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La Putain du Maître

Chapitre 1

Le garde et le neveu

Divers
C’était un jour de marché, le ciel était bleu, il faisait une chaleur étouffante, et les gens se pressaient pour acheter fruits, légumes, viandes ou autres articles que les commerçants n’hésitaient pas à vendre bien plus cher qu’ils ne le valaient. Deux enfants couraient sans tenir compte des remarques de leur mère, petite femme dont la longue robe perturbait la marche. Je ne sais si c’est avec mépris ou envie qu’elle jeta un coup d’œil à ma propre robe, fendue sur le côté elle avait le mérite de faciliter bien des actions, et je ne parlais pas seulement de courir ou marcher.
C’était une robe légère laissant mes épaules nues et ne couvrant qu’une partie de mes bras, mon corset, plutôt fin, mettait en valeur une taille fine et remontait une poitrine ferme qu’un décolleté laissait délicatement voir, finalement, une jupe fendue dévoilait mes jambes à chaque pas et laissait deviner de par sa forme un derrière bombé qui attirait autant de regards que mon visage. Avec une peau caramel et de longs cheveux noirs parfaitement lisses encadrant une figure harmonieuse où des yeux bruns surmontent des lèvres charnues souvent fendues d’un léger sourire.
Ma tenue n’était pas une tenue si rare, mais elle laissait entendre que la femme qui la portait s’adonnait à des activités nocturnes... fréquentes. Il n’était donc pas rare que je me fasse accoster, qu’on me propose un paiement en échange d’un petit service, ce que j’aurais accepté avec plaisir si mon maître ne m’interdisait pas ces pratiques. C’était une torture affreuse que de savoir combien de fois j’aurais pu profiter de quelques hommes si j’en avais eu le droit, mais je n’avais pas réellement le choix.
Je vivais dans un pays où l’esclavage était chose commune, dans certains cas, c’était un calvaire, mais pour ceux qui vivaient chez mon maître, et bien nous étions plutôt chanceux. Car c’était un homme respectueux, il nous remerciait pour le travail fourni et n’avait pas peur de dire que sans nous, il aurait bien des problèmes. Chacun avait son rôle, mon amie Nina gardait les enfants des esclaves ou ceux des invités du maître, un autre de mes amis, Ed, travaillait, comme beaucoup d’hommes, dans l’exploitation agricole, et moi et bien, j’étais « polyvalente ». Ce matin, je faisais quelques courses pour la cuisinière, mais cet après-midi, le maître m’avait aimablement confié à son neveu venu lui rendre visite, pour se faire pardonner de devoir aller à un rendez-vous.
J’étais beaucoup de choses, un remerciement, un pardon, un cadeau, un moyen de paiement parfois aussi, ce qui faisait de moi la putain du maître, vendue à ses amis ou ennemis l’espace d’un moment, j’étais un produit noble qu’il ne voulait donc en aucun cas voir souillé par les hommes que je pouvais croiser au marché ou ailleurs, ça incluait bien entendu les autres esclaves et les rares domestiques payés. Pour faire simple, j’étais supposée n’être touchée que par les hommes qu’il me disait d’aller voir, un traitement qui m’excitait bien plus que vous pouvez l’imaginer, car je rencontrais grâce à cela bien des hommes dont je n’aurais, sans cela jamais pu m’approcher, des hommes parfois bien plus doués que ce que l’on pourrait penser.
Je rentrais donc au manoir à pied, regardant passer les chevaux, tirant parfois un chariot ou une voiture, en arrivant auprès du chemin menant au manoir, je fus cependant stoppée par un homme vêtu à la manière de la garde de la ville. Je n’étais pas particulièrement surprise qu’il m’arrête, il me faisait le coup presque à chaque fois, prétextant un simple contrôle ou quelque chose de ce genre, alors qu’il savait pertinemment qui j’étais.
— Bonjour, Mademoiselle, puis-je connaître votre destination ?
Je levais les yeux au ciel, agacée par ce comportement qui me mettait en retard.
— J’ai des choses à faire, mon maître m’attend, donc laisse-moi passer !— Baisse d’un ton tu veux, tu partiras quand t’y seras autorisée !
Il m’avait aboyé ces mots avec une agressivité dont je ne le croyais pas capable puisque jusque-là, il s’était toujours montré relativement poli. Je soupirais donc avant de répondre à sa question :
— Je vais chez le Lord Advard.
