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La punition de la directrice

Chapitre 9

SM / Fétichisme
Elle se la pète, l’air hautaine, comme à son habitude.Pourtant, quand elle aperçoit Kao qui a l’air habité par une colère froide, les mâchoires serrées, elle baisse les yeux, semblant soudain prise de frissons. Elle a vu qu’il portait des gants en cuir, et tenait dans sa main droite une cravache qu’il agitait nerveusement, visiblement agacé. Jenna semble ne pas en mener large ; elle réalise qu’elle va se livrer à cet homme autoritaire et qu’elle va être entièrement à sa merci.Elle porte une robe moulante, et comme son soutien-gorge est très fin, on peut voir ses tétons pointer à travers. La robe est courte, bien au-dessus du genou, ses jambes sont gainées de bas foncés et de bottes de cuir.
Il ne lui dit même pas bonjour, mais lui lance :
— Je n’aime pas qu’on me fasse attendre. Vous allez l’apprendre à vos dépens... Ici, vous allez oublier votre statut et votre rang social... Dès lors que vous avez passé ce seuil, vous n’êtes devenue qu’une femelle, un sujet, un objet de plaisir pour mes jeux...
° ° °
Je ne voulais pas venir au départ, mais je savais que je n’avais pas le choix. Mais pourquoi, si je me sens forcée ainsi, ai-je mis une telle tenue ?Ces bottes montant au-dessus des genoux sont à la mode en ce moment... mais tout de même, plutôt osées. Ma robe est aussi vraiment moulante.
Je rentre dans la maison avec un air dédaigneux. Je me pavane dans la pièce, me rendant bien compte que Kao est plutôt énervé. Je le regarde comme une patronne regarde un employé. Je me comporte comme si rien ne s’était passé la dernière fois.
Alors que je passe devant Kao, demandant une flûte de champagne, il se lève. Sa taille imposante me domine. Je me sens faible femme, mais tente de garder mon calme.
— Je vous remercie d’aller me chercher ma boisson, Monsieur, c’est bien gentil.
Il me regarde comme on regarde une proie. Puis il me passe brutalement un bras derrière la taille :
— Mais bien sûr, Madame.
Et il ponctue ces mots d’un coup de cravache sur la croupe.
— Mais comment... Comment osez-vous ?!
Sans hésiter, il me prend par la taille et me serre contre lui et m’embrasse goulûment. Je me débats et frappe sa poitrine.Il rigole, excité par ma résistance :
— Vas-y, ma belle Jenna, j’aime ça.
Il me pelote les fesses avec ardeur avant de les frapper de nouveau.
— Ne fais pas ta Sainte-Nitouche, habillée comme tu es. Tu voulais exciter les hommes, et bien, tu as ce que tu veux, et tu vas trouver ce que tu cherches !
J’essaie de lui échapper, mais il attrape le haut de ma robe et la déchire de ses mains puissantes.
— Voilà qui est mieux, salope. On peut voir tes gros seins.
Ludique, je cache autant que possible mes seins encore partiellement cachés par le haut du bustier en dentelles :
« - Non, vous n’oserez pas, monstre. D., vous ne pouvez pas le laisser me violer comme une bête sauvage... »Ils rigolent tous les deux, sachant que je fais mon cirque de femme rangée, qui aime être possédée brutalement.
° ° °
Je dois dire qu’elle a fait fort, dans la provocation, cette petite salope. Devant Kao avec ses gants, cravache à la main, une autre qu’elle n’aurait pas moufté, et ce serait dit qu’à la moindre parole de travers, elle allait en prendre pour son grade.Non seulement ça ne l’a pas arrêtée, mais elle a fait son cinéma, comme si de rien n’était. Je n’étais pas dupe. Elle savait bien à quoi s’attendre, et qu’un scénario avec début plutôt soft n’était pas dans les plans.On dirait qu’elle a tout fait pour exciter la colère de Kao. C’était risqué, mais contrairement aux apparences, elle n’est pas peureuse. Elle a préféré faire sa fière.
Ça n’est pas non plus pour déplaire à ce Noir athlétique et vicieux pour qui, si elle avait fait la soumise craintive d’emblée, aurait sans doute été un peu déçu. Être un peu aiguillonnée de la sorte en lui donnant un motif légitime pour la corriger l’excite encore plus, je le sais.(Je partage d’ailleurs ses goûts : qu’une femme fasse semblant de se rebeller, de s’indigner, une femelle qu’il va falloir dompter et venir à bout de ses résistances, c’est plus bandant qu’une petite conne qui s’agenouille d’emblée en baissant les yeux avec des « Oui Maître. Je suis votre soumise. Je ferai tout ce qu’il vous plaira, Maître. »)
N’empêche que les coups secs de cravache sur son fessier l’ont rapidement ramenée à la réalité. Son poignet prisonnier par la forte pogne de Kao, le bras tordu dans le dos, la voilà comme sous l’effet d’un électrochoc. Elle ne s’attendait pas non plus à la galoche passionnée dont l’homme l’a gratifiée, et pas davantage à ce qu’il montre une telle force en lui déchirant la robe de bas en haut à partir de l’encolure.
Elle a une allure franchement piteuse à présent, sa robe pitoyablement loqueteuse qui tient encore sur ses épaules et sur la taille. Pas pour longtemps : Kao a brutalement dégagé les épaules, et la voilà en bustier vaporeux et à trous-trous, la robe pendant sur son ventre. Cette garce a choisi de nous allumer avec des sous-vêtements affriolants.
— Hummm... fait Kao, « je vois que Madame a du goût et ne ménage pas ses effets. Passez-moi les ciseaux cher ami. »

