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La punition de Chloé

Chapitre 1

SM / Fétichisme
La punition de Chloé


Histoire écrite à partir d’un scénario élaboré avec Juliette...


Chapitre 1


Préambule et présentations


Avant de me lancer dans ce récit, je crois que je me dois de faire quelques présentations, et de situer l’histoire dans son contexte.

Juliette...
J’avais eu l’occasion de la présenter longuement, en introduction de l’histoire "48 heures". C’est ma Maîtresse et ma complice virtuelle depuis plusieurs années, et elle apparaît dans plusieurs de mes histoires publiées ici.

Chloé...
La compagne de Juliette. C’est notre prénom commun qui a été au départ de mes premiers échanges avec Juliette.
Yvette...

Voisine et amie de Juliette. Juliette est soumise – à son tour, depuis plusieurs années – à ses exigences les plus extrêmes. La sexualité de cette femme et son imagination ne connaissent pas de limites, et elle entraîne celles et ceux qui la fréquentent dans les pires orgies.
_____________


Tout commença par un mail, qui arriva sur ma messagerie, un lundi. L’expéditrice – une certaine Yvette – m’était inconnue, et j’hésitai à l’ouvrir. A moins que... Et s’il s’agissait de l’amie de Juliette ? En un clic, je fus fixée.

