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Quand la chair s'éveille

Chapitre 13

Divers
– Lèche mes souliers, si tu veux garder tes doigts entiers.
Les autres chasseurs se lèvent pour observer en se moquant de leur ami qui se fait mâter par une jolie donzelle.
– Alors Louis, tu es tombé sur un os ? C’est bon les semelles ? J’espère que tu ne perdras pas ton appétit.
Ramon à ce moment-là intervient :
– J’espère que vous avez compris la leçon, elle est très gentille, avec moi, nous aurions dû appeler le Samu pour ramasser les morceaux.
À ce moment-là, le patron, cuisinier également arrive et enguirlande l’équipe des chasseurs et leur recommande de ne pas faire de vague s’ils veulent dîner et être logés.Le repas est délicieux et le vin généreux et ils remontent dans les chambres et là Ramon leurs demande si elles veulent passer un petit coup dans le sauna.
– Oui répondent-elles, cela nous détendra.
Là, les trois nus comme au premier jour se retrouvent transpirants et discutent à bâtons rompus. Ramon félicitant Fuji de la façon très propre dont elle s’était débarrassée de cet intrus.Fuji, elle plus terre à terre, lorgnait sur les attributs des deux autres et se demandant comment allait se passer la nuit. ÉLéonora elle était un peu dubitative, ne sachant pas vraiment comment cela allait évoluer, devait-elle révéler sa liaison avec son fils ou pas ?Finalement ils rentrent bien purgés de la fatigue du voyage dans la chambre.
– Mes dames, je vous laisse le lit jumeau et je prendrai le lit du fils.– Comme tu veux mon fils. Mais avant de dormir, tu viens me faire un petit câlin pour la nuit.
Se couchant au milieu des deux femmes, il se tourne d’abord vers sa maman et l’embrasse tendrement en la caressant un peu partout, ce qui commence à se traduire par une excitation de sa mère.Ne voulant pas laisser que sa mère soit la seule à en profiter, il se tourne vers Fuji et lui demande si elle veut aussi un petit câlin, ce qu’elle accepte volontiers et il la prend dans ses bras pour l’embrasser et lui faire un petit massage quand il sent qu’une main s’est saisie de sa queue et qu’une autre s’aventure sur son abdomen.Tout d’un coup, c’est la rencontre des civilisations et la main d’Éléonora se trouve sur celle de Fuji, un peu plus bas que l’abdomen. Elles se font des civilités et du coup, Ramon prend les lèvres de Fuji pour un baiser plus que russe, bien à la méthode française, avançant une langue conquérante pour lui caresser les gencives et tout et tout . Elle répond positivement à ses avances, même plus avec ce qu’elle a en main.

