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Pucelle... Mais pas d'Orléans

Chapitre 4

Erotique
Résumé
Paul et moi avons rencontré mon psy et un spécialiste en thérapie sexuelle. Ses recommandations pas très orthodoxes nous vont bien.
Je frôle chaque jour un peu plus le moment tant attendu, perdre ma virginité, mais…
Chapitre 4
Par ce matin lumineux, je me réveille très excitée. Paul et moi, nous allons faire du shopping très particulier. Nous avons recherché un magasin spécial, un sex-shop !
Je file sous la douche en faisant un crochet par la chambre de Paul. J’entre doucement, il dort sur le dos, étalé en boxer. Mes yeux se fixent sur la protubérance mise en évidence. Ma langue vient lécher mes lèvres et mes tétons durcissent pendant que de brefs frissons parcourent mon ventre allant tous dans la même direction, ma chatte.
Je ne me lasse pas de le mater. Beau mec, musclé sans excès, il s’entretient. Les images de son sexe dressé, tendu et baveux d’envies me reviennent en tête. J’ai son goût sur la langue et déglutis comme si j’avais son sperme dans ma bouche et que je l’avalais avec délectation.
Je m’approche silencieusement. Mon minou réagit et s’humidifie. Mes seins durcissent et mes tétons pointent sans vergogne. Je me débarrasse de mon pyjama, un tee-shirt ample et je suis totalement nue. Je dors toujours sans sous-vêtements. Le cœur de ma féminité luit de ma cyprine. Je suis excitée et je meurs d’envie de lui bouffer la queue.
Je prends tant de plaisir à lui prodiguer des caresses, le matin au réveil. Le sentir gonfler dans ma bouche, prendre de l’ampleur à chaque aller et retour. Le voir s’installer et me laisser le sucer lentement, langoureusement. Le summum est quand il explose et jouit dans ma bouche. Je reçois sa semence et j’atteins un orgasme délicieux, doux et particulièrement profond.
J’avoue que s’il était faisable, je serais constamment avec son chibre en bouche. Je grimpe doucement sur le lit et à quatre pattes, je m’approche de l’objet de ma convoitise. Je tire précautionneusement sur son boxer. Paul grogne, mais ne bouge pas. Je sais qu’il a le sommeil profond et un coup de canon pour lui faire ouvrir les yeux. En revanche, il revient très vite à la vie quand je lui prodigue une fellation matinale.
J’ai enfin sous les yeux sa belle queue au repos et ses belles bourses. Les poils qui les recouvrent, m’apportent un supplément d’excitation. Autant, j’aime ma vulve lisse, autant les poils pubiens d’un homme m’excitent.
Je veille à éviter que mes cheveux le frôlent, il est chatouilleux. J’entrouvre mes lèvres et ma langue darde, impatiente. J’avance au-dessus de lui et je le lèche tendrement de bas en haut. Je répète la caresse. Un frémissement parcourt son engin.
Je m’applique. Mes lèvres et ma langue câlinent cet objet merveilleux. Il se redresse lentement et je peux enfin l’avaler. Les cheveux retenus d’une main, j’écarte mes mâchoires en me plaçant face à son gland qui me lorgne. De petites trépidations la secouent.

Je salive d’envie et délicatement, je l’introduis dans ma bouche chaude et baveuse. Je retiens juste à temps un gémissement de plaisir et referme mes lèvres autour de sa hampe. Ma langue virevolte autour de son gland et je savoure son goût un peu âcre.
Au ralenti, j’avance ma tête et enfonce son pieu tendu plus profondément. Son gland vient tutoyer ma gorge. Je l’aspire lentement et le presse. Un frémissement secoue le corps de Paul pendant qu’un soupir profond s’échappe de sa bouche.
Je me recule les lèvres serrées et la langue frottant avec délice son frein. Elle palpite et grossit merveilleusement. Je suçote le bout de son gland avant de replonger au ralenti. Un autre soupir m’encourage. Je bouge légèrement pour être capable de lui faire passer le barrage de ma glotte.
J’en ferme les yeux de plaisir et savoure cette invasion délicieuse. Je maintiens la pression et ma gorge se resserre. Un "Putain" retentit. Je lève les yeux et distingue Paul en train de me contempler éberlué. Parfaitement, je suis une vraie salope totalement affamée de sa queue magique. Je suis incapable de m’en passer.
