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La putain au bois

Chapitre 1

Une soirée très perverse

Travesti / Trans
     Cela fait un moment que j’y pense, ça y est je saute le pas. D’habitude, je vais chez le mec et on fait notre affaire. Mais là j’ai envie de prendre des risques, mais surtout, d’en contenter plus d’un... En même temps.     Je connais un coin très prisé des pervers et des travestis, il se situe à quelques kilomètres de chez moi, c’est un bois très grand à la sortie de la ville, avec des chemins, des recoins, des abris et des wc. Tout ce qu’il faut pour des rencontres coquines. Je passe donc une annonce sur mon site préféré et Je reçois des dizaines de messages très rapidement. Je précise que je les aime âgés, bedonnants, très vicieux, qu’ils peuvent ramener un ami et des accessoires si c’est leur truc. Je reçois également un mail d’un autre mec, lui aussi portant de la lingerie qui souhaiterait m’accompagner en tant que "deuxième cochonne de la soirée". La soirée promet donc d’être chaude. Je passe à la douche, m’épile, et choisis ma tenue : nuisette rouge, guêpière rouge prolongée de porte-jarretelles de la même couleur, culotte en dentelle noire, bas nylon noirs, et escarpins noirs. Je rajoute un bas troué que j’enfilerai sur mon visage, je garde un visage masculin donc pour garder ce côté anonyme sans rebuter ces messieurs, je l’enfile et seul mes lèvres pulpeuses dépassent, tout le reste de mon visage est recouvert de nylon noir quasi opaque. Cela me donne un côté objet, soumis.      Je me regarde dans la glace, je me trouve bonne, je me trouve pute, qui mérite de se faire défoncer le cul. Objectif atteint pour le moment. Le rendez-vous est fixé à 22 heures pour tout le monde, sauf pour ma "copine" qui arrivera à 21h45 en même temps que moi. Nous sommes en été donc il fera encore assez jour.
     J’arrive à moins le quart sur le parking connu de tous lui aussi, il y a quelques voitures déjà, toutes assez espacées. Tout le monde sait pourquoi les autres sont là, mais discrétion oblige. Le véhicule de ma copine arrive. Il se gare à côté de moi, quand il sort je la vois en tenue, sacrément salope elle aussi : petite robe très courte en jean à volants, talons noirs, bas couleur chair et soutien-gorge blanc, il porte une cagoule. J’enfile mes escarpins et enlève mon jogging sous lequel je porte mes dessous affriolants.
   - T’es belle ma chérie, me dit-il   - Merci toi aussi ma belle, lui réponds-je. On y va ?   - Allez c’est parti, ne faisons pas attendre toutes ces queues.   - Attends, une seconde.
     Il m’excite tellement que je m’approche de lui, le prends par une main et passe l’autre sous sa robe, je sens son sexe à demi gonflé dans sa petite culotte, je l’embrasse à pleine bouche et le galoche en le caressant sous la robe. Il gémit d’une petite voix, sa main libre caresse mon sexe également et je sens que je durcis moi aussi, je geins à mon tour. Les plafonniers des voitures s’allument, nous sommes repérés, une huitaine d’hommes âgés de 40 à 65 ans se dirige vers nous, certains ont déjà leur membre sorti. Nous les regardons s’approcher tout en nous embrassant.
   - J’imagine que c’est vous les deux putes de ce soir ? dit l’un d’eux.   - Mmmh oui mon chou, ça te plaît déjà ce que tu vois ? Ca vous plaît à tous ?
     L’assemblée répond par l’affirmative et nous encercle en se rapprochant vraiment très près, je sens un sexe contre ma main un autre contre mes fesses.
   - Patience les coquins, dit mon acolyte, on va aller plus loin, le parking ça craint.

     Nous nous tenons par la main et les invitons à nous suivre sur un chemin qui mènera à notre lieu de débauche. Les mecs nous suivent en nous pelotant les fesses, passant parfois devant nous en nous montrant leur bite :
   - Tu vas voir, tu vas l’adorer dans ta bouche celle-là, ma salope.   - Mmmh j’ai hâte, pas toi ma chérie ? demandé-je à ma copine.
   - Oh oui, elle est belle, je sens que vous allez tous nous régaler !