– Fuji, j’aimerais aller à la source de ton parfum.– Je veux bien, répond-elle en écartant bien ses cuisses nerveuses.
Ramon quitte les lèvres en passant sur sa poitrine et avoir un petit avant goût de ce qui va suivre. Il prend ces seins qui sont justes comme il les aime, rien à voir avec une vache à lait, très fins et réactifs. Il s’imbibe de leur goût et profite pour humer son odeur que ses petits écureuils distillent, il lance en explorateur sa main vers son pubis.Il y trouve un charmant buisson très doux au toucher et une délicieuse balafre qui n’attend que, que l’on s’occupe d’elle. Il parcourt de la main cette vallée du plaisir qui telle une oasis, appelle la bouche pour se désaltérer de son eau. Ne résistant pas à l’appel qui émane du bas ventre, il commence à lécher cette belle huître savoureuse, ce qui cause un très grand plaisir à sa propriétaire.Pendant ce temps-là, Léonora n’est pas restée inactive, vu le déroulement de la situation et a pris le relais de son fils au niveau de la poitrine et titille avec amour les tétons bien marqués. Lentement, elle avance sa bouche de celle de Fuji et commence à lui rouler une pelle monumentale, c’est assez surprenant, vu qu’elle n’avait pas d’expérience lesbienne, juste une petite caresse par-ci par-là avec Luce, mais rien de sérieux.Elle voit son amour de rejeton, la tête plongée entre les magnifiques cuisses musclées de Fuji qui a l’air de bien aimer le traitement, elle a les mains qui lui caressent la tignasse pour l’encourager à poursuivre son œuvre. Elle entend des grognements de satisfaction sourdre de part et d’autre. Finalement, après avoir passé par le banquet de Lucullus, Ramon remonte à la surface en déclarant :
– Fuji, ta moule est une des meilleures que j’ai jamais appréciées, mais j’aimerais bien te saillir.– Saillir ? Je n’en connais pas ce mot.– C’est-à-dire enfiler mon sexe dans le tien.– Oh oui, j’ai vu que tu avais un très beau Katana pour mon yoni.
Sans attendre plus, il plante son étant dard dans la forteresse qu’il conquière sans combattre.
– Voilà, pour le moment, reste tranquille, laisse-moi faire.Restant immobile, il a une sensation absolument inconnue, c’est comme un massage doux et voluptueux de sa queue avec le sexe de sa partenaire. Heureusement qu’il arrive à se retenir, mais c’est un peu le paradis sur terre.
– J’aimerais que tu te places à la japonaise, tu dois te mettre à genoux, jambes écartées pour t’introduire en moi. À ce moment, tu pourras donner toute la puissance que je sens venir de toi.
Se mettant comme indiqué par le mode d’emploi, pas d’Ikéa (ils n’avaient pas toute la nuit pour le déchiffrer et comprendre), il s’aperçoit qu’effectivement le mouvement entraîne une demande constante d’énergie qui diminue un peu le besoin d’éjaculer rapidement en sollicitant fortement les muscles des cuisses.Maintenant, c’est Fuji qui monte les tours, ses mains se serrent sur mes avant-bras, son bassin se décolle du lit pour venir plus à la rencontre du mien. Elle commence à couiner de plus en plus fort.Ramon qui ramone avec entrain, de plus en plus vite sent que lui n’est plus très loin de devoir relâcher la pression et ensemble, ils gravissent les derniers mètres pour arrivée à la montagne de la jouissance ultime et tel un geyser, Ramon se répand en elle, à bout de souffle les deux s’effondrent sur le lit, sous le regard doux et aimant d’Éléonora.
– Mère, je n’ai jamais connu cela, même avec toi, elle arrive à une densité de caresses internes fabuleuses.– Ramon, réplique Fuji, ma mère était une geisha et comme telle, elle m’a appris les mystères de l’amour des courtisanes japonaises.… Si tu veux Éléonora, je te l’apprendrai, mais il ne faut pas être submergée par les interdits de l’Église. J’ai compris que tu as une relation très profonde avec ton fils comme j’en avais une avec ma mère. Quand j’ai senti son souffle chaud sur mes seins, que de souvenirs délicieux sont remontés de ma mémoire, conjugués à l’amour que ton fils m’apportait m’a fait avoir un nirvana avant l’heure.– Volontiers, mais maintenant, ce que je désirerai, c’est que Ramon s’occupe un peu de moi, ma cheminée a besoin d’un petit lifting.– J’aimerais te donner aussi du plaisir en m’occupant de ton corps en attendant que Ramon reprenne des forces, souvent les hommes sont sensibles à l’amour entre femmes.– Je veux bien, mais il faut que ce soit réciproque.– Contrairement à la coutume occidentale, où le chiffre 69 exprime bien une idée de tête à queue, dans les nombres japonais, il n’y a rien de tel qui suggère cette position de symétrie inverse à deux chiffres.… Regarde bien Ramon, je vais apprendre à ta mère à attraper le poisson qui est le premier exercice des geishas.… Éléonora, essaie d’attraper mon doigt avec ta chatte. On va jouer au chat et à la souris.
Délicatement Fuji caresse les bords du sexe avec le bout de ses doigts, laissant ses ongles légèrement griffer la chair tendre de la fleur d’amour d’Éléonora.
– Mais je n’arrive pas à l’attraper.– Attends, je vais t’aider, je mets mon doigt, mais tu dois essayer de le garder dans toi, c’est-à-dire de serrer le plus fort possible les muscles de ta chatte.– Mais c’est pas possible.– Essaye avec moi !
Éléonora met deux doigts dans le vagin de Fuji et celle-ci simulant une contraction vaginale puissante, les retient dans son fourreau.
– Tu n’as jamais entendu parler de couples, qui sous l’effet de l’excitation n’arrivent pas à se désunir ? C’est le même principe, mais il faut muscler pour que ce ne soit pas une crampe incontrôlée, mais un contrôle des muscles du pubis. Je pense qu’avec un entraînement tu dois y arriver sans trop de problèmes.– Dis-moi quels exercices faire, à part d’essayer d’attraper tes doigts ?– Quand tu es seule, tu peux fortifier en faisant les mêmes efforts que quand tu as une irrépressible envie de pisser et qu’il n’y a pas de WC. Bloquer, relâcher, bloquer, relâcher.… Essaye quand je mets deux doigts, tu verras déjà une petite différence.… Maintenant, fais des exercices avec le cul, comme si tu poussais ou que tu freines et ensuite tu alternes.– C’est vrai que comme cela, je sens plus tes doigts et cela m’excite encore plus.– Mais tu n’es qu’au début de l’apprentissage. C’est parfois un peu long ou pénible, comme la musculation du bas ventre. Chose qu’on devrait enseigner à toute jeune fille qui a envie d’être mère une fois.– Est-ce que tu verrais un inconvénient à ce que je continue mes exercices avec le manche de Ramon, pour voir s’il sent une différence.– Évidement le mieux, c’est les exercices pratiques en réalité.
Quelques exercices pratiques plus tard, les trois, repus, s’endorment dans les bras l’un de l’autre et au petit matin, le nez chatouillé par une bonne odeur de mottes en exercice, Ramon ouvre délicatement les yeux pour voir sa mère compléter son instruction Geisha avec Fuji, les deux dans la fleur de l’autre, jouant les abeilles récoltant le nectar divin.Comme sa mère tient le dessus du panier et qu’il y a une place à occuper, il rapproche son trépan de la fissure arrière maternelle, dans le but bien avoué de tremper son biscuit à la première heure.Cependant Fuji n’est pas d’accord.
– Non Ramon, tu ne peux le faire comme cela à sec, sans assouplissement du réceptacle.– Si tu te sens la force, ce matin, tu vas la prendre comme normalement, comme cela elle pourra répéter la leçon de hier et je lui préparerai la voie de service jeunesse. Celle que l’on offrait jadis quand on n’avait pas les moyens d’avoir un enfant et que la contraception à la retirette, tenait plus de la loterie que de la science.C’est ainsi que plus tard dans la matinée, quand le lot de Nemrod était parti à l’affut de gibier à plumes, que le trio, les traits tirés par les coups tirés pendant la nuit, s’enquit d’un petit déjeuner bien conséquent. Puis, avec armes et bagages, reprirent le chemin du château familial.
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