Plissant mes yeux, je lui transmets un message plein de tendresse. Il me sourit se laisser aller pour savourer pleinement les sensations qui le parcourent. Je peux, à présent, accélérer et je ne m’en prive pas. Je le pompe avec ardeur, ma bouche chaude l’enveloppe.
Attentive, je ressens chaque frisson, chaque crispation de ce corps que j’aime. Je joins une main enveloppant ses belles prunes qui se blottissent dans ma paume. J’exerce de douces pressions et je replonge sa tige au plus profond de ma gorge. Je lui arrache un nouveau gémissement de plaisir.
Je libère mes cheveux et deux doigts encerclent son mat. Je m’active et des bruits très obscènes de succion s’élèvent dans le silence de la chambre. Je le guette, il me donne de brefs coups de reins, non pas de ça, je ralentis au point de m’arrêter. Un cri de contestation s’élève, mais il a compris et ne bouge plus.
Sa queue est l’objet de toute mon attention. Il respire fort. Je sens monter son plaisir et son orgasme. Ses mains s’ouvrent et se ferment au rythme de mes va-et-vient. J’attends avec impatience l’explosion que m’expédiera dans la bouche ce jus absolument délicieux.
J’agace son frein, il réagit, j’agace son méat, il crie. Je mouille et des frissons annonciateurs de mon propre orgasme s’intensifient dans mon ventre. Des vagues de plaisirs saturent mon cerveau. J’accélère et augmente la pression de ma bouche.
Bordel, que c’est merveilleux. Je le tète avec fougue. Il ne tient plus que par un fil et je m’emploie à l’expédier au septième ciel. Il geint, sa tête valse de droite à gauche et il marmonne des mots. Je brûle et le feu entre mes cuisses augmente d’intensité. Vicieusement, je descends le long de son périnée et j’introduis un doigt dans son anus.
Un hululement retentit. Une main se plaque sur ma tête tandis qu’il se tend et s’enfonce dans ma gorge sans ménagement. J’adore ce moment, bestial, brutal proche de l’apothéose qui nous fait oublier que nous sommes civilisés. Je me délecte de son ardeur et de sa brutalité.
Le volcan dans mon ventre entre en éruption et j’explose en un million de fragments se dispersant aux quatre coins du paradis sexuel. Je jouis en vagues successives et au sommet du plaisir brut qui m’habite, je reçois enfin l’offrande ultime. J’accueille sa semence avec une joie intense déglutissant à chaque jet. Je sens cette liqueur descendre en moi.
Les vagues qui me secouent, reprennent de l’ampleur et je surfe à nouveau sur les sommets des monts plaisirs. Son râle retentit, ses doigts crispés dans ma chevelure et ses coups de reins témoignent d’une jouissance tout aussi intense que la mienne.
Doucement, le calme revient. Je ne l’ai pas lâché, tétant les dernières gouttes et le léchant comme une chienne nettoierait ses petits pour les laisser tout propres. Je m’allonge sur son corps l’enserrant entre mes cuisses et nous échangeons un baiser langoureux, doux et profond.
— Bonjour, chéri ! Il est temps de se lever.— Bonjour, mon ange ! Je te préviens, je suis accro.
Souriante et réjouie, je ronronne.l’envie d’aller dans le sex-shop est la plus forte. Je bondis hors du lit, totalement nue, impudente et salope. Je jette un coup d’œil sur Paul, les mains croisées derrière la tête, sa queue fantastique reposant sur son ventre. J’adore cette image du mâle repu, mais le regard affamé qu’il me lance, m’indique que je ne perds rien pour attendre.
Je sors de la chambre en balançant mon popotin et je file sous la douche. Je suis devant mon armoire m’interrogeant sur la tenue pour ce jour particulier.
Paul me rejoint, je suis nue, les mains sur les hanches parcourant des yeux ma garde-robe. Il se glisse derrière moi, m’embrasse dans le cou pendant que ses mains s’égarent sur mes seins. Instinctivement, je plaque mes fesses sur son bas-ventre, ravie de sentir cette bosse alléchante.
Il me désigne une courte robe.
— Tu seras adorable dans cette robe.— Entendu, mais on va dans un sex-shop. Je ne souhaite pas m’exhiber aux regards de mecs qui pourraient être là !— Chérie, personne ne fera rien et ne dira rien si tu n’en as pas envie !— Tu es sûr ?
