, tu es douce... Jouis sur ma main...— Mais je ne peux plus jouir... Oh oui ça revient... ça revient très fort... Oui continue Gérard ... Oh que c’est bon !

Cette fois le corps de Berthe ondule en tous sens et vibre au diapason des spasmes que provoquent ces doigts introduits en elle... Ils sont quatre maintenant à la travailler et le pouce qui repose sur son clitoris... Elle sourit au souvenir de cette petite comptine de son enfance... Regardez mes petits doigts travailler... Chacun fait son petit métier... Un dernier soubresaut et Gérard stoppe sa caresse, se recouche sur le dos et attend l’initiative de Berthe qui somnole un moment. C’est lui qui reprend l’initiative...
— Tu t’es rasé la chatte ? C’est très beau, très doux, très excitant...— Oui tu as senti ! Est-ce que cela te plaît ?— Pas facile de raser les grandes lèvres...— J’ai tout mon temps !— Et tu jouis en te rasant !— Non après lorsque j’ai fini ma toilette, bien séchée, bien propre je me recouche, je rêve et je l’envole simplement en me serrant les cuisses.

Le silence s’instaure entre eux... C’est un silence réparateur... Un silence qui leur apporte l’énergie nécessaire à la suite... car ils savent l’un et l’autre qu’il y aura une suite.
— Tu as déjà branlé un homme ?— Quand voudrais-tu que je fasse cela ? J’ai vu cela dans les films pornos !— Tu aimerais me branler ?— J’aimerais apprendre à te branler !— Je vais t’apprendre ! Enlève cette robe triste ! Offre-moi la vue de ton corps ?

Berthe se lève, fait glisser la robe au-dessus de sa tête et dévoile son corps... Gérard découvre deux magnifiques seins impertinents, un ventre très plat.
— Tourne-toi !— Une belle paire de fesses, une chute de rein et un dos légèrement penché vers l’avant...— Viens ! Assieds-toi.

Gérard est toujours couché sur le dos... Sa verge toujours parfaitement érigée... Il prend la main droite de Berthe, l’emmène vers le chibre, lui montre comment l’entourer à pleine main :
— Tu sens quelque chose ?— Oh oui je ne sais pas décrire ce que je ressens... Mmmm... C’est tellement fort...

Gérard lui enseigne quelques gestes nécessaires. C’est une bonne élève, d’ici un moment elle saura tout dans l’art délicat de branler un homme...
— J’ai tellement peur de ne pas avoir te rendre heureux...— Mais si... tu sauras me branler, me faire jouir... Ne t’inquiète pas ! Tu sauras.— Je peux mettre l’autre main ?— Oui ma belle utilise ton autre main, caresse-moi, touche-moi, joue avec moi, explore mon corps, interroge-moi aussi...— Oh ! Oui je veux tout savoir... Je suis où ici ?— Là, tu touches le gland.— Et ici ?— Les couilles.— Et là ?— Le frein ! Non ne retire pas ! Va plus loin...— Je n’ose pas c’est une zone interdite.— Mais non !— Mais si !— Continue je te dis ! Voilà tu y es... C’est une zone érogène aussi je t’apprendrai à l’amadouer cet anus et si tu le souhaites je t’initierai à la pénétration anale.— Sûrement pas.— Il ne faut jamais dire jamais en amour... Allez caresse-moi, branle-moi... fais-moi jouir.

Berthe s’applique à caresser la verge... elle suit religieusement les consignes de Gérard...
— En montant tu serres bien pour emmener la peau du zob... jusqu’à recouvrir le gland... En descendant tu desserres un peu l’étreinte et tu vas jusqu’au possible... Puis tu remontes... Ensuite c’est à ta guise, à ton inspiration ; tu tournes le poignet, tu changes de rythme, tu stoppes ton mouvement sur le bout de la verge en serrant fort... Tu redescends lentement et arrivée en bas tu secoues la bite comme un prunier... Allez à toi Berthe ! Joue-moi une belle branlade...— Comme c’est bon, mon ami de te branler... cela me donne des sensations dans tout le corps.— Oui continue ! Tu me fais du bien ! Continue tu es formidable !— Mais je n’arrive pas à te faire jouir ! Je ne suis pas assez forte...— Continue ma belle tu es sur la bonne voie... Passe ton autre main sous mes couilles... Tu vois comme elles se sont rapetissées...— Oh oui je sens !— Continue et caresse-moi le frein !— C’est quoi le frein ?— La zone entre les couilles et l’Anus ? Oui comme cela ! Juste un doigt qui frôle la peau !— Je dois aller jusqu’à l’Anus ?— Non pas besoin ! Je sens que je vais jouir... Arrête ta caresse et essaye de ressentir dans tes doigts quelque chose...— Oh ! oui ! On dirait qu’il est vivant... Il vibre... il bouge... Que dois-je faire maintenant ?— Continuer à me branler et le regarder !— Regarder quoi !— Me regarder jouir !— Oh ! Oh ! Oh ! C’est beau ! C’est divin ! C’est monté à plus de 2 mètres...— Tu n’exagères pas un peu !...— Je sens ton jus passer sous ta peau... Ton sperme coule partout... Mes mains sont trempées... Tu es l’abondance même ! Et cela s’arrête comment... Tu ne réponds plus... Que dois-je faire maintenant... ne me laisse pas...— Continue Berthe... Sois la plus douce possible... Tout doux... Tout doux... Tu as été formidable...— J’ai envie de goûter...— Qu’est-ce qui t’en empêche ?

Berthe est toujours subjuguée par l’éjaculation de Gérard... Elle n’en croit pas ses yeux... devant elle une petite marre d’un liquide blanchâtre qu’elle touche de ses doigts... Elle est curieuse de tout... la température... Tiède sans plus... la texture, très douce au toucher... Le goût... Elle ose approcher sa bouche de la tête du gland, sort la langue et attrape une petite goutte qui se trouve juste dans le méat...C’est Gérard qui lui apprend ce que c’est que le méat... Elle trouve ce mot adorable... Mais une main, soudain, pousse sa tête, pendant qu’une autre main remplace la sienne sur la verge et la lui fait gober... Elle accepte le défi et spontanément suce la bite de Gérard... Elle est moins dure et cela lui donne un aspect de petit poussin tendre qui réclame des caresses... Elle fait au mieux pour ne pas décevoir son amant qui la rassure :
— Tu as été divine Berthe... ne me dis pas que c’est ta première fois !— Oh ! Monsieur !— Ne te fâche pas ma douce ! Laisse-moi me lever pour me laver un peu...

Berthe est soudain triste de cet arrêt trop brutal à son goût... Elle aurait voulu encore se repaître de toutes ces sensations nouvelles... Gérard se lève et va sous la douche... le froid de l’eau lui procure une forte envie d’uriner... Il ressort de la douche, se place devant la cuvette des WC... Mais avant même que le jet ne se soit formé... Berthe est derrière lui et passe ses deux mains autour de sa taille... Elle saisit la verge légèrement turgescente et lui glisse à l’oreille.
— C’est un de mes fantasmes... Tenir la verge d’un homme urinant ! Cela ne te choque pas !— Non c’est une belle sensation...— Tu es encore trempée de sperme !— Je n’ai pas eu le temps de me doucher !

Après les ablutions, Gérard et Berthe se retrouvent dans la chambre... Debout l’un en face de l’autre... Ils se comparent, se jaugent, se touchent, s’interrogent sur ce qui va se passer maintenant...
— Tu veux que je te fasse l’amour ?— Oui ! Fais-moi l’amour !— Comment voudrais-tu que je te fasse l’amour ?— Enseigne-moi l’amour ! Fais-moi ce que tu penses être le mieux pour moi...— Alors, couche-toi au travers du lit... relève les jambes... repose tes pieds sur le rebord du lit... Avance-toi un petit peu... Moi je m’assois sur une chaise en face de toi... Ouvre les cuisses...— Je n’ose pas... je serai complètement ouverte !— Oui ! Ouverte... Offerte... Pourquoi refuserais-tu de l’offrir ?— Par pudeur ! Tu peux comprendre cela ! Non !— La pudeur n’est plus de mise entre nous... Je veux te connaître comme tu as voulu me connaître... je veux être toi... Alors tu les ouvres ces cuisses...— Oui ! Voilà ! Ne me fais pas mal !— Promis ! Je ne te ferai que du bien !

