Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 176 J'aime
  • 8 Commentaires

La punition de la directrice

Chapitre 1

L'inspection

SM / Fétichisme
Cette histoire a été écrite à quatre mains, avec Jenna, chacun son texte.

° ° °

Comment j’ai pu en arriver là avec cette Jenna ? Quand je regarde la situation actuelle, j’ai encore du mal à réaliser.Je me repasse les événements qui se sont succédé ces derniers mois, et tout a beau s’être enchaîné de façon logique, j’ai encore peine à y croire.
° ° °
J’avais été nommé il y a peu à la tête d’une A. R. S. (agence régionale de santé), une sacrée promotion, un poste à grandes responsabilités. C’était un boulot de bureaucrate, de haut fonctionnaire, de crâne d’œuf quoi ; moi qui avais toujours été un homme de terrain, je me retrouvais dans les premiers mois plutôt confiné au bureau, devant prendre connaissance des dossiers urgents, passant des heures devant mon écran ou devant des piles de paperasse, avec des réunions le soir pour changer mon quotidien.
Il y avait aussi des dossiers brûlants dont certains faisaient la une de l’actualité à ce moment-là, du moins certains jours. Comme celui de laits infantiles contaminés à l’E. Coli. Un véritable scandale sanitaire, qui, heureusement, n’avait pas éclaboussé d’établissements de santé. Du moins, d’après les premières inspections réalisées dans les services de pédiatrie et les crèches.
Je n’en étais que moyennement rassuré. Je suivais au plus près l’affaire et j’essayais de rester très vigilant : j’avais donné des instructions pour suivre de près l’état des lieux des inspections. Un grand nombre d’établissements n’avait pas été inspecté et ne le serait certainement pas, faute d’agents en nombre suffisant.
Alors on s’était contenté de demander par courrier la liste des achats de laits avec les numéros de lot pour vérification.Pratiquement tous les établissements avaient répondu assez rapidement.Je me méfiais des autres, ceux qui avaient tardé. Je faisais alors inspecter certains d’entre eux, dans la mesure du possible.
Et puis je m’étais dit qu’une visite « de routine » de ma part me sortirait un peu et, sous prétexte de me familiariser avec mes nouvelles fonctions, mon nouveau domaine d’activité, j’avais décidé d’en visiter quelques-uns.
Or, justement, il y avait une crèche qui avait mis un peu de temps à répondre, et la liste des produits achetés me semblait un peu bizarre.
Je programmai donc une visite de cet établissement, annonçant ma venue en restant évasif sur son motif, afin de ne pas éveiller les soupçons.
Je devais effectuer cette visite en coordination avec la responsable de la P. M. I. locale.Le jour dit, en fait, j’étais seul, car cette dernière s’était fait excuser, en proie à la grippe qui sévissait en cette période épidémique.J’étais d’assez fort mauvaise humeur, mais bien décidé à ne pas le montrer. D’autant que la directrice arriva un peu en retard.Bon, c’est vrai, moi je suis toujours à l’heure, voire même en avance, ce qui est plutôt rare chez les fonctionnaires de mon rang. Du coup, elle avait peut-être compté là-dessus. Je devais me calmer, essayer d’être civil.
Mais quand cette dame arriva enfin, elle me fit mauvaise impression. J’aurais pu commencer la visite avant (et l’inspection, non officielle) sans elle, avec ses subalternes.Mais cela aurait semblé un peu arrogant et discourtois de ma part, même si j’en avais le pouvoir. J’avais à cœur de respecter la fonction de cette personne que je ne connaissais pas et j’avais préféré attendre.
Or, elle ne s’excusa même pas, pensant sans doute que vingt minutes de retard, ça n’est pas du retard. Elle fut seulement surprise de me voir ici, montrant qu’elle s’attendait à un retard de ma part.Elle avait été eue, ça commençait mal pour elle.Je ne lui fis aucune remarque acerbe, je ne suis pas comme ça. En retour, je n’eus même pas droit à un sourire. C’était une Canadienne qui était arrivée en France depuis moins de trois ans (ce que je sus plus tard), avec l’accent qui allait avec, et une superbe à toute épreuve. Même si la situation la mettait mal à l’aise, elle semblait limite prétentieuse, se retenant – c’était flagrant – pour ne pas me prendre de haut (s’imaginant sans doute qu’on fait tout mieux au Canada, ou que sais-je...)
C’était une brune, cheveux mi-longs, milieu de quarantaine, qui devait avoir l’habitude de marcher toujours vite, assez cambrée, faisant ressortir une croupe à la belle forme bien épanouie, comme si elle voulait prouver qu’elle était « énergique », mais très femme.