Il m’embrasse délicieusement.
— J’en suis sûr et certain. De plus, je veille sur toi !
Il me flatte les fesses, et pour conclure, les claque gentiment. Je sursaute en écarquillant les yeux. Je vais pour répliquer, mais je prends conscience avoir aimé cette brève douleur. Je reste songeuse pendant qu’il va s’habiller.
Le petit-déjeuner expédié sous les yeux attendris de ma mère, nous partons pour Toulouse. Je suis de bonne humeur et relaxée. Ma robe est remontée sur mes cuisses dévoilant ma culotte en dentelle. Paul lorgne sans vergogne mon entrejambe et joueuse, j’écarte les jambes et pour finir, je pose un pied sur le tableau de bord. Ma culotte bien exposée, mes lèvres intimes se devinent parfaitement.
J’ai un fin sourire aux lèvres et je profite éhontément de la situation. Paul me supplie d’arrêter sinon il ne répond plus de rien. Je ris, heureuse, savourant l’attraction que j’exerce sur mon homme. Il sait parfaitement que je mouille tout autant pour lui. La preuve, ma culotte révèle une tâche humide, signe infaillible de mon excitation.
Nous parlons de choses et d’autres pendant que nous avalons les kilomètres. Nous n’avons pas parlé des objets que nous allons acheter ensemble. Tacitement, nous allons nous en remettre aux vendeurs. Nous avons une idée basée sur les propos du spécialiste.
La voiture est au parking, main dans la main, nous cheminons vers le sex-shop qui se trouve dans une petite rue calme. D’après les commentaires trouvés, il serait très bien et les conseils fournis excellents. L’entrée est discrète, rien de tapageur. Nous poussons la porte pour pénétrer dans un vestibule, des rideaux opaques nous séparent du magasin et protègent les clients.
Timidement, nous avançons pour découvrir des présentoirs avec divers objets de couleurs ou noirs. Des mannequins disposés aux endroits stratégiques exposent des tenues sexy et superbes. J’en ai l’eau à la bouche devant ces parures somptueuses.
Ne sachant pas trop par où commencer, nous jetons des coups d’œil autour de nous. Nous nous sentons soulagés, il n’y a personne. Rassemblant notre courage à deux mains, nous nous dirigeons vers le comptoir. Une jeune femme, brune, au visage rieur, nous accueille.
— Bonjour, puis-je vous aider ?— En effet, nous recherchons différents objets, mais nous ne savons pas trop comment les sélectionner.— Dites-moi pourquoi et qu’est-ce qui vous ferez envie ?
Nous nous regardons, Paul et moi, il respire profondément et se lance expliquant la raison de notre venue. Elle l’écoute attentivement, tout en me jetant régulièrement un coup d’œil.
— Bien, je comprends plus clairement votre demande. J’ai tout un ensemble d’objets qui pourraient éventuellement vous convenir.
Nous soupirons de soulagement et je commence à me détendre.
— Laissez-moi le temps de fermer la boutique, car je souhaiterais me consacrer pleinement à vous.
Nous sommes surpris d’un tel investissement de sa part. Elle ferme la porte et tourne le panneau sur "fermer, de retour dans quelques minutes". Je ne suis pas à l’aise, tout d’un coup.
— Vous faites ça souvent ?— Non, mais je réalise que c’est essentiel pour vous et il n’y a pas beaucoup de clients venant à cette heure-ci.— Merci, nous apprécions grandement.
Je prends le temps de la détailler un peu plus. Jolie brune, un corps bien foutu, des belles jambes avec un superbe cul. Une paire de seins, ni trop gros, ni trop petit. Un visage avenant, une bouche attrayante, surmontée d’un petit retroussé lui donnant un air coquin. Des yeux gris en amande, léger maquillage. Des cheveux, mi-longs, encadrent son visage. L’ensemble est particulièrement agréable à regarder.
Je préfère les hommes, mais dans ma quête pour résoudre mon problème, je m’étais essayée avec une femme. Elle m’avait offert énormément de plaisirs tout en m’initiant aux plaisirs saphiques. J’en ai gardé de tendres souvenirs et je présume que j’ai su lui rendre la pareille avec un peu d’entraînement. Notre relation épisodique avait duré quelques mois.
