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Quand Bruno devient Celine

Chapitre 1

Travesti / Trans
Assis devant l’écran de l’ordinateur, Bruno a les yeux rivés sur les images qui défilent devant lui, incapable de sortir de cet état d’excitation extrême dans lequel ces films l’ont plongé. Ses poignets ligotés aux accoudoirs de son fauteuil l’empêchent de se masturber. Pourtant il bande comme un fou, nu, sur ce fauteuil. Une ceinture lui maintient le dos plaqué au dossier. Assis bien droit, il sent parfaitement le plug qui lui remplit l’anus. Devant lui, une magnifique transsexuelle est en train de sucer une grosse bite alors qu’une autre lui lime le cul en profondeur, le tout accompagné d’une musique lancinante et des répétitions de mots : salope, foutre, sperme, queue…
Comme tous les soirs depuis maintenant une semaine, Alban finit son repas devant la télé. Il va bientôt être l’heure de coucher Céline. Enfin, Bruno car ce n’est pas encore Céline. Alban a monté une petite entreprise en informatique qui marche plutôt bien. Il cherchait une personne supplémentaire pour faire du secrétariat. Quand il a vu le CV de Bruno au milieu d’une vingtaine de CV féminins, il a voulu voir à quoi il ressemblait. Avec son allure androgyne, sa fine silhouette et des yeux bleus gris, il a tout de suite pensé que Bruno pourrait très bien devenir sa secrétaire particulière. Alban est bi sexuel avec une préférence pour les hommes. Plutôt bien pourvu par la nature, il aime glisser sa belle queue entre les fesses des petits minets tout en les branlant, et il apprécie aussi de se faire posséder de temps en temps par une belle verge bien tendue.
Une fois embauché, Bruno n’a pas résisté longtemps aux avances de son nouveau patron et n’a pas tardé à se retrouver dans son lit. A peine arrivé, Alban l’a convoqué dans son bureau, un soir, pour terminer un projet un peu urgent. Vivant seul depuis peu, Bruno n’a pas de contrainte de temps. Quand Alban lui propose d’aller manger une pizza, il accepte bien volontiers. Séparé depuis deux mois de Sophie, Bruno est un peu en manque sexuellement. Il se branle bien de temps en temps mais cela n’est pas toujours terrible. Après deux ou trois verres de cet excellent vin italien, il se laisse aller aux confidences. Alban le pousse à parler de lui, de ses expériences amoureuses:
— C’est vrai qu’à la fac, j’ai passé pas mal de temps avec mon ami, on faisait la fête souvent, je me suis réveillé plusieurs fois dans son lit, oui, c’était un très bon ami.
Alban lui reverse du vin, l’incite à parler encore:— Il n’y a pas eu que Jacques… le mieux, c’était Eric. Oh oui, maintenant qu’on en parle, il m’a ramené une fois chez moi. Il m’a aidé à me coucher, on a fini la nuit ensemble. En fait, on a passé quelques mois ensemble.
Tout en parlant à son boss, Bruno bandait tout en revoyant les images de ses soirées avec ses potes. Il ne sait pas tout de suite rendu compte de la cuisse d’Alban collée contre la sienne. C’est lorsque sa main se posa sur la grosse bosse de son pantalon, qu’il se rendit compte de sa proximité.
— Tu sais Alban, c’était à la fac… J’avais une copine il n’y a pas longtemps.— Bruno… ça ne te dirait pas de passer un peu de bon temps avec moi… On a bien bossé ce soir… Je veux te récompenser.— Mais je ne …— Allons, ne fais pas le timide. Regarde comme tu bandes en pensant à tout ça ! et puis tu m’as donné trop envie ! Ajoute-t-il en posant la main de Bruno sur son propre sexe.