° ° °
Je suis arrivée en retard à ce rendez-vous de crise suite à un problème dans un autre de mes centres. En cette saison de grippe, tant de gens sont malades que tout devient plus difficile.Cela me met de mauvaise humeur, car je sais que beaucoup ne sont pas malades, mais se servent de ce prétexte pour rester au chaud. J’arrive de mauvaise humeur donc.Je suis vêtue d’une tenue sobre, mais comme à mon habitude plutôt remarquable. Ma robe noire moulante montre bien mes formes, une robe un peu sage et sérieuse au premier abord, mais ce sérieux est compensé par des bottes de luxe en cuir. Galbant bien mes jambes et avec des talons aiguilles de 8 centimètres, elles attirent le regard.
Je me retrouve donc face à l’inspecteur de l’A. R. S., lui aussi de fâcheuse humeur. J’essaie de me calmer et d’être plus polie, mais je crois que mon attitude hautaine du départ va marquer notre relation.
Nous marchons dans les couloirs et je sens son regard sur mes fesses qui roulent bien dans cette robe serrée. En une heure, il trouve un dossier avec la preuve que les employés du Centre donnaient du lait, et même des médicaments ainsi que d’autres produits périmés, qui auraient dû être retirés.
Bien sûr, cela n’est pas ma faute, mais toute la responsabilité va me tomber dessus. Je pense qu’un employé du centre a falsifié les informations pour se venger. Peu importe, je suis foutue. Non seulement mon emploi est foutu, mais je risque la prison. J’essaie de rester calme et de trouver des excuses, de raisonner. L’inspecteur me propose de sortir déjeuner pour discuter de cette situation gravissime. Nous sortons et j’essaie de reprendre le dessus en marchant de façon aussi sexy que possible, d’être charmante.
° ° °J’étais sidéré ! Il ne m’a pas fallu longtemps pour mettre la main sur ce que je redoutais. Je m’attendais à une dissimulation, à ce que des lots soient manquants et les bordereaux de livraison disparus, mais même pas ! Tout était là, avec la preuve que des lots de lait qui auraient dû être retirés avaient été utilisés !Et le pire, c’est qu’il y avait même des médicaments et autres produits de santé périmés, je n’avais jamais vu ça !Elle ouvrait des yeux comme des soucoupes, l’air vraiment étonné, aussi sidéré que moi : soit c’est une excellente comédienne, soit la gestion de son établissement est calamiteuse. Dans ce cas, ses subalternes agissent avec la plus grande désinvolture, mais elle aurait dû faire des vérifications, surtout après tous ces messages d’alerte lancés par l’Agence. De toute façon, elle est responsable.
En tout cas, elle a vite arrêté de faire sa « Madame-je-me-la pète », la femme bien roulée qui en fait des tonnes dans sa robe moulante qui fait bien ressortir ses formes - surtout sa croupe et sa poitrine généreuse – et qui se déhanchait en me toisant un peu du haut de ses bottes à hauts talons tout à l’heure. Soudain, l’air dépité, elle fait profil bas. Elle bafouille, dit que tout ça est incompréhensible. Je saisis tous les documents compromettants (les originaux) et les mets dans ma sacoche.
Je continue à lui poser des questions : qui est au courant, qui est chargé de vérifier les numéros de lot, a-t-elle donné des consignes précises, a-t-elle chargé des personnes de s’occuper de ça ? Elle bredouille, ses réponses sont vagues, peu claires, mal assurées... Fait-elle vraiment le job ? Est-elle à la hauteur ? Voilà ce que je me demande soudain. N’y a-t-il pas eu une erreur de casting ou est-elle trop naïve, fait-elle trop confiance à ses salariés ?Si elle donne des consignes, cela reste oral, elle ne garde aucune trace écrite, aucun mail... c’est affligeant !
Je suis à un moment obligé de monter le ton, comme on ferait à une gamine qui a fait une grosse bêtise et refuse de l’avouer. Elle baisse les yeux, honteuse. C’en est fini de la brune si fière. Elle semble adopter une position de soumission, peut-être impressionnée parce que je suis un homme mûr, plus âgé qu’elle de dix ou quinze ans. Je sens du fond de moi monter une colère sourde que je réprime, mais aussi des images qui me submergent comme un fantasme, une obsession : je la vois couchée à plat ventre en travers de mes genoux, la robe remontée et la culotte baissée au bas des cuisses, prête à recevoir la fessée de sa vie sur son majestueux postérieur dénudé, son fessier de reine !
Je reprends mes esprits, je me calme. Je regarde ma montre, il est treize heures passées, avec tout ça. J’essaie de faire redescendre la pression, voire de détendre un peu l’atmosphère alors qu’à son tour, elle se met à me bombarder de questions anxieuses, sur mes intentions, sur ce que je compte faire, sur ce qui va se passer, les conséquences pour elle...
Je ne réponds pas à ses questions et, un peu pour faire diversion, je lui propose d’aller déjeuner et que nous pourrons en discuter calmement. Elle semble se détendre un peu. Elle me précède et esquisse un petit sourire affable. Dans l’escalier qui mène au-dehors, elle est devant moi et semble se déhancher de façon exagérée. Sa robe est assez courte, et comme elle ne porte qu’un petit blouson qui s’arrête à la taille quand elle monte les marches, je vois ses genoux et le haut de ses cuisses, gainées de nylon fumé.Essaierait-elle de me faire du charme, voire de me séduire pour m’amadouer ? Pense-t-elle qu’on pourrait passer l’éponge sur des manquements aussi graves ?
Par un pur hasard, je connais le coin et je me souviens d’un petit restau tranquille et très bien qui n’est pas loin. Il faut s’y rendre en voiture quand même ; histoire de ne pas perdre trop de temps, je prends la mienne.Quand elle s’assoit sur le siège passager, sa robe remonte bien haut, ce que j’aperçois du coin de l’œil, et elle ne fait rien, ne tire pas dessus. Le lainage s’est arrêté quasiment à mi-cuisses et je trouve presque indécent ce déballage. Il faut avouer qu’elle est plutôt sexy, et je dirais même, bien bandante !Mais je ne montre rien, ne fais aucun geste. Ah tu veux jouer, petite salope, attends un peu, tu ne vas pas être déçue...
Je me gare et comme elle traîne, je fais le tour de la voiture pour lui ouvrir la portière, ce qui fait très gentleman (même si elle ne mérite pas tant d’égards) ... mais c’est surtout pour mater ses cuisses quand elle descend, entravées par le fourreau de lainage.