Nous la suivons à travers les méandres des rayons passant devant les vidéos pornos, des cabines de projection pour aller vers un coin du magasin. Elle me jauge du regard, une étincelle y brille. Je me sens émoustillée malgré moi.
Elle sélectionne plusieurs godemichés nous expliquant les particularités de chacun. Je les prends en main évaluant leurs tailles par rapport au sexe de mon homme. Deux me plaisent réellement et je les mets de côté.
Elle sort d’autres plus petits, plus trapus. Des plugs anaux, je l’écoute attentivement et Paul, les yeux brillants, n’en loupe pas une miette. Le feu qui couvait dans mon ventre, prend de l’ampleur, je commence à avoir chaud.
Elle joint du lubrifiant. Je distingue dans une petite mallette, tout un jeu de différentes tailles que je lui désigne du doigt.
— C’est un de nos best-sellers. C’est un ensemble de plugs que l’on utilise de manière progressive pour s’habituer et surtout que l’on peut porter sur soi toute la journée.
J’en prends un en main, agréable au toucher. Un frisson me parcourt d’échine en m’imaginant équipée de la sorte. Une main furtive vient me peloter les fesses. Mon homme me fait savoir qu’il apprécie hautement. Je suis certaine qu’il a les mêmes images que moi dans la tête.
— Entendu, je prends un jeu.— Je vous expliquerai comment les utiliser. C’est mieux ainsi plutôt que d’aller voir sur Internet.
Elle note les références et se tourne carrément vers Paul.
— Et vous, vous souhaiteriez quelque chose en particulier. Si j’ai parfaitement compris, vous avez à faire des jeux pour introduire ses objets dans vos pratiques.— Heu, je ne sais pas trop. Nous n’en avons clairement pas discuté.— Je vous propose de vous montrer plusieurs objets et de vous expliquer dans quelles circonstances vous pouvez les utiliser, si vous êtes d’accord.
Nous acquiesçons en cœur. Elle se dirige vers un autre secteur. Elle balance son cul de manière très suggestive. Paul a du mal à ne pas le mater trop ouvertement. Je sens ma culotte bien humide. Mon imagination et mon envie des plaisirs anticipés que nous pourrions nous procurer, agissent comme un aphrodisiaque.
Je me lèche les lèvres et sur une impulsion, je rattrape notre adorable vendeuse. Je l’attire contre moi. Elle colle son corps au mien, nos bouches se trouvent. Nous échangeons nos salives en soupirant. Paul, interloqué, nous contemple, nous rouler une pelle sensuelle.
Je tends la main et attire Paul derrière elle. Elle frémit en sentant l’énorme bosse contre ses fesses. Ma main évalue l’envie de mon homme et mes doigts se referment sur ce chibre tendu dans son pantalon.
Je souffle à l’oreille de notre ravissante vendeuse.
— Montre-moi comment utiliser ces godes.
Je brandis un plug, assez fin, muni d’une touffe de fils. Elle sourit largement et me répond.
— Donne-moi le plus gros !
Je m’exécute. Elle s’en empare avec une bouteille de lubrifiant. Elle se penche en avant et attend. Paul décoince et retrousse sa robe. Je découvre son superbe cul sans aucune culotte. Elle prend appui avec une main pendant qu’elle pose l’autre sur une fesse.
— La préparation est indispensable et également pour toute pénétration anale. Pour convenablement l’utiliser, vous devez par des caresses de plus en plus appuyées assouplir ton petit trou avant de procéder à l’intromission.
Elle ondule des hanches, un doigt vient masser sa rondelle en petits cercles. Progressivement, elle introduit le bout du doigt. Elle soupire d’aise.
— Chérie prend le lubrifiant et tartine-moi la rondelle ! Sois généreuse ! Paul regarde attentivement, tu auras à le refaire.
J’obtempère et derechef, laisse couler une bonne dose dans la raie de ses fesses.
— Paul, viens me doigter le cul ! Sarah, n’hésite pas à te joindre à lui.
Il hésite en me regardant. Je souris et sereinement, je prends sa main que je guide entre les fesses de cette belle cochonne.
— Fais-le, je suis à cent pour cent d’accord et totalement excitée par cette cochonne !
Ayant reçu mon aval, il fourre ses doigts impatients dans ce conduit sombre et excitant.