« Bonjour Chloé.Juliette m’a fait lire les histoires que tu publies et les messages que vous échangez sur le Net. J’en ai profité pour relever ton adresse mail.J’ai une proposition à te faire.Je sais à quel point tu aimes le sexe, et comment Juliette a su te conduire sur la voie de la soumission. Tu as aussi un penchant pour le SM, si j’en crois certaines de tes histoires. "Une nuit infernale" est très révélatrice de ce que tu acceptes ou, si tu y as glissé quelques fantasmes, de ce que tu es prête à accepter, plus ou moins consciemment.
Si tu veux bien me faire confiance, je t’enverrai un numéro de téléphone, que tu appelleras de ma part.Tu seras alors invitée à une soirée, dont tu te souviendras longtemps. Et, pour te motiver, une personne que tu rêves de rencontrer y participera.J’attends ta réponse.Yvette »Je suis restée un long moment dubitative. Je connaissais la réputation d’Yvette, par ce que m’en avait dit Juliette. J’avais toutes les raisons de redouter la soirée qu’elle me proposait.
Mais mon incorrigible curiosité me titillait dangereusement...
Et puis, il y avait cette dernière phrase, sibylline. Qui pouvait bien être l’autre participant – ou participante – à cette soirée ? Juliette ? C’était peu probable, car elle m’aurait sans doute invitée elle-même...
Pendant plus d’une heure, j’ai réfléchi, tergiversé. J’étais incapable de me concentrer sur mon travail. Mes craintes me semblaient de plus en plus dérisoires. Après tout, j’étais une adulte et, s’il m’était arrivé de me mettre en danger, j’avais toujours su m’en sortir.
De plus, bien que je ne me l’avouais pas, le fait que l’invitation vienne de cette Yvette, dont Juliette m’avait brossé un tableau sulfureux, me poussait à accepter, pour être l’égale de Juliette. Alors, je me suis décidée, et j’ai répondu, laconique.
« Bonjour Yvette.J’accepte ta proposition.Chloé »Quelques minutes plus tard, un nouveau message d’Yvette me parvint, tout aussi laconique. Juste un prénom, improbable – Awena –et un numéro de portable, à appeler dans la soirée.
La journée m’a semblé longue, et je ne cessais de ressasser cet échange de mails, que je relus plusieurs fois. Qui pouvait bien être cette Awena ? Quels étaient ses liens avec Juliette ? Et pourquoi Yvette, dont la réputation m’inquiétait, m’avait-elle contactée, moi ?
Après mes cours, je suis rentrée chez moi, et je me suis morfondue en tripotant mon smartphone. J’hésitais encore. Puis 19:00s’afficha sur l’écran. C’était maintenant ou jamais... Je composai le numéro d’Awena, qui décrocha à la troisième sonnerie.
— Allo, Awena ? Bonsoir. C’est Chloé, je vous appelle de la part d’Yvette.— Bonsoir Chloé. J’attendais ton appel.
La voix était rauque, mais pas désagréable, empreinte d’une certaine sensualité. Le ton était bref, autoritaire. Je n’arrivais pas à imaginer la femme à laquelle j’étais en train de parler.
— Yvette m’a parlé d’une soirée, chez vous, mais elle ne m’en a pas dit beaucoup plus.— Je crois qu’elle t’en a dit assez pour que tu devines la nature de cette soirée. Et Yvette m’a beaucoup parlé de toi, surtout de ta sexualité et de ton goût pour la soumission. Elle a pensé que tu serais une parfaite invitée à nos prochains jeux, auxquels une personne que tu connais participera très... activement, et je lui fais toute confiance.— Peut-être pouvez-vous me donner une idée de son déroulement, dis-je d’une voix si timide qu’elle m’étonna moi-même.— Hormis le fait que tu feras une expérience de la soumission et de l’exhibition qui dépassera tout ce que tu as pu connaître – et je sais que tu n’es pas une novice – je ne t’en dirai pas plus. Ce n’est pas à toi que j’apprendrai que l’incertitude et la surprise font partie de ces jeux.— Mais... si ce que je dois subir dépasse ce que je peux supporter...— Nous conviendrons d’un mot, que tu prononceras dans ce cas, pour nous demander sans ambiguïté d’arrêter. Mais sache que, dans ce cas, tu seras immédiatement expulsée de cette soirée, et tu encourras les foudres d’Yvette (sans doute aussi de Juliette). Est-ce clair, Chloé ?— Euh... oui, Awena.— Bien. Une dernière précision : notre soirée se déroule dans une ville de la pointe bretonne. Tu auras à faire un long déplacement. Acceptes-tu cette invitation ?— Me laissez-vous un peu de temps pour y réfléchir ?— Non. Tu dois me dire oui ou non. Tout de suite.
