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Puppy

Chapitre 1

Zoophilie
Salut, Je me prénomme Puppy et j’ai un petit zizi ! Bon, la blague pourrie, c’est fait ! Comme vous l’aurez certainement déjà deviné, je suis un mâle, un vrai, un comme on n’en fait plus.Je suis un beau black, doux comme de la soie et très affectueux. J’ai tout juste un an et je suis un labrador Silver. C’est vrai, j’avoue, je suis un peu maladroit avec mes pattes, mais tout le monde m’adore ! Surtout ma maîtresse, Victoria ou Vicky pour les intimes. Depuis qu’elle m’a adopté, on est inséparable, ça va faire presque neuf mois que je vis avec elle dans son appartement sur la Côte d’Azur.
Vicky est une actrice ou une influenceuse, je crois, enfin je ne sais pas trop, mais je sais qu’elle passe beaucoup de temps devant la caméra du salon. C’est une jolie femme d’une vingtaine d’années, brune, cheveux mi-longs avec de beaux yeux marron clair. Sur sa peau, il y a des coloriages de couleur noire, je trouve ça bizarre, mais ça lui va bien. Je la vois souvent se balader en petite tenue dans la maison surtout dans son salon. Je dirais qu’elle est très attirante, mais moi pour l’instant c’est m’amuser qui m’intéresse et renifler tout dans l’appartement, donc pour le moment les femelles ne m’intéressent pas.
Elle m’a adopté parce qu’elle s’ennuyait dans son chez elle. Elle avait besoin de compagnie. Au début, étant une petite boule de poils, j’avais droit à beaucoup de câlins et elle me serrait tout le temps dans ses bras. Elle me sortait tous les matins et les après-midis au parc pour que je puisse me familiariser avec mon environnement et bien évidemment me soulager et me défouler les pattes. Maintenant que je suis grand, j’ai un peu moins de câlins, mais j’ai trouvé mieux. Je vous raconte.
C’était un après-midi, il y a un mois à peu près, on revenait de notre sortie quotidienne au parc. La chaleur de la journée avait obligé Victoria à énormément s’hydrater. Si bien que c’est d’un pas assez pressé que nous nous dirigions vers l’appartement, car Vicky avait une envie pressante. À peine arrivée dans l’appartement, elle partit à toute vitesse en direction des toilettes. Moi, m’étant déjà soulagé dans les buissons qui jouxtent le parc, je fis, comme à mon habitude, le tour de la maison pour voir si je pouvais trouver quelque chose d’intéressant avec quoi jouer. Je commençai dans le salon où une superbe balle m’attendait, mais non, je n’avais pas envie de mordiller cette balle, peut-être tout à l’heure. Je continuai ma déambulation dans l’appartement et arrivai dans la chambre de ma maîtresse, je reniflai un petit peu par-ci, par-là, mais non toujours rien avec quoi m’amuser.
Je continuai mon exploration, arrivé dans le couloir, je trouvai la porte des sanitaires légèrement entrouverte. Vicky avait oublié de fermer la porte, très certainement trop pressée de soulager sa vessie bien remplie. Curieux de nature et surtout parce que je ne connaissais pas cette pièce, du fait que celle-ci soit toujours fermée, je rentrai la tête en avant et de bon cœur dans ces petites toilettes. Et là...
Je me cognai la truffe la première contre Vicky qui était en train de se soulager.
— Eh Puppy ! Tu m’as fait peur ! Qu’est-ce que tu viens faire aux toilettes avec moi ? Quel maladroit tu es mon Puppy, tu rentres comme une flèche et tu me rentres dedans.
Je me retrouvai la tête prise entre les cuisses de ma maîtresse. Je restai immobile ne sachant pas trop quoi faire. Avais-je fait une bêtise ? Est-ce qu’elle allait me gronder ? Vicky, elle, continuait à uriner, son envie était trop forte pour s’arrêter. Elle ne s’offusquait pas de voir ma tête à cet endroit. Je pense même que cela devait la travailler puisque c’est à ce moment-là que des effluves, que je ne connaissais pas, vinrent me caresser la truffe. Cette odeur me troublait, je ne savais pas de quoi il s’agissait, mais elles commençaient à faire monter en moi quelque chose que je ne savais pas m’expliquer du fait de mon jeune âge. Comme tout chien qui se respecte, quand quelque chose que l’on ne connaît pas sent si bon, on se doit de découvrir ce que c’est ! Je rapprochai alors ma truffe du bas-ventre de ma maîtresse et la collai sur le pubis de ma Vicky. Au lieu de me repousser, elle desserra un peu l’étreinte de ses cuisses.
