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La punition de Chloé

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Chapitre4


Simon et Timothée nous emmenèrent dans une salle de bains, ressemblant un peu aux douches d’une salle de sports. L’eau jaillissant des douchettes s’écoulait sur le sol carrelé, avant de disparaître dans un siphon.
Maxime, toujours armé de sa caméra, nous suivait, et filmait chacun de nos gestes, comme un reporter de la télévision. Mais il s’arrêta à l’entrée de la salle de bains, me laissant espérer un instant de (relative) intimité. Quant à nos deux "maîtres", ils se déshabillèrent, ne gardant que leurs boxers noirs.
J’éprouvais une envie pressante d’uriner, mais, bien que la demandant au black sur le ton le plus servile, cette requête fut rejetée.
Nos laisses et nos colliers furent ôtés, et nous nous sommes retrouvées côte à côte, Chloé et moi, sous l’eau très chaude de la douche. J’en profitais pour lui dire, à voix basse :
— Tu me connais, mais tu ne m’as pas reconnue. Je suis chloé23, la petite pute soumise de Juliette.— Toi ?... me répondit-elle. Ton visage était masqué sur tes photos, mais oui, ce corps...
Elle n’eut pas le loisir de poursuivre. Timothée et Simon nous avaient rejointes, et entreprirent de nous laver, à la grande honte de Chloé, qui se contenait à grand-peine. Ils commencèrent par nous savonner abondamment, nous couvrant d’une mousse douce et onctueuse. Ils nous tripotaient, comme si nous étions des objets ou des esclaves. Ce furent d’abord nos visages, maculés des restes de nos maquillages, nos nuques, nos épaules, nos aisselles que la sueur rendait poisseuses, qui eurent le droit d’être lavés méthodiquement.
La longue chevelure brune de Chloé recouvrait ses yeux, et elle resta inerte, pendant que Timothée malaxait sa poitrine, mais l’érection de ses tétons la trahissait. Pour ma part, j’appréciais d’être traitée ainsi. Je m’étais résignée à être une salope soumise aux caprices de Simon – d’Awena aussi, de tous les autres – et j’y prenais un plaisir pervers, bien plus que je ne l’aurais jamais imaginé.
La main de Simon descendit sur mon ventre, et je ne pus retenir un soupir de contentement. Mais Chloé eut un sursaut au contact des doigts de Timothée sur son mont de Vénus.
— Non, s’exclama-t-elle, en se raidissant, et en reculant.— L’hygiène est primordiale, lui répondit Timothée, sans violence.— Je vais le faire moi-même, dit Chloé, qui retrouva un instant sa fierté.
Le black sourit, et resta un instant silencieux. Puis ses traits reprirent leur dureté habituelle.

— Alors je crois que la soirée s’arrêtera pour toi ! Tu ne devrais même pas m’adresser la parole. Tu es là pour le plaisir des invités... Alors ?
Mais Chloé ne se calmait pas, et elle recula encore d’un pas.
— Et toi tu es quoi ? Un larbin ou un invité, lança-t-elle à Timothée.
J’admirais son courage et son caractère. Il y eut un semblant d’hésitation, de la part des deux hommes, et Simon m’abandonna pour rejoindre son acolyte. Ce fut lui qui prit la parole.
— Des acteurs d’un spectacle. Nous avons tous un rôle à tenir. Le vôtre est de tout accepter.— On est plus dans le spectacle, là, s’insurgea de plus belle Chloé.— Tu te trompes... Je comprends ta réaction, mais je t’assure que nous faisons une exception pour toi. Parce que c’est ta première fois. Nous raconterons ce moment à Awena en détail. Et elle le répétera pour exciter ses amis. C’est justement parce que personne ne te regarde en ce moment, que le récit sera très excitant. Soumise jusqu’au bout. Tu comprends ?
Chloé baissa les yeux sur le boxer noir de Timothée, et une faible lueur d’envie dans son regard n’échappa pas au black.
— Déçue ? Pour nous aussi ce moment est assez délicat. Encore qu’avec Chloé...
Il me montrait du doigt, comme une pouliche dans une foire aux bestiaux.
— ... Elle aime ça, elle. Ce serait bien plus agréable pour moi. Toi tu n’aimes pas... Si tu te décides, tu en verras d’autres. Et comme jusqu’ici tu as tout accepté...
Chloé se tut, vaincue. Timothée fourra ses doigts sombres dans sa chatte, pour la laver, lui arrachant un gémissement d’animal blessé, et j’eus droit au même traitement. Mais moi, j’aimais ça, et je ne cherchais même plus à m’en défendre. Je savourais donc cette caresse avilissante, et bientôt, ce fut mon petit trou qui subit le même sort.
