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La punition de Chloé

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Chapitre5


Alors que je jouais encore avec le sexe bandé de Simon, le carillon de la porte d’entrée résonna dans le grand salon.
— Qu’est-ce qui peut bien venir nous déranger à cette heure, avant le final de cette soirée, tempêta Awena. Maxime, va ouvrir !
Maxime s’était rhabillé, et il se dirigea vers l’entrée. Nous entendîmes un bruit de voix, et il réapparut très vite, penaud, accompagné d’une grande femme blonde, très belle, que Chloé regarda avec une expression incrédule.
— Awena, excusez-moi de vous importuner pendant votre soirée, dit l’intruse, d’une voix ferme. Je suis Juliette. Je viens récupérer Chloé.— Mais... nous n’en avons pas terminé avec elle, objecta Awena, qui semblait ne pas être gênée le moins du monde de la recevoir quasiment nue.— C’est bien pour ça que je suis ici. J’ai commis une énorme erreur en vous la confiant pour la punir, et...
Awena ne la laissa pas finir, et l’emmena à l’écart, pour que nous n’entendions pas leur conversation. C’est à peine si Juliette m’avait regardée, et je le regrettais. J’aurais tant aimé qu’elle me voit nue, "en vrai". Et j’étais frustrée en lisant dans les yeux de Chloé l’amour qu’elle lui portait.
— Chloé, tu peux aller prendre une douche, et te rhabiller, annonça Awena en revenant vers nous.
La maîtresse de cette soirée avait du mal à cacher sa contrariété, et pendant que la jolie brune se dirigeait vers la salle de bains, elle retourna échanger quelques propos – apparemment peu aimables – avec Juliette.
Lorsque Chloé ressortit de la salle de bains, les cheveux mouillés, elle avait enfilé le grand gilet en laine qu’elle portait à son arrivée, sous lequel elle était toujours nue, et ses bottes. Juliette la prit par l’épaule, dans un geste protecteur, et le couple sortit, sans un au revoir. Awena les regarda partir, puis se tourna vers moi.
— Cet incident ne change rien pour toi, Levrette. Sauf que tu te retrouves seule. Tu vas avoir droit à ta punition, et on va te traiter comme une petite pute. Je sais que tu aimes ça. Messieurs, occupez-vous d’elle !
Je jetai un regard affolé, en direction de Timothée, de Vincent, et de Simon, qui m’observaient comme une proie.
J’étais seule, face à eux.
Simon reprit ma laisse, et me conduisit au milieu de la salle, face à l’écran géant. Awena s’installa confortablement dans un canapé, ouvrant ses cuisses relevées pour pouvoir se caresser aisément, et Maxime reprit la caméra, avec laquelle il allait filmer toute la scène, comme celles qui l’avaient précédée.
Sur l’écran, j’apercevais, dans les différentes fenêtres, les voyeurs qui allaient encore se délecter de mon supplice. Parmi eux, il y avait Yvette, maintenant seule. Je ne savais plus si je devais haïr ou remercier cette femme, pour ce que je subissais, par sa faute. Tous avaient les yeux rivés sur leur écran, et l’idée de m’exhiber devant eux me fit mouiller, malgré ma peur.
Et ma punition commença...
— Tu vas nous sucer, dit Simon d’une voix dure. Tous les trois. Et tu vas tâcher de t’y prendre mieux qu’avec moi, tout à l’heure.
Il ponctua sa phrase d’une gifle retentissante, et je ressentis une brûlure sur ma joue, tandis que Vincent prenait les pointes de mes seins entre ses doigts, et les tordait. Je ne pus retenir un cri de surprise et de douleur, qui fit rire Awena, cri aussitôt étouffé par la queue de Timothée, qu’il avait plantée dans ma bouche, en me tirant les cheveux.
Je me mis à le sucer, comme une vraie salope, acceptant de recevoir son énorme gland jusqu’au fond de ma gorge. Son pieu allait et venait entre mes lèvres, il baisait ma bouche, comme si ça avait été ma chatte.
