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Le Pupille

Chapitre 2

L’inspection

Voyeur / Exhibition
VERGES HAUTES !
    L’ordre claqua dans la pièce, raisonnant dans le grand espace. Les quatre rangées de domestiques se concentrèrent en même temps et, chacun leur tour, dix-neuf pénis se dressèrent. La vitesse d’exécution était plus ou moins marquée selon les individus mais tous, sans exception, parvinrent à ériger leur virilité par la seule force de leur esprit.Les domestiques s’étaient d’eux-même positionnés par corps de métiers puis par mensurations, comme le voulait le règlement. Les quatre rangées étaient ainsi divisées en deux et se faisait face, de la manière suivante :À gauche, le personnel d’entretien de maison dans sa globalité. Le premier rang comportait cinq hommes dont Victor, dotés d’érections mesurant entre dix et douze centimètres et d’une circonférence de six à neuf centimètres. Derrière eux se tenaient quatre membres bien plus épais mais pas guère plus longs, affectés au service de chambre. La Dame avait insisté sur ce point : le service de chambre devait être effectué par des phallus épais et d’une longueur équivalente à celle en vigueur dans le corps d’entretien. On y trouvait donc de beaux spécimens dépassant les neuf centimètres de diamètre et allant jusqu’à douze pour le mieux pourvu.À droite, le personnel de cuisine composait le premier rang et le personnel de service de table le dernier. Dans les faits, les deux corps de métiers œuvraient sur les deux fronts en même temps mais il était nécessaire de les différencier lors des grandes réceptions car les attentes n’étaient pas les mêmes. Le personnel de cuisine présentait six pénis du même gabarit que le personnel d’entretien à une différence près, et non des moindres : ils produisaient naturellement une importante quantité de liquide pré séminal. Et enfin, les quatre phallus affectés au service de table. Ceux-là étaient hors compétition. Yugen les considérait d’ailleurs plus comme des armes contondantes que des organes reproducteurs. Tous, sans exception, mesuraient minimum vingt centimètres de longueur pour onze de diamètre. Et tous avaient aussi la particularité de sécréter énormément de fluide en plus de pouvoir fournir des éjaculations fontaines si le besoin s’en faisait sentir. C’était nécessaire, le service de table l’exigeait.Yugen n’étant pas affecté à un service en particulier il avait été décidé, il y a fort longtemps, qu’il devait se tenir à part, à la perpendiculaire, quelques pas derrière l’Intendante. Ses attributs sortaient donc du lot, toute courbure masquée par son érection qui dopait ses mensurations, lui permettant d’atteindre un joli vingt-et-un centimètres de longueur pour une circonférence de dix centimètres. Cet attirail peinait encore un peu à rester horizontal malgré son poids, de par le manque d’expérience dans la maîtrise de son afflux sanguin.
    Le jeune homme avait fini par s’habituer aux jalousies des trois quarts du personnel de maison, qui lui jetait des regards en coin depuis qu’il avait entamé sa puberté. Ils ont tous vu son membre grandir et se dessiner pour se rapprocher d’un outil digne d’un Majordome. Et, maintenant qu’il était adulte, tous savaient qu’il était génétiquement destiné à ce titre. Ils ne pouvaient rien y faire, si ce n’est admirer cette œuvre biologique.
    Madame Doniya observait la Levé des Verges d’un œil critique et expert. Elle tenait en main un chronomètre qu’elle actionna une seconde fois lorsque le dernier pénis eut terminé de se dresser. Elle le regarda.
─ Seize secondes et quatre vingt-trois centièmes. Je rappelle que l’objectif moyen est à quinze secondes…
    Elle ne termina pas sa phrase, car ce n’était pas utile. La remarque était passée, les retardataires allaient s’atteler à bander plus vite d’ici la fin de la journée. Elle poursuit ensuite son inspection avec minutie, inspectant chaque corps sous toutes leurs coutures. Dessin des muscles, absence de graisse aux endroits stratégiques, précision du rasage, la qualité des odeurs, le goût des liquides pré-séminaux. Une fois sa première tournée achevée, elle aboya un nouvel ordre :
─ PRÉSENTEZ ANUS !
    Tous, alors, se retournèrent pour se pencher, présentant leurs derrières pour la fin du contrôle qui se fit tout aussi minutieux qu’au départ. Qualité de l’épilation, propreté, effluves, rougeurs. Tout y est passé.
─ Repos, messieurs.
    Le personnel se redressa pour se remettre en position, puis les sexes se désengorgèrent petit à petit, à leurs rythmes. Certains eurent beaucoup plus de mal, comme Yugen, qui restait bloqué en érection quoi qu’il fasse. Il se crispa, espérant que Madame Doniya ne se retourne pas.