Il sembla satisfait de me voir lui répondre, aussi continua-t-il en s’approchant d’un pas.
— Très bien, très bien, et pourquoi es-tu si pressée ? Tu as quelque chose de prévu ?— Mon maître m’a donné des choses à faire oui, ce n’est pas ton cas n’est-ce pas ?
Cette question m’avait échappé, après tout mon maître comme tous les autres avaient tendance à s’adresser à moi avec un minimum de politesse, si ce n’est de la délicatesse. Mais ici, il m’attrapa vivement les cheveux, m’attirant auprès de lui avec une certaine violence qui me fit frémir, je ne le quittais pas du regard, le fixant avec hargne en fronçant les sourcils.
— C’est pas parce qu’on t’autorise tout chez ton maître que t’as tous les droits avec moi, je pourrais te faire enfermer pour ton insolence, tu le sais ça non ?
Je le savais, il était plutôt courant de voir des gens enfermés pour avoir manqué de respect à la garde, en même temps, cette ville était si calme qu’ils s’ennuyaient fermes. Mais je n’avais pas l’intention de me faire enfermer, le maître ne me pardonnerait pas et ma situation risquerait de dégringoler, je me résolus donc à faire ce que l’homme attendait.
— Oh non, je vous en prie, ne m’enfermez pas ! Je suis désolée, je n’aurais pas dû parler ainsi, pardonnez-moi, je vous en prie...
J’étais une comédienne talentueuse, on me le disait fréquemment, tant que ma mine désespérée surprit mon interlocuteur avant qu’un sourire n’étire la commissure droite de ses lèvres. Il se pencha et me murmura quelques mots, de simples « Tu sais ce que tu pourrais faire pour te faire pardonner, non ? », je le savais et un frisson me parcourut alors qu’il m’entraîna vers une petite ruelle, manquant de faire tomber mon panier.
Il s’appuya finalement contre une porte que je n’avais jamais vue ouverte et me fit signe d’approcher, ce que je fis sans rechigner, posant mon panier à quelques mètres de là. Dès que je fus assez proche, il m’attira contre lui en passant un bras autour de ma taille, pressant ses lèvres contre les miennes avant de forcer le passage de sa langue. En même temps, sa main située auparavant sur ma taille avait glissé jusqu’à mes fesses, se crispant dessus au travers de ma robe tandis que son autre main caressait ma gorge et la naissance de mes seins. Je le laissais faire, nous nous étions déjà rencontrés de manière intime auparavant, il m’abordait en prétextant une intuition, un contrôle ou je ne sais quoi avant de me prendre à part. Mais cette fois, il était bien plus agressif qu’habituellement et après quelques minutes il saisit mes cheveux et me força à m’agenouiller devant lui, un traitement qui me surprenait autant qu’il me plaisait.
— Allez dépêche toi, moi aussi j’ai des choses à faire !
J’ouvrais son pantalon avec agilité, j’avais acquis une certaine maîtrise dans ce domaine, il faut l’avouer. Après quelques secondes, apparut enfin une queue d’une quinzaine de centimètres sur laquelle je ne tardais pas à poser mes lèvres, les faisant glisser dessus avec lenteur en jetant des regards au visage de l’homme. Il devait avoir environ vingt-cinq ans, soit cinq de plus que moi, aux cheveux noirs coupés plutôt courts et à la barbe naissante, il n’était pas désagréable à regarder, mais de toute évidence, il se lassait de ma douceur puisqu’il plaqua une main à l’arrière de ma tête et m’enfourna sa queue dans la bouche, m’imposant un rythme auquel je mis de longues secondes à m’habituer. Je pressais mes mains sur ses cuisses en supportant ses assauts, son membre s’enfonçant de plus en plus loin au fil des mouvements, j’entendais les propres sons que produisait ma gorge, alliée aux grognements de mon amant de l’instant.
Après un moment où il alternait, passant d’une certaine douceur à un rythme de forcené, il se planta dans ma gorge, enfouissant mon visage contre son pubis et laissant éclater sa jouissance avec un meuglement et de longs jets qui finirent par couler le long de mon menton et de mon cou. Il essuya sa queue sur ma joue et dans mon décolleté avant de m’indiquer de finir de la lui nettoyer, ce que je fis avant de me relever en me collant à lui. Il me regarda avec plaisir ainsi souillée, appréciant de me voir salie par sa semence.