— Mais elle s’y prend bien, cette chienne, dit-il. Tu aurais dû décharger dans sa bouche, Simon, elle doit aimer le foutre.
J’abandonnai un instant la verge de Timothée, pour reprendre ma respiration, mais Simon me gifla de nouveau, et empoigna mes cheveux, pour que je le suce aussi. Et au moment où je prenais le gland du blond entre mes lèvres pour le mordiller, je sentis le cuir d’une cravache mordre la peau de mon pauvre petit cul endolori. C’était Vincent, encouragé par Awena.
— Vas-y, Vincent. Occupe-toi bien d’elle, elle sera encore plus chaude quand tu vas la baiser.
Le pire, c’est qu’elle n’avait pas tort. J’étais dans un état second. Les tortures infligées à mes fesses et à mes seins, les humiliations que je subissais, au lieu de me révolter, m’excitaient au-delà de tout ce que j’aurais pu imaginer. Je coulais comme une fontaine. Mes tétons bandaient plus que jamais.
Je suçais Vincent avec une énergie redoublée, en cherchant dans mon imagination toutes les déclinaisons possibles de la fellation.
Puis chacun des trois hommes réclama "son dû", se succédant dans ma bouche, me tirant les cheveux, me giflant, pendant que Maxime tournait autour de moi, pour me filmer sous tous les angles. Ceux que je ne suçais pas s’acharnaient sur mes seins, tirant les pointes, les tordant, ou me fouettaient à grands coups de cravaches. Je gémissais, lorsqu’ils me faisaient trop mal, mais pas un instant ne me vint l’idée de leur demander d’arrêter.
J’étais ivre de désir. J’avais envie que ces trois types me baisent, qu’ils me prennent sauvagement. Si je n’avais pas été bâillonnée par ces imposants braquemarts, je les aurais suppliés, comme une chienne en chaleur. C’est ce que j’étais, à ce moment.
Puis j’eus droit à un très court répit. Il me permit de voir Awena se doigter, les mains entre ses cuisses, ouvrant avec force son sexe béant. Sur l’écran, j’aperçus aussi Yvette, à peu près dans la même position. Quant aux couples de voyeurs, leurs regards étaient rivés sur moi. Y compris un couple, l’homme sodomisant sa partenaire, en levrette.
Mais cette pause ne dura même pas une minute.
Timothée s’allongea, dans l’un des canapés, son pieu dressé comme le mât d’un voilier. Cet énorme engin sombre me fascinait, comme si j’étais la proie d’un reptile. Le brun bodybuildé m’empoigna, et me porta jusqu’à lui, sans que je touche le sol. Il me plaça au-dessus de lui, pendant que Vincent se branlait doucement en me regardant avec une expression lubrique.
Timothée écarta mes fesses, et guida son gland gorgé de sang vers mon petit œillet plissé, pendant que Vincent me laissait descendre, pour que je m’empale. Je hurlai, lorsque l’énorme queue força ma rosette serrée, mais mes bourreaux n’en avaient cure.
Vincent vint sur moi, et me pénétra d’un seul coup de reins. Au même moment, je sentis les mains puissantes du black saisir mes hanches, pour me faire bouger sur le dard qui perforait mon petit cul, et je me mis à crier. C’était douloureux. Mais c’était si bon.
Pour me faire taire, Vincent planta sa bite dans ma bouche. J’étais prise par tous les trous, filmée, pour exciter une bande de voyeurs. Sans me l’avouer, j’avais toujours rêvé de me trouver dans cette situation, et de prendre plaisir à être humiliée. Un orgasme me tétanisa, et je me mis à hurler comme une bête fauve.
Mes partenaires étaient incroyablement endurants. Quand la fatigue me faisait faiblir, Vincent me tirait les cheveux, me giflait, pinçait mes seins que l’excitation rendait horriblement sensibles.
