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Pure provocation

Chapitre unique

SM / Fétichisme
J’entre dans la chambre et tout doucement je m’approche du lit. Il est là, étendu, encore endormi. Si paisible, si serein.
Délicatement, je m’agenouille sur le lit et prends le temps de l’observer. J’aime le voir ainsi. Je souris en pensant déjà à la suite. Ne suis-je pas venue pour ça ?
Je me glisse sous les couvertures ayant pour objectif de ne surtout pas le réveiller. Je sens qu’il bouge et m’immobilise, fébrile, attendant quelques instants. Puis, je pose ma main sur son boxer et m’approche du lieu de mes convoitises. Quand ma main atteint son but, je commence à caresser son sexe à travers le tissu. Un léger renflement commence à se faire sentir. J’entends que sa respiration se modifie légèrement et je sais qu’il est réceptif à mes caresses. La tension monte d’un cran.
À deux mains, j’entreprends de baisser son boxer. Sa queue ainsi libérée va pouvoir subir ma douce torture. J’en salive à l’avance. Je sais qu’il est maintenant réveillé et alerte, j’ai senti ses hanches bouger lorsque j’ai pris sa queue à pleine main. Mais il me laisse faire et ne me repousse pas. Il les soulève légèrement pour m’inviter à retirer complètement son boxer.
Une fois enlevé, je m’installe entre ses jambes et donne un léger coup de langue sur son gland. J’entends un soupir, étouffé par la couverture qui me recouvre.Ma langue se fait curieuse et intrusive, délicate et ferme.J’aime jouer avec lui, sentir que je prends le contrôle.Je prends délicatement son gland en bouche et l’enfonce le plus loin possible dans ma gorge puis me retire.Sa queue est raide, je la sens palpitante entre mes doigts. J’adopte une cadence lascive pendant que ma bouche s’attarde sur ses testicules. Je les gobe l’un après l’autre, les aspire, les suce, les lèche avec application tout en accélérant le rythme avec mes mains.
Puis je laisse ma langue revenir sur sa queue et prends un malin plaisir à ralentir l’allure. Je veux le provoquer et sa réaction ne se fait pas attendre.D’une poignée de main ferme, il attrape mes cheveux et donne un coup de bassin pour m’obliger à la prendre entièrement dans la bouche. De son autre main, il retire la couverture et je peux entendre distinctement ses grognements.
« - Prends-la entièrement, comme ça ma petite pute, me dit-il.Tu as voulu jouer alors jouons. Maintenant c’est moi qui vais m’amuser avec cette petite bouche. »Et il tire sur mes cheveux pour approcher mon visage du sien.
« - Par contre, souffle-t-il, je ne suis pas satisfait de ce que je vois ma chienne.Tu sais que pour m’honorer, il t’est interdit de le faire ainsi vêtue. »
Il passe sa main autour de mon cou et serre jusqu’à ce que je suffoque. N’était-ce pas ce que j’étais venue chercher, connaissant parfaitement les règles que j’étais en train de transgresser ?
Il desserre son emprise tout en gardant sa main autour de mon cou.
— Regarde-moi, m’ordonne-t-il.

Je lève les yeux et les rebaisse aussitôt, désirant fuir son regard. Il est en colère, son corps s’est tendu sous le mien. Une tension est palpable entre lui et moi.
— Regarde-moi ma chienne, répète-t-il en levant la voix.

J’obéis et me force à soutenir son regard. Il est si perçant que j’en frémis.
— Voilà ma chienne... me dit-il en laissant sa phrase en suspens.