Je pouvais humer ce parfum enivrant, mais il m’en fallait plus, je tendis alors ma langue, celle-ci vint se poser sur le bas-ventre de ma maîtresse qui fût surprise par ce geste.
— Oh ! Mon chou, mais qu’est-ce que tu fais ?
Ma Vicky qui continuait à se soulager me caressa la tête délicatement. Quelques gouttes de son urine atterrirent sur ma langue. Ce goût me rappela celui qui sort de mon pénis quand je fais ma toilette, mais avec quelque chose de plus féminin et qui me procura une sensation de chaleur dans le creux de mes reins. Je recommençai, il fallait absolument que je récolte plus de ce liquide qui commence à me faire de l’effet. Ma langue s’aventurait alors partout sur son entrejambe, ma maîtresse qui était loin d’être rebutée, écarta encore plus les cuisses en se laissant aller et tant pis si elle faisait pipi partout.

— Oh mon chéri ! Ta langue me rend folle, lèche-moi bien partout ! Humm...
Ma langue avait trouvé l’origine de ce liquide et je décidai d’aller laper au plus profond pour récolter ce nectar qui changeait peu à peu de goût et devenait plus odorant. Ma langue passait sur une petite bosse au-dessus de la fontaine et à chaque passage, ma maîtresse poussait un petit cri de plaisir, donc je continuai à le faire et le jus devint de plus en plus excitant, un vrai aphrodisiaque.
— Oui oui oui, mon chien c’est bien lèche-moi bien la chatte !
La respiration de ma maîtresse accélérait jusqu’au moment où...
— Ouiiiii, je jouiiiiiiiiiiis !!!!
Pendant qu’elle jouissait, elle m’avait bloqué la tête avec ses mains pour que je ne la retire pas. Une fois remise de ses émotions, elle s’essuya, remit sa culotte et son pantalon et me fit un gros bisou sur le front.
— Merci mon Puppy, tu as été très gentil avec ta maîtresse ! Il va falloir que je te remercie comme il se doit. Mais là, tu m’as mis le feu au cul, je vais aller faire une petite vidéo pour mes fans, ils vont être ravis !
J’avoue que je n’avais pas tout compris à ce qui venait de se passer, mais j’étais plutôt content de moi, ma maîtresse était heureuse donc moi aussi. Je la suivis alors dans le salon et m’installai sur ma couverture et je la regardai faire sa vidéo. Je l’avais déjà vue faire plusieurs fois des vidéos, mais sans jamais comprendre ce qu’elle faisait, mais là tout allait s’éclairer. Elle alluma sa caméra, s’installa sur le divan, dit quelques mots et commença à se caresser le corps par-dessus ses habits. Puis au fur et à mesure que la vidéo avançait, elle enleva la totalité de ses fringues. Elle était totalement nue, les cuisses ouvertes, se caressant la poitrine d’une main et son entrejambe de l’autre. Je reconnus ce parfum si envoûtant que j’avais senti en elle aux toilettes. Plus la vidéo avançait, plus cette odeur si enivrante embaumait la pièce, de son entrecuisse je pouvais apercevoir un liquide jaillir avec abondance.
Ma maîtresse se faisait du bien et elle prenait beaucoup de plaisir à se doigter son abricot tout en me regardant avec perversité. Elle activait ses doigts avec frénésie dans son antre de plaisir. Il lui en fallait au moins trois pour la combler. Après une bonne vingtaine de minutes à se donner du plaisir devant sa webcam, elle jouit avec force et s’affala sur le divan pour récupérer. Il lui fallut que quelques secondes pour reprendre son souffle, elle se lécha les doigts, dit quelques mots à la caméra et l’éteignit.
— Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui comme ça mon Puppy. C’est à cause de toi et de ta jolie frimousse, tu m’as tellement excitée tout à l’heure avec ta langue. Allez, je file à la douche !