─ Notre Dame arrive aujourd’hui, soit une semaine plus tôt que prévu, dit-elle. Pour cette raison, je ne contrôlerai pas la qualité de vos semences. J’ai besoin que vos testicules restent plein pour son retour. J’ose espérer que, comme à l’accoutumé, vous avez respecté votre abstinence et serez donc en mesure de délivrer une performance correcte si besoin. J’ai cependant remarqué que certains d’entre-vous ont encore un goût un peu trop salé. Je vous demanderai de forcer sur les fruits d’ici ce soir, et ne pas saler votre repas. Nous n’avons pas assez de temps pour mettre en place le régime traditionnel, je pense que Notre Dame le comprendra. Attention, également, aux peaux sèches. Je vois encore trop de glands sec. Remédiez à cela. Ça sera tout, vous pouvez disposer. Yugen, va m’attendre dans le cabinet avec ta gaine.

    Le jeune homme avait essayé de filer en douce mais n’avait pas été assez rapide. Point positif cependant : son érection était tombée dès la mention de son nom.Traînant la patte, il alla chercher son outil de torture. Il soupira en pensant aux trombones difformes cachés sous l’un de ses tiroirs. Cela faisait plusieurs mois maintenant qu’il essayait de crocheter ces cadenas, sans succès. Il avait pourtant trouvé bon nombre de guides mais tous s’étaient révélés inefficaces. Il allait donc devoir supporter cette cage pénienne et freiner le moindre début d’érection jusqu’à la fin de la journée.
    Quelques minutes, il arriva dans le cabinet de l’Intendante qu’il trouva attelé à diffuser ses ordres depuis sa tablette vers les écrans disposés dans les quartiers du personnel de maison, dans les combles du “manoir”. Ce cabinet n’était en réalité qu’un bureau, mais la pièce était suffisamment grande pour contenir, en plus du mobilier et des archives diverses et variées, une table d’auscultation et plusieurs outils destinés à examiner et prendre les mensurations des hommes dans le domaine. La décoration était assez simpliste mais ne manquait pas de goût, avec ses murs blanc recouverts de lames de bois sombres éparses et parallèles, à l’arrière desquelles perçait une douce lumière orangée. On trouvait également quelques plantes en pots parfaitement entretenues qui donnaient à la pièce une atmosphère chaleureuse. Yugen aurait presque put se détendre si la perspective de se retrouver une nouvelle fois avec le sexe cadenassé ne le crispait pas autant.Sans lever la tête ni même prononcer le moindre mot, Madame Doniya indiqua d’un doigt la table et le pèse-personne, vers lesquels le jeune homme se dirigea. Il posa la gaine et s’assit sur la table. Son pénis chaud vint se poser sur sa cuisse, toujours aussi courbé.Deux nouvelles minutes plus tard, Madame Doniya posa sa tablette et s’approcha du pupille, se frictionna les mains avec énergie pour être certaine qu’elles soient chaudes.
─ Debout, ordonna-t-elle. Verge haute.
    Yugen se campa sur ses jambes mais pour ce qui était de son érection, elle eut plus de mal à venir en raison du regard insistant de l’Intendante sur son entrejambe. Mais elle ne chronométrait pas, donc Yugen s’imagina que ça ne devait pas être un problème.
─ Notre Dame ne t’as pas vu depuis une bonne année, entre ses déplacements, tes apprentissages et tes stages. Et cette fois, elle sera accompagnée. Il est donc fort probable que l’on te regarde, que l’on t’inspecte, voire même que l’on te goûte. Voilà donc pourquoi je te contrôle de manière précise aujourd’hui, avant de te remettre ta gaine. Malheureusement, on ne pourra rien faire de plus pour ta courbure alors tu as intérêt à surveiller tes érections. Compris ?─ Oui, Madame Doniya.─ Bien.
    Elle débuta son examen par un contrôle précis de sa masse musculaire, prenant des côtes et détaillant les courbes avant d’inscrire les résultats dans un carnet. Parfois, elle appuyait son rapport d’une photographie lorsqu’un détail semblait la gêner.
─ Ton entraînement m’a l’air efficace. Tu ne seras jamais sculpté comme un culturiste, mais ton corps est agréable à regarder. Enfin… Si l’on met de côté la courbure de ton sexe, bien entendu. Comment se porte ton régime ?
    Elle cherchait désormais des dépôts de graisse aux zones habituelles, allant jusqu’à empoigner son fessier à pleines mains, tout en le malaxant.
─ Bien, Madame Doniya. Je l’ai suivi à la lettre, comme indiqué par la nutritionniste et la sexologue.─ Parfait. Et ton abstinence ?─ Euh… Je…─ Eh bien ?─ Il me manque deux semaines…─ Je m’en doutais ! Gronda-t-elle. Vous êtes vraiment intenable à cet âge. Quelle est ton excuse ?─ Je… Je m’exerçais, Madame Doniya…─ Mon apprentie est absente, avec qui tu pouvais bien t’exercer ? Tu le faisais seul ?─ N-non Madame Doniya… J’étais avec Joshua, pour parfaire mes connaissances homosexuelles, comme vous me l’avez demandé…─ Je t’ai donné un planning pour ça, Yugen. Un planning qui permet justement de t’exercer sans sacrifier la qualité de ta semence !─ O-oui Madame Doniya…─ Ton éjaculation était importante ?─ N-non Madame Doniya, nous avons fait vite !─ Bon. Si tu dis vrai, il doit rester suffisamment de sperme dans tes testicules. Et j’espère que tu dis vrai !─ Je ne mens pas Madame Doniya !─ De toute façon, je ne peux pas contrôler. Tourne toi, montre moi ton anus. Et attention à ton érection, tu commences à la perdre.
