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La Pyramide oubliée

Chapitre 3

Le débuts d'un renouveau

Divers
Je me suis réveillé le lendemain matin, seul. Avais-je rêvé ? N’était-ce que le fruit de mon imagination ? Je me levai pour me diriger vers la cuisine afin de trouver de quoi me sustenter. La cuisine était vide de toute présence. Je cherchai donc quelque chose à manger et vis rapidement des grappes de dattes pendues à un séchoir. J’en pris donc une petite grappe et commençais à les picorer en regardant la cuisine plus avant et remarquai une petite porte en bois. Poussé par la curiosité, je l’ouvris pour découvrir le sellier. Il était immense et abondement garni de fruits et légumes séchés ou en bocaux, de quartiers de viande séchée pendus au plafond, ou enfermés dans des coffres remplis de glace. Il y avait dans cette réserve immense de quoi tenir pour certainement plusieurs millénaires. Comment une pièce aussi vaste pouvait-elle tenir dans une pyramide aussi petite en comparaison, et pourtant déjà si grande vue de l’extérieur ?
Je fermai donc la porte et retournai dans la cuisine avec de nouvelles questions sur cet endroit dans la tête.
Finissant mes dattes, je retournai dans ma chambre pour y prendre du matériel et me remettre au travail, puis dans la salle de la porte énigmatique où je trouvai enfin Qhala qui contemplait la grande porte en silence. — Bonjour.Elle ne semblait pas m’avoir entendu arriver et sursauta légèrement en entendant ma voix. Elle se tourna vers moi en souriant, ses yeux verts semi-brillants me fixant comme si elle essayait de lire en moi.
— Tu as bien dormi ? — Oui [j’hésitais un moment] est-ce que tu es venu dans ma chambre hier soir ?
Ses joues se mirent à rougir comme si ses écailles étaient celles d’un caméléon, et son regard se détourna un peu de moi comme pour échapper à un jugement sévère. Je m’avançai alors vers elle et arrivant à sa hauteur, confrontai son regard sans animosité, mais avec insistance. Elle finit par passer ses bras autour de ma taille et poser sa tête sur ma poitrine comme pour quémander mon pardon.
— Je ne sais pas ce qui m’a pris hier soir.
Ce n’était donc pas un rêve, elle était bel et bien là.
— Je comprendrais que tu m’en veuilles.
Sa voix était tremblante, comme si elle s’attendait à ce que je la foudroie sur place. Alors pour la rassurer, je posai ma main dans son dos et l’autre dans son cou, la serrant légèrement contre moi.
— C’est pas grave, tu n’as pas de raisons de t’en vouloir. Et pour être honnête, j’ai beaucoup aimé.
En entendant ces mots, sa tête alors pressée contre mon cœur s’écarta un peu de moi pour me regarder, son visage illuminé par une joie presque enfantine, comme si elle avait reçu une récompense pour une bonne action. Elle se pendit donc à mon cou, m’éteignant comme si j’étais un proche qu’elle n’avait pas vu depuis longtemps. Je passai donc mes bras autour de sa taille.
— J’aimerais juste que tu me dises ce qui t’a poussée à faire ça.— Je ne sais pas vraiment, c’est juste que... ça fait tellement longtemps que je n’ai pas eu de compagnie, et... ton odeur est tellement enivrante...
Et alors qu’elle disait cela, je sentais sa langue passer délicatement dans mon cou.Je finis par poser mes mains sur ses côtes, la repoussant délicatement face à moi, et lui déposai un bisou sur la joue.
— Il faut que je me mette au travail.— D’accord, si tu as besoin de quelque chose, n’hésite pas.
Je me remis donc à tenter de transcrire les symboles de la porte, mais plus je travaillais et plus je piétinais, incapable de faire le moindre progrès. J’avais déjà eu par le passé à traduire des textes anciens en partant de zéro, mais la complexité de ces écrits surpassait de loin tout ce sur quoi j’avais pu travailler jusqu’à lors. N’ayant absolument rien à quoi me référer, je ne pouvais que vaguement spéculer sur la signification de ces textes, car pour toutes enluminures, au-dessus des textes se trouvaient deux chacals semblables à ceux que j’avais pu voir à l’entrée de la pyramide et dont les mains entouraient ce qui semblait être la Lune. Excédé par mon incapacité à faire le moindre progrès, je finis par donner un grand coup de pied dans une caisse que j’avais auparavant vidée de son contenu, puis m’assis, accablé par la frustration.Qhala vint me rejoindre, posant ses mains sur mes épaules et tentant de me réconforter.
— Calme-toi, c’est normal que tu n’y arrives pas, du peu de ceux qui ont essayé, personne n’a jamais réussi à lire ce texte.— Il doit bien y avoir un moyen de le décrypter, au moins un fragment, juste une toute petite partie qui me permettrait d’avancer. Il n’existe pas une sorte de pierre de rosette ou quelque chose dans le même genre ? — Non, enfin si, mais... non il n’y en a pas.
Je la regardai alors, interloqué.
— Comment ça ? Il y en a une ou pas ?
Elle me regarda avec une certaine crainte.
— Je... je ne sais pas.
Je forçais mon regard insistant vers elle alors qu’elle semblait se refermer. Puis me rendant compte que je devenais agressif, je me reculai en m’excusant.
— Pardon, c’est juste que ça m’obsède tellement.