Elle me passa à côté et se dirigea vers la douche. À son passage, son odeur de femme excitée me fit me dresser et la suivre dans la salle de bain. Arrivé dans la pièce, elle fila dans la douche et moi je m’installai sur le tapis. L’eau chaude glissait sur son corps suave, la paroi vitrée de la douche ne cachait rien, elle était nue devant moi à se caresser la peau avec son éponge rose, elle était comme une nymphe sortant de l’eau, sa beauté n’avait égale que sa gentillesse et son sourire. Moi, j’entamai aussi un brin de toilette, voir ma maîtresse Vicky se caresser tout à l’heure m’avait mis en émoi et mon sexe sortait de son fourreau. J’entrepris de le nettoyer avec ma langue, ce n’était pas désagréable au contraire je dirais. Après quelques minutes à me nettoyer, je m’aperçus que Victoria avait fini sa douche et était en train de se sécher, les yeux fixés sur moi, enfin sur ma verge.
Sans un mot, elle s’agenouilla et s’approcha de moi, sa main vint caresser mon ventre et se dirigea vers mon fourreau.
— Dis donc mon chou, tu fais exprès de m’allumer ? Tu te lèches la bite devant moi ! En plus elle n’est pas petite ! Elle doit bien faire une vingtaine de centimètres et elle est bien plus grosse et épaisse que celle de Marc !
Victoria se pencha, elle avait le visage à quelques centimètres de ma verge, je la laissai faire puisque c’était ma maîtresse, je ne savais pas alors ce qu’elle s’apprêtait à faire. Je pouvais sentir son souffle chaud sur les poils de mon cache-sexe, sa main caressait mon fourreau, ma verge qui n’était qu’à moitié sortie se durcit un peu plus et commença à grandir.
— Humm mon Puppy, tu sens le sexe ! J’adore ! Il faut que je la goûte !
Ma maîtresse, sortit alors sa langue de sa bouche, pour venir se poser sur la pointe de ma bite. Elle y préleva un peu de mon jus et le goûta.
— Humm, délicieux, tu as un goût exquis mon chou !
Elle avança un peu plus son visage de ma verge pour que ses lèvres viennent aspirer la pointe de mon sexe. Ce fut tout nouveau pour moi, je ne connaissais pas, mais je prenais beaucoup de plaisir. Je sentais les caresses de sa main sur mon fourreau et je distinguais aussi sa langue faire de petits tours dans sa bouche autour de mon gland. Je me laissais faire, ma maîtresse avait l’air de maîtriser ce que les humains appellent la fellation. Après quelques instants, Victoria commença à enfoncer ma verge plus profondément dans sa bouche et entamait un va-et-vient avec sa tête. Mon excitation était grande, un jus commençait à sortir de ma bite, ce qui remplissait rapidement la bouche de ma maîtresse.
— Oh Puppy, ton nectar est divin ! Légèrement salé et épais, j’adore !
Elle continua son art avec avidité et finit par engloutir ma verge jusqu’à mon bulbe ! À chaque aller-retour ma verge dégoulinait de mon jus de mâle qui plaît tant à ma maîtresse. Victoria faisait au mieux, tantôt elle l’avalait, tantôt elle le laissait sortir de sa bouche. Ses mains me caressaient le fourreau et le bulbe. Celui-ci prenait de plus en plus de volume, elle le serrait dans sa main, après quelques instants, je me vidai dans sa bouche avec de longs flots de semence canine. Vicky n’en perdait pas une goutte, elle en buvait jusqu’à plus soif, le reste coulait sur le tapis de la douche. Tout cela avait duré près d’une demi-heure. J’étais cané et Victoria aussi apparemment, vu le souffle court qu’elle avait.
— Eh ben dis donc mon Puppy, tu es sacré mâle ! Je sens que tu vas souvent venir me voir sous la douche ! Allez, je refile sous la douche, j’ai plein de ton nectar sur moi.
Je m’éclipsai dans le salon où je retrouvai mon panier. Après une bonne heure, je vis réapparaître Vicky dans le salon. Toujours dans une tenue très courte, un simple shorty et débardeur, elle vint me déposer un baiser sur le front et alla se poser sur le canapé. Elle avait allumé la radio, une douce mélodie avait envahi l’appartement, l’ambiance était à la détente. En même temps, Vicky avait pris son ordinateur, je ne sais pas trop ce qu’elle trafiquait avec, mais j’ai pu l’entendre dire.