    Effectivement, sa verge avait perdu de sa rigidité dès le début du sermon et il n’avait pas eu la présence d’esprit de la maintenir. Il se rattrapa aussitôt, forçant son membre à se redresser alors qu’il se tournait et se penchait pour présenter ses deux fesses écartées. Il sentit alors Madame Doniya passer un coton tige sur le bord de son orifice, le chatouillant un peu. Une nouvelle photo fût prise, puis deux doigts chauds vinrent palper l’arrière de ses testicules pendants, là où trônait encore la cicatrice de son précédent rasage.
─ Ta peau ne supporte toujours pas l’épilation ?─ Non Madame Doniya.─ Hum. C’est embêtant. Il va falloir que je demande conseil à un dermatologue… Retourne toi, verge toujours haute.
    Il s’exécuta et présenta son membre tendu au visage de l’Intendante, qui avait toujours un genou en terre. Celle-ci observa le phallus d’un œil critique. Là aussi, elle prit des notes, des mesures. Des photos. Puis elle passa son index sur le bout de son gland, prélevant une goutte de liquide pré séminal qui s’était formé. Elle inspecta sa texture, puis porta son doigt à sa bouche sur sa langue rose. Elle goûta, sourcils froncés.
─ Ce goût est définitivement étrange…─ Pourtant je suis le régime, Madame Doniya !─ Hum. Je vérifierais avec la cuisine et je fouillerai ton placard dans le doute mais… Tu avais déjà un goût étrange la dernière fois que je t’ai contrôlé. Julia n’a pourtant rien spécifié dans son rapport de votre précédent ébat.─ Elle m’a dit que ce n’était pas mauvais…─ Ça ne l’est effectivement pas. C’est simplement étrange. Le régime devrait te donner un goût plus doux. Pourtant, il y une certaine âpreté, une rigidité… Peut-être est-ce ton après-rasage. Voyons cela.
    Elle approcha la tête, renifla. Puis, sans prévenir, goba l’intégralité de son épais gland. Yugen sursauta, surpris. La panique commença à le prendre mais il se força à rester immobile alors qu’il sentait la langue de l’Intendante s’activer autour de son organe gorgé. Puis elle aspira un bon coup et libéra le bout rougit qui, maintenant, luisait de salive.
─ Non, ce n’est pas l’après-rasage mais bel et bien ton fluide qui à ce goût. C’est très étrange. Cela se rapproche du caramel.
    Elle prit appuis sur ses genoux puis se releva, délaissant le barreau tendu de désir de Yugen qui n’avait plus aucun problème à le maintenir irrigué. Elle se dirigea vers son bureau puis fouilla dans une petite pile de documents. Elle finit par en sortir une liasse de trois pages, tenues ensemble par une agrafe. Elle parcourut le document des yeux, tourna une page, s’arrêta.
─ Julia m’a informé que tu avais fait des progrès en préliminaires et en lecture posturale. C’est très bien d’apprendre à lire les désirs et inconforts de tes partenaires, mais n’oublie pas que ce n’est qu’une science informelle. Au moindre doute, tu te dois de verbaliser la demande de consentement.─ Oui, Madame Doniya.─ La personne qui t’offre son corps mérite le respect. Il est capital que tes actions soient consenties à cent pour cent. Le diplôme qui te sera attribué l’année prochaine, si tu l’obtiens, attestera de tout cela. Tu devra être irréprochable en tout point. Il en va de la notoriété de cet établissement.─ J’en ai conscience, Madame Doniya.─ Bien (elle posa le document sur le bureau). Tu as déjà rencontré Dame Ingrid, la sœur de Notre Dame. Qu’en est-il de sa fille, Dame Célia ?─ Une fois seulement, lorsque nous étions enfant.─ C’est bien ce qu’il me semblait. Eh bien, vous êtes tous les deux adultes maintenant. Elle a un an de plus que toi, donc il n’est pas exclu qu’elle te consomme lors de son séjour. Si c’est le cas, tu devras la satisfaire en tout point. Elle ne manquera pas d’occasion de se plaindre à Notre Dame si ce n’est pas le cas. Fort heureusement, elle est jeune et sans doutes moins exigeante que Dame sa mère. Mais tu dois être prêt, néanmoins.─ Je le serais, Madame Doniya.─ Nous allons nous en assurer tout de suite.
    Yugen marqua un temps d’arrêt, perdu et confus.
─ Mais… Julia n’est pas là, Madame Doniya.─ Non, en effet. Mais nous ne pouvons attendre son retour alors c’est moi qui te contrôlerait.
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