Le vaste miroir qui se trouve en face du lit lui renvoie cette image étonnante... Elle ne veut pas croire que c’est elle Berthe, la pucelle, couchée sur un lit les jambes écartées la vulve totalement offerte au regard d’un homme... Elle pense au regard, mais soudain s’inquiète pour autre chose... il y a aussi ces mains, et cette bouche... Et s’il décidait de la sucer... Elle frémit d’horreur et plaque ses deux mains sur sa vulve...
Gérard entame la longue et douce marche vers le cœur de Berthe... Quand il aura fini avec elle... elle sera pantelante et sans énergie.Les deux mains de Gérard remontent le long des cuisses...Il trouve le contact adorable...Il atteint la vulve de Berthe... les doigts s’approchent et écartent délicatement les lèvres du sexe, recherche l’entrée du vagin et y pénètre avec une diabolique lenteur. Berthe retrouve les mêmes sensations que tantôt : quatre droits en elle... mais cette fois ce ne sont pas les doigts d’une main, mais de deux mains quasiment jointes...
Elle devine que ce sont l’index et le majeur qui la travaillent si efficacement...Et soudain les deux pouces viennent se reposer de part et d’autre de la hampe de son clitoris...Ils bougent à peine, mais cela suffit pour lui mettre le feu dans tout le corps...Gérard se penche sur elle, plaque sa langue entre les deux pouces...Le clitoris est comme qui dirait emprisonné...Douce prison dont il ne peut échapper...Longtemps elle déguste cette caresse qui la comble d’une joie profonde... jamais elle n’avait imaginé un tel plaisir...Ces deux doigts jouant en elle et pianotant dans ces chairs, ces deux pouces quasiment immobiles, mais branlant son clitoris et cette langue chaude et humide qui l’accompagnait voluptueusement...Gérard enlève ses mains, saisit sa verge et l’emmène butiner la belle fleur que lui offre Berthe... D’elle-même elle écarte les deux jambes... le seul point de contact entre les deux amants est un gland glissant le long d’une vulve...
Gérard estime que cette vulve est longue, très longue... Il monte jusqu’à toucher sieur clito, puis il redescend vers le frein pour stopper et reprendre sa balade... Les lèvres de Berthe s’écartent au passage du monstre, car Berthe connaît la taille de cette bite et s’en inquiète soudain... Gérard à chaque passage repère l’entrée du vagin... Il tente une petite intromission... Estime que l’angle n’est pas le bon... Alors il soulève les fesses de Berthe, place un oreiller puis deux sous elle... C’est parfait estime-t-il.
— Es-tu prête à me recevoir ma Belle ?— Je t’attends mon ami, je t’écoute, je te suivrai où tu voudras m’emmener... J’ai confiance en toi...

Gérard n’écoute plus, il entreprend une longue lente subtile pénétration... Les deux amants ne sont unis que par leurs sexes... Une verge tendue et une vulve accueillante... Aucun autre contact... Ni la peau des cuisses, ni les mains, ni même le regard puisqu’ils ont l’un et l’autre les yeux fermés...
Berthe soudain manifeste un peu son impatience... Elle bouge les fesses comme pour signaler à Gérard qu’elle en voudrait plus et tout de suite... Gérard imperturbable continue sa lente plongée... de temps à autre il remonte à la surface comme pour reprendre souffle retrouver vie et puis plonge de nouveau allant un peu plus loin chaque fois...
Berthe s’inquiète soudain de la longueur de cette verge... pourra-t-elle la prendre en son entier... ne va-t-elle pas souffrir... va-t-elle saigner de cette première saillie... saillie ! Le simple mot la renvoie à cette scène où l’âne du voisin couvrait l’ânesse de son oncle... le spectacle lui avait offert sa toute première émotion sensuelle. Elle était seule et elle observait l’énormité de cette verge qui pendait sous le ventre de l’animal... la grimpette de grison sur la Chabine... elle se souvient si bien des noms de ces belles bêtes... la recherche rapide et couronnée de succès de l’entrée de la vulve toute rose... les mouvements saccadés rythmés pour se mettre en place... la force des pattes avant du mal qui labourant les flancs de la femelle... les spasmes qui secouèrent les deux prestataires d’un beau, très beau spectacle...
La sortie de l’engin qui lui sembla encore plus long, encore plus gros...Elle aurait voulu toucher, mais craignait que grison ne se fâche...Il était là devant elle, la grosse bite pulsant encore de spasmes d’une élégance rare et suintante de liquide blanc et visqueux.Elle s’en voulut soudain de cette petite escapade dans le passé... C’était elle aujourd’hui qui subissait, la saillie, ce n’était pas le bon mot, l’assaut, ce second mot adoucissait la violence du premier...
Gérard continuait sa besogne et soudain décida d’aller plus loin plus profond... Il avait assez sondé la belle, il avait assez excité sa verge et il se lança soudain et s’ancra au plus profond de Berthe... Il la sentit tressaillir, recula un moment et revint en elle confiant et désireux de la baiser...
Mais Berthe lui avait déjà volé le mot.
— Oui ! Gérard ! Baise-moi ! Prends-moi ! Punis-moi, emmanche-toi en moi ! Viens jusqu’au fond ! Va jusqu’au fond !

Devant cette débauche de mots, Gérard fut taisant... Il se coucha sur Berthe et lui fit l’amour avec toute son énergie... Il la sentit vibrer d’un premier orgasme... puis un second... Lui-même se sentait au bord de la jouissance... Alors il se laissa aller au plaisir... Sa verge pulsa des flots de sperme dans la vulve de Berthe et lui hurla quelques cris de bête sauvage qui venaient du fond de son corps...Berthe s’avouait qu’elle avait vécu un moment magique ! Elle analysait rétrospectivement ses réactions. C’était formidable ! Mais il lui manquait un petit quelque chose, elle ne savait pas quoi !
— Tu es triste Berthe ! C’est ta virginité perdue qui te rend si triste !— Non ! Je ne suis pas triste ! Seulement songeuse !— Et à quoi penses-tu !— Ne sois pas fâché de ce que je vais te dire !— Ce n’était pas bien ! Je n’ai pas été à la hauteur !— Non ! Et non ! c’était merveilleux et tu as été parfait, je dirais même un amant extraordinaire !— Mais alors quoi !— Encore une fois c’était bien, j’ai pris mon pied, j’ai joui plein mon saoul ; je t’ai senti jouir et ce fut le summum du plaisir !— Mais alors quoi !— Tu ne comprendras pas sans doute ! Mais il y a eu un petit moment particulier où je te sentais dur ! Mais !— Mais pas assez dur ! Pourtant je t’ai transpercée comme un couteau dans une plaie ! Pardon pour l’image...— Tu vois tu ne comprends pas... Je te sentais profond ! Mais !— Mais pas assez profond... Pourtant ma bite est longue et je t’affirme que je touchais le fond de ton con.— Je te sentais gros et tu me faisais mal au début de la pénétration... Mais !— Tu voulais que je sois doté comme un âne !— C’est marrant ton image ! Tu ne me comprends pas... Tu m’offrais de sacrés coups de reins... Et j’en voulais plus encore, plus vite, plus fort, plus violent...— Oui ! Je vois ce que tu désirais ! Plus de moi ! Que je sois plus proche de toi... Que je sois plus en toi... ce qui te manquait ce n’étaient pas ces quelques centimètres en plus, cette grosseur supplémentaire, ces coups de reins plus violents ! Je sais ce que tu voulais ! Tu le trouveras un jour ! J’en suis certain...— Merci mon ami !— Plus dur, plus long, plus gros, plus violent ! Oui je comprends ton désir ! Mais j’ai vu ton regard dans la jouissance, dans l’orgasme, dans le bonheur des sens... J’ai ces étoiles dans tes yeux et je sais que tu me sentais bien plus proche de toi !— Ne te fâche pas Gérard ! Ce dont je t’ai parlé n’a été qu’un minuscule flash dans un feu d’artifice explosif, étincelant... merci encore !

