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La punition de la directrice

Chapitre 8

SM / Fétichisme
Je commence à ruer et crier : « Oh non pas ça... Oohh. Nnnnnoooonnn. Je ne veux pas, il est trop gros ! »
Kao rit, mais ne recule pas. Il frotte sa queue contre ma rondelle puis la glisse à nouveau dans ma chatte. Je râle alors que mes chairs sont à nouveau étirées. Il répète ce manège plusieurs fois.
— Elle est serrée la salope. Hhhaaaa. Ouiiiii... !
Il se retire de ma chatte et vient devant moi. Sa grosse queue noire frappe ma peau blanche. Je pousse un petit cri.
— Sois sage, salope et fais ton travail comme il faut !
D. rit en disant que cette fois-ci je vais m’appliquer, car mes erreurs professionnelles m’ont amenée à cette situation.
Prenant ma respiration j’ouvre la bouche. Je fais de mon mieux pour prendre ce monstre en bouche et le sucer.
J’étouffe, le goût de ma mouille me fait presque vomir. Mais tremblant de peur, je suce ce gland grotesque qui déforme ma bouche.
D. regarde cette femme BCBG et hautaine en train de sucer un homme noir, et cela l’excite encore plus. Kao ne tarit pas d’éloges :
— Oh, c’est exquis... Oh. Oui, baiser la bouche d’une Blanche... Oohhh, c’est trop bon. Oui, vas-y, baise-la aussi. Oohhhhh ouii...
D. ne se fait pas prier et enfonce lentement son gros gourdin dans ma chatte ouverte.
Je couine la bouche pleine, mes talons frappent le sol tandis qu’il me monte.
Il ne faut pas longtemps à Kao : il me tient la tête et fourre ma bouche avec sa queue.

Je couine comme un animal, de plus en plus fort.
Je respire tant bien que mal et soudain j’essaie de quitter cette position, mais ils me maintiennent tous les deux très bien, comme une brebis tient sur une broche.
Kao grogne et son sperme gicle au fond de ma bouche :
— Rrrahhhhhh. Prends tout salope. Hhhaaaa... !
Je ne peux beugler et dois avaler sa semence.
Il me relâche finalement et regarde D. me monter en levrette comme une pouliche. Je ne suis plus qu’une loque.
Il me bourre brutalement, mais mon manque de réponse ou de protestation n’est pas assez excitant pour lui.
Pour m’achever, D. met sa queue dans mon cul à nouveau. Je couine, pendue à ces chaînes, mais ne dit plus rien, brisée.
Il me sodomise avec fougue et vide ses couilles dans mon cul.
Une fois que la séance est finie, je me remets lentement, couchée sur une couverture.
D. présente un écran devant moi et la vidéo se lance. On me voit clairement : le loup ne cache pas vraiment mon visage, car il saute quand D. et Kao me défoncent. Le film montre bien clairement ce sperme de Noir coulé sur mon menton.
Tout d’abord D. ne dit rien, et me laisse gémir d’humiliation.
Puis il me dit sans vulgarité que Kao aime mon allure chic, et à envie de me prendre une prochaine fois. Il en a bien l’intention.
Cette fois, je devrai être habillée classe, mais sexy et il arrachera mes vêtements avant d’assouvir ses désirs. Je devrai résister et crier, mais laisserai me soumettre.
Une semaine plus tard, je viens chez D. comme convenu. Je porte une robe moulante grise coupée mi-cuisses et une paire de bottes noires en daim, montant au-dessus du genou avec des talons de 7 centimètres.
Je prends mon air de grande dame, comme ordonné.
° ° °
Cette chienne s’en est vraiment pris plein son cul... mais je la connais, et j’ai vu ses réactions : elle a pris son pied comme jamais. Outre le fait qu’elle devait fantasmer depuis longtemps sur une sodomie par un Noir, le plaisir qu’elle a pris en se faisant dilater sa petite rondelle par ce gros calibre n’a jamais été égalé (c’est ce qu’elle me dira plus tard), et comme elle est un peu maso, en plus...
Quant à Kao, elle lui a plu, et beaucoup plus que j’aurais pu m’imaginer ! Sa tenue l’a énormément excité, et je ne le savais pas si fétichiste.
Cet homme a un très haut niveau social (il occupe un poste à responsabilité dans une ambassade) et dispose de hauts revenus. En somme, rien ne lui fait peur.
Mais alors qu’avec ses moyens confortables il pourrait se payer les services de n’importe quelle escorte-girl et assouvir ses fantasmes les plus pervers, ce qu’il affectionne plus particulièrement c’est de dominer, de soumettre, d’avilir, une femme blanche d’un haut niveau social. Ce pour quoi Jenna lui a fait tant d’effet.
Et le style vestimentaire de cette bourgeoise lui fait briller les yeux ; en particulier ses bottes de luxe, et ses vêtements de luxe.
Il propose donc immédiatement avant de prendre congé un nouveau rendez-vous. Il insiste bien sur le fait que Jeanna devra être habillée très classe. Il annonce clairement qu’il la dédommagera, quel qu’en soit le prix, pour la destruction de ces vêtements (ce qui me fait comprendre qu’il n’en restera pas grand-chose... il insiste en disant qu’elle devra venir avec une tenue de rechange - histoire de ne pas repartir à poil !)
Je crois qu’il laisse entendre qu’il pourrait, s’il le fallait, lui offrir à l’avance la tenue de qui lui agréerait.
Il propose (disons qu’il impose presque) un rendez-vous dans une semaine. Jenna ne proteste pas, ne cherche même pas à se défiler. Elle acquiesce, ne discute même pas le marché.
°°°Le jour dit, la voilà qui sonne. Elle a presque une demi-heure de retard. Kao commençait à se demander si elle n’allait pas nous faire faux bond, mais moi j’étais sûr du contraire.
Madame aime se faire attendre.
...
(A suivre...)
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