Lorsque l’eau brûlante coula sur nos deux corps, pour les rincer, je regardai Chloé à la dérobée. Ses seins durs, gonflés, et la lueur qui brillait dans ses yeux me laissèrent penser que, elle aussi, elle commençait à éprouver un plaisir semblable au mien.
Simon et Timothée rattachèrent les colliers autour de nos cous, et nous ramenèrent dans la grande salle, à quatre pattes, tirées par nos laisses, laissant derrière nous les traces humides de nos corps sur lesquels scintillaient les gouttes d’eau.
Awena nous contemplait, l’air satisfaite, et Timothée lui fit le récit de notre "toilette", n’omettant aucun détail, en particulier la velléité de révolte de Chloé. Timothée répétait et commentait son récit, à l’intention des voyeurs dont je voyais les images sur l’écran géant.
Chloé était devenue écarlate, et je devinais à quel point elle était gênée que Juliette apprenne son humiliation, même si la jalousie de "sa femme" avait déjà été soumise à rude épreuve, ce soir. Car j’avais ressenti, à travers mes échanges avec Juliette, la profondeur du sentiment amoureux qu’elle éprouvait pour Chloé, malgré – ou à cause de – leur vie sexuelle si particulière.
En ce qui me concernait, j’étais certaine que Juliette se réjouissait de me voir traitée comme une esclave sexuelle, et je la soupçonnais d’être à l’origine de ma présence dans cette soirée.
Awena se tenait debout, entre Timothée et Simon, et nous étions agenouillées toutes les deux à ses pieds, comme deux chiennes obéissantes. Nos regards se tournèrent vers Vincent, le bodybuildé aux longs cheveux noirs, qui était resté inactif jusque-là. Il était assis sur un canapé, nu, laissant admirer sa musculature imposante, mais c’est la vue de Maxime, le mari d’Awena, qui me surprit. Ce dernier était à genoux entre ses cuisses, et il suçait la queue dressée de Vincent.
Awena contempla la scène avec une expression amusée, avant de lancer, à Timothée et Simon :
— Déshabillez-moi !
Ils s’empressèrent d’obéir à la maîtresse de la soirée. Les deux hommes ôtèrent son tailleur. En dessous, elle ne portait que le soutien-gorge, que j’avais entraperçu, un string en dentelle, et un porte-jarretelles qui retenait ses bas noirs. Elle était ronde, mais portait sans complexe ses formes qui lui allaient parfaitement, et je la trouvais belle.
— Regardez-moi, nous ordonna-t-elle, à Chloé et à moi.
Simon fit sauter l’agrafe de son soutien-gorge, et ses seins lourds s’affaissèrent un peu, même s’ils étaient durcis par l’excitation.
— Aide-moi à enlever mon string, petite pute, me dit-elle.
En fait, ce fut moi qui fis glisser l’élastique sur ses hanches et sur ses cuisses épaisses, et Chloé dut ramasser le petit triangle de dentelle tombé au sol. Awena ne portait plus que son porte-jarretelles, ses bas et ses escarpins. Elle se dirigea ensuite vers un canapé, face à celui où Vincent était installé, et nous appela d’une voix douce. Nous la rejoignîmes, à quatre pattes, avant de nous agenouiller à ses pieds, tandis que Simon et Timothée, habillés, se plaçaient de chaque côté du siège, comme l’auraient fait des sentinelles.
— Vincent... appela Awena.
Le brun bodybuildé releva les yeux vers elle, et Maxime interrompit sa fellation.
— Sodomise-le, ajouta-t-elle, en désignant Maxime d’un mouvement méprisant de menton.
Maxime parut honteux de se soumettre, lui aussi, sous nos yeux, mais cette perspective ne semblait pas l’effrayer. Il retira sa veste, juste avant que Vincent ne l’empoigne, et le force à se pencher, ses bras et son visage sur les coussins du canapé. Brutalement, Vincent baissa son pantalon, qui tomba sur ses chevilles.
J’étais hypnotisée par cette scène. Vincent se branla, pour amener son sexe jusqu’à une érection complète. Il écarta les fesses de Maxime, et sans autre préparatif, il l’encula, lui arrachant un cri de douleur.
Blottie contre moi, Chloé était stupéfaite. Les fesses musclées de Vincent allaient et venaient, au rythme de ses coups de queue dans l’anus forcé de Maxime, qui poussait des gémissements plaintifs. Awena, elle, semblait se délecter de ce spectacle, mais elle se tourna vers nous.
— Approchez-vous, mes chéries.
Elle s’était installée, à demi allongée, sa nuque calée contre le dossier, les fesses au bord du canapé, ses pieds posés sur les coussins. Ses cuisses charnues étaient écartées en grand, sur sa chatte déjà humide.
— Faites-moi du bien, mes belles.
Chloé et moi, nous plongeâmes nos têtes au creux de la fourche des jambes d’Awena. Nous nous partagions son abricot gonflé et juteux, l’embrassant, le léchant à tour de rôle. Nous dévorions son petit bouton sorti de son capuchon, nos langues s’insinuaient dans sa grotte ouverte.