Georges s’est assoupi après s’être extrait de la vulve encore chaude et palpitante de Berthe...Il n’a plus l’habitude de ces éjaculations en série et meurt de sommeil...Berthe est en extase...Elle vient de jouir comme jamais...Elle se couche le long de Gérard, presque à le toucher et s’envole dans ces rêves tout éveillés dont elle a l’habitude...Elle se rappelle dans ses lectures la description de la pénétration d’une verge, d’un baiser d’homme, mais elle fouille dans sa mémoire pour trouver le récit de cette belle caresse des deux pouces des deux index et des deux majeurs... jonglant avec sa vulve et son clitoris...
Non elle ne se souvient pas de cette caresse dans ses lectures...Gérard pour elle est un dieu...Les mains de Berthe se baladent tout au long de son corps...Elle frissonne de froid, mais aussi du plaisir tout simple de revivre ces moments de folie... cette verge branlée pulsant des flots de sperme, sa curiosité enfin satisfaite sur ce pur jus d’homme... cette balade entre les jambes de son amant, la souplesse puis la rudesse des couilles si changeante, le fameux frein qu’il a semblé aimé qu’on caresse... oserait-elle y passer sa langue ses lèvres... et cet anus, cette zone interdite...
Ne serait-il pas venu le moment de profiter de sa proposition d’une pénétration anale ne serait-ce que pour voir...Berthe essaye présente le gode devant l’entrée du sphincter...Trouve cette caresse sèche et désagréable...Elle plonge l’objet dans son vagin inondé de sperme et revient tenter une pénétration...C’est agréable... mais il est bien trop gros...Alors elle descend du lit et va dans sa chambre chercher un autre gode... celui qu’elle garde toujours dans son sac à main...Il est minuscule et s’enfonce sans problème dans son anus... la vibration la surprend, car c’est son sexe qui réagit...Elle répond à cet appel, place un doigt sur son clitoris et se laisse emporter par le plaisir...Gérard à ses côtés dort toujours... Elle a un peu la honte d’avoir volé ce petit plaisir et décide de l’inviter... le réveiller tout doucement, et lui dire au coin de l’oreille, quelque chose dans le genre : j’en ai envie encore... je voudrai que tu me fasses l’amour encore... prends-moi encore... la répétition du mot encore la fait flipper ! Que va-t-il penser d’elle... Berthe se dresse sur son coude... Elle dispose d’une vue imprenable sur son amant qui dort... Elle regarde cette bite elle aussi totalement endormie, méconnaissable, toute molle, toute flagada... Elle se demande si c’est son boulot de le réveiller... mais alors quoi faire !
Berthe revient vers le visage de Georges... Elle a une envie folle de l’embrasser, approche son visage, humecte ses lèvres et vient les coller contre celles de son amant... Pas de réaction, alors elle introduit sa langue, ce qui provoque un petit grognement de l’homme... une main forte et rude lui appuie sur l’échine et la plaque contre le visage de Gérard... c’est bien lui le maître, c’est lui qui impose ce baiser à pleines bouches... les dents s’entrechoquent, les lèvres s’épousent, les langues se battent à qui repoussera l’autre, la salive de l’un se mélange à celle de l’autre... Berthe est de nouveau en transe... Elle lance sa jambe au-dessus du corps de Gérard et se heurte à un obstacle inattendu... Mais elle sait que la verge est de nouveau dans toute sa splendeur... Il aura suffi d’un simple baiser... C’est donc aussi simple que cela un homme...
— J’ai envie de toi !— Mais moi je n’en peux plus.— Tu mens ! Regarde comment tu bandes.

Gérard est un peu vexé de ce qualificatif, il attrape Berthe par les jambes, en soulève une et sans précaution aucune la pénètre jusqu’au fond... Il la bascule sur le ventre, lui grimpe dessus et la baise brutalement sauvagement, avec force avec rage...
— Tu me fais mal ! Gérard.— Tu voulais baiser ! Non !— Oui, mais tu me fais mal !— C’est cela « baiser » ! Accepter aussi la douleur !— Non ! Tu me fais trop mal !

Gérard sent qu’il n’obtiendra rien de Berthe par la violence ! Alors il se retire, se recouche, place son bras sur ses yeux et veut tout oublier... Il ne s’aperçoit même pas que Berthe est en larmes à ses côtés... Elle pleure à gros bouillons, se lève et se réfugie dans sa chambre... Elle se couche, sèche ses larmes et se replonge dans ses rêves éveillés. Elle regrette de n’avoir pas pu supporter la force de son amant de n’avoir pas su se déconnecter complètement de son énergie. Elle sait maintenant que le plaisir a une entière emprise sur elle. Cette transe intense qui la brûle, qui la braise ! Cette transpiration de la sensualité, du désir, de la fébrilité qui suintent de tous ses pores !
Son regard se voile, ses yeux se ferment un brin. Elle se sent chatte, chaude, ouverte, offerte ! Elle se sent et se veut salope et putain tout à la fois, indécente en s’exposant de la sorte au regard de Gérard...
Gérard ! Que fait-il maintenant ! Dois-je retourner et lui demander pardon ! J’ai tellement envie de bouger devant lui de manière féline, sensuelle, aguichante. Je voudrais qu’il hume mes émanations qu’il me révèle tous mes innombrables vices ?
— Pourquoi es-tu partie.— Tu m’as fait très mal.— Mais tu as pleuré ! Tes yeux sont tout rouges.— Je ne pleure jamais !— Mon œil ! Laisse-moi te lécher les joues !— Si tu veux !— Tu vois elles sont salées.— Mon con aussi est salé !
Berthe ne se reconnaît pas dans cette dernière expression ! Et pourtant c’est bien elle qui a parlé qui a lancé cette invitation folle, mille fois déraisonnable ! Oh oui ! Elle voudrait danser avec volupté cette fusion charnelle d’une bouche et d’une vulve ! Oh oui ! Cela lui plairait de s’abandonner, indécente, à ses plus primitifs désirs.Ne pleure plus ma belle ! Je t’ai donné du plaisir ! Non !
— Non ! Pas assez à mon goût !— Et que veux-tu encore ?— Que tu me suces !— Je t’ai sucé.— Que tu me baises par-derrière.— Mais je t’ai baisée par-derrière !— Non tu m’as martyrisée ! Je veux un vrai coup pour que j’aie le temps de me caresser et de jouir.— Alors tu m’indiqueras comment faire !— Je voudrais un petit coup à la cuillère !— N’importe quoi ! C’est quoi cette invention ?— Je vais te montrer ! Mais je voudrais aussi une fellation avec nuage !— J’ai noté maintenant que tu voudrais et non plus que tu veux !— Oui mon ami, je voudrais pouvoir te chevaucher en avant et en arrière, je voudrais m’asseoir sur ton visage pour que tu me lèches, que tu me boives, que tu étouffes par moi...— C’est tout ?— Non ! je voudrais que tu jouisses entre mes seins, que tu me baises avec mes jambes repliées sur mon ventre, complètement recroquevillée, pour que je te sente jusqu’au fond de moi.— Et une bonne pénétration anale ?— Tu me l’as proposé tantôt ! J’ai refusé, mais maintenant je suis consentante si tu acceptes que je te fasse la même chose avec mon gode...— Trêve de plaisanterie ! Berthe ! Moi j’ai faim ! Tu n’as rien à grailler ici ?— Oui ! Mon ami, j’ai tout ce qu’il faut ici ou mieux dans la cuisine... Lorsque je me suis fait jouir 20 fois, j’ai toujours une faim de loup et une soif de buvard...— Mais je t’ai fait jouir ! Non !— Pas 20 fois ! Mais j’ai faim moi aussi !