— Parfait, tu te nettoieras, n’oublie pas, ton maître ne serait pas content sinon.
Puis il me repoussa et commença à s’en aller, me laissant trempée et... sans avoir joui. J’étais sidérée, jamais encore il n’avait fait cela, les autres fois, il m’avait prise contre le mur avec une certaine douceur, et même si cette soudaine violence m’avait plus que plu, il ne m’avait même pas rendu la pareille. Suivant son « conseil », je me nettoyais néanmoins avant de récupérer mon panier et d’enfin rentrer, pressant le pas pour tenter de rattraper mon retard.
Je passais le haut portail du domaine après une quinzaine de minutes, longeant alors le long chemin jusqu’à la propriété de mon maître, une propriété entourée d’un parc entretenu par quelques esclaves qui s’affairaient çà et là. Certains me saluaient d’un signe de tête et je leur rendais la pareille avec un sourire.
Une fois la petite porte passée, menant directement aux cuisines du manoir, j’allais déposer les quelques courses avant de disparaître, préférant être loin quand la cuisinière noterait le retard de ses légumes. Je me dirigeais ensuite dans les couloirs jusqu’au bureau de mon maître où je toquais trois coups. Il fallut quelques secondes avant qu’un "Entrez" retentisse, me laissant alors le droit de tourner le poignet et de faire un pas dans le bureau.
— Ah, Anita, te voilà enfin. — Désolée de mon retard il y avait beaucoup de monde au marché ce matin. Je me confondais en excuse, gardant le regard baissé et prenant mon expression la plus piteuse, ce qui ne manqua pas d’attendrir le Lord qui fit un vague geste de la main, passant l’éponge.— Mon neveu arrivera dans moins d’une heure, va te préparer et t’installer dans la chambre d’ami.
Je hochais la tête puis reculais avant de sortir du bureau, brûlante d’excitation. Le neveu du maître était connu pour être un grand homme, il était marié et avait même deux petits garçons, mais ce n’était pas là un problème. Les hommes, amis, ou membres de la famille du maître gardaient le secret que je représentais, aucune femme n’était au courant, mis à part les esclaves et les domestiques bien entendu.

Une vingtaine de minutes plus tard, j’avais été habillée d’une fine robe semblable à une toge que je pouvais ôter avec une facilité déconcertante. Mes cheveux avaient été laissés détachés, car le maître disait qu’ainsi je ressemblais à une elfe du sud. On les appelle plus souvent les "dames du sable" quand il s’agit des femmes, sinon ce ne sont que les hommes du sable. Ils vivent comme nomades dans le désert, ou dans certaines villes entourant les oasis, et seraient, selon certains, des descendants d’elfes bannis de la cité des hauts elfes, Lord Advard pense, à cause de mon physique, que l’un de mes parents ou grands-parents venait de là-bas, on y trouve des cités où la luxure est au centre de tout, les femmes comme les hommes peuvent payer des achats en nature de manière parfaitement normale et le sexe est présent absolument partout, ne choquant pas les habitants, bien au contraire.
J’étais plongée dans mes pensées quand la porte s’ouvrit, je me détournais alors de la fenêtre pour détailler un homme d’un peu moins de trente ans, à la peau pâle et aux cheveux bruns plaqués en arrière. Il me scrutait avec un intérêt grandissant tout en fermant la porte avec douceur, tournant deux fois la clé avant de la retirer de la serrure. C’était une précaution ordonnée par mon maître, ainsi, les femmes des hommes mariés que je rencontrais ne pourraient pas nous découvrir par inadvertance.
— Bonjour messire...
Je fis une révérence telle que le maître m’avait demandé de les faire, me penchant suffisamment pour que ma poitrine soit exposée aux regards. Il me fit signe d’approcher tandis que je me relevais, ce que je fis, m’approchant jusqu’à venir me presser contre lui, le laissant ainsi m’entourer de ses bras et presser ses lèvres contre les miennes. Je caressais son torse avec douceur, faisant glisser mes doigts sur sa chemise tandis que ses mains à lui exploraient mon dos, venant caresser mes hanches pour venir se stopper sur mes fesses et les enserrer avec force. Je me cambrais sous ce geste et pus sentir un sourire étirer les lèvres de mon amant tandis qu’il dégrafait ma toge, s’écartant d’un pas tandis qu’elle glissait au sol pour m’admirer davantage. J’aimais sentir ce regard me parcourir, j’aimais encore plus le voir se stopper sur mes tétons durcis et sur mon intimité trempée.