     Nous arrivons à une sorte de grand abri à trois murs, en forme de U avec des bancs tout le long des parois. Nous nous asseyons au fond. Les huit gars nous encerclent et ne tardent pas à nous présenter leur queue à hauteur de visage. Je sors mon bas troué et l’enfile sur mon visage, seules mes lèvres sont maintenant visibles par ces messieurs.
   - Putain t’as vraiment un accoutrement de pute toi, me dit-on. Je sais où va atterrir mon foutre !   - Caressez-vous les salopes, allez ! nous ordonne-t-on.
     Je galoche ma copine et commence à lui caresser les tétons à travers sa robe et son soutien-gorge, elle gémit, me passe ses doigts entre mes jambes, je gémis aussi, les hommes s’excitent à la vue de ces deux catins qui se tripotent.
   - Ouais, comme ça les putains !
     Je sors la queue de ma copine qui est toute à l’étroit dans sa culotte, j’entreprends de la branler , une goutte de liquide perle déjà au bout de son gland, j’approche ma langue de sa bite, elle est de taille moyenne, genre 13-14 centimètres légèrement courbée d’un côté, rosée et odorante de désir, les mecs autour se masturbent lentement en haletant, de vrais chiens. Au moment où ma langue touche le bout de sa queue il me repousse en disant :
   - Désolé je peux pas aller plus loin. Je sais pas je le sens plus, faut que je parte.   - Ah ben super, merci le dégonflé ici !   - Allez salut !
     Et il se barre, me laissant en plan excité comme jamais au milieu de huit mecs la bite à l’air toute dressée pour la majorité.
   - Ben écoute ma belle c’est toi qui va prendre pour deux dans ce cas, tu peux pas nous laisser comme ça toi aussi.   - Mais je n’y compte pas, allez donnez-moi ça !
     Et je saisis la queue du premier, la cinquantaine, bedonnant, poilu, grosses couilles pendantes, offertes à la palpation. Il en a une bonne qui me remplit bien la bouche, je le suce goulûment en bavant sur ses poils, sans la lui tenir, je me redresse et suis penché à le sucer ainsi. Deux autres placent leur sexe dans mes mains libres et me voilà à m’occuper de trois types en même temps qui gémissent et soufflent comme des porcs. Et être à leur merci comme ça, ça m’excite putain ! Les cinq autres se rapprochent et l’un me caresse les tétons en plongeant sa main dans mon décolleté, un autre passe ses mains en dessous pour me caresser mes fesses, je sens ses doigts passer sous ma culotte à la recherche de ma rosette qu’il trouve et s’empresse de caresser en petits cercles. Je tourne presque de l’œil en sentant ce doigt qui parcourt mon trou du cul ainsi que cette main qui me caresse les tétons, ce qui a le don de me rendre dingue et de m’exciter encore plus. Les trois autres sont derrière celui que je suce et lui demandent de laisser un peu de place, il s décale et trois autres queues se présentent à ma bouche, je passe de l’une à l’autre en bavant comme jamais, j’en saisis jusqu’à trois en bouche, les glands vont et viennent dans des bruits de succion et de viscosités, ils râlent tous de plaisir. Soudain, le plus vieux d’entre eux, le papy de 70 ans, qui me fouille la culotte me la baisse et enfonce sa langue dans mon trou, me faisant sursauter. J’adore la sensation d’être l’objet de désir de ces pervers sexuels. Celui qui me tripote les seins me saisit le sexe et entame une masturbation lente en tenant ma tige fermement. Je gémis comme une jeunette dans un gang bang, ce qui provoque un surplus d’excitation chez ces messieurs que je suce, une queue s’enfonce plus profond et entreprend des va-et-vient plus rapides, il halète, gémit et articule avec difficulté un "Aah Salope je vais jouir !! Prends ça grosse pute !" Et je sens un gros jet chaud et visqueux me tapisser l’intérieur de la bouche. Il se retire me laissant bouche ouverte, débordante de semence, quelques gouttes blanches perlant sur ma cagoule nylonnée. Il range sa queue et s’en va sans un mot. J’avale sans rechigner et j’entreprends de sucer la suivante, je suis toujours en train de me faire pénétrer le cul avec une vieille langue et branler en même temps, je suis assaillie de partout et j’aime cela. J’aime être une pute à pervers.      La langue se retire, le monsieur que je suce s’allonge sur le banc et me présente son trou du cul, je comprends que ma langue va lui servir de masseuse anale. J’hésite mais il est très propre et totalement lisse, cependant, le vieux me pousse la tête dans son cul alors qu’il relève le mien. Je lèche donc cette rondelle de quinquagénaire en rut qui gémit en se branlant , faisant battre ses couilles sur mon visage recouvert de nylon, renforçant le côté humiliant de la situation. Je suis aux anges. Le vieux me crache sur la rondelle et je sens son gland contre celle-ci, je tourne mon visage vers lui, il me sort :
   - Retourne lui bouffer le cul salope, ton fion est à moi ! Tiens au passage, crache là-dedans !
