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Quand la chair s'éveille

Chapitre 7

Inceste
Montant à l’étage, Ramon remarque des bruits étranges qui ne trompent pas. Le grand-père est bien en train de commander à sa fille des services honteux.
– Allez en souvenir de ta jeunesse, fais-moi une pipe d’anthologie.– Mais père, votre queue est toute flétrie, je ne peux rien faire avec et Ramon et mère m’attendent.– Taratata. Que crois-tu que ta mère essaye de faire ? De se le mettre sous la dent. Cela fait bien longtemps qu’on a plus aucun commerce ensemble, elle me le reproche assez souvent, mais elle ne me dit plus rien, j’ai tout exploré chez elle.– Tu penses que Ramon mon fils va tomber dans ses filets ? J’y crois pas une seconde.– Reste ici un moment et je te dirais quand il faut aller. Tu verras par toi-même en attendant, suce-moi le poireau, il a besoin de dégorger depuis le temps qu’il accumule.– Je veux bien, mais pas plus. Dans le temps c’était déjà limite, maintenant, ce serait dépasser les limites.
Voulant sauver sa mère d’une situation inconfortable, il frappe à la porte et demande s’ils ont besoin d’aide. Il entend un bruit de vêtements qu’on remet en place.
– Entre, j’ai presque fini, répond sa mère, soulagée de ne pas avoir été obligée de téter ce vieux poireau tout rabougri, qui en plus n’a pas un goût et une odeur à s’emballer. Cela sent un peu les latrines à ce niveau.
Ramon entend le vieux marquis bougonner quelque chose, mais il voit sa mère rayonnante de joie à son arrivée.
– Vous en avez encore pour longtemps, je peux éventuellement t’aider à le mettre dans le lit.– Volontiers mon chéri. Toi qui es très fort, tu peux le mettre bien à plat dans son lit.
À ce moment-là, le vieux marquis remarque que son héritier a la braguette ouverte.
– Dis-moi, Ramon, est-ce que ta grand-mère n’a pas essayé de contrôler ton matériel pour le dépucelage des pucelles de la région ?– Oui grand-père, mais je suis parti voir à quoi vous en étiez quand elle a commencé.– Alors montre-nous, à ta mère et à moi, si tu es le digne héritier de ton grand-père.– Mais He…– Il n’y a pas de mais he, sorts ton engin que je puisse l’apprécier.
– Tu permets maman ?– Oui, il faut toujours obéir à grand-père.– Bon si tu le dis et à ces mots, il sort une demi-molle qui a cependant bonne allure.– Éléonora, secoue-la un peu, j’aimerais la voir bien tendue.– Mais père…– Écoute ma fille, je conçois que tu ne sois pas enchantée de le faire sur la mienne, mais celle-là, elle m’a l’air tout à fait intéressante.– Mais c’est mon fils.– Tu ne disais pas la même chose il y a une vingtaine d’années et pourtant j’étais ton père.– T’inquiète Grand-père, avec maman, on a aussi franchi le pas et je peux t’assurer qu’elle aime bien bichonner mon matériel.– Ramon, tu n’aurais pas dû. Je t’avais demandé d’en garder le secret. Remarque -t-elle en commençant à lui astiquer la gaule.– Tu sais maman, c’est un secret de polichinelle, grand-mère l’avait aussi remarqué.– Ramon, je vois que tu es bien équipé pour me succéder, ta mère doit être heureuse quand tu la prends.– Je ne l’ai jamais entendu se plaindre.– Vous n’allez pas utiliser deux paires de drap, Éléonora et Ramon, vous allez coucher ensemble, mais je pense qu’avec ma femme, on aimerait bien y assister.– Qu’en penses-tu Éléonora ? Tu te sens prête à assumer le spectacle pour nos ancêtres.– Je ne saurai rien refuser à mon père, si cela peut lui faire plaisir.