L’alcool aidant, Bruno ne peut pas résister à ses avances et se laisse entrainer vers son appartement. Très vite, ils sont nus sur son lit. Un long 69 lui fait apprécier les talents d’Alban pour la fellation et la belle longueur de son membre tout lisse. Il se laisse bien volontiers mettre sur le dos et positionner un oreiller sous les reins. Il ne peut pas retenir un gémissement de plaisir en sentant le gland de son amant se poser sur sa rondelle. Alban le pénètre doucement mais fermement en le tenant par les hanches. Sa queue s’immisce en lui en lui écartant les chairs intimes. Il retrouve ce plaisir profond qu’il ressentait quand Jacques le prenait après les cours. Alban vient de plaquer son ventre contre ses fesses. Embroché jusqu’à la garde, il savoure ce pieu enfoncé en lui. Les coups de reins réguliers alimentent le feu au creux de son ventre. Il bande très fort et sa queue tape son ventre au rythme des assauts d’Alban. Celui-ci regarde son nouvel amant couché devant lui, admirant celle jolie queue se balançant devant ses yeux. Il passe la main sur les pectoraux, attrape les tétons durcis, accompagnant les gémissements de Bruno de ses râles en sentant le plaisir monter.
— Tu vas me faire jouir… tu es une vraie petite salope… tu as un cul d’enfer …
Entendant ses commentaires, Bruno s’excite encore d’avantage.
— Défonce moi … je suis ta salope … prends moi plus fort …
Sentir ses tétons ainsi pincés et étirés va le faire jouir aussi ! Mais Alban maîtrise tout à fait les ébats. Il se retire pour le faire mettre à quatre pattes et le prendre en levrette. Bruno ne se fait pas prier pour se cambrer et offrir son orifice à son bel étalon qui lui saisit les hanches en pointant sa queue vers sa chatte. Il s’empale d’un coup sur le pieu de chair. Il gémit de plaisir alors qu’Alban se retire presque de son fourreau avant de replonger bien au fond de ses fesses.
Alban veut jouir sur sa figure, dans sa bouche de salope. Sentant l’éjaculation inéluctable, il se retire et se place devant lui. Bruno a déjà la bouche ouverte et il décharge un long jet de semence au fond de sa gorge. Sa bouche se referme sur son gland turgescent qui continue à lâcher son foutre. Bruno avale sans broncher toute sa semence tout en lui caressant les couilles. Bruno le suce encore un moment, jusqu’à le sentir perdre de la vigueur. Il se redresse en se collant sur le torse de son amant qui lui caresse les fesses. il bande toujours très fort et attend la suite pour jouir à son tour. Alban l’embrasse à pleine bouche en lui prenant les couilles.
— Tu es vraiment bonne, tu sais …— J’adore ta queue— Ça te dirait de rester chez moi ? — On peut essayer
Après quelques semaines de vie commune durant lesquelles Bruno démontre ses qualités aux lits, il se laisse bien volontiers traiter de salope, de petite pute par un Alban de plus en plus entreprenant. Quand celui-ci lui demande de porter des culottes en dentelle, il résiste pourtant un peu. C’est là qu’Alban se décide à lui faire visionner des séquences vidéo destinées à l’inciter à le suivre dans ses idées.
Pour Alban, Bruno est fait pour devenir une vraie petite femelle. il adore le prénom Céline. Il va formater Bruno, qui deviendra Céline. Aidé par une amie médecin, il est en train de concocter un programme de transformation.
Il rejoint la chambre de Bruno où la séquence vient de se terminer. Il le regarde un instant avant de le libérer. Il glisse son doigt le long de la hampe dressée lubrifié par la mouille abondante. L’autre main caresse la petite poitrine naissante, titille les tétons devenant de plus en sensible. Bruno se cambre sur sa chaise, offrant sa poitrine à son homme. Le mouvement fait bouger le plug entre ses fesses et le fait soupirer de plaisir.
— Alors ma chérie ? Comment te sens–tu ?— Baises moi mon amour, prends moi.— Es-tu prête à …— Je ferai tout ce que tu veux, tu as raison, je suis une petite femelle, ta petite femelle!— Je peux nous débarrasser de tous les vêtements de Bruno ?— …oui…— Céline, tu te sens prête ?
Alban la libère de son fauteuil et se laisse sucer la queue. Céline s’est mise à genoux pour le prendre en bouche. Il la redresse pour la pencher sur le bureau, pose son gland sur la rondelle et la pénètre d’un coup. Quelques coups de rein suffisent pour l’amener à la jouissance. Céline crie son plaisir et elle aussi jouit en se vidant le long de ses cuisses.
— J’ai jouit par le cul mon amour, dit-elle en se retournant vers son amant, je suis heureuse.
Dès le lendemain, Alban annonce à ses collaborateurs que Bruno vient de démissionner mais il a déjà trouvé quelqu’un pour le remplacer. — Je vous présenterai Céline très vite.
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