Sans avoir vu venir son autre main, je ressens une vive douleur sur une de mes joues. Une deuxième gifle arrive, m’arrachant quelques larmes sous le coup de la violence.
« -Voilà ce qui arrive quand ma soumise ne respecte pas mes règles, finit-il par dire.
L’étau se resserre autour de mon cou et il me force à m’approcher de son visage. Il me crache dessus et étale sa salive sur mon visage. Sa main ne fait preuve d’aucune délicatesse. Il pousse deux doigts dans ma bouche et commence à faire un lent va-et-vient. Ses doigts caressent ma langue puis il les enfonce le plus loin possible, me provoquant un mouvement de recul.
« - Grossière erreur ma soumise » grogne-t-il en recommençant à jouer avec ses doigts dans ma bouche.
Je commence à regretter mon idée. Mais c’est trop tard. Ses doigts m’étouffent, la main qui m’enserre le cou me laissera forcément une marque. La salive coule sur mon menton et des larmes ruissellent le long de mes joues. J’essaie de lutter contre cette angoisse qui arrive et ferme les yeux pour tenter de me contrôler.
— Ouvre tes yeux ma chienne, je veux te voir, j’aime te voir lutter contre toi même, c’est tellement bandant.
J’ouvre mes yeux et plonge mon regard dans le sien.Soudain, ses mains se retirent et il me dit :
— Tu avais commencé quelque chose ma chienne, non ?— Oui, Mon Maître.— Alors tu sais ce qu’il te reste à faire !
Je repasse d’un côté de son corps et me redresse. Je me mets debout à côté du lit et commence à me dévêtir lentement. Chacun de mes vêtements atterrit par terre au pied du lit. Puis, je m’agenouille au sol, les cuisses écartées, le buste et la tête droits, les yeux baissés, mes mains croisées dans le dos. Cette position fait ressortir mes courbes et met mes formes en avant. C’est ainsi que Mon Maître aime me voir, docile, soumise, offerte. J’aime sentir son emprise invisible prendre possession de moi.
Je l’entends bouger sur le lit et il se met debout devant moi. Il passe sa main sous mon menton et me force à relever le visage vers lui.
Ses gestes n’ont rien à voir avec la rudesse de sa voix quelques instants auparavant. Sa main est presque délicate. Son autre main caresse ma joue qui me picote encore après les gifles. Je ferme les yeux à ce contact me laissant aller contre sa main.
— Ma soumise... soupire-t-il, ma douce soumise.
Je sens sa queue frotter mes lèvres. J’ouvre la bouche et tire la langue. Il maintient maintenant l’arrière de ma tête, son autre main tenant fermement mes cheveux, les tirant en arrière.
— Ouvre les yeux.
Son regard plein de désir me transperce. Sa queue fait de lents aller et retour.
« - En entier, m’ordonne-t-il en enfonçant sa queue plus profondément.Oui, comme ça ma petite pute »Il accélère le mouvement jusqu’à me provoquer un haut-le-cœur. Il enserre sa prise dans mes cheveux à deux mains puis s’enfonce encore plus profondément dans ma bouche. Il reste ainsi, me voyant commencer à suffoquer. J’entends un léger grognement tandis que je tente de me débattre avec mes mains. Je pousse sur ses cuisses, j’essaie de détourner la tête, mais il me maintient fermement. Je lutte contre lui, j’envisage de le mordre. Je sors mes dents et entends :
— N’y pense même pas ma chienne... sur un ton d’avertissement.

Il se retire, tire violemment sur mes cheveux pour me faire redresser la tête puis me demande d’ouvrir la bouche et de sortir la langue.Il crache dessus et m’ordonne d’avaler. Puis me gifle tellement fort que ma tête suit son mouvement.
— Reprenons, me dit-il en souriant.

De nouveau, j’ouvre la bouche et accueille sa queue. Je la sens glisser entre mes lèvres, ma langue caressant son membre sur toute la longueur.
— Lève les yeux vers moi, m’ordonne-t-il.