Puis ils échangèrent leurs places. Vincent m’enculait, Simon baisait ma chatte, et Timothée ma bouche. La sueur ruisselait sur mon visage et sur mon corps meurtri, lacéré de coups de cravache, et la mouille sourdait de ma fente dans un bruit humide, pour dégouliner entre mes fesses et le long de mes cuisses.
J’entendis un râle rauque, et j’aperçus Awena, la tête tournée vers moi, les yeux révulsés, en train de jouir. Un filet de salive coulait à la commissure de ses lèvres, et le canapé était trempé entre ses cuisses.
Puis les trois hommes échangèrent de nouveau leurs places. Tous goûtaient ainsi au plaisir d’explorer chacun de mes orifices. Je n’étais plus qu’un objet, un jouet sexuel dont ils usaient à leur guise.
Ils sentirent que j’allais jouir aussi de nouveau, et ils se déchaînèrent un peu plus encore. Ma fente et mon petit trou étaient douloureux, et malgré ça, je venais inexorablement. Ce dernier orgasme me laissa épuisée, au bord de l’évanouissement, et mes gémissements se transformèrent en une plainte faible et ininterrompue.
Timothée se retira de ma chatte, et il me souleva, pour que je puisse me dégager du membre de Simon, encore fiché au creux de mes reins. Lorsqu’il me lâcha, je n’eus pas la force de me remettre sur mes jambes, et je m’écroulai sur le sol. Mais Awena ne me considérait pas encore assez punie.
— Couvrez-la de foutre, cette petite pute, lança-t-elle aux trois hommes.
Vincent m’assena quelques coups de cravache, jusqu’à ce que je m’accroupisse, et ils me présentèrent de nouveau leurs trois membres durs, et luisants de ma sève. Dépassant ma faiblesse, je me mis à les sucer de nouveau, mais je n’eus pas longtemps à attendre...
Simon éjacula le premier, avec un long grognement rauque. Il avait tant retardé ce moment que le flot de sperme épais et chaud qui jaillit de sa bite semblait ne pas devoir se tarir. Je ne pus tout recevoir dans ma bouche, et je me retrouvai le visage et les seins barbouillés d’une crème blanchâtre.
Vincent le suivit, et je faillis m’étouffer, lorsque le jet de foutre inonda ma gorge. Il finit sur mes joues, et de longues larmes de son jus continuaient à couler jusque dans mon cou, quand Timothée se soulagea à son tour. Il dédaigna ma bouche, et macula mes seins rougis par les coups, et mon ventre.
Je crus être quitte, mais Awena lui adressa un petit signe, que les deux autres hommes comprirent aussi. Ils me saisirent fermement par les épaules, m’obligeant à rester accroupie ; puis Timothée prit un fouet, et alors que Maxime me filmait en gros plan, il m’ordonna :
— Pisse, levrette. Pisse par terre devant nous, et devant tous ceux qui te regardent.
Ma vessie me semblait sur le point d’éclater, mais je ne pouvais pas accepter cette dernière humiliation. J’étais morte de honte. Je faillis crier le mot qui arrêterait tout, mais je n’arrivais pas à m’en souvenir tant j’étais à bout de forces et mortifiée.
— Non, criai-je seulement. Noooon ! Je ne peux pas !— Tu vas obéir, rugit Timothée, en me décochant une volée de coups de fouet.
Les larmes ruisselaient sur mes joues, entraînant un peu du foutre qui commençait à sécher. Vincent avait écarté mes cuisses, pour que Maxime ne rate rien de la scène.
— Non ! Pitié ! Je vous en supplie !— Tu as accepté d’être soumise. Jusqu’au bout. Pisse petite salope, hurla le black, en me fouettant de plus belle.— Non, non, murmurai-je encore faiblement, mais tout bascula d’un seul coup, dans ma tête, aux dernières morsures des lanières de cuir.