° ° °
Je sors de la voiture en souriant un peu. Mes longues jambes mises en valeur par les bottes sortent en premier, lentement. Je ne fais pas exprès, mais c’est juste pour être sûre de bien prendre pied par terre.
Lorsque je me dresse, ma poitrine frotte un peu contre la vitre de la portière. Je remarque son regard sur mes jambes puis ma poitrine. Je ne suis pas sûre de ce que je vais faire pour me sortir de cette situation. Ce n’est pas aussi simple que de sourire pour échapper à une contravention. Nous rentrons dans le restaurant plutôt désert. Je ne le connais pas et c’est tant mieux. Il me guide vers une table au fond avec des banquettes. Alors que nous regardons le menu, je sens son pied contre le mien.
Est-ce un accident ou est-ce volontaire ?Je suis un peu prise au dépourvu. Un second attouchement confirme que cela est volontaire. Je caresse donc sa jambe avec ma botte. Je sais quel effet mes bottes ont sur les hommes.Cela peut me sortir de l’épinière.Mais jusqu’où vais-je jouer à ce jeu ?
Il commence à me parler d’une voix grave pour insister sur le fait que je suis dans une sale situation. Une très sale situation. Ensuite il fait le doux pour me laisser comprendre que l’on peut s’arranger. Il en a le pouvoir.A un moment, il place sa main sur ma main. Je ne réagis pas et me contrôle pour montrer que je comprends. Sa main vient sous la table et me caresse la cuisse. Je reste passive. Personne ne peut nous voir.