Berthe entraîne son compagnon vers la cuisine ! Gérard est surpris de sa taille et au beau milieu se trouve une vaste table de campagne, massive sur laquelle sont disposées toutes sortes de victuailles. Il n’en croit pas ses yeux... Berthe lui fait l’article en lui proposant un verre de cognac et après un pâté de campagne fait maison et puis...
— Stop ! Berthe ! Tu sais ce qui manque sur cette table !— Tout y est Gérard je t’assure ! Demande et je te servirai.— Il manque une chatte !

Joignant le geste à la parole, il attrape Berthe par la taille, la soulève la pose sur le bord de la table et l’invite à se coucher en arrière... Voilà Berthe une fois de plus nue, offerte, les jambes relevées prêtes à être écartées. Gérard prend une chaise, se place en face de Berthe et se lance dans une opération cunnilingus qu’il voudrait la plus divine possible.
— Tu ne me feras pas mal ?— Bien sûr que non ! Que du bien ! Que du bonheur ! Tu verras !— Je ne vois rien d’où je suis ! Tu ne pourrais pas me relever la tête avec un oreiller ?— OK ma belle ! Tu as raison !— Tu trouveras dans ma chambre ! Amène aussi une couverture !— Et quoi encore ! Je ne suis pas ton larbin !— Non tu es mon amant ! Voilà c’est-y pas mieux comme cela ? Et je peux voir.— Tu vas m’intimider ! C’est tout !... Ton sexe sent bon... Tu l’as parfumé ?— Oui ! Toujours ! Son odeur est trop forte !— Qu’elle bêtise ! Où est passé tout le sperme que j’ai déversé en toi ... je te touche et tu es sèche !— Je me suis lavée ! Tiens ! C’est interdit !— Non ! On fera sans...
Berthe ferme les yeux ! C’était bien la peine d’amener un oreiller ! Elle veut déguster cette caresse tant convoitée... Elle sent les mains de Gérard qui papillonnent dans tout son entrejambe... L’une d’elles vient caresser son mont de Vénus tout nu, redescend vers son clitoris, mais s’arrête bien avant. Une langue se promène de haut en bas de son sexe, humectant ses grandes lèvres... Elle remonte et touche le clito... elle a un petit geste de recul... Mais la langue redescend déjà en glissant entre les lèvres... un doigt vient à son tour chercher l’entrée de son vagin, s’y immisce doucement à la recherche de quelque humidité... puis ressort et vient se balader entre la vulve et l‘anus... Comment a-t-il dit pour cette région qui lui procure tant de sensation... Elle ne se souvient plus, car le doigt arrive à l’anus et tourne autour du trou... Elle n’a plus peur... Au contraire elle passe ses mains sous ses fesses et les écarte.
— Merci ! J’apprécie !— Merci pour quoi ?— Non ! Rien ! C’était juste pour parler !

Mais le doigt de Gérard profite de cette ouverture et pénètre franchement dans le trou... ce n’est pas l’anus qui réagit, mais bien sa vulve qui se met en transe, qui se met en nage...
— Merci !— Merci de quoi ?— Merci pour le petit fleuve de stupre qui m’est arrivé dans la bouche... Je n’ai même pas eu besoin de te mouiller avec ma salive.— J’ai peur !— Peur de quoi ! Ton jus est bon, son odeur est divine ! Tu veux goûter !— Je connais mon goût !— Pas avec ma bouche, ma salive, ma langue !

Gérard se lève un moment, se place au-dessus du visage de Berthe et laisse couler sur ses lèvres quelques gouttes de son propre jus... Elle ouvre la bouche, passe sa langue sur ses lèvres en un geste très érotique... Gérard plonge sur elle et l’embrasse vigoureusement en faisant pénétrer sa langue... Berthe a le bon réflexe et aspire cette langue, la suce, la repousse pour l’aspirer encore...
Gérard redescend au turbin... mais il a dorénavant devant une chatte mouvante, dévoreuse de sa langue de ses lèvres capable d’aspirer et de recracher... Il ne sait pas si Berthe jouit, mais il constate que sa vulve s’en donne à cœur joie... Le clitoris est tout bandé... Il décide de le happer avec sa bouche... Ses deux lèvres l’aspirent et sa langue s’applique sur lui sans bouger... Et c’est le clito en vraie petite bite qui se met à copuler... Il garde longtemps cette position, car il entend Berthe pousser des hurlements de plaisir... Il redescend une fois de plus vers la vulve pour constater que c’est l’inondation... Alors il boit, il lèche, il lape, il déglutit, il déguste.
Donne m’en encore un peu !Gérard ne répond pas à la supplique de Berthe, car il a la bouche pleine... Il se lève une fois de plus se penche sur le visage d’une Berthe en transe et laisse couler de sa bouche de longs filets que Berthe déglutit à son tour... La scène se termine par un baiser mouillé qu’ils ont peine à arrêter... C’est Berthe qui repousse la tête de Gérard pour lui dire sur un ton suppliant :
— Suce-moi encore...— Oui ma belle, je vais te sucer encore, et te boire, et te lécher, et te mordre, et te manger et te faire jouir enfin.— Mais j’ai déjà joui vingt fois... Où veux-tu m’emmener encore ?— Ne crains rien ! Je ne te ferai pas de mal ! Mets-toi à genoux ! Baisse la tête ! Ecarte les fesses comme tout à l’heure !
Berthe devient folle lorsqu’une langue vient pointer sur son anus et le pénétrer... Oh pas bien loin... mais c’est assez pour que sa vulve se mette à jouir à tout va... Elle aurait voulu un doigt sur son clitoris, mais ses deux mains sont occupées à s’ouvrir les fesses pour ce baiser du diable... Mais ce doigt arrive... C’est celui d’une des mains de Gérard... Il est génial... Il arrive au bon moment, il appuie avec toute la douceur requise, il accompagne le clitoris dans ses excès... Il glisse sur la hampe pour le faire bander encore plus fort... Un dernier spasme et soudain tout devient silencieux... personne ne parle... Berthe descend de son perchoir, prend un siège à côté de Gérard et tous les deux comme deux amis dégustent un frugal repas...
— Es-tu heureuse ma belle ?— Oui ce soir je le suis grâce à toi ! Mais demain ce sera...— Ce sera un autre jour ! Plus je te regarde et plus je te trouve belle !— Tu m’intimides !— Non c’est la vérité ! Et pour une pucelle, je te trouve drôlement endiablée !— Endiablée ! Cela veut dire quoi !— J’ai parlé tout d’abord de pucelle, c’est-à-dire que tu es vierge ! Tu ne l’es plus d’ailleurs ! C’est-à-dire que tu n’as jamais eu de relation. J’ai ajouté endiablée parce que je t’ai trouvée fougueuse, pétulante, vive...— N’en jetez plus !— Mais aussi, sensuelle, impertinente, indocile, effrontée, effrénée, sauvage, coléreuse, débridée, déchaînée, démoniaque, insupportable quelques fois, difficile à convaincre, mais facile à baiser, curieuse de tout, bref en un mot amoureuse de l’amour !...— Tout cela c’est moi !— Oui ! Et le tout est une femme dont j’ai apprécié le regard troublant, le sourire éclatant, les caresses géniales...— Tu exagères !— Pas du tout ! Laisse-moi continuer...— Non laisse-moi t’interroger comment as-tu trouvé mes fesses,— Agréables à regarder, excitantes à toucher !— Mon ventre,— Un petit peu rond avec un beau nombril !— Mes reins,— Agréables à tenir ! Souviens-toi lorsque tu me chevauchais.— Mes cuisses,— Elles sont la douceur même, surtout à l’intérieur : je les aime quand elles sont bien écartées.— Mes chevilles.— Fines sans plus : mais j’aime tes pieds, je t’ai sucé avec délectation les orteils...— Mes lèvres !— Douces : si tu le permets tu as une vraie bouche à pompier,— Ma vulve.— Accueillante. Les lèvres sont parfaites, je l’ai trouvée longue !— Mon sexe,— Insondable ! Je ne suis pas arrivé à toucher le fond !— Pourtant tu es bien gaulé !— Mon jus, comment tu dis... Mon stupre !— Délicieux... Tu m’as régalé plusieurs fois !— Mon clitoris !— Amusant à exciter !— Mes fesses !— Divines ! Surtout lorsque tu les écartes pour me montrer ton anus.— Mon anus !— Avis mélangé : au doigt il est doux, à la langue il est fameux... Reste à essayer ma verge. Je te dirai après !— Tu n’as rien dit de mes oreilles.— Les lobes sont très érogènes... Je l’ai bien senti... Et lorsque j’ai mis ma langue dans ton oreille, j’ai presque déclenché un orgasme ! Exacte !— Oui ! Tu as raison ! Et ma technique de fellation.— Parfaite puisque tu as une bouche à sucer une bite... Mais tu n’as pas encore bu mon sperme !— J’aimerais bien ! Mais je l’ai goûté ton jus ! Et mon dos tu ne m’as jamais caressé le dos !— Mais si ! Mais si ! Je t’ai caressée de partout.— Et ta préférence !— Ton sourire Berthe, ton sourire dans des moments bien précis... Lorsque tu m’accueilles en toi, quand tu m’invites à te prendre et surtout lorsque tu reviens d’un orgasme... Ton sourire veut dire merci !— Quelle note me donnes-tu !— Une amante ne se note pas !— J’insiste !— Alors ! Sans hésitation 18 sur 20 ! Alors pour toi ce sera 19 sur 20 !— Et pourquoi pas 20 !— A cause de ta brutalité lorsque tu m’as fait mal !— Mais ! Non ! Mais non ! je me dois alors de rajouter quelques derniers qualificatifs pour toi ! Pleurnicharde, peureuse, trop fragile, poupée de verre...— Tu es méchant !— Non objectif ! Madame vous êtes la science même en amour... Doctus cum libro vous l’étiez... cette nuit vous avez mis en application vos vastes connaissances.— Là tu es gentil !— Non impressionné par toi !— Tu as assez mangé ? Encore un verre de vin ?— Non rien ! Plus rien !— Tu veux qu’on retourne dans la chambre.— Oui !— Tu souhaites dormir !— Non je souhaite être à côté de toi et profiter de ta présence, de ton parfum, de tes mots... Et plus si l’envie nous en reprend.

