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Punition ?

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Punition 2
Après les plaisirs de notre « instruction », ma mère nous ramène à la maison. Elle passe un coup de fil rassurant à la mère de mon amante. Elle reste pour la soirée. Nous lui racontons avec détails ce que nous avons eu comme léchage, masturbation, annulingus et autre fellations. Nous lui posons des questions sur sa propre sexualité. Elle sait que je sais, alors elle avoue avoir une amante, juste à coté. De temps en temps elle se paye une vraie baise avec un voisin. Le salaud, je ne le pensais pas si bon baiseur. Nous n’en sommes pas pas quittes : nos petites caresses entre filles doivent prendre de l’ampleur : à quoi sert d’être mariée si on ne peut s’envoyer en l’air de temps en temps avec une tendre amie. Demain elle nous emmène encore dans ce bouge.C’est avec plaisir que nous sommes à nouveau plongées dans ces odeurs persistantes de sexe : c’est à la fois sensible et excitant. Aujourd’hui, plutôt ce soir c’est surtout l’odeur de queue qui domine. J’aime bien cette odeur particulière masculine. C’est vrai qu’il y a au moins une vingtaine d’hommes qui bandent. Quelques un se branlent doucement en regardant une des rares filles se faire fourrer par trois hommes. J’aimerais bien être à sa place. Mais je suis encore trop naïve pour être prise ainsi : je serais capable de jouir bien avant les autres et plusieurs fois. Ma copine est encore plus excitée que moi, elle se couche, écarte les jambes, sans pudeur elle se masturbe. Je ne peux m’empêcher le d’aider. Je l’embrasse sur la bouche, nos langues se connaissent déjà bien, le baiser est sensationnel. J’aime la voir ainsi exposée à la vue de tous. Arrive un jeune de 25 ans à peu près. Il a une queue grosse comme ce n’est pas permis. Elle la voit, la vise, la veut. Lui les couilles remontées s’avance vers elle. Sa queue ballotte bien un peu. Je la prendrais bien moi, mais dans la bouche, il doit avoir un goût extraordinaire. Son choix est fait. Il se couche directement sur ma copine, sans un baiser ni une simple caresse préliminaire. Au fond elle s’en fout totalement : elle va jouir. Je vois la queue sur l’entrée du con, je la vois entrer doucement. Ma copine se laisse baiser, en redemande même. Et moi, je reste en vitrine, à vendre, sans client. Si une cougar vient vers moi. Elle me donne ses seins. Ils sont durs comme je ne le pensais pas. Pourtant elle a du servir pas mal de fois. Elle passe doucement sa main sur ma chatte. Elle m’étonne de ses talents, elle me branle mieux que personne. Elle sait passer deux doigts de chaque coté du clitoris, elle entre en même temps deux autres doigts de l’autre main dans mon petit trou. Elle me fait gémir sans cesse. Elle reste tout près, me donne son bas ventre. Elle est trempée, je ne sais si c’est cause de moi. Je me couche, me mets en position de 69. Elle vient me bouffer avec voracité. Je lui en fais autant. Sa cyprine est excitante, même avec un arrière gout de sperme. Elle fait plus que me bouffer, elle me caresse l’anus. Je lui en fait autant, sauf qu’elle sait bien mieux que moi entrer ses doigts et surtout sa langue. Je ne sais comment elle peut faire pour me pénétrer ainsi. Je sais une chose, je jouis plusieurs fois. Nous nous accordons un instant, court instant de repos : elle est très chaude. Nous sommes presque assises, les cuisses croisées. Nous nous rapprochons pour que nos chattes se touchent que nos cons soient unis. Quelques mouvements et nous somme parti vers l’infini des lesbiennes. Nous pouvons nous embrasser. Sa langue sent encore la cyprine de l’ autre. Je devrais être honteuse de ce que je fais. Mais ma copine qui se fait mettre par deux bites, une devant l’autre dans le cul. Et ma mère qui absente doit se faire sauter par ue femme que je ne connais pas.Deux mecs trainent près de moi. J’accepte d’avance ce qu’ils vont me faire. Ils appellent un copain. Me voici pour la première fois avec trois queues bandées devant moi. J’aimerais les lécher toutes, les branler, me faire baiser, enculer. Ils ne se concertent pas, je suis là, bonne baisée. Le plus grand, relativement bien monté montre sa queue devant les lèvres. Je n’hésite pas un instant, je sois la petite goutte qui perle. A moi, dans la bouche. Heum, c’est bon, c’est salé, pile à mon gout. Je branle les deux autres. Ils en veulent plus. Je crois savoir, même si c’est ma première. Je choisis celui qui va me baiser : il l’a plus grosse. Je vais sur lui, j’enfonce sa queue dans le con. Je sens le sexe s’ouvrir doucement, je la sens quand il est au fond de mon trou. Je prends dans ma main une autre pine. Celle là je la destine à mon petit trou. Je suis surprise de la douceur de la queue quand je suis enculée. Il entre facilement, il me la met fond : je sens ses couilles contre les fesses. Je sens surtout les deux bites qui se croisent dans le ventre. Il manque la principale, celle que je fais fondre. Je descends le prépuce avec les lèvres. Son gland a encore des odeurs de vagin : il a du jouir dans une autre. C’est la seule que je dirige véritablement. Je lèche un instant le gland, pour descendre vers les couilles. J’adore lécher des couiilles. Je vais même un peu plus bas : vers un anus entrouvert. Il a du se faire enculer aussi. Je lèche, je suce, je fais jouir. Ailleurs les deux bites cohabitent bien. Je me laisse baiser jusqu’à l’extase. Je sens et mon con et mon cul se fermer sur les bites qui giclent ensemble ou presque. Je suis remplie de foutre. Ma mère revient après sa baise nous chercher. Je veux bien être encore punie ainsi tant qu’elle veut. Ma copine qui a jouit comme moi en voudrait encore. Mais nous connassons l’adresse : nous reviendrons facilement seules, en attendant de nous baiser chez ou chez elle.
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