J’étais paniquée. Aucun son n’arrivait à sortir de ma gorge nouée. Jamais je n’avais eu autant le sentiment de me mettre en danger avec un simple oui, sauf lors de ma "nuit infernale". Mais je me ressaisis... Il y avait ce mot, qui me permettrait d’arrêter tout, si Awena et ses amis dépassaient les bornes. Alors, pourquoi ne pas satisfaire ma curiosité, encore une fois ?
— C’est oui, répondis-je après avoir pris une longue inspiration.— Parfait, dit Awena, sans manifester aucune émotion. Notre soirée aura lieu samedi prochain, et tu devras te présenter à 23 heures précises chez nous. Je t’envoie par mail notre adresse et mes instructions. Bonsoir Chloé.— Bonsoir Awe...
Je n’eus pas le temps de finir de prononcer son nom. Elle avait déjà raccroché.
Je restais abasourdie. Je venais de réaliser que, tout au long de la conversation, j’avais vouvoyé Awena, alors qu’elle me tutoyait. Ça ne m’était jamais arrivé. Je me mettais déjà en situation de soumission.
Une heure plus tard, un mail arrivait dans ma messagerie. L’adresse à laquelle je devais me rendre était effectivement à presque 4heures de route de chez moi, et Awena me conseillait de prendre une chambre sur place.
La suite du message concernait ma tenue. Je devrai porter une robe courte, boutonnée devant. Je laisserai les boutons du haut ouverts, jusque sous mes seins, et ceux du bas jusqu’à ma chatte. En dessous, je serai nue, avec un Rosebud bleu (comment savait-elle que j’en possédais un ?) entre mes fesses.
Je devrai quitter ma chambre dans cette tenue...
Pour finir, Awena me demandait de lui communiquer l’adresse de ma chambre, dès que je l’aurai retenue.
Aussitôt, je me lançai dans la recherche d’une chambre ou d’un studio à louer, sur airbnb. Je préférais cette solution à une chambre d’hôtel, par discrétion. Le soir même, j’en donnai l’adresse à Awena, qui me demanda de l’appeler à mon arrivée pour lui confirmer ma présence. Constater ses talents d’organisatrice contribua à me rassurer.
Pendant la semaine qui suivit, j’essayais de contacter Juliette par mail, de nombreuses fois, pour lui demander si elle pouvait me dire quelque chose sur cette soirée. Au moins, me rassurer. Mais tous mes messages restèrent sans réponse.
Le samedi redouté arriva enfin, et je partis pour la pointe bretonne, emmenant dans ma voiture la robe et le bijou anal exigés par Awena. En dehors de ça, mon bagage était léger : un change, une trousse de toilette...
Arrivée à destination en fin d’après-midi, je m’installai dans mon petit studio, dans lequel je ne passerai finalement que quelques heures. Comme convenu, j’appelai Awena.
— Bonsoir Awena. C’est Chloé. Je suis bien arrivée à l’appartement que j’ai loué.— Parfait, tu sembles être très obéissante. Un bon point pour toi, Chloé. Un taxi que je connais viendra te chercher à 22h30. Tu te rappelles de la tenue que tu dois porter ?— Oui, Awena. Une robe boutonnée devant, un bijou anal...— Très bien. Profite du temps qui te reste pour dîner et prendre des forces. Tu vas en avoir besoin !
Toujours aussi brève et autoritaire, Awena avait déjà raccroché, et je sortis pour chercher un restaurant. J’en trouvai un, à quelques centaines de mètres. Il faisait beau, et la température était agréable. J’en profitais pour manger sur la terrasse. Une salade composée, un dessert. Je bus de l’eau, car je voulais garder l’esprit clair, et je craignais que la soirée soit alcoolisée.
Je fus de retour chez moi avant 21h, il me restait largement le temps de me préparer.
Je me déshabillai, devant le grand miroir de la salle de bains, et je contemplai mon corps nu, sans pouvoir m’empêcher de redouter ce que les invités à cette soirée allaient lui faire subir. J’avais passé des vacances au soleil, et j’avais pu bronzer intégralement le plus souvent. Seule la marque d’un tout petit string pouvait être remarquée par un œil attentif, et encore.
Je pris ma douche, me savonnant longuement avec un gel parfumé. Je coiffai ma courte chevelure en bataille, pour me donner un air plus sauvage, et je me maquillai. Un maquillage plus chargé qu’à l’habitude. Surtout mes yeux et ma bouche. Une crème pour adoucir un peu plus la peau de mon corps. Et pour finir, un parfum capiteux et sensuel.
Je fis glisser mes doigts entre mes fesses, après les avoir enduits de salive. De la pulpe de mon index, je massai doucement mon petit œillet sombre, jusqu’à ce qu’il se relâche. La pointe de mon doigt força ma rosette, et s’y glissa, bientôt suivie par mon majeur. Je me retins pour ne pas me faire jouir, et j’introduisis mon bijou anal dans mon petit trou.