Dans la douce pénombre d’une chambre de pucelle, deux êtres se lancent dans la découverte l’un de l’autre. Quelques fois le sommeil les emporte... mais l’un ou l’autre se réveille rapidement pour jouir de ces instants si précieux d’échanges. Dans le silence de la nuit, déjà bien avancée, les deux amants sont allongés l’un à côté de l’autre. Deux mains se tiennent doigts enlacés...
Berthe est dans ses rêves, lorsque soudain une main d’homme vient survoler son corps... cette main la touche à peine, mais elle ressent comme une caresse venue d’ailleurs... Une caresse venue de ses propres songes... Gérard s’amuse de la découverte nouvelle de ce corps si ouvert au plaisir... le moindre pore de cette peau recèle des trésors de jouissance... cette épaule toute ronde qui ne demande qu’à être enveloppée... ce cou gracile, ces oreilles si finement découpées, ce menton pertinent, ces seins de diane chasseresse,
Berthe est aux anges... elle anticipe le voyage de cette main... La supplie de frôler ses seins, les bouts de sein lui suffiraient, glisser entre ses aisselles, redescendre vers le ventre... compter les côtes... puis un vol circulaire sur son ventre ! Qu’a-t-il dit de son nombril, elle ne me souvient plus... Et justement la main survole cette zone inamicale... le minuscule auriculaire tente la descente dans le fond... Berthe est surprise... Elle écoute la réponse de son corps... Elle la transmet à Gérard par un petit serrement de la main encastrée dans la sienne... Il comprend et continue son exploration... Cela ne vaut pas la caresse sur un bout de sein, mais ce n’est pas désagréable... Gérard continue sa promenade découverte, il arrive sur ce mont de Vénus tout nu ; tapote légèrement puis caresse très lentement... ses doigts glissent dans l’aine à gauche puis dans celle de droite...
Elles reviennent vers le centre et se laissent descendre sur la hampe du clitoris...Enfin pense Berthe, nous y sommes enfin...Elle se prépare à cette caresse...Elle attend avec une certitude...Il saura faire... il saura l’emmener au ciel...Le clito est déjà bien dur ! On le sent sous la peau qui l’enveloppe...Il accepte le défi, prend ses aises, sa tête apparaît... il prend ses aises, dialogue avec les deux doigts qui le branle, grandit, grossit, se fait encore plus dur...Berthe ne sait plus comment faire...Doit-elle attendre un peu ou se laisser aller au plaisir...Elle a aussi peur de changer de position de peur de troubler l’amour de son clito avec les deux doigts de Gérard...La puissance de l’orgasme fait pression sur elle...Elle résiste encore et soudain lâche les vannes par un cri guttural, profond et long qui remplit la chambre... ce n’est pas un cri, c’est un chant amoureux, c’est une plainte, c’est une joie, une extase...
Elle oblige son corps à ne pas bouger...Elle vit ses orgasmes successifs de l’intérieur...Seule sa main serrée dans celle de Gérard rythme son plaisir...Gérard ne bouge pas ! Ses deux doigts continuent de branler le clitoris... Il attend le signe qui l’autorisera à sonner la retraite... Pendant de longs instants, Berthe chante son plaisir... Puis soudain le silence absolu se fait... On dit que le silence après la musique de Mozart est encore du Mozart... ici le silence qui suit le plaisir de Berthe est encore du plaisir, mais cette fois partagé.
— Gérard ! J’ai envie de te chevaucher et de m’empaler sur toi... Ce mot « empaler » m’excite et je ne sais pas pourquoi.— Alors viens ! Passe une jambe au-dessus de moi... Non mets-toi face à moi d’abord. On fera l’autre sens tout à l’heure...— Et pourquoi pas sur le côté...— Hé Ho ! On ne peut pas tout faire à la fois ! Voilà ! Tu y es ! Maintenant prends ma verge d’une main et présente-la devant ta vulve... Cherche bien le trou et empale-toi doucement... Hé ! Je n’ai pas dit encule-toi ! Tu es au mauvais endroit.— C’était un petit essai ! Voilà j’y suis ! Et que fait-on maintenant !— Ou bien tu me chevauches à ta manière, à ton rythme, à ta profondeur.— Ou bien !— Ou bien je te tiens les hanches comme cela et je te tringle jusqu’à plus soif...— Tringle-moi ! Alors.

Berthe se sent comme sur un cheval fougueux dans un rodéo... Gérard soulève ses reins et la fait monter puis il la ramène contre son ventre en s’enfonçant au plus profond... Sa crainte a disparu... Elle joue le jeu... Ne se laisse pas désarçonnée et se fait tringler comme il dit si bien... D’orgasme aucun ! Comme si là c’était du sport plus que de la baise.
— Retourne-toi maintenant ! Tu es très souple ! Alors tu peux te retourner sans sortir mon zob... Essaye pour voir !— Pas facile !— Mais oui ! Tu y es ! Maintenant à ton tour de jouer... Je te laisse toute seule !