° ° °
Je suis de plus en convaincue que cette sainte nitouche cherche à m’allumer. Un peu détendue probablement par le fait que je l’emmène déjeuner, elle fait des petits sourires, minaude un peu.Elle roule du cul en me précédant en traversant la rue, c’est flagrant.
Elle m’inspire des sentiments coupables. Parce qu’elle pense qu’elle peut m’acheter avec un sourire et un spectacle vivant (son popotin moulé qui se balance de droite et de gauche) alors qu’elle est coupable de manquements graves et que je suis un haut fonctionnaire... eh bien, je vais jouer un peu et voir jusqu’où elle veut aller pour sauver sa peau, enfin sa carrière, et éviter de se retrouver en correctionnelle.
Sans me départir de mon attitude et de mon ton sérieux alors que nous sommes à table, mon pied se met contre le sien puis le retire. Sa réaction me surprend : elle se met alors à frotter sa jambe bottée contre ma jambe.
Je la laisse faire, mais du coup, d’un ton très froid, je me mets à la sermonner sévèrement sur son irresponsabilité professionnelle. Ce qui se passe au-dessus de la table est totalement en contradiction avec ce qui est train de se jouer en dessous.
Cette femme mûre qui baisse les yeux, feint la honte et le remord me donne une furieuse envie de la punir, de l’humilier, de la dominer sexuellement. C’est tout ce qu’elle mériterait. Mais n’est-ce pas ce qu’elle recherche ? N’est-ce pas ce qu’elle a toujours recherché, peut-être même par son inconséquence professionnelle ? N’a-t-elle pas rêvé d’une situation pareille, n’a-t-elle pas fantasmé sur ce qui est en train d’arriver ? Ne cherche-t-elle pas qu’il arrive quelque chose de salace où son incompétence est en train de la mener ?
La sentir ainsi fragile, dans une posture de soumission qu’elle semble accepter, où elle semble même se complaire sans le moindre commencement d’une rébellion me fait un effet bœuf : je me mets à bander brutalement et très fort !
Enhardi par l’absence de réaction de sa part, je pose ma main sur la sienne qu’elle ne retire pas, alors tout s’enchaîne : sûr de moi et jouant mon va-tout ma main descend sous la table et se pose sur le bas de sa cuisse découverte, elle crisse sur le nylon des collants.
Je lui pelote la cuisse de façon éhontée en remontant légèrement, mais mon propos est accusateur, je la sermonne, lui fais la morale, lui explique où tout ça va la conduire... Elle tremble un peu, gémit, prend l’air angoissé. Elle est seule, divorcée, ses enfants sont grands et partis de la maison, mais elle n’a personne pour subvenir à ses besoins, elle a peur de se retrouver à la rue... sans revenus... et avec un procès sur le dos par-dessus le marché. Oui elle a fauté, a été trop négligente, elle le reconnaît, mais elle fera attention à l’avenir... pourrait se racheter, promet d’être exemplaire, encadrera mieux ses subalternes...
Je lui rappelle que ça n’est pas une petite bêtise, il y a eu des conséquences, graves, sanitaires, et que je suis là pour enquêter, faire un rapport, il y a des choses concrètes, que je ne peux pas dissimuler...
...à moins que... sauf... si... bon... je pourrais faire une exception... je pourrais saisir les pièces compromettantes... mais je ne sais pas si je pourrai lui faire confiance à l’avenir...Elle proteste, si, si... !Mais de tout de même, sa négligence... elle ne peut pas s’en tirer comme ça... elle mériterait d’être sanctionnée... d’une façon ou d’une autre, officielle ou non, il va falloir qu’elle paie. Je réfléchis – ou feins de réfléchir, de chercher – oui, il y a peut-être un moyen pour qu’elle se rachète... Elle a fait preuve de trop de nonchalance, de paresse même, peut-être... Aussi elle ne devrait pas s’en tirer à si bon compte... sans, disons, être mise à la peine, à l’amande... mais ça restera entre nous... Il faudra qu’elle travaille pour moi, à titre non officiel bien entendu... le week-end... tant pis pour son temps libre. Et puis ça ne sera pas très glorieux pour elle... mais cela constituera aussi sa punition, elle, une intellectuelle, fière, à responsabilités... redescendre dans l’échelle sociale, même si ça ne sait pas... Oui, j’ai besoin d’une employée de maison !
Diffuse en direct !
Regarder son live