[Bonjour, bonsoir, chers amis lecteurs, c’est avec plaisir que je reprends la plume pour vous offrir un nouveau chapitre de cette histoire. Cela commençait à faire quelque temps que ce ne fut plus le cas et pensez bien que j’en suis le premier navré. Je sais combien le peu de lecteurs qui me suivent apprécie mes histoires et mon écriture, mais j’ai malheureusement dû ces derniers mois consacrer l’intégralité de mon temps à ma vie professionnelle, ne laissant ainsi plus aucun espace à ma créativité littéraire. Cette période étant derrière moi, j’espère pouvoir à nouveau vous proposer un contenu de qualité de manière régulière. J’espère que le temps a su vous préserver de la maladie et que lirez à nouveau mes écrits avec autant d’enthousiasme qu’avant ma disparition provisoire. Il est temps maintenant de nous replonger dans les profondeurs du récit. Si vous avez besoin d’un petit rafraichissement sur l’histoire, je vous invite à faire machine arrière et à relire les chapitres précédents.] Le lendemain, après une nuit fort agréable et réparatrice, je me réveillais auprès d’elle. Dans son sommeil, elle avait enroulé sa queue autour de ma jambe de la cuisse à la cheville et s’était posée sur moi, la tête sur mon épaule. Je ne savais pas si elle dormait encore, mais alors que je faisais mine de bouger, elle se blottissait d’autant plus contre moi. Je sentais son étreinte se resserrer doucement autour de ma jambe ainsi que de ma taille, car elle avait passé son bras autour de moi afin de rester au plus près de moi, probablement pour profiter de ma chaleur corporelle. Sa peau couverte d’écailles était incroyablement douce, ce qui rendait ce câlin d’autant plus agréable. Je me mis alors à caresser doucement sa joue de ma main et la serrai également contre moi. Je vis alors un léger sourire s’esquisser au coin de sa lèvre. Je m’aventurais donc à lui déposer un doux baiser sur le front, elle soupira, puis ses magnifiques yeux vert émeraude s’ouvrirent et elle me regarda, les yeux encore embrumés par le sommeil. Elle leva la tête vers moi sans la décoller de mon torse, et m’embrassa sur la bouche. Je lui rendis ce baiser. Puis, sans rien dire, elle rompit le contact entre nos lèvres, et se mit à passer sa langue dans mon cou, l’agitant comme le font les serpents normaux, puis la ravalant dans sa bouche, et recommençant. Pas de doute, elle appréciait mon odeur, et elle s’en délectait sans retenue. Je sentis alors quelque chose d’humide contre ma hanche. Je levais légèrement la tête pour constater qu’il s’agissait d’elle. Ses lèvres vaginales étaient collées à moi et son humidité intime commençait à s’en échapper. Je lui adressais donc un simple chuchotement : — Bonjour. En guise de réponse, je n’eus droit qu’à son regard plongé dans le mien suivi d’un autre baiser durant lequel elle explora ma bouche avec sa langue. Puis je sentis sa main venir se balader vers mon pubis et saisir mon sexe. Ma réaction ne se fit pas attendre et il se dressa instantanément. Elle se mit à me caresser doucement dans le but évident de me faire durcir. En retour, je serrais mon bras autour de sa taille et passais ma main contre son sein, le caressant délicatement, jouant parfois avec son téton. Cela eut pour effet de la faire gémir. De nouveau, je capturais ses lèvres avec les miennes et l’embrassais langoureusement. Elle me rendit ce baiser et gémissait toujours malgré cela. Puis après quelques secondes, elle rompit à nouveau le contact de nos lèvres et m’embrassa dans le cou, et, tout en restant sur le côté, elle descendit encore, sur mon torse, elle déposa quelques bisous rapides. Et encore plus bas vers mon ventre où elle s’attarda un peu plus longuement, et enfin elle arriva vers ce qu’elle convoitait tant. Elle agrippa le bout de mon sexe dressé avec sa langue et se mit à l’enrouler tout autour jusqu’à la base alors que ses lèvres suivaient non loin et engouffraient ma colonne de chair dans sa bouche. S’en suivit une longue et douce fellation, jouant de sa bouche et de sa langue comme elle savait si bien le faire, elle s’employait à me procurer un plaisir qu’on pourrait presque qualifier de divin. Je tentais de me redresser avec l’intention de lui prodiguer quelques caresses, mais sa seule réaction fut d’aspirer mon membre plus fort dans sa bouche et sans même me faire face, elle fit remonter sa main, les doigts écartés, sur mon torse jusqu’à mon cœur. Ainsi elle me maintenait tendrement, mais fermement allongé. Cela me donnait l’impression d’être un malade à qui on prodiguait des soins, mais que l’on invitait à ne pas regarder par peur de le choquer. Je me contentais donc de mettre ma main par-dessus la sienne. Elle continua à me sucer délicatement avec tout le savoir-faire dont elle pouvait faire preuve. Puis vint le moment de l’apothéose, elle me fit jouir. A ce moment, ne pouvant rien faire d’autre, ma seule réaction fut d’agripper sa main. Elle saisit la mienne en retour alors que ma semence commençait à se déverser dans sa bouche. Elle semblait s’en délecter, et quand ce fut terminé, elle se tourna enfin vers moi et me dit simplement : — Bonjour. Je ne pus retenir un léger rictus avant de lui répondre : — C’est une drôle de façon de dire bonjour, mais pas déplaisante pour autant. J’ai envie de te rendre la politesse. Elle me sourit tendrement. Je m’assis sur le lit, et elle vint s’enrouler autour de ma taille, positionnant son pubis face à mon visage. Je l’agrippais par le bas du dos et fis rencontrer mes lèvres et sa fente. Elle était déjà dégoulinante. Je me mis donc à la lécher. Elle avait un goût extrêmement doux, presque sucré. Je m’employais donc à la satisfaire, ce qui ne prit à ma grande surprise que peu de temps, car en quelques minutes, elle avait joui trois fois, m’agrippant par les cheveux à chaque fois qu’un nouvel orgasme l’atteignait. Quand c’en fut trop pour elle, elle commença à tomber à la renverse, je la reteins par le dos avant de l’allonger à nouveau sur le lit. Epuisée, elle s’endormit de nouveau. Je la laissais se reposer et m’habillais donc pour aller dans la cuisine. Là, je mangeais rapidement quelques dattes, puis lui composais un plateau que je portais à son chevet. Puis de nouveau, je partis en direction de cette salle qui devenait ma némésis, espérant pouvoir réaliser quelques progrès ou tout du moins prendre quelques photos de ces portes énigmatiques. De toute façon, je n’aurais pas de réponses venant de Qhala tout de suite alors autant mettre ce temps supplémentaire à profit... [Voilà les amis, c’est la fin de ce nouveau chapitre. Je sais qu’ils sont courts, mais je préfère rester dans ce format-ci, car l’inspiration n’est pas toujours facile à exploiter. J’attends vos commentaires avec impatience et j’espère vous retrouver très bientôt pour la suite de l’histoire. En attendant, je vous souhaite un joyeux Noël et une excellente année 2021. D’ici là, soyez heureux et n’arrêtez jamais de fantasmer vos vies. Bisous]
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