— Tourne tes doigts, enfonce-les et retire-les. Recommence ! Ha, oui, j’aime.
Elle ondule pendant que Paul lui ramone le conduit avec deux doigts. Entre deux soupirs, elle poursuit sa démonstration.
— C’est ton tour, Sarah, lubrifie tes doigts et vient me doigter.
Je m’exécute, Paul se retire et les miens prennent place. Je refais exactement les mêmes gestes. Son anus palpite et serre mes phalanges. J’ai le feu au cul et je lui pistonne le postérieur avec délice.
— Oui, tu es douée. Tu peux faire ça à Paul dans vos jeux. Pour le moment, ne t’arrête pas ! Paul, joins un doigt à ceux de ta meuf ! Ne fais pas le timide. Mon cul en a reçu bien davantage ! Je prends beaucoup de plaisir à me faire enculer !
Paul s’installe à côté de moi. Il prend le lubrifiant et tartine ses deux mains. Il en introduit un dans son fondement et c’est en cœur que nous reprenons nos activités dans le cul de cette cochonne. Il se penche un peu.
— Voyons voir si j’ai effectivement retenu la leçon !
Il fourre son autre main dans ma culotte s’insinue dans ma raie et sollicite mon petit trou. Je soupire. Notre salope qui n’a rien perdu des agissements de Paul.
— Sarah, penche-toi en avant et ouvre-toi !
Je fais exactement ce qu’elle a dit. Je sens son majeur me caresser puis s’enfoncer dans les profondeurs de mes fesses. Je geins à l’unisson de notre très cochonne de vendeuse que je n’ai pas cessé de doigter. Paul, enthousiaste, me défonce la rondelle. Je suis comme une chatte en chaleur creusant les reins pour lui offrir la meilleure ouverture.
J’expédie ma main libre vers la queue de mon homme. J’ouvre sa braguette, dégrafe son bouton de pantalon. Je m’empare de sa colonne de chair que je masturbe. Mon excitation monte d’un cran.
— Paul chéri, tu es un élève fort attentif. J’adore. Je me réjouis de le refaire.— Je confirme. Il a des doigts magiques.
Une main étrangère rejoint la mienne sur la queue de mon homme.
— Cela ne te gêne pas, j’espère. Le jour où il va te la planter bien profond, tu vas jouir comme une folle, promis. Il est bien équipé.
Ses gémissements ont augmenté d’intensité ainsi que les miens également. Si elle réagit de la même manière que moi, nous nous approchons d’un orgasme délicieux. J’accélère dans son cul. Je tourne un peu le poignet et après une petite gymnastique, je lui enfile mon pouce dans la chatte. Elle miaule de surprise puis de plaisir.
Je crie, ondulant du cul. Elle halète plus que prête à jouir de nos doigts. Paul soupire et accorde toute son attention à nous deux. En cadence, nous la baisons profondément. La crispation de ses muscles m’indique qu’elle va jouir. Dans un ultime effort, je la pilonne accompagnée par Paul. Il reproduit exactement la même chose à mes fesses.
Nous en omettons de le masturber totalement focalisées sur le plaisir montant dans nos corps vibrants. Il nous guette, il brûle de nous observer jouir toutes les deux. Elle craque et dans un immense gémissement, elle part dans un orgasme qui la secoue. Mon pouce en sait quelque chose coincé entre ses cuisses serrées.
Je me lâche et feulant, je jouis du cul intensément, profondément. Les jambes coupées, incapable de rester debout tellement, cet orgasme est différent, je tombe à genoux sur la moquette. Elle me rejoint dans les derniers soubresauts de son orgasme secouant son corps. Paul est dressé devant nous, triomphant, les mains sur les hanches, le pantalon sur les chevilles et sa queue dressée, fière et arrogante.
Je regarde notre vendeuse. Sans un mot, nous nous jetons sur le chibre de mon homme et nos deux bouches se referment sur lui.
— Haaaa ! ! !
Nous le mangeons avec ardeur et ferveur. Un coup, pour ses couilles, un coup pour sa hampe. Nous nous retrouvons sur son gland. Nos bouches, en fusion, vissaient sur son gland, nos lèvres s’effleurent autour de lui et nos langues dansant la gigue. Il ne lui faut que très peu de temps pour exploser.