Berthe ne comprend pas ! Elle bouge un peu et trouve soudain agréable cette liberté offerte. Les yeux droits devant, elle prend conscience de sa position...Elle est à genoux sur un homme, avec une belle et grosse bite dans le cul... façon de parler...Une belle bite dans le con...Elle contracte les muscles de son périnée, commence une danse du ventre, s’aide de ses deux bras pour se balancer de gauche et de droite d’avant en arrière...Elle se soulève, se met sur ses pieds, se soulève encore...La verge est presque entièrement en dehors d’elle...Elle redescend doucement et remonte... et redescend encore en tournant son corps...Un orgasme la guette ! Elle le maintint à distance...Elle n’en veut pas...Elle souhaite avoir toute sa conscience...Elle baisse la tête pour admirer ces deux petites boules... ai-je le droit d’y toucher...Elle n’y prend garde...Elle regarde ce bâton de chair, trempé de son jus qui la pénètre et ressort de son con...Elle a envie de chanter ! Elle aurait dû mettre une musique pour accompagner cet instant...Elle se dit qu’elle va se fatiguer...Vive la vie pense-t-elle, vive l’amour, vive le plaisir, vive une bonne bite...Elle se retourne et aperçoit le visage de Gérard : il a les yeux fermés...Elle aurait aimé qu’il lui tienne les fesses...Mais elle se résigne à cette solitude voulue par Gérard et acceptée par elle...Alors c’est elle qui se touche les fesses, qui se caresse tout le corps, les seins, le ventre... elle tente une petite plongée vers son clito...Il est là tout prêt à servir de détonateur...L’explosion sera pour plus tardBerthe a soudain une envie mirobolante...Et pourquoi pas essayer l’impossible, partir vers l’interdit...Elle se soulève de nouveau, un peu plus et la verge quitte son nid... et ce gland qui la nargue... et cette tête qui lui semble énorme...Allons-y ! Elle attrape le zob d’une main et l’emmène vers sa zone interdite...Elle a de la peine à trouver le bon endroit...Mais soudain le gland s’accroche au beau milieu du muscle sphincter...L’anneau est bien fermé...Elle jette un regard à Gérard qui lui sourit...Elle considère cela comme une invitation à poursuivre son crime...Elle essaye de se faire pénétrer par la verge qui plie...Elle l’attrape et l’enserre de la main pour la rigidifier...Une espèce de corset...Seconde tentative... toujours infructueuse...Elle insiste encore et encore...Puis se souvient d’une de ses lectures...L’homme disait à la femme de pousser comme pour...Alors elle pousse un peu, puis plus fort... elle tente une nouvelle intromission et sent le gland qui la pénètre...Petite douleur...Mais supportable...Elle le fait ressortir pour revenir encore, une fois deux fois, plusieurs fois et à chaque épisode elle descend un peu plus bas...Jusqu’à où pense-t-elle ! Soudain tout s’accélère...Un violent orgasme la submerge...Elle libère sa main, s’empale entièrement ou presque, vient avec ses doigts faire l’amour à son clito qui le lui rend en mille...Elle ne se souvient pas de la durée de son plaisir...Elle sait seulement qu’elle s’est retournée une fois de plus vers Gérard pour lui dire :
— Tu as vu !— Oui ! je t’admire ! Oui j’ai vu, mais j’ai surtout ressenti.— Tu peux être fière de moi ! Non !— Oui ! Je suis fier de toi... ! Comment te sens-tu avec cette bite dans le cul ?— Bien ma foi ! Bien ! Pourquoi tu me demandes cela ?— J’avais deviné puisque tu me gardes en toi !— Oui ! Pas envie de te sortir ! Un peu peur d’ailleurs !— Alors je peux d’enculer à mon tour ?— Mais tu m’encules déjà !— Non ma belle. Ce n’est parce que tu t’es enfilée une bite dans le fion que tu en as fini avec cette forme d’amour... c’est à moi de jouer maintenant !

Gérard avance les deux mains, saisit les deux hanches de Berthe, la fait monter puis redescendre plusieurs fois comme pour bien s’ancrer... Alors il se lance dans une folle séquence copulatoire... Il est violent... Sa verge est dure et pourfend Barthe qui subit sans rien dire... Elle a de nouveau peur... Gérard lui fait mal... Mais cette fois elle va savoir maîtriser cette douleur... Elle retrouve son clitoris lui demande de l’aide et s’envole dans de nouveaux spasmes... Simultanément Gérard éjacule en lui imposant ces derniers outrages... Il lui attrape les épaules et la couche à côté de lui... Les deux amants s’endorment emmanchés l’un dans l’autre...La douche qui suivit cette jolie chevauchée belle fut une vraie partie d’amusement... Les craintes de Berthe s’estompèrent dès lors qu’elle osa regarder la verge de Gérard un peu tachée mais si peu... Sous la douche avec lui elle s’occupait presque exclusivement de son monstre adoré... Jusqu’à lui donner de nouveau vie...
— Attends ! Berthe ! J’ai une petite envie !— Vas-y ! Soulage-toi !... Non ne te retourne pas ! Je veux te voir !— Mais je vais te mouiller !— Mais je le suis déjà ! Vas-y je te dis !— Il est chaud ! Ton jet sur mon ventre ! C’est jouissif ! ... Et je secoue la dernière goutte !— Et toi !— Moi aussi j’ai envie ! Mais je n’ose pas devant toi !— Vas-y à ton tour sur ma main ! Tu es chaude aussi !
L’eau coulait toujours sur les deux corps enlacés... Leurs mains se baladaient un peu partout sur leurs corps... Berthe avait une incontestable prédilection pour le sexe de Gérard... Lui passait des seins à la vulve, des hanches aux cuisses... Soudain ! Il la retourna, la fit se pencher et lui introduit un doigt dans son anus !
— Tu es encore tout ouverte ma belle ! Et tu es toute pleine de sperme... Je peux même te mettre deux doigts...— Arrête Gérard tu vas me faire jouir encore ! Je n’en peux plus !— Mais non ! Ton plaisir n’a pas de limites tu le sais bien... Laisse-moi te toucher le clitoris.— Alors là c’est foutu pour de bon !— Ne bouge pas autant on va tomber tous les deux !— Mais je jouis Gérard, je jouis ! Tu ne peux pas m’empêcher de bouger !— Alors viens ! Ferme la douche ! Assieds-toi sur le rebord du lavabo...— Il est trop haut !— Non il est à la bonne hauteur ! Lève les jambes maintenant, passe-les sur mes épaules !— Mais ! Je suis mal ! J’ai mal aux fesses et au dos...— Mais non ! Accroche-toi à moi ! Suspends-toi à moi ! Tu n’es pas bien là !— Je suis toujours bien quand ta bite est en moi ! Cela me fait toujours le même effet de bonheur... Toujours les mêmes sensations de plaisir et toujours... Toujours... Tout... Ah je jouis encore...

Gérard repose Berthe délicatement, alors qu’elle est encore sous les effets de son orgasme... C’est-à-dire un peu encore dans les nuages, comme si elle avait bu un peu plus que trop.
— Mais tu as un bidet ! Je croyais que cela ne se faisait plus !— Mmmmm !— Tu ne parles pas ?— Laisse-moi le temps de redescendre sur terre !

Entre temps, Gérard s’est assis à califourchon sur le bidet. Il bouche l’évacuation en basculant la petite manette, fait couler l’eau chaude puis l’eau froide puis l’eau chaude et règle la température à son goût.
— Viens me faire la toilette !— Je veux bien !— Oui, penche-toi sur moi que je sente ta poitrine dans mon dos, passe tes deux mains, attrape ma verge, lave-la, dégage le prépuce, un peu de savon, et tu recommences, les couilles aussi, n’oublie pas les couilles, rince le tout... va en dessous pour l’anus...— Je n’y arrive pas c’est trop loin...— Alors, passe par l’arrière... je m’avance un peu...— Tu es un vrai bébé !— Non un jeune puceau qui se rend pour la première fois chez une prostituée... Mon souvenir est intact et tu m’as fait revivre cette scène.— Et la suite !— Viens je vais te la faire vivre... Suis-moi... Tu te couches au milieu du lit la tête sur tes oreillers... Elle me regarde, debout tout nu au milieu de la chambre...— Tu as un bidet derrière toi... L’eau au tiède... Tu as du savon... Lave-toi bien !— ...— Ce n’est pas suffisant mon jeune ami !