     Il me tend sa main et je crache dedans un mélange de salive et du foutre de ma précédente queue. Il sort une capote, me tartine l’anus et sa queue et l’enfonce au plus profond de moi. Mon branleur s’est également transformé en suceur, ma queue se fait prodiguer une belle grosse pipe baveuse. L’homme a qui je prodigue l’anulingus de sa vie a sa rondelle qui se contracte et se rétracte, il dirige sa queue vers mon visage nylonné et jute sur mon visage en grognant, il me tartine le nylon de foutre et me demande de lui nettoyer la bite avec ma lange. L’odeur de son sperme est forte et m’enivre, il remonte son pantalon et s’en va en disant qu’il n’a jamais eu affaire à une pareille pute, je prends ça comme un compliment. Il fait chaud, ça sent la sueur, l’homme et le foutre. La scène est hard : un travelo au milieu de six hommes , un qui lui baise le cul, un qui le suce, deux qui se font branler et deux autres en train de se branler près de mon visage, prêt à jouir.     Le vieux m’ordonne de me mettre sur le dos , je lâche les queues qui reprennent leur branlette avec leurs mains respectives, celui qui me suçait entreprend de me retirer ma culotte, j’ai mes jambes relevées, et me l’enfile sur le visage, ma bouche auparavant apparente est maintenant recouverte de dentelle noire., je distingue des bites qui s’agitent au dessus de mon visage. Mon suceur lance aux quatre autres tout en me branlant lentement :
   - Les gars j’ai une idée, on va lui amidonner sa culotte et il va la bouffer quand elle sera bien juteuse !
     Il me lâche et se rejoint les autres au dessus de mon visage , il sont à présent cinq pervers à se branler sur mon visage encollanté, cinq prêts à souiller ma dentelle noire. Le vieux me pilonne le cul avec entrain et me masturbe à son tour, je sens que je ne vais pas tarder à jouir s’il continue. Je gémis comme une putain de film X et il se retire, me lâche les jambes et rejoins les autres mais lui soulève la culotte sur ma bouche et me l’enfonce sans ménagement.
   - Tu l’as pas goûtée celle-là encore p’tite pute ! Tiens, en plus elle a le goût de ton cul sale chienne ! Tu l’aimes la bite à papay hein ? dis-le !
     Je parviens tant bien que mal, entre deux coups de bite dans la bouche, à articuler "Ooo...Oui...’e...l’aime...’a...’ueue...’a’y...!" Elle est épaisse et ridée mais dure et longue, odorante à souhait. Tout ce que j’aime dans une queue d’homme mûr. Il revient entre mes jambes mais ne me pénètre pas, au lieu de ça il sort de sa poche un gode, en forme de bite de taille moyenne, il me l’enfonce sans sommation, car après ce qu’il m’a mis cela rentre comme dans du beurre. Il se le coince entre ses cuisses et me ramone le cul avec, me serre mes jambes gainées des mes bas, crache sur sa bite et la fait aller et venir entre mes cuisses, elle frotte contre la mienne qui bande à n’en plus pouvoir, je le sens venir car il accélère le mouvement. Il se débrouille vraiment bien car je sens le gode titiller ma prostate. Je vois perler du liquide au bout de mon sexe qui se détend et commence à tacher ma nuisette.
   - Mais c’est qu’elle mouille la salope ! s’écrie le vieux. Hé les gars, faut pas qu’elle jouisse avant vous ! C’est quand que vous lui donnez de la crème ?