Mon regard croise le sien. Il aime tant me voir à genoux rendant hommage à sa queue.
Il bouge lentement, mettant sa queue le plus loin possible dans ma bouche.Puis il s’immobilise et me pince le nez, m’empêchant ainsi de respirer.
— Ne résiste pas ma soumise, tu ne feras qu’aggraver ta situation.
Au bout de quelques instants, l’air vient à me manquer et un combat s’engage entre nous. Je le griffe, le pince, mais il ne bouge pas.
J’ai besoin de sentir l’Homme Dominant, Mon Maître. J’aime ce rapport de force, qu’il me remette à ma place, à ses pieds, à agir selon son bon vouloir.
Il me relâche le nez et retire sa queue en même temps. De la salive coule sur mes seins, des larmes inondent mes joues et je peine à reprendre ma respiration.
— Tu vois ma soumise, c’est comme ça que je t’aime.
Il appuie ma tête contre sa cuisse et me caresse les cheveux.Sa main est lourde comme pour me rappeler que je suis à lui. J’apprécie ce contact, la douceur de ce moment après sa violente intrusion. Ma chatte est mouillée, je perçois l’humidité entre mes cuisses. Je ferme mes yeux et laisse mon esprit vagabonder. ll recule et me demande de tendre les mains. Je le vois attraper une corde et en quelques mouvements maîtrisés, mes poignets sont fermement liés, laissant un bout de corde pendre.Cette corde va me laisser des marques tant elle est serrée. C’est déjà douloureux.
— Mon Maître, tentai-je, peux-tu la relâcher un peu ? — Non, répond-il.
Reprenant mon instinct combativité, je commence à tirer sur mes liens sachant que Mon Maître maîtrise parfaitement cet art.
— Putain, grognai-je toujours à genoux.

Je commence à me redresser pour me lever, mais sa main se pose sur mes épaules.
— Tu sais que tu m’excites quand tu luttes.
J’essaie de retirer sa main en lui donnant un coup d’épaule et je devine qu’il va me faire payer très chèrement ce geste. Me prenant par surprise, il tire brutalement sur ce bout de corde et l’attache à l’un des crochets qui orne son lit.
Ligotée au lit, l’amplitude de mes mouvements est tout à coup réduite. Il se positionne derrière moi, appuie entre mes omoplates, me forçant à me pencher en avant, tendant ainsi la corde.
Sa queue se présente à l’entrée de ma chatte et il s’enfonce d’un coup. Ses mains pétrissent durement mes hanches. Il me fait mal, il me pince. J’aurais des bleus d’ici demain.Je tente encore une fois de le repousser, mais je devine que je l’excite d’autant plus.Sous l’assaut de ses gestes brusques, il sait que je prends du plaisir à être malmenée, réduite à n’être qu’un objet de plaisir. Je cesse de me débattre et éprouve cette douce chaleur qui commence à prendre possession de moi. Je vais même jusqu’à l’accompagner dans son allure. Soudainement, il s’arrête et me demande :
— Tu vas arrêter de te débattre et accepter ta punition bien sagement ? — Oui Mon Maître.
Je le sens se retirer de moi.
— Cambre-toi, m’ordonne-t-il.

Je m’exécute et me penche le mieux possible malgré mes liens en me laissant une légère liberté de mouvement.
— Mieux que ça !
Ne me voyant pas bouger, il se relève et je l’entends s’éloigner de moi.

Les minutes passent, longues et lentes. La patience n’est pas une de mes qualités et il le sait. Je commence à me tortiller pour essayer de dégager mes poignets de leurs liens, d’attraper ce petit bout de corde qui pend pour me détacher du crochet du lit. Mais, je suis comme ficelée à cette armature. Énervée, je tire sur la corde de toutes mes forces.
« - Espèce d’enfoiré, viens me détacher ! hurlai-jeTu ne peux pas me laisser comme ça ! Reviens !Je vais te mordre la queue la prochaine fois que tu la mettras dans ma bouche ! » criai-je pour le provoquer.

Je continue de me démener contre mes liens. La peau de mes poignets est échauffée par le frottement de la corde. Je peux voir qu’elle a rougi et je devine qu’elle est irritée. J’ai beau crier, vociférer, il ne revient pas.
Peu à peu, mes forces m’abandonnent et ma gorge est sèche à force de m’époumoner. À bout, j’abandonne, acceptant ma défaite humiliante. Je suis nue, attachée à un lit et mes poignets me font souffrir. Je me rapproche au maximum du lit et m’assieds. La tête baissée, les épaules rentrées laissant libre cours à mes larmes.
Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi. Mais lorsque je sens quelque chose sur mon épaule, je sais qu’il est de retour.
— Calmée ma soumise ? me dit-il en ricanant.