Je me mis presque à pleurer devant mon comportement. Elle s’approcha de nouveau de moi, m’étreignant et me serrant contre sa poitrine. Elle me dit alors d’une voix calme et douce :
— Tu as besoin de te détendre, et d’oublier un peu ton travail. Viens avec moi, un bon bain te fera le plus grand bien.
Et sur ces mots, elle me tira par la main jusqu’à la grande salle dans laquelle je l’avais accidentellement surprise la veille. Je pus alors admirer cette immense salle de bain. Le bassin faisait au bas mot cinq mètres par huit, de grandes colonnes de grès soutenaient le plafond et deux grandes statues de femmes crocodile très peu vêtues et aux formes généreuses et tenant chacune une cruche sur l’épaule faisaient office de fontaine, l’eau se déversant de leurs cruches dans le bassin. Qhala me mena jusqu’au bord de l’eau où elle se mit à me dévêtir avant de faire de même pour elle, puis nous entrâmes dans l’eau tiède. Elle me fit m’asseoir sur une marche immergée. J’avais de l’eau jusque sous les pectoraux, j’étais adossé au bord et fermai les yeux tant c’était agréable. Elle s’éloigna quelques instants puis revint avec une éponge, elle l’imbiba d’eau puis me prenant la main, se mit à la passer sur mon bras.
C’était extrêmement relaxant, ensuite elle passa à l’autre bras, et quand ce fut fait, elle se mit à me faire le torse. J’étais dans un état de béatitude tant c’était agréable de se faire chouchouter par ses soins.
Puis après quelques minutes de douce caressent, elle se colla à moi, je sentis ses seins contre ma poitrine. J’ouvris alors les yeux et la vis face à moi. Elle me regarda dans les yeux, puis m’embrassa, je lui rendis son baiser, nos langues se mêlèrent l’une à l’autre et sa main descendit sur mon torse jusqu’à mon sexe qu’elle se mit à faire durcir par de tendres caresses. Je mis alors ma main sur son sein et de l’autre tentait de l’imiter en la faisant glisser contre son ventre, cherchant sa fente, mais son anatomie m’étant étrangère, je ne pus la trouver. Elle rompit alors notre baiser et me regarda, puis elle me sourit et attrapa ma main pour la guider vers ses parties intimes, et de nouveau m’embrassa. Je me mis à la caresser, découvrant qu’une fois passée l’étape de la trouver, elle n’était pas très différente des femmes humaines, seule l’orientation de son sexe changeait, étant verticale pour elle dans la continuité de son corps.
Je lui procurai ainsi le même plaisir que celui qu’elle m’offrait. Puis après quelques minutes, elle me lâcha, et avec un regard provocateur et empli de désir plongea ses deux mains sous l’eau, retira ma main de son antre et m’attrapa les genoux pour m’écarter les jambes, je me laissai guider sans résistance.
Puis elle se saisit à nouveau de mon sexe et alors qu’elle revenait se coller à moi, l’introduisit en elle. Elle se plaqua contre moi, mon sexe au fond du sien, ses seins se frottant contre mon torse, et elle commença à onduler doucement contre moi d’avant en arrière. La sensation était incroyable, elle était chaude et douce et elle semblait avoir un contrôle incroyable sur son corps, car j’avais l’impression qu’elle essayait de me traire. Ses muscles se contractaient alors qu’elle reculait et se relâchaient quand elle revenait se plaquer à moi. Et pendant qu’elle me faisait tant de bien, je me mis à passer ma bouche dans son cou, la bécotant sur toute la surface de sa peau. Elle se mit à roucouler doucement, et je pus sentir le parfum des huiles qu’elle avait appliquées sur ses écailles. Elle dégageait un doux parfum de vanille mêlé à de la cannelle.
Je la retins par la taille d’un bras et lui caressai les seins de l’autre main alors qu’elle s’agrippait à moi par l’épaule et avais son autre main dans mes cheveux.
Sa respiration finit par s’accélérer et elle pencha la tête en arrière alors qu’elle atteignait l’orgasme. Ses muscles se contractèrent fortement autour de mon membre, et il ne m’en fallut pas plus pour la rejoindre dans l’extase. Je ne pus m’empêcher de relâcher ma semence en elle. Le sentant elle m’embrassa tendrement. Puis une fois la tension retombée, elle s’écarta lentement en souriant et se saisit d’une petite brosse qu’elle me tendit.
— Tu veux bien me faire le dos ?— Bien sûr.
Elle en saisit une autre et me tourna le dos pour que je lui brosse les écailles alors qu’elle commençait à se faire les bras. Une fois ceci fait, elle se retourna et me présenta ses seins.
— Là aussi.
Je lui brossai donc délicatement les seins alors qu’elle se faisait la queue. Quand nous eûmes fini, nous sortîmes de l’eau et elle se proposa me faire un massage aux huiles essentielles.
[Voilà les amis, il s’agirait de ne pas être trop gourmands, je vous réserve donc la suite pour le prochain chapitre. J’espère que celui-ci vous a plu, car personnellement, j’ai pris beaucoup de plaisir à l’écrire. N’hésitez pas à me laisser un petit commentaire, ou UN GROS COMMENTAIRE, je me ferais un plaisir d’y répondre, et si vous le souhaitez, je suis également joignable par message privé. Je vous donne rendez-vous dans le prochain chapitre de "La pyramide oubliée". D’ici là, soyez heureux et n’arrêtez jamais de fantasmer vos vies. Bisous.]
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