La femme s’est levée, vêtue d’un peignoir léger ouvert par-devant. Elle est venue vers moi, s’est penchée, a passé les deux mains de part et d’autre de moi pour me laver la verge et son environnement... Je sentais sa lourde poitrine dans mon dos... Elle se frottait sur moi ! Peut-être pour m’exciter...
— Bien sûr ! Comme cela tu jouirais plus vite et la passe serait plus courte... Ce n’était pas une passe ! N’essaye pas d’abîmer mon souvenir.— Et alors !— Elle manipulait ma verge avec force et bien peu de délicatesse à mon goût... Mais dans mes souvenirs c’était la plus divine caresse jamais reçue.

Sa bouche était tout près de mon oreille et elle me demanda :
— Quel est ton prénom ! Gérard c’est très beau ! Tu voudras bien me faire l’amour ! Ton sexe est magnifique ! Il est dur, long et gros...— C’était pour t’exciter encore plus !— Viens mon petit ! N’aie pas peur je ne te mangerai pas.— Viens Gérard... Tu trembles... C’est la première fois !— C’est exactement cela... Comment as-tu deviné...— Intuition féminine :— Je suis cette putain, je la sens, je veux être ta première fois !

Elle a relevé ses genoux, ouvert ses cuisses... Une de ses mains se tend vers moi, amicalement, amoureusement, maternellement... je grimpe sur le lit, pose les mains de part et d’autre de son ventre... Elle attrape ma verge toute raide... La place devant son sexe poilu que l’on aperçoit à peine... Se soulève pour me faire entrer en elle...
— Viens mon petit... Fais-moi l’amour... Oui comme cela... Tu es fort, tu es gros, tu es long...— J’ai fait quelques mouvements... Et puis j’ai éjaculé...— C’est bien ! Mon petit... C’était bon pour moi ! C’était bon pour toi ?— C’est déjà fini ?— Oui c’est fini pour cette fois ! Mais je sais que tu rendras ta femme heureuse... Tu as toutes les qualités pour cela.
Pendant que Gérard faisait ce récit, Berthe mimait et vivait la scène... Elle avait relevé ses genoux, ouvert ses cuisses, tendu la main à Gérard... Elle l’avait reçu en elle... Elle l’avait laissé lui faire l’amour... Lui avait offert son meilleur accueil...Gérard était maintenant couché sur Berthe qui ressentait l’émotion de son amant... Elle ne savait pas quoi faire... le mieux peut-être... Laisser passer le temps, profiter de ce petit moment de tendresse que lui offrait son amant, son petit, son tout petit qu’elle consolait de ses souvenirs...
— Mais tu n’as pas joui ! Mon petit !— Non ! Mais j’étais tout de même aux anges !— Quel était le prénom de...— Non ! Pas de questions Berthe... C’est mon rêve... C’est mon souvenir...— Et tu veux que je te raconte ma première fois !— Oui je veux viens ! Ce n’était donc pas avec moi !— Ecoute-moi !... Je n’avais jamais fait l’amour avec un homme et Dieu seul sait si j’en avais envie... Dès le premier regard, je sus que c’était lui que j’attendais... Mon cœur se mit à battre plus vite que de coutume... Mais je ne pouvais quand même pas l’attraper par le bras et lui dire viens me faire l’amour... Bien au contraire, j’ai été désagréable avec lui... Au cours de la nuit très subtilement j’ai pu l’amener dans mon lit... J’en avais tellement envie... Lui ne pensait qu’à jouer les préludes, moi j’étais impatiente, encore plus impatiente après les prodigieuses excitations de ces préludes... Enfin il se décida !— On y va ma Belle ?— Mais oui ! Mon ami ! Depuis le temps que j’attends ! Baise-moi ! (Enfin quelque chose dans ce genre)...

Alors là cela a été le paradis... une longue lente subtile pénétration... nous ne nous touchons que par bite et vulve... Une bite tendue et une vulve accueillante impatiente... Alors je bouge un peu les fesses comme pour signaler que j’en voudrais plus maintenant, tout de suite... Lui continue de papillonner... Pendant ces moments d’attente, je me suis inquiétée de la longueur de cette verge... Alors là ! Alors là ! comme chante MIOUMIOU il me baise... Il me prend moi ! Il me punit moi, il m’emmanche... Il me tringle ! Il se couche sur moi et me fait ce que je voulais depuis si longtemps : l’amour avec énergie, force, lubricité... Il m’offre un premier orgasme... puis un second... Et soudain je sentis son sperme couler en moi... je l’entendis hurler...Et c’était quand !
— Hier soir mon ami et... avec toi !— Laisse-moi me coucher sur toi ! Toi sur le ventre et moi tête-bêche ! Voilà nous sommes bien ! Je suis bien et toi...— Je suis bien aussi ! Pourquoi cette position ?— Tu verras ! Tu verras ! Ne t’inquiète pas !— Je ne suis pas tranquille, mais ton corps sur moi ! C’est bien agréable...

Les mains de Berthe caressent Gérard... ses chevilles, se mollets musclés, le creux du genou enfin les cuisses ce qui l’emmène directement dans l’entrecuisse... Les couilles sont inaccessibles, mais ce qui l’intéresse c’est moins le sexe que la raie rectale... Elle y promène son doigt comme lui avait fait sur sa vulve... Elle monte... elle descend, pénètre de plus en plus à la recherche du centre de vie...
— Que fais-tu ! Ma belle !— I am pegging you Gérard !— Pegging ! C’est quoi !— Je ne connais pas le mot en Français ! C’est l’acte par lequel une femme pénètre son partenaire avec un gode ! C’est ma pharmacienne qui m’a appris ce mot !— Et tu vas me pénétrer avec ton gode !— Tu me l’as bien fait à moi !— Oui ! Mais c’était avec mon Zob !— Mon gode est plus petit que ton Zob et je mettrai beaucoup de lubrifiant beaucoup de gentillesses, beaucoup d’attention !— Fadaises !— Non ! C’est un acte sexuel comme un autre entre une femme et un homme. Ta sexualité n’est pas remise en cause ! Relaxe-toi et profites-en ! Si tu as mal ! C’est que je m’y prends mal ! Préviens-moi ! Si tu as du plaisir ! C’est que je m’y prends bien !— Et comment tu sauras !— Tu me le diras et je suis certaine de m’en rendre compte.— Tu as du lubrifiant ?— Oui ! J’en ai fait provision pour mon usage personnel dans une pharmacie. On n’a jamais assez de lubrifiant ! J’en ai rassure-toi !— Et l’hygiène ?— Tu ne t’en es guère inquiété tout à l’heure pour moi ! Rassure toi avant de venir avec toi je m’étais fait un petit rinçage anal.— Un lavement quoi ?— Si tu veux ! Mais je n’aime pas ce mot.— Et pour moi !— Ton passage sur mon bidet m’a donné l’occasion de préparer l’espace ! Souviens-toi ! C’est toi qui m’as proposé de passer la main par-derrière... J’en ai profité pour faire le minimum. J’aime que tu me poses ces questions... J’aime que tu n’aies pas peur d’être spontané dans tes réactions et dans tes mots.— Je n’ai pas peur.

Confiance et dialogue sont indispensables...
— C’est OK pour moi ! J’ai confiance et toi et je saurai te parler.— Ton plaisir sera mon plaisir.— Ton plaisir sera mon plaisir ! itou !— Petite précision nécessaire ! Je te visite l’anus, car le connais bien le mien !— Tu fais plus que visiter : Pegging c’est bien plus qu’une visite ! Non !— Oui tu m’as plus que visitée ! Tu m’as enculée... Et c’était divin !— On m’a dit que...— Oublie tout ce que d’autres personnes t’ont dit du pegging ! Ecoute ton corps ! Écoute-moi !