L’homme ôta sa chemise, la laissant tomber au sol avant de défaire sa ceinture et de finir de se déshabiller, offrant à ma vue une queue dressée, plus longue que celle du garde, mais légèrement moins épaisse. Je m’approchais alors et m’agenouillais avant de la prendre en bouche, faisant glisser le gland entre mes lèvres et l’entourant de ma langue en le regardant laisser aller sa tête en arrière. Je me fis plus gourmande en gobant la moitié de sa queue, me forçant alors à la prendre entièrement en bouche et la gardant quelques secondes malgré les hauts-le-cœur. Il gémit quand je reculais ma tête, et c’est alors que j’entendis des pas retentir dans le couloir, des claquements de talons qui me laissèrent penser qu’il s’agissait peut-être de sa femme.
— Élias ? Vous êtes là ?
Malicieuse, je reprenais en bouche la hampe de mon amant, exécutant la même action que précédemment. Mais, sentant qu’il risquait de gémir, il maintint ma tête d’une main, gardant sa queue au fond de ma gorge alors que mon visage virait au rouge, je manquais d’air, mais il ne semblait pas s’en soucier. Il fallut de longues secondes avant qu’enfin sa femme ne se soit assez éloignée pour qu’il me relâche, je toussais alors en reprenait difficilement ma respiration, si excitée que je craignis un instant d’avoir taché le sol. Mais je n’eus pas le temps de m’inquiéter davantage, il me releva, visiblement peu amusé par mon petit jeu.
— Sale putain, elle aurait pu m’entendre, qu’est-ce que j’aurais fait ?!

Je n’eus pas le temps de répondre qu’il m’asséna une claque retentissante sur la fesse, m’arrachant un cri qui parut le satisfaire. Il me poussa alors jusqu’au lit présent dans la pièce, car il y avait ici tout l’ameublement nécessaire à nous amuser, du lit à la table en passant par le canapé et d’autres meubles. Je tombais à la renverse et le regardais venir se placer au-dessus de moi, saisissant fermement mes cuisses avant de les redresser. Il était sur les genoux, entre mes jambes, et bientôt je sentis son gland venir glisser contre mon intimité en de douces caresses qui me torturaient tant je voulais plus, je me cambrais et gémissais pitoyablement jusqu’à ce qu’enfin il me pénètre, entrant en moi d’un coup de reins et m’arrachant un cri de plénitude.
Il resta immobile quelques secondes avant de commencer de lents mouvements qu’il accéléra au fur et à mesure, augmentant le rythme alors que son torse venait s’écraser contre ma poitrine, nos lèvres liées jusqu’à ce que sa langue vienne rejoindre la mienne. Ses bourses claquaient contre moi, tendit que mes gémissements, véritables cris de plaisir venaient se mêler aux grognements de mon amant. Sans doute avait-il oublié que sa femme pouvait passer à tous moments, j’adorais cette idée, j’aurais même encore plus aimé l’idée qu’elle nous surprenne, me voyant me faire prendre par son époux. Mais cette idée me fut ôtée alors qu’il se retira et se releva, je voulais lui demander ce qu’il se passait, mais il m’attira près du bord du lit et me retourna vivement, saisit mes cuisses et se plaça de nouveau entre mes jambes.
Il me pénétra de nouveau, plaquant son torse contre mon dos et mordant mon cou, avec douceur d’abord puis avec force alors qu’il accélérait ses mouvements, mes cris se faisaient autant de plaisir que de douleur du fait de ses morsures. Je l’entendais s’exclamer entre deux grognements que je n’étais qu’une putain, une salope, qu’il allait me défoncer, me passer dessus, j’aimais me faire ainsi rabaisser, entendre que je n’étais qu’une putain m’excitait plus que tout. Après de longues minutes durant lesquelles il m’avait poussé plus loin pour monter sur le lit et avait violemment tiré mes cheveux en arrière, me possédant comme une femelle à saillir, il finit par exploser en un nouveau grondement alors que j’atteignais un orgasme fulgurant qui me laissa tremblante.
Je sentis quelques jets de sperme venir habiller mes fesses, les couvrant et glissant jusqu’aux draps maintenant aussi souillés que moi.
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