Puis j’enfilai ma robe, en lin écru, moulante, en suivant scrupuleusement les instructions d’Awena. Les boutons ouverts laissaient voir mes seins libres, et ma chatte toute lisse lorsque je m’asseyais. Heureusement que je n’étais pas à l’hôtel : j’imaginais l’effet produit en traversant la réception...
A 22h30 précises, la sonnette de ma porte palière retentit. J’ai ouvert, et je me suis retrouvée face à un homme noir, grand et musclé, au crâne rasé. Ses larges épaules tendaient sa chemise, d’un blanc impeccable. Il marqua un court silence, en me détaillant des pieds à la tête, et je crois que j’ai rougi tant son regard était inquisiteur. Puis il me dit :
— Chloé ? Bonsoir, c’est Awena qui m’a demandé de venir vous chercher.— Oui, c’est moi, bonsoir.— Suivez-moi.
Il n’était guère plus loquace que la femme qui m’avait invitée, et le trajet se fit dans le silence. La voiture, une berline noire Audi était confortable, et nous sommes sortis de la ville, poursuivre une route qui longeait par moments la mer.
Puis mon chauffeur taciturne se gara, devant une grande maison bourgeoise ancienne, construite sur une butte. Il descendit, ouvrit ma portière, et me regarda descendre, sans réaction apparente à ma robe qui bâillait sur mes seins et sur mes cuisses nues.
J’empruntai une courte allée, qui me conduisit à une imposante porte d’entrée en bois. Je sonnai, et quelques secondes après, Awena m’accueillit.
C’était une très belle femme, sans doute âgée d’une cinquantaine d’années – je m’attendais à trouver une personne plus jeune. Blonde, coiffée avec un lourd chignon qui laissait imaginer une longue chevelure épaisse, elle semblait être à peine plus grande que moi. Derrière de grandes lunettes, ses yeux bleus étincelaient avec une expression passant sans transition de la pire sévérité à la sensualité la plus excitante. Son maquillage mettait en valeur une bouche pulpeuse.
Elle était vêtue d’un tailleur bordeaux, très serré, qui épousait ses formes pleines. Elle était très ronde, mais elle portait bien ses rondeurs, et la veste laissait apercevoir la naissance d’une poitrine imposante. Avec ses bas noirs, et ses talons aiguilles, c’était le portrait type de la grande bourgeoise dominatrice.
— Bonsoir Chloé, dit-elle. Tu es à l’heure, habillée suivant mes instructions... Ta docilité t’évitera peut-être quelques souffrances inutiles.
En parlant, Awena avait découvert mes seins, et retroussé ma robe, pour vérifier que j’étais nue en dessous, et que je portais bien mon bijou anal.
— Bonsoir Awena, me contentai-je de répondre.— Je vais te conduire dans le grand salon où se déroulera notre soirée, et te présenter à nos autres invités. Enfin, pas tous, car la personne que tu connais n’est pas encore arrivée. Mais déjà, je vais compléter un peu ta tenue.
Elle prit sur un meuble bas un collier en cuir rouge, qu’elle attacha autour de mon cou, et auquel pendait une courte laisse. Je compris que je venais de rentrer dans mon personnage de soumise et d’objet sexuel ; la honte et l’angoisse revinrent me submerger à partir de cet instant.
Awena saisit la laisse, et me tira jusqu’à une double porte, pour accéder à une pièce immense, aux murs blancs, et aux poutres peintes d’une couleur claire. La pièce était si vaste que, pour l’éclairer, les lustres étaient insuffisants, et des spots avaient été installés.
L’ameublement était sommaire, mais trois grands canapés et une immense table de bois trônaient au milieu de la pièce, et un écran géant occupait un pan de mur. Mais ce que je remarquai tout de suite, ce fut une grande croix de Saint-André en bois, dressée non loin des canapés.
— Je te présente Maxime, mon mari, dit Awena sur un ton cérémonieux.
Je fus surprise par le physique de l’homme, qui semblait plus âgé qu’elle. La soixantaine environ. Une épaisse chevelure grise, une barbe blanche. Il était vêtu d’un costume sombre, et s’affairait autour de l’écran géant, essayant manifestement d’établir une connexion. Trois hommes, installés sur les canapés, me dévisageaient.
— Chloé, notre petite salope soumise de ce soir, ajouta Awena pour me présenter au trio. Yvette me l’a chaleureusement recommandée, et cette fille a passé près de quatre heures en voiture pour se faire dominer et baiser comme une pute.