— Bon la vidéo de tout à l’heure pour mes fans c’est fait, maintenant voyons un truc.
Je me levai et vins me poser sur le canapé avec elle, je posai ma tête sur sa cuisse et profitais de l’instant.
— Oh ! Mon Puppy d’amour, tu veux que je te caresse toi. Tu l’as bien mérité mon chien.
Elle me grattouillait le haut de ma tête et tapait sur son ordinateur des choses que je ne pouvais décrypter. Je fermai les yeux pour profiter de ce moment de caresse que j’adore. J’étais bien là, posé sur sa cuisse à profiter de ses caresses. Je l’entendis tapoter sur son clavier, mais je restai les yeux clos et je profitai de l’instant. Au bout de quelques minutes, je sentis cette fameuse odeur que j’avais déjà humée tout à l’heure chez ma maîtresse. J’ouvris les yeux et je me trouvai nez à nez devant une femme et un chien ! Et ces deux-là avaient l’air de prendre beaucoup de plaisir ! Ma maîtresse avait entamé des recherches sur les chiens qui s’occupent de leur maîtresse ! Tout d’abord étonné, je me redressai pour mieux voir et oui, sur l’écran de l’ordinateur, on pouvait voir un chien les pattes de devant de chaque côté d’une femme et qui semblait la besogner ! Je me tournai vers ma maîtresse.
Victoria avait une de ses mains sous son débardeur et se caressait le sein droit, son autre main avait quitté ma tête et avait filé entre ses cuisses.
— Oh ! Regarde mon chou ! Elle a l’air d’aimer se faire baiser par ce chien ! Ça m’excite c’est dingue ! Allez viens avec moi allons dans la chambre, tu vas me baiser j’ai trop envie d’essayer !
Elle se leva, ferma son ordinateur et se dirigea vers la chambre. Je la suivis et m’installai sur le tapis au pied du lit tandis qu’elle se déshabillait.
— Non mon Puppy, monte sur le lit.
Surpris parce que d’habitude j’avais interdiction de monter dessus, je la regardai et grimpai dessus après avoir vu son regard approbateur. Je m’installai au centre du lit, pendant ce temps Victoria attrapait une paire de chaussettes qu’elle enfila sur mes pattes de devant. J’avoue, je n’ai pas été fan, mais je m’y suis habitué. Une fois tous les deux nus, pour moi c’est tout le temps le cas, Vicky s’allongea près de moi sur le flanc. Je la regardai, tout content d’être sur le lit de ma maîtresse, elle approcha son joli minois du mien et je m’enhardis de le lui lécher. Elle rigola puis elle ouvrit la bouche comme si elle voulait m’embrasser, sa langue se glissa entre ses lèvres et vint jouer avec la mienne. Nos langues dansaient l’une avec l’autre, c’était un peu étrange au début, mais je me suis rappelé qu’elle faisait ça aussi avec Marc de temps en temps, du coup j’étais très content que ma maîtresse le fasse avec moi et c’était fort agréable.
Une de ses mains me caressait la tête et l’autre venait se balader sur mon ventre, j’appréciai beaucoup ses caresses et en profitai pleinement. Après quelques instants comme ça, Vicky s’allongea sur le dos et m’invita à lui lécher le corps.
— Allez mon Puppy, lèche ta maîtresse ! Donne-moi encore du plaisir !
Ma langue vagabonda alors sur son corps, tout d’abord sur ses seins qui gonflaient au fur et à mesure. Victoria en profitait pour glisser une main entre ses cuisses et se caresser son fruit d’amour. Mais elle ne m’oubliait pas, son autre main était maintenant sur mon fourreau et elle commença un va-et-vient lent et doux. Ses tétons étaient devenus tout durs et bien rouges sous les coups de ma langue, sa respiration avait légèrement accéléré, les yeux de ma maîtresse s’étaient fermés pour mieux profiter du moment. Ma verge était maintenant complètement sortie de sa cachette. Victoria qui en voulait toujours plus était venue tête-bêche avec moi. Elle voulait encore prendre ma bite dans sa bouche, mais elle souhaitait aussi que je lui lèche son fruit d’amour. Elle avança son bassin vers mon visage tandis qu’elle gobait ma verge. Son odeur de maîtresse excitée que je connaissais maintenant me fit réagir comme un aimant.