Pendant tout ce dialogue, les mains de Berthe sont arrivées au terminus... Elle ouvre largement les fesses de Gérard et laisse tomber quelques gouttes de salive. De son index droit elle masse le muscle du sphincter comme pour l’amadouer... Elle tente une première pénétration... l’anus résiste... nouvelle petite dose de salive... nouveau massage... nouvelle tentative... Et la même résistance.Alors elle change de stratégie... Elle insère son visage entre les deux globes de chair applique ses lèvres sur l’anus et le pénètre avec la langue... Gérard réagit comme elle s’y attendait... Il est sous le charme de cette caresse qu’il n’a jamais reçu, et dont il avait entendu mille fois parler... C’est lui maintenant qui ouvre ses fesses pour que Berthe soit plus à l’aise... Il faudrait que cela ne s’arrête jamais...
— Tu as aimé mon grand !— Donne-moi en un petit coup encore !

Et voilà cette langue qui revient au bercail pour le plaisir de Monsieur Gérard ! Puis Berthe attrape la petite fiole de lubrifiant et enduit les fesses de Gérard d’un liquide si agréable au toucher... Elle masse les deux beaux globes de chair, tout en approchant ses mains du sillon fessier... Encore quelques gouttes pour messire Anus ! Toujours avec son index elle tâte et tente une nouvelle intromission. L’anneau est plus souple, mais si peu... Elle continue ses caresses... Gérard a légèrement écarté ses jambes ; alors elle glisse la main et touche les couilles... Elle les tâte et les masse...
— Tu es prêt ! Mon ami !— Yes ! I am ready for a pegging !— Je vais suivre les conseils de mon amie Pharmacienne, et t’enfiler un plug...

Je lui mets un peu de lubrifiant... Je le pointe sur ton anus... Et je tourne à gauche et à droite en appuyant... Le plug s’enfonce lentement... Je le vois s’enfoncer... je vois ton anus s’ouvrir comme une fleur... Tu es formidable... Même pas besoin d’appuyer très fort... même plus besoin de le tourner dans tous les sens... Il rentre bien... c’est très excitant... Ma pharmacienne m’avait dit que ce spectacle était jouissif. Et voilà le travail... Tu es équipé d’un plug... Tu as tout pris... Ton anus s’est refermé sur la partie plus étroite du Plug... Il est ancré en toi...
— Merci ma belle pour cette démonstration de pegging !— Mais ce n’est pas fini ! Je sors de sur toi... Donne-moi la main... lève-toi ! Viens danser avec moi... Comment te sens-tu ? Est-ce que tu le sens cet intrus ?— Je me sens bien... Tu m’as donné envie de baiser... Regarde mon érection... Elle n’a jamais été aussi forte !

Gérard s’allonge de nouveau sur une Berthe tout aux aguets... Que va-t-il encore inventer... d’une main il lui écarte les jambes pour qu’il puisse s’y installer. Sa main remonte jusqu’à l’entrejambe et cherche la vulve puis son entrée... Il trouve un sexe trempé... De l’autre main, il tient sa verge et pointe dans le vagin... Avec une extrême douceur, il pénètre, ressortant lorsqu’il sent une quelconque résistance... Il revient encore et va jusqu’au bout...
— Comme tu es doux avec moi... Comme c’est bon...— Embrasse-moi.— Referme les cuisses maintenant... Oui comme cela... Et serre-moi fort... Non pas mes épaules... serre ma verge... Oui comme cela... Encore plus fort si tu peux.— Je suis au max !— Empêche-moi de rentrer en toi !— Mais je ne peux pas... tu es déjà si loin !— Attends ! Je ressors ! Empêche-moi de rentrer...— Mais je ne peux toujours pas... Tu glisses comme une anguille... Je suis trop mouillée... Ressors un peu... Je vais encore essayer !— Vas-y serre fort empêche moi de rentrer !— Mission impossible !— Essaye encore !— ...— Tu vois que tu peux m’empêcher de rentrer...— Oui, mais je ne peux plus m’empêcher de jouir... je jouiiiiis... Entre mon ami... Pénètre-moi.— Ton con est délicieux quand tu jouis... Tu me donnes envie aussi de jouir...— Alors viens ! Jouis avec moi... Tu sors, je t’empêche de rentrer... Tu me forces et nous jouissons ensemble...— Délicieux programme, mais j’ai d’autres choses en tête.— Retourne-toi ma belle, mets-toi sur le ventre ! Non pas comme cela... En travers du lit...— Que vas-tu me faire ! J’ai peur dès que je ne vois pas !— Do’nt be anxious ! Je veux aussi te caresser le dos.

Gérard est debout derrière Berthe... Il saisit un pied, fait plier le genou... immisce sa langue entre les orteils... Il fait de même avec l’autre jambe s’attarde sur le gros orteil qui est un peu détaché des autres et le suce comme une petite bite... Il repose les deux jambes et les caresses en remontant lentement... Il arrive au creux des fesses les empaume et joue avec cette chair si élastique en leur appliquant deux petites gifles amicales sans violence... Ses mains s’incrustent ensuite de part et d’autre de la taille et il serre très fort...
Les deux mains remontent sur le dos et le massent vigoureusement en fonçant la femme dans le matelas... Dans cette position, Gérard est presque entièrement couché sur Berthe... Il se laisse tomber de tout son poids... Berthe est entre deux sentiments la crainte de la violence tant redoutée et la sensation si vive de cette bite qui se balade entre ses jambes... Elle essayera de bouger, mais sans succès pour que le gland arrive à sa vulve. Gérard est maintenant entièrement couché sur elle ? Elle sent son poids, sa chaleur, son odeur, son haleine... deux mains s’incrustent dans sa chevelure et lui offrent un massage parfaitement professionnel. La bouche de Gérard est maintenant toute proche de l’oreille de Berthe :
— Pardonne-moi de t’avoir fait mal tout à l’heure !— C’est oublié déjà.— Retourne-toi.— Mais je suis une vraie toupie !— Tu sais qu’il existe des toupies que l’on fouette pour les faire tourner...— Tu ne vas pas me fouetter tout de même !— Non ! Sauf si tu me le demandes !— J’ai le matériel au complet si tu veux !— Non ! Non ! Mais comment as-tu tout cela ! Toi, la soi-disant pucelle !— J’ai une très bonne amie Pharmacienne...— Amie... ou Amante...— Hum !— Tu ne réponds pas !— Tout a commencé lorsque je suis venu chercher en pharmacie un lubrifiant... Elisabeth ! C’est son nom, m’a d’abord proposé du « sensilube »... puis a insisté pour je lui en décrive l’usage que je destinais à ce produit ! J’étais folle de confusion... Elle mit sa main sur la mienne et me dit tout simplement je sais ce qu’il te faut... Voilà le début de notre aventure... Et de fil en aiguille !— Vous êtes devenues amantes !— Nous sommes de vraies amies ! D’ailleurs je viens de lui adresser un petit poème. Tu veux que je te le lise.— Berthe n’attendit même pas la réponse de Gérard et récita plus qu’elle ne lut :

Elisabeth !Cette nuit,J’ai tout abandonné ! Tout,Mon honneur,Ma pudeur,Mes peurs,Mon corps,Mes seins,Mon con,Mon cul, et Ma virginitéMa double virginité,Car de Mon homme, Jusqu’au dernier des outrages.J’ai été la chienne,Et je garde en moi,Cette fierté d’être sienne.
— C’est très beau !— Et ce n’est pas tout !

Aux premières lueurs du jourSavoir sa présence,Sentir ce corps enlacé au sien,La chaleur de son vit,Érigé contre ma raie,Le corps rompu d’avoir tant donné,L’esprit repu d’avoir ainsi été baisée,Et pourtant aimer le désirer,S’ouvrir pour l’inviter à entrer, Se laisser posséder...
— C’est vraiment beau !— Pour ne rien te cacher ! J’ai trouvé ce poème sur le Net !— Dans les petits sites érotiques ?— Exactement...— Mais nous y sommes aux premières lueurs du jour !— Oui ! Et tu vas t’en aller !— Il le faudra bien !— Alors mon ami laisse-moi te dire que je te désire, que je vais m’ouvrir pour toi, que je vais t’inviter à entrer en moi pour me posséder !
Berthe voulait que ce dernier moment soit fusionnel... Il le fut !
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