     Sur ces mots deux bites se rapprochent et crachent leur précieux liquide sur ma culotte, au niveau de mon nez, je vois plein de gouttes tomber et immaculer les tissus sur mon visage. Leur besogne terminée ils remontent leur pantalon et se barrent, non sans s’être essuyés leur sale queue sur ma nuisette, puis me gratifient d’un :
   - T’es une sacré belle putain toi !   - Ouais ! j’espère qu’on va se revoir !
     Il ne reste plus que le vieux qui me prodigue un frottage de bite mutuel , mon suceur-branleur , et un gars à lunettes qui sue et branle frénétiquement sa petite queue , cela dit il en a une sacrée paire, le final promet d’être abondant avec lui.     J’entends le vieux râler de plaisir, ça y est il jouit ! Un premier jet abondant et très épais, blanc écru, suivi de giclures qui peinent à décoller de son gland qui viennent se répandre sur mon sexe. Il me badigeonne le sexe de sa semence d’une main et retire le gode de l’autre, laissant mon trou béant suinter de la mouille anale sur le banc. Il reste regarder le final des deux autres, la queue toujours sortie du pantalon, encore mi molle, luisante et dégoulinante. Il encourage les deux autres en s’essuyant sur la jarretière de mon bas, je le trouve dégueulasse à cet instant mais je le suis tout autant. Le visage gluant de foutre, des taches de sperme plein la nuisette… Bref, c’est aussi en vue de cela que j’ai accepté cette soirée. Les deux derniers commencent à s’agiter et leur respiration se fait plus bruyante, celui à lunettes avec sa petite bite se dirige vers mon cul, me le relève et avant que je puisse dire quoi que ce soit se finit dedans en se branlant en poussant des halètements sonores, mais il en a encore en réserve et me l’enfonce pour continuer de jouir au plus profond de moi, je sens sa petite queue se contracter entre mes fesses et les jets remplir mon trou, il fait quelques allers retours, je vois de la crème qui sort par débordement autour de sa bite puis il se retire, un long filet de mouille anale et de semence nous reliant lui et moi, qui lorsqu’il s’éloigne, s’écrase sur le banc. Ne reste plus que monsieur le branleur aux idées culottées qui s’affaire au dessus de mon visage.
   - J’ai tellement envie de te faire un truc sale mais j’ai trop d’idées…   - Fais ce que tu veux je suis toute à toi !
     Le vieux nous regarde en souriant et en se caressant, sa queue recommence à prendre du volume, c’est vraiment le plus cochon de tous. Mon dernier partenaire me retire la culotte, l’étale sur une de ses mains et se branle dessus de l’autre, il jouit beaucoup, saturant le tissu d’un sixième sperme différent. Ma culotte ne ressemble plus à rien, de noire, la voilà blanchâtre, luisante, gluante visqueuse et puante de foutre.
   - Ouvre la bouche pétasse ! m’ordonne-t-il.
     Il m’avait promis du sale, en voici. Il la presse fermement dans ses mains et s’en échappe une quantité énorme de sperme qui finit pour la plupart sur mon visage encollanté mais majoritairement dans ma bouche. Je suis pris d’une nausée et d’un relent mais l’excitation d’être ainsi humilié comme je le souhaitais reprend le dessus et j’avale comme une bonne chienne à foutre. Je suis une cuve à sperme ce soir et j’aime ça. Le vieux ne rate rien du spectacle, il se branle à nouveau le cochon ! L’autre me rend ma culotte encore humide et collante et s’en va :
   - Hé le vieux, t’as l’air d’avoir encore faim et je suis sûr que cette pute en veut encore elle aussi, elle a pas encore joui en plus ! Y peut-être moyen de lui donner autre chose, en tout cas moi je me suis bien amusé, je me suis bien vidé. Madame pense que je suis allé prendre un verre avec un pote, mais c’est pas moi qui ai pris une une dose, dit-il en me regardant reprendre mon souffle. Je vais peut-etre avoir le cul de ma femme et je peux te dire que vu ce que je viens de cracher, je vais prendre mon temps pour la défoncer. Allez à une prochaine fois peut-être.