Les trois hommes étaient beaucoup plus jeunes. Sans doute la trentaine, comme moi. Peut-être moins. Dans le premier, je reconnus le chauffeur qui m’avait conduite ici. Le second, blond, paraissait moins athlétique que le black – mais ça ne présageait en rien de ses performances sexuelles – et il portait, lui aussi, un pantalon noir et une chemise blanche. Le dernier arborait une carrure et une musculature impressionnantes, moulées dans un polo blanc, et ses cheveux longs et noirs étaient tirés en arrière.
Je dois avouer que leur virilité ne me laissait pas indifférente, et dans tout autre contexte que cette soirée, je ne me serais pas non plus refusée à leurs avances.
— Et maintenant, Chloé, reprit Awena, tu vas nous dire le mot que tu as choisi, pour nous signifier que tu cesses d’être consentante, et que nous devons nous arrêter. Je te rappelle que, dans ce cas, tu seras immédiatement expulsée de cette maison, et interdite à toutes nos soirées.— Panique, répondis-je d’une voix blanche.— Bien, nous retiendrons ce mot, en espérant ne pas l’entendre. Il te reste à te présenter, disons... physiquement. Enlève ta robe !
Le ton était cassant, et j’avais l’impression de redevenir une petite fille. Un comble pour une prof ! Je commençai à faire sauter lentement les quelques boutons qui fermaient – bien partiellement – ma robe. Tous les yeux étaient rivés sur moi, lorsque mes seins menus commencèrent à pointer dans la lumière des halogènes.
J’ouvris en grand les pans de ma robe, le tissu glissa lentement le long de mes bras et de mon corps, et je me retrouvai nue, juchée sur mes talons. Les commentaires commencèrent à fuser, et je me sentais comme une prisonnière sur un marché d’esclaves, pendant qu’Awena me faisait tourner sur moi-même, pour offrir aux regards lubriques toutes les facettes de mon anatomie.
— Très excitante, cette fille toute menue, avec son style de femme sage, dit l’un des hommes. J’ai hâte de la voir empalée sur nos bites.— Oui, renchérit Awena, on ne dirait pas à première vue qu’il s’agit d’une véritable salope, mais ce sont les pires.— J’adore ses petits seins, avec leurs pointes sensibles, commenta un autre homme en malaxant ma poitrine. Ils sont bien fermes, on a envie de les martyriser.— Et elle mouille déjà, dit Awena, en montrant son doigt, luisant de mouille, qu’elle venait de passer entre mes cuisses.— Très joli ce bijou anal, dit à son tour celui qui m’avait conduite ici. Elle va déjà être un peu dilatée de ce côté-là. Tu aimes te faire sodomiser, Chloé ?— Réponds, insista Awena.— Oui, j’aime ça, répondis-je d’une voix étouffée.— Plus fort ! Dis que tu aimes être enculée !— Oui, j’aime être enculée.
Ma voix qui résonnait dans l’immense pièce me surprit moi-même. Tout comme l’excitation que je sentais me gagner, malgré – ou à cause de – l’humiliation. Awena reprit ma laisse, et me conduisit jusqu’à la croix de Saint-André.
Elle leva mes bras, et les attacha dans les bracelets fixés sur les branches supérieures. Puis ce fut au tour de mes chevilles. Je me retrouvais écartelée, exhibée, livrée sans défense aux participants à cette soirée. Et j’avais tout lieu de penser que j’allais être leur jouet, leur esclave sexuel, pendant de longues heures.
Awena alla chercher sur un meuble un petit coffret en bois précieux, qu’elle ouvrit sous mes yeux. Le contenu me fit frémir... Elle prit la pointe d’un de mes seins entre ses doigts, la pinça, la tira, jusqu’à ce que je grimace de douleur. Puis elle l’enserra dans une pince en inox, munie d’une vis, qui permettait de régler la pression sur mon téton dardé. Elle serra, et très vite, la douleur atteignit les limites du supportable, mais j’éprouvais un plaisir que je ne connaissais que trop bien.
Un petit sourire de satisfaction éclaira pour la première fois son visage, et mon deuxième petit nichon subit le même sort.
— Je crois que tu raffoles aussi de ce genre de jouet, me dit-elle en sortant du coffret un œuf vibrant. N’est-ce pas, Chloé ?— Oui, Awena.— Tu vois, je suis bien renseignée sur ton compte.
Elle passa sa main entre mes cuisses, ouvrit ma chatte du bout de ses doigts, et elle présenta le sex-toy à l’entrée de ma fente. Elle le fit glisser quelques instants entre mes petites lèvres, et lorsque je laissai échapper un petit gémissement, elle enfonça l’œuf d’un seul coup, brutalement, dans mon con trempé.
C’est à ce moment-là que la sonnette a retenti, et Awena m’a abandonnée, pour retourner dans le hall d’entrée.
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