J’allais céder. Mais le pire était que je sentais le plaisir monter, malgré ma honte. Ou à cause d’elle. Je me retins encore une poignée de secondes, et je m’abandonnai totalement.
— J’obéis, dis-je pour faire cesser mon supplice. Je vais pisser ! Arrêtez, je vais pisser.
Lorsque le premier jet d’urine jaillit entre mes cuisses, un orgasme improbable me prit par surprise. J’étais en train de dépasser toutes les limites que je m’étais toujours fixées.
— Je jouis je jouis oooooh je jouis, sanglotai-je.
Je pissais, sans pouvoir m’arrêter. Ma liqueur dorée éclaboussait mes cuisses, et mélangée à ma cyprine, inondait le sol, trempant mes genoux.
Awena, qui martyrisait son clito et fouillait son petit trou avec quatre de ses doigts, explosa presque en même temps que moi, mêlant ses cris à mes gémissements.
Les trois hommes me lâchèrent, et je restai là, à genoux, haletante, à peine consciente de ma posture et de l’état de mon corps. Mes larmes continuaient à couler, et au bout de quelques minutes, c’est Awena qui me fit remettre debout, et qui me conduisit dans la salle de bains, en me soutenant.
Elle avait enlevé son porte-jarretelles, ses bas, ses escarpins. Elle était entièrement nue, et je sentais les pointes dures de ses seins lourds, écrasés contre mon dos. Elle ouvrit le robinet, et l’eau très chaude ruissela sur ma peau, zébrée par les lanières du fouet et par la cravache. Mes seins me faisaient encore mal. Ma fente et mon petit trou me brûlaient, mais ils avaient été tant sollicités que je les sentais à peine.
Awena me savonna, me lava avec des gestes très doux, avant de me frictionner avec une lotion et une crème, qui firent disparaître mes douleurs, comme par enchantement. Elle me parlait maintenant à l’oreille, et la douceur de sa voix était surprenante, en comparaison du ton sûr et autoritaire qu’elle avait adopté, pendant toute cette soirée.
— Tu as été merveilleuse ce soir, Chloé. Nous avions rarement eu d’invitée aussi excitante, dès sa première fois avec nous. J’espère que tu as apprécié aussi...
Ce n’était pas vraiment une question, mais le silence qu’elle laissait s’installer appelait une réponse de ma part. Quoi lui dire ? Je ne savais pas moi-même.
J’avais l’impression d’avoir franchi une frontière, et de me retrouver en terre inconnue. La Chloé qui allait sortir de cette maison n’était pas la même qu’à son arrivée. Soumise. Le mot me semblait trop faible. J’avais tout accepté, toléré, enduré. Et je devais m’avouer que, au plus profond de mon être, j’avais aimé ce rôle, qu’il m’avait excitée, et que je venais de connaître une jouissance dépassant tout ce que mes expériences, pourtant nombreuses et variées, m’avaient permis d’atteindre.
— Je ne sais pas quoi vous répondre, finis-je par dire. J’ai besoin de récupérer, de réfléchir.— Prends ton temps. Rappelle-moi si tu veux, quand tu veux. Tu seras toujours la bienvenue.
Je me rhabillai, en silence. Ma petite robe en lin, pourtant sexy, me semblait inutile, et je crois que je serais rentrée nue à mon appartement, si Awena me l’avait demandé.
Timothée me reconduisit. Nous n’échangeâmes pas un mot pendant le trajet, mais aucune trace de ressentiment dans notre mutisme. L’intensité des moments que nous venions de passer rendait juste dérisoire tout commentaire.
— Au revoir, Chloé, me dit simplement le black, en ouvrant ma portière, lorsque nous fûmes arrivés. Merci pour le plaisir que tu m’as donné. J’espère que nous te reverrons bientôt.— Je ne sais pas... Au revoir, Timothée, et merci aussi.

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La suite de cette histoire sera publiée sous le titre "la revanche des Chloé"...
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