Dans un cri libérateur, son sperme jaillit pour finir dans nos bouches grandes ouvertes. Ses jets successifs atterrissent indifféremment sur l’une ou l’autre, nous zébrant le visage. Dans un ultime souffle, il se détend. Nous n’en avons pas fini avec lui.
Les mains en coupe, nous nous partageons le nettoyage consciencieux de sa superbe queue. Il râle, mais nous laisse faire sans résistance. Une fois terminées, nous utilisons nos doigts pour récupérer ce nectar et nous nous relevons, les jambes un peu flageolantes.
D’une voix éraillée, les yeux brillants et les cheveux en bataille, à moitié à poil, notre vendeuse sourit.
— Je crois que la leçon est finie. Paul est particulièrement doué et tu vas vraiment apprécier ! J’en serai presque jalouse !— Je te donne mon numéro de téléphone. N’hésite pas jusqu’à la fin de l’été, nous ne sommes pas loin. Ensuite, nous serons à Paris. Tu seras à tout moment la bienvenue.
Nous nous rajustons mutuellement et échangeant de petites caresses. Titubante, elle rassemble notre sélection d’objets. Je rajoute plusieurs tenues, nuisettes, strings, porte-jarretelles et soutiens gorges. Malgré sa fatigue, Paul hausse les sourcils et sourit avec gourmandise.
Après un dernier baiser, nous quittons le sex-shop. Nous sommes silencieux encore un peu perdus dans les brumes du plaisir pris. Main dans la main, nous retournons à la voiture, chargés de plusieurs sacs contenant nos acquisitions.
Nous roulons depuis une heure et je prie Paul de trouver un endroit pour s’arrêter. À l’abri des regards. Il trouve un étroit chemin. Nous nous enfonçons dans la forêt, un peu secoués par les bosses et les racines qui le déforment.
À peine la voiture stoppée, je descends et fais quelques pas. Je remonte ma robe, je m’accroupis et lâche un jet d’urine. Je soupire de soulagement. Paul s’est placé en face de moi et m’observe les yeux brillants. Sans hâte, il sort son engin de sa prison.
Il pivote et pisse longuement. Je me tortille et relève les yeux sur son chibre tentateur. Il secoue la tête, s’avance et me soulève dans ses bras. Je le regarde intensément.
Posément, il me dépose sur le capot de la voiture. Il m’allonge sur le dos et me retrousse la robe jusqu’à la taille. Sans vergogne, il me retire ma culotte trempée de ma cyprine et de gouttes d’urine. Je l’aide un sourire coquin aux lèvres. Il hume mon sous-vêtement.
— Putain, que tu sens bon ! À mon tour, je vais te dévorer et te faire jouir jusqu’à que tu n’en puisses plus !
Il plonge entre mes cuisses que j’ai obligeamment ouvertes. Il entame un festival et je me tords tellement, je prends du plaisir. Il est sans pitié. Il me bouffe le minou. Sa langue virevolte, il aspire mes lèvres et je hurle sans retenue. Il a suffisamment de contrôle pour se défendre d’y adjoindre ses doigts.
Je jouis et retombe inerte. Il ne me lâche pas pour autant et sa langue agile s’occupe de mon clitoris. Je proteste en ouvrant encore plus les jambes. On doit être vraiment obscènes, moi sur le capot, les cuisses outrageusement écartées. Mon homme, les deux mains me tenant les hanches et la bouche collée à ma chatte, le tout accompagné des bruits indécents de nos ébats.
Cette fois-ci, il varie le salaud. Le clitoris entre ses lèvres, il m’enfile un doigt dans les fesses. Pas besoin de lubrifiant, je suis trempée et ouverte après notre leçon au sex-shop. Je hulule et chacune de mes mains tire mes jambes vers moi pour m’ouvrir en super salope que je suis.
Il en profite pour m’introduire un deuxième intrus dans le fondement et je craque une nouvelle fois en gueulant ma jouissance. Il poursuit son œuvre, la bouche scotchée à mon bouton hypersensible. Il me taraude le cul méthodiquement. Il ressort presque pour replonger avec ardeur.
Une autre vague puissante m’emporte sur l’océan de la jouissance. Je n’ai plus de voix, seul un râle rauque s’échappe de ma gorge, inerte sur le capot. Il empoigne sa queue tendue, je le regarde inquiète. Les yeux luisants, un peu de mon jus à la commissure des lèvres, il s’avance. Je crains le pire tant il semble devenu effréné.