Je profitais de cette proximité, pour tenter d’embrasser Chloé. Elle colla ses lèvres contre les miennes, pendant que je caressais Awena pour qu’elle ne le remarque pas.
— Tu m’excites, dis-je à voix basse à la jolie brune.
Mais il avait fallu que je reparte à l’assaut du con d’Awena, en mordillant son bourgeon turgescent. De longs feulements traduisaient son excitation, et des flots de mouille maculèrent mon visage, et celui de Chloé.
Celle-ci, en sueur, se redressa pour tirer en arrière ses cheveux mouillés qui la gênaient, et elle resta à genoux, oubliant de satisfaire sa maîtresse.
Awena avait ouvert les braguettes de Simon et de Timothée, libérant leurs sexes, qu’elle branlait lentement. Chloé ne parvenait pas à détacher son regard des deux pieux dressés. Surtout celui de Timothée, sombre, luisant, épais... un véritable gourdin d’ébène. Il surprit son regard, et Chloé ferma les yeux lorsqu’elle vit son geste. La cravache s’abattit sur ses fesses, avec un claquement sec.
— Danoise ! La tança-t-il de sa voix de basse.
Awena me prit par les cheveux, pour enfoncer ma bouche entre ses fesses, et la langue de Chloé s’enfonça dans son fruit ouvert et juteux. La voix de Vincent tira Awena de la recherche de son plaisir.
— Il a son compte, dit-il, en parlant de Maxime.— Il a joui, lui demanda Awena d’une voix hachée ?— Regardez. Son sperme a giclé partout sur le sol.— Oh ! Le cochon !
L’éjaculation de son compagnon sodomisé, loin de déranger Awena, l’excita encore plus. Elle agrippa nos cheveux, plaquant nos bouches sur sa chatte et sur sa rosette sombre, et se remit à onduler des hanches de plus belle. Jusqu’à ce qu’elle jouisse, interminablement, en râlant, et en giclant sur nos visages.
Puis elle nous repoussa doucement, et resta immobile, le temps de retrouver ses esprits. Elle tenait toujours les bites de Simon et de Timothée dans ses mains, et elle griffait doucement leurs bourses. Ils bandaient comme des taureaux en rut. Chloé et moi, nous ne pouvions quitter ces deux sexes mâles du regard, nos yeux allaient de l’un à l’autre, et Awena le remarqua.
— Petites curieuses ! Messieurs ! Je crois que vos chiennes ont envie de vos queues... Faites-vous sucer un peu !
Les deux hommes tirèrent sur nos laisses, pour nous amener vers eux, toujours à genoux. Je ne me fis pas prier pour prendre le pieu de Simon dans ma bouche, regrettant un peu de ne pas être à la place de Chloé, pour goûter celui de Timothée, plus impressionnant.
Compte tenu de ce que je savais de Chloé, de son peu d’attirance pour les hommes, je me demandais comment elle allait réagir. Mais un coup d’œil dans sa direction me permit de l’apercevoir, branlant la longue hampe sombre, les yeux luisants d’excitation, avant de prendre l’énorme gland rose entre ses lèvres. Nous étions en train de sucer nos deux maîtres, avec gourmandise, quand Awena nous arrêta.
— Oh... J’ai une idée pour punir ces petites chiennes vicieuses... Arrêtez-vous mes belles !
Elle nous regardait, en se caressant, et en étirant entre ses doigts un gros téton dardé. Chloé rougit.
— La première à faire plaisir à son maître sera récompensée. Un grand bol d’eau fraîche et des gâteaux secs. La perdante sera punie !
Je me jetai littéralement sur la verge de Simon, tandis que Chloé semblait déstabilisée, paniquée. La peur de perdre, sans doute, mêlée à la crainte de ne pas être à la hauteur, face à un amant aussi expérimenté, elle qui avait peu de pratique avec les hommes.
Mais elle se ressaisit, et prit la main de Timothée, pour la guider jusqu’à sa fente, sans rien dire. Il se mit à la doigter, et elle commença à sucer le black, en le fixant dans les yeux. Un bruit humide montait de la chatte de Chloé. Elle mouillait. Son maître prit sa tête entre ses mains, pour guider ses mouvements, et l’improbable se produisit.
— Ma chienne a gagné, annonça Timothée, pendant qu’il se vidait en longs jets dans la bouche de Chloé.
Elle continua néanmoins à pomper la verge de son maître, qu’elle serrait convulsivement entre ses doigts, pour avaler toute sa semence. Puis elle se détacha de lui, un long filet de foutre coulant à la commissure de ses lèvres.
Je regardais Chloé, incrédule, mais heureuse pour elle.
Mais un imprévu vint perturber le déroulement de la soirée...
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