Ma langue vint parcourir son entrejambe rendre encore plus humide cette zone qui l’était déjà beaucoup. A chaque coup de ma langue, ma maîtresse gémissait et écartait encore plus les cuisses. Un jus d’amour sortait aussi de sa fontaine de plaisirs. Vicky avait l’air d’apprécier beaucoup mes coups de langue et d’ailleurs moi aussi j’adorai ce qu’elle me faisait. De nos deux sexes, on pouvait voir du jus de nos plaisirs couler à foison. Après plusieurs minutes intenses à nous délivrer des orgasmes buccaux, Victoria décida qu’il était temps.
— Allez mon chéri, c’est le moment ! Fais de moi ta chienne !
Elle se mit à quatre pattes sur le lit et me présenta son arrière-train. Je n’ai pas hésité une seconde, ayant vu comment il fallait monter une femme sur la vidéo, je m’étais placé derrière elle pour m’apprêter à la prendre. Mais une fois derrière elle, je vis une des plus belles choses que l’on peut voir chez une maîtresse. Deux belles petites montagnes et en son milieu une jolie vallée d’où jaillit une fontaine de plaisirs et surmontée d’un puits d’amour. Je voulais absolument lui lécher sa fontaine dans cette position plus aisée, j’activai alors ma langue râpeuse et venais la déposer sur sa source de plaisir. Mais comme je suis un chien gourmand, je n’ai pas oublié son puits d’amour !
— Oh oui mon Puppy, c’est bon là aussi, lèche-moi bien enfonce ta langue dans ta chienne de maîtresse !
Ma Vicky bougeait ses hanches avec douceurs, elle appréciait énormément ce que je lui faisais, à chaque coup de langue son puits d’amour s’ouvrait un peu plus et un gémissement s’échappait de ses lèvres.
— Vas-y mon chien, fais de moi ta chienne maintenant ! Je n’en peux plus !
Elle tapota sur ses fesses pour m’indiquer qu’il fallait que lui grimpe dessus. Ce que je fis rapidement, je m’affalai sur elle, ma verge était venue se coller à ses fesses et je commençai un mouvement de va-et-vient frénétique. Ma queue se cognait contre ses fesses, j’étais tellement excité que je n’avais pas pris le temps de bien viser. Puis après quelques secondes de tâtonnements, ma queue s’introduisit sans ménagement dans sa petite chatte.
— Ooohh ! Tu es dedans mon chéri ! Vas-y fais de moi ta chienne !
Ma cadence était rapide, j’adorais ce que je ressentais, j’étais dans un endroit chaud et très humide, je remplissais ma maîtresse de ma queue et de son jus qui en sortait. Je continuai comme ça pendant quelques minutes et après l’avoir besognée et entendue crier de plaisir plusieurs fois, je donnai un dernier coup de reins et vint me verrouiller en elle. Ma semence sortit de ma bite par vagues et avec quantité. Ma maîtresse était dans un état second elle jouissait presque à chaque vague de sperme. Nous sommes restés ainsi pendant près de vingt minutes verrouiller l’un à l’autre pour notre plus grand plaisir. C’était ma première fois, que ce soit avec une humaine ou une chienne, j’étais heureux que ça soit ma maîtresse et elle était heureuse de m’avoir adopté. Une fois la grosseur de mon bulbe diminuée, ma verge sortit d’elle avec ce bruit si caractéristique et une vague de semence vint s’étaler sur les draps.
Victoria épuisée, mais avec un large sourire sur le visage, s’allongea dedans et entreprit de me nettoyer la queue. Après ce brin de toilette personnalisé, Victoria alla vite fait dans la salle de bain se débarbouiller, enleva les draps et m’invita à venir dans son lit pour dormir avec elle.
— Dorénavant, tu dormiras avec moi et tu pourras faire de moi ta chienne de maîtresse quand tu voudras.
Elle me déposa un doux baiser sur la truffe et s’endormit près de moi.
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