Un rictus aux lèvres, il s’arrête à quelques centimètres de mon coquillage baveux et il se branle entre mes cuisses. Ses mouvements sont brusques, hachés. Il pousse un grognement et éjacule sur mon ventre et mes jambes.
Un immense sourire aux lèvres, j’accueille sa semence avec un plaisir suprême. Ma crainte était infondée. Nous avons commencé nos jeux érotiques. Je suis contente et heureuse. Je prie pour être sur la voie de la guérison pour pouvoir profiter pleinement de la queue de mon homme.
— Je t’avais promis de te baiser jusqu’à que tu n’en puisses plus !— Je suis vidée. Je t’aime ! Tu es l’homme qu’il me fallait !
Rentrés à la maison, nous mangeons le délicieux souper préparé par ma mère, tous ensemble. Nous échangeons sur divers sujets, riant follement, totalement détendus.
Nous ne sommes pas pressés. Nos ébats du matin, nous ont satisfaits pour le moment. Bien que j’avoue qu’une nouvelle joute ne me dérangerait pas du moment qu’elle est douce, tendre entre deux personnes qui s’aiment.
Mon téléphone sonne. Ma copine, Élodie, nous invite à prendre un verre dans notre repaire habituel. Je consulte Paul du regard et il cligne des yeux pour me signifier son accord. Nous convenons de nous retrouver dans une heure.
Nous terminons de manger et prêtons main forte à mes parents pour ranger la cuisine. Paul participe avec plaisir. Je suis réjouie qu’il plaise à mes parents. Ma mère l’adore et mon père, bien que peu démonstratif, a montré les signes qu’il apprécie Paul. Je ne peux que m’en réjouir, ne désirant pas surtout pas choisir entre les uns ou les autres.
Finalement, nous partons tranquilles, main dans la main, échangeant des baisers tout le long du chemin jusqu’au bar. Sur le parcours, un groupe de types nous regardent passer. Nous n’y faisons pas vraiment attention, occupés que nous sommes l’un par l’autre.
Le bruit de pas derrière nous me fait jeter un coup d’œil en arrière. Ils sont sept nous fixant et en tendant l’oreille, je peux entendre leurs commentaires désobligeants et la manière dont ils s’occuperaient de moi. Je soupire murmurant à l’oreille de Paul que des abrutis se croyant plus malins que les autres souhaitent chercher la bagarre.
Paul se crispe et je vois sa physionomie changée.
— Calme-toi ! Ce sont des petits cons ! Nous ne sommes pas loin du bar.
Nous accélérons le pas, mais ces idiots également pour finir nous rattrapant un peu avant notre destination. Je ne suis pas anxieuse. Paul est tendu, prêt à en découdre. Je me marre intérieurement. Il a oublié qui je suis.
Un abruti s’avance un sourire aux lèvres.
— Mec, elle est bien foutue ta meuf ! Elle me plaît !— Dégage de notre chemin et tu t’en sortiras indemne.
Il se tourne vers les autres qui rigolent bêtement.
— Vous avez entendu, Monsieur n’apprécie pas les compliments !
Paul s’avance et je le retiens par le bras.
— Laisse tomber, ils sont stupides. Pas la peine de s’embêter avec ça.
J’ai mis un brin de mépris dans ma voix. Une envie de leur démonter la tronche me prend. Je ne suis pas d’humeur à me faire emmerder. J’entends dans notre dos des pas précipités et Élodie accourt avec son chéri.
— Y en a une deuxième, tout aussi bandante, les gars !
Posément, je quitte mes chaussures et je le fixe droit dans les yeux.
— Toi et ta bande de branleurs, retournez jouer dans votre niche et tout se passera bien !
C’est au tour de Paul de poser sa main sur mon bras. Je me dégage. Élodie le retient par l’épaule de Paul.
— Laisse, ils ne savent pas à qui ils ont affaire et puis, ils foutent la merde depuis un bout de temps dans le coin.
L’autre idiot rejoint par ses potes, rigole. Je sens en moi, un calme monté. Je deviens une autre personne, mes yeux s’étrécissent, mon cerveau a passé la vitesse supérieure. Un calme extraordinaire se répand en moi. Je suis prête !
— Les meufs, vous allez venir avec nous. On va aller faire un tour.