C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent les quatre dans la chambre d’Éléonora que Ramon honora plusieurs fois dans la soirée, mais chose étonnante, le vieux marquis, voyant ce couple plus jeune en train de batifoler, ressenti, pour la première fois depuis longtemps une émotion visible au niveau du bas ventre.Il était terriblement partagé, d’une part, il aurait bien aimé bénéficier des faveurs d’Éléonora, mais avait peur de ne pas tenir la comparaison, sa femme, qui bien qu’émoustillée, il sentait bien que ce n’était pas à cause de lui et qu’elle aussi aurait bien aimé sentir un souffle de fraîcheur, un dernier donné par son petit fils.C’est alors que prenant son courage à deux mains, celle-ci demande :
– Ramon, s’il te reste des forces pour ta pauvre grand-mère, c’est avec plaisir que je t’accueillerai. Cela me changera d’avec ton grand-père qui ne peut plus beaucoup.– Somme tout grand-mère, tu nous demandes de changer de partenaires ? Je vois qu’un miracle s’est produit chez grand-père et de ce que j’en sais, maman a peut-être envie de retrouver ses souvenirs de jeunesse.– Pourquoi pas, répond Éléonora qui se désengage du sexe de Ramon, Père si tu t’en sens les forces ! Mais ne compte pas sur moi pour déguster ta nouille, j’aime trop celle de Ramon pour prendre du deuxième choix.
À ce moment-là, Ramon se sentant libre commence à déshabiller sa grand-mère et là, c’est un peu le calvaire avec toutes ses fanfreluches et autres pièces de tissus. Quand enfin elle est nue comme au premier jour, il ne peut s’empêcher de l’admirer.
– Grand-mère, tu es encore bien appétissante pour ton âge, pas de kilo superflu, ton minet est d’un beau blond cendré. Tes seins, bien que piquants du nez, ont pas mal d’attraits, surtout les gros bouts qui appellent ma bouche pour les sucer.– Je t’en prie mon petit-fils, fais-toi plaisir, je suis toute à ta disposition.– Tourne-toi que je puisse voir le côté pile.
Sans discuter, grand-mère se met sur le ventre, les fesses à l’air et là, Ramon s’approche de ses deux monticules, un peu ridées, (il ne faut pas rigoler tout de même) et surtout, il voit le même motif fait par les poils du cul que sa mère, courts et bien noirs sortant de la fin de la raie rectale. Doucement, son doigt inquisiteur, (normal, on est en Espagne, patrie de l’Inquisition), qui monte ou plutôt descend de plus en plus profondément, jusqu’à atteindre la plaine de Sodome. Là, Grand-mère lui fait remarquer que cette partie de son organisme est encore vierge, grand-père, ayant peur de l’anathème. Elle n’est pas sûre de pouvoir supporter un enculage en bonne et due forme.
– Bien Grand-mère, il n’y a qu’un moyen pour savoir, c’est d’essayer, mais il faut bien préparer, je vais aller à la cuisine prendre la bouteille d’huile d’olive, première pression. (pour un cul vierge, il faut de l’huile vierge il me semble)– Va mon grand, comme cela je ne mourrai pas idiote.
À côté d’eux, empalés l’un dans l’autre, le vieux marquis laboure tant et plus la figue de sa fille adorée.
– Bon Dieu que tu es bonne. Pourquoi es-tu restée si longtemps loin de moi ?
Le lendemain matin, émergeant de cette folle nuit, Ramon prend sa mère dans ses bras.
– Mère tu es formidable. Je t’aime très fort. Mais il va falloir organiser notre retour. J’ai rencontré quelques jeunes avec les quels on a sympathisé, j’aimerai en prendre avec nous pour assurer nos arrières, pas comme à Marseille où on a dû utiliser un taxi à la solde de Delpatio. Si rien ne s’est passé, c’est qu’il lui manquait probablement quelques couilles au Delpatio.– Mais tu as oublié que tu dois encore rendre un service à ton grand-père.– C’est vrai, mais quand on se sera plus là, il va faire comment ?
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