Je les lui tends. Il les ouvre et commence à s’amuser à promener la lame sur le cou de la brune qui se met à frissonner d’effroi.Puis il attrape le bustier entre pouce et index, au niveau du sommet d’un sein... et coupe, faisant une ouverture ronde d’environ deux centimètres de diamètre. Puis il pratique de la même façon à côté.
Il s’aperçoit aussitôt qu’en dessous apparaît la peau nue. Sur le moment, il pense qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. Est-ce pour en avoir le cœur net ou pour poursuivre sa basse besogne, il passe les ciseaux par un des deux trous et découpe le beau tissu jusqu’à l’autre ouverture nouvellement créée, faisant une ouverture horizontale. Puis il se met à couper d’un trait vertical de l’encolure vers le bas jusqu’à atteindre l’entaille horizontale... et continue à descendre, fendant le bustier jusqu’en bas ! Il attrape les deux pans et les écarte en les arrachant violemment : dessous apparaît un soutif pigeonnant quart de balconnet qui ne cache pas grand-chose... d’abord parce qu’il ne masque même pas la moitié des larges aréoles brunes de Jenna, et ensuite parce qu’il est en tissu gris, quasi transparent.
Kao s’énerve et s’excite : il coupe d’un coup de ciseau sec et net chacune des bretelles de la robe de lainage (enfin ce qui a été une robe !) et celle-ci tombe comme une loque sur ses bottes. Puis il fait de même avec les bretelles du bustier :
Jenna se retrouve avec ce soutien-gorge de pute, une culotte assortie - donc transparente – et ses bottes (qui sont presque des cuissardes) et ses bas autofixants : une femme offerte aux formes appétissantes livrée aux sauvages !
— A quatre pattes, salope ! lui intime Kao.

Elle renâcle, fait mine de s’indigner. Kao d’une main puissante, lui enserre la nuque, et de l’autre, lui assène une série de claques puissantes sur son fessier, d’un air très en colère :
— D., cette pute croit qu’elle a le choix, qu’elle peut se permettre de discuter, elle a mérité d’être sévèrement punie. Nous allons l’attacher et lui tanner le cul avec une strappe !
Mais Jenna tout en suppliant se jette à genoux, puis à quatre pattes. Kao n’insiste pas, mais pour lui montrer qui est le Maître et qui doit obéir aux ordres sans tergiverser, il enlève sa ceinture et lui assène une demi-douzaine de coups au travers de son plantureux fessier.Jenna hurle, rue.Kao se penche, se saisit de la culotte et la lui baisse à mi-cuisses. Puis lentement, il lui écarte les fesses :
« - J’espère que tu as le cul propre, petite souillon. Je ne salis pas ma queue en sodomisant les bourgeoises négligentes. S’il y a des traces douteuses – et si l’intérieur n’est pas nickel – je te laverai au Karcher, moi, crois-moi ! Et si d’aventure, tu pensais que tu échapperais aujourd’hui à l’enculade par un étalon avec ces stratagèmes, tu te mets le doigt dans l’œil.... En attendant, ça n’est pas dans l’œil que je vais t’enfiler mon doigt, moi ! »° ° °
Je ne sais que dire. Le choc est visible sur mon visage. Je suis effrayée.Je commence à essayer de négocier. Je sais qu’être sodomisée par un tel monstre me tuerait. Je reste à quatre pattes, mais tourne la tête vers Kao :
— Ne faites pas ça s’il vous plaît. Je ferai ce que vous voulez, mais ne me faites pas mal.
Kao sourit d’une façon qui me glace le sang. Je comprends qu’il veut me faire mal, me faire crier et me rabaisser. Il me caresse les cheveux comme on caresse un chien. Sortant sa grosse queue, il me la met devant le nez.
— Montre-moi que tu veux être appréciée.
Je me redresse, et à genoux dans mes bottes de luxe qui montent haut, je commence à le branler lentement. Le contraste de mes fins doigts blancs sur sa grosse bite noire est saisissant. Je prends son gland dans ma petite bouche snob. Je m’applique le mieux possible. Mes efforts sont récompensés et il grogne de plaisir :
— Oh oui, Jenna, oui comme ça, bien... Oh oui, ta petite bouche est parfaite... Hhaaa.
Excité par la scène, D. attend un peu puis vient derrière moi. Il se met à me pétrir les seins, à me caresser le cul et à masser les lèvres de ma chatte. Je commence à réagir et miauler tout en étouffant sur cette queue massive.Il voit du coin de l’œil l’écran de la caméra qui enregistre cette scène - une femme blanche prétentieuse en train de faire de son mieux pour donner du plaisir à un Noir sadique.
Kao me dit :
— C’est bien, mais maintenant, je vais te prendre et te mettre enceinte. Mon sperme est le plus puissant et tu auras mon bébé.
Je le regarde ahurie. Je prends cela pour une blague. D. me dit :
— Il ne rigole pas, et cette fois, il va te baiser sans capote. Tu vas aimer ça, sale chienne.
Je commence à me débattre, ce qui amuse Kao encore plus. Il me soulève et me place sur le dossier du canapé, renversée à plat ventre, cassée en avant. La hauteur des talons de mes bottes fait ressortir mon cul.
D. s’assure que la caméra est bien placée. Kao met du lubrifiant sur sa queue.
— Oh non. Non ! Mets une capote. Non, je ne peux pas...
Kao me prend les poignets. Je me débats et mes bottes frappent le sol. Il me tord les bras et m’attache les poignets dans le dos. Rigolant de mes faibles défenses, il me caresse les fesses et les écarte. Je suis sans défense et sur le point d’être montée par un étalon en rut.
(A suivre...)
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