Je ne veux même pas lui répondre.Un claquement sec retentit à côté de moi. C’est un avertissement que je ne relève pas. Je vois le bout de la cravache apparaître dans mon champ de vision puis disparaître. Quand une douleur survient au niveau de ma hanche, un coup est tombé.
« - Je t’ai posé une question, j’exige une réponse ma soumise... Es-tu calmée ? me redemande-t-il.
— Oui, Mon Maître, m’avouai-je vaincue.— Remets-toi en position,» m’ordonne-t-il.
Très lentement, je reprends place à quatre pattes, le cul bien relevé mettant la corde en tension entre mes poignets douloureux et le lit.Il appuie entre mes omoplates jusqu’à ce que mon visage touche le parquet de la chambre.Il me fait écarter les genoux exposant tous mes orifices.
— Si belle quand tu es sage, me susurre-t-il.

Positionnée de cette manière, le sentiment d’humiliation est intense, mais je n’ai plus la force de me débattre.Il me caresse le cul, ses doigts descendent jusqu’à mon clitoris qu’il stimule longuement, m’arrachant des gémissements de plaisir.Je mouille tellement que je sens cette humidité s’écouler. Il s’éloigne de mon clitoris et commence à étaler mes fluides.
— Tu es trempée ma chienne, j’aime ça, ronronne-t-il.

Sans jamais me pénétrer, il me masse lentement, consciencieusement. Quand ses doigts se retirent, je pousse un cri de frustration.
— Non ! Continue s’il te plaît !
Un coup de cravache s’abat sur l’une de mes fesses.
— Tais-toi où je vais devoir te bâillonner, me dit-il.

Je replace ma joue au sol signant dès lors ma totale soumission.
— Voilà qui est bien mieux... Mais tu n’échapperas pas à ta punition ma soumise.
Les premiers coups tombent presque délicatement. Je sais qu’il aime faire monter les choses en puissance.Pour les suivants, il augmente la pression et sa force. Bientôt, je serais marquée. Je m’en réjouis d’avance, j’aime porter les traces de Mon Maître, elles témoignent de l’attention qu’il me porte. Elles me rassureront autant qu’elles me blesseront dans les jours à venir.Le supplice s’accentue, je ne sais plus combien de coups j’ai déjà reçus, j’ai perdu le compte, bercée par cette forme de transe qui s’installe en moi. Un coup plus fort que les autres me tire de mon état et m’arrache un gémissement de douleur. J’entends la cravache siffler dans l’air avant de s’abattre sur mes reins, mon dos, mes fesses. Je me laisse aller et commence à sangloter.
— Nous y sommes ma soumise, voilà... murmure-t-il.

Il lâche la cravache et détache la corde du crochet du lit. Il s’installe derrière moi et passant ses bras autour de ma taille, il m’incite à me redresser, mon dos reposant contre son torse.Quelques instants plus tard, il me demande de me pencher en avant. Cette fois, sans réfléchir je m’exécute.
Sa queue dure commence à taquiner mon cul et sans me prévenir, il me pénètre, me sodomisant sans ménagement. Je crie sous la surprise. J’aime sa brutalité et sa bestialité. J’aime être sienne. S’emparant de mes cheveux, il me redresse, m’empalant profondément sur lui.Je peux sentir son souffle sur ma nuque. Ses dents éraflent la peau de mon cou puis il me mord, ses dents perçant ma peau. Je devine à sa respiration qu’il est en train de prendre son pied et ma jouissance ne se fait pas attendre non plus. Elle balaie tout sur son passage, me laissant épuisée et sans force.Nous restons ainsi emboîtés l’un dans l’autre, sa langue léchant la morsure. Après s’être retiré, il se relève et m’aide à faire de même. Il m’installe dans le lit sur le côté et s’allonge dans mon dos, m’attirant contre lui.
— Maintenant, dors ma soumise, n’était-ce pas ce que tu étais venue faire au départ ? me dit-il avec une pointe de provocation.
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