     Je regarde le vieux qui se branle, nous sommes tous les deux, il me regarde et me fait comprendre qu’il me veut encore. Moi je suis en mode "edging", j’ai remis ma culotte, j’ai envie de jouir, mais je me retiens, je veux pas ruiner cet orgasme qui promet d’être extraordinaire. Ma queue est luisante, molle, elle goutte encore du sperme du vieux. Je le vois qui s’approche, il m’allonge (encore) sur le banc et me saisis la queue et se met à me sucer. Il suce très bien d’ailleurs, rendant ma queue de nouveau trèèès dure, sa langue s’enroule et se déroule autour de ma tige et de mon gland, allant et venant, salivant sur mes couilles, il ravale son sperme au passage. Il sort une autre capote. "Il va encore m’enculer", pensai-je. Je le sens et je ne dirais pas non d’ailleurs. Mais au lieu de ça, il déroule la capote sur mon sexe ! Je le regarde et il se tourne et me présente son trou du cul, une étoile toute serrée mais toute lisse, il a pris soin de cet endroit en tout cas.
   - Lubrifie-moi, salope !
     Je m’exécute, passant ma langue sur sa rondelle ridée, je le sens sursauter à chaque coup de langue et je l’entends gémir de plaisir quand je tente de rentrer avec ma langue alors que mes mains écartent ses vieilles fesses plates. Je le sens se masturber , je lâche ses fesses et entreprends de lui caresser les tétons sous son haut, il gémit comme une petite salope le vieux ! Je lâche ses tétons pour lui enfoncer un doigt, il gémit de plus belle et m’excite encore plus par la même occasion.
   - Je veux sentir ta queue en moi, me dit-il. Rallonge toi !
     Je fais ce qu’il dit et m’étends sur le banc, il approche son cul, écarte ma culotte et s’assoit sur ma queue, je le sens m’enfoncer dans son trou serré et chaud, cela rentre facilement vu comment je l’ai léché. Il s’empale en gémissant, fait des allers-retours de haut en bas, en s’asseyant sur ma queue qui se remet à ressentir les picotements d’un orgasme imminent. Il se retire et se met à quatre pattes sur le banc, le cul tendu vers moi. Il m’excite.
   - J’ai envie de sentir une queue de travelo en moi, viens me baiser ma belle !   - Tu la veux ma belle queue, papy ? Tu veux que je te défonce ton sale vieux trou avec ma grosse bite ?   - Oh oui ma belle, viens m’enculer !
     Je m’approche de ce vieux, mais bon, cul tendu et mouille ma bite, je crache sur sa rondelle et l’enfonce sans ménagement, je le pilonne en le tenant par les hanches, je sens mes couilles qui tapent contre les siennes et sa longue queue tape également mes cuisses d’avant en arrière, je ne tarde pas a n’en plus pouvoir de me retenir et je lâche ma crème dans la capote dans son cul, mon gland baigne dans mon sperme tellement j’ai joui, je me retire, la moitié de la capote reste dans son cul, je la retire méticuleusement, je vois le vieux qui ouvre sa bouche et me montre la capote du doigt, j’ai compris, ce mec est vraiment un gros pervers dégueulasse. Je fais donc dégouliner le contenu du préservatif dans sa bouche, il s’en délecte en avalant bruyamment, faisant couler quelques gouttes sur son menton, je les lui remet dans la bouche histoire qu’il n’en manque pas une goutte. Il me suce le doigt plein de sperme.
     Il est à présent temps de rentrer, nous sommes cependant garés sur le même parking donc décidons de rentrer tous les deux sur le chemin menant à notre voiture. Je suis devant lui quand je sens ses mains passer une nouvelle fois sous ma nuisette :
    - Mais c’est pas croyable t’as pas eu assez ? lui demandé-je.   - C’est toi qui est pas croyable à m’exciter comme ça ma belle avec ton superbe cul, tes jambes gainées ainsi de nylon, ta nuisette de salope, tes talons et ta gueule encollantée pleine de foutre, je veux que tu rentres au parking la culotte baissée la nuisette relevée en signe de soumission, moi je te tiendrai la queue.
     Je soupire, faussement agacé :
   - Allez, pour te faire plaisir je veux bien faire la salope une dernière fois.
     Une fois revenus au parking, il me dit au revoir en me galochant et en me tripotant le sexe, le rendant dur de nouveau. Une fois seul, j’enlevais ma cagoule et me masturbai une dernière fois histoire de me calmer, remontai ma culotte et partis. J’imaginais déjà ma prochaine fois au bois, peut-être de jour, qui sait ?
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