Élodie a sorti son téléphone pour appeler les flics, mais je sais qu’ils arriveront trop tard. Je me dis qu’un peu d’exercice pour finir la journée ne me fera pas de mal.
Il s’avance pour m’attraper par le bras. J’avance d’un pas, écarte sa main de mon avant-bras gauche. Je frappe de la droite, poing serré en parfait prolongement de mon poignet directement au niveau du sternum. Je n’ai pas trop appuyé pour prendre garde de lui défoncer la cage thoracique. Je suis entraînée depuis l’âge de mes douze ans.
Il ouvre en grand la bouche en reculant de deux pas tentant de reprendre sa respiration.
— Putain, la salope, elle t’a frappé !— Elle va recommencer si vous ne dégagez pas très vite.
J’en surveille un du coin de l’œil ayant la conviction qu’il allait être le prochain à songer à faire le malin. Bingo, il s’avance en levant le poing. La rencontre de mon pied et de son visage fut brutale pour lui et surtout très douloureuse. Étalé sur le sol, il tient son nez qui pisse le sang. Là encore, j’ai contrôlé la force du coup.
Pour les impressionner et marquer leurs esprits, je garde la pose, en équilibre parfait, la jambe levée. J’ai totalement perdu de vue que je suis en robe et sans culotte. Celle-ci suit le mouvement inverse et est remontée au niveau de ma taille dévoilant ma chatte lisse à leurs regards. Un sein a trouvé le chemin de la sortie à cause de mon décolleté un peu trop échancré.
L’image que je renvoie doit être particulièrement surprenante. Plusieurs ont ouvert de grands yeux avec des exclamations que je ne redirais pas ici. Rien de réellement flatteur. Je me remets en position naturelle.
— Dernier avertissement, tirez-vous vite fait !
Ils reculent en entrainant le type au nez explosé et foutent le camp. J’éclate de rire en remettant mes chaussures. Élodie se tord par terre de rire. Lionel, son copain, se retient à grand-peine. Paul, mon homme, me regarde comme si j’étais une extraterrestre.
Je m’avance vers lui, passe mes bras autour de son coup et je lui roule une pelle langoureuse. Il me tient par les hanches et répond plus que positivement. L’adrénaline coule encore dans mes veines. J’accentue notre baiser en me frottant comme une chatte en chaleur.
Entrainant tout le monde, nous gagnons le bar pour un verre amplement mérité. Je suis sur les genoux de mon amour, blottie au creux de ses bras. Je ronronne, chatounette innocente.
Élodie me regarde et repart dans un rire incontrôlable suivi par tous.
— Je revois la tête des mecs quand ils ont vu toute ton anatomie exposée. Tu leur as mis une raclée fabuleuse.— Chérie, tu es dingue. Tu n’as pas à faire des trucs pareils !— Je ne risquais rien et puis ils m’ont sérieusement gonflée avec leurs remarques à la con. J’éprouvais le besoin de me défouler !— Tu nous as fait peur, quand même. Et si je n’aime pas la violence, en revanche, ton style est exceptionnel. J’espère juste que ton père ne va pas l’apprendre.
Oups, si mon père entend parler de notre brève aventure. Je vais me faire sonner les cloches. Il prône le dialogue. Les arts martiaux ne sont pas faits pour se battre, au contraire, ils apportent l’équilibre qui permet de trouver la voie et des solutions de manière pacifique. Facile à dire.
Mon chéri me serre fort dans ses bras, c’est le seul endroit où je souhaite être. J’ondule du croupion et j’ai la satisfaction de sentir son érection entre mes fesses.
— Chérie, tu es trop sexy et je te kiffe encore plus après l’épisode de ce soir.
Pour toute réponse, je l’embrasse avec ardeur. Élodie n’est pas en reste avec Lionel depuis qu’il l’a convaincu qu’elle était sa moitié. Il est indispensable de dire qu’Élodie et une autre copine sont des avions de chasse et sincèrement, je comprends Lionel qui ne s’estimait pas à la hauteur.
La soirée se termine tranquillement entre bavardages et câlins. Puis, nous rentrons, un peu fourbus, mais parfaitement satisfait. Je me sens bien, ma confiance en Paul augmente. Nos jeux érotiques nous offrent des possibilités fascinantes. Nous avons également rencontré une fille épatante qu’il ne me déplairait pas de revoir.
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