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Quand la chair s'éveille

Chapitre 14

Avec plusieurs femmes
Le dernier flamenco en Andalousie. Note de l’auteur, Ce chapitre sent un peu le dernier tango à Paris, mais seulement un petit peu.
Après avoir déposé les just married à la ferme parentale, Ramon sort les valises et parque l’Hispano. C’est les retrouvailles.
– Bonjour Mère-Grand, comment vas-tu depuis que nous vous avons quitté et Grand-père ?– Bonjour mes chéris, nous allons bien, quoique Grand-père m’a l’air de décliner rapidement, il ne quitte plus sa chambre, occupé à faire des annotations sur l’histoire de Don Quichotte.… Mais qui est cette beauté asiatique.– C’est toute une histoire, que l’on va te raconter plus tard. Elle se prénomme Fujikumi, mais nous avons abrégé en Fuji, je lui en ai pas encore parlé, mais je la verrai bien comme une prochaine marquise. Mais elle ne parle pas l’espagnole alors stp, faisons un effort en français ou en anglais, ce qui serait encore meilleur.
Je ne vais pas mettre la conversation en anglais qui s’ensuit, mais la traduction.
– Mais Ramon, c’est vrai qu’elle est très belle, mais a-t-elle du sang bleu ?– Ramon qu’est-ce que le sang bleu, je sais qu’on nomme ainsi une maladie au Japon quand le sang n’est pas assez oxygéné.– Non chérie, Grand-mère se pose une question qui n’est plus d’actualité, est-ce que tu as du sang noble ?– Je ne sais si cela veut dire quelque chose, mais je viens d’un clan qui a dirigé le Japon dans l’antiquité : shogunat de Kamakura. Avant les Tokugawa, une vieille famille de Daymo.– Je crois que cela répond parfaitement à la question de grand-mère.– Oui, bienvenue dans notre famille, Alors Éléonora, tu vas te retrouver au second rang.– Hé ! Oui, c’est la vie. Viens allons voir grand-père pour lui changer les idées.On se retrouve dans la chambre du vieux marquis qui s’était endormi sur ses études de Don Quichotte de Cervantès, lequel perdit sa main gauche à Lépande en se battant contre les Turcs. . – Coucou grand-père, me voilà de retour, je te présente celle que j’aimerais faire ma future marquise.– Ho ! Ho ! Mon petit fils, tu choisis l’exotisme à voir, elle est très belle. Bienvenue très chère enfant, venez donc embrasser votre futur beau-grand-père.
Ce vieillard libidineux ne peut s’empêcher de profiter de l’occasion pour un peu tâter de la marchandise.

– C’est du premier choix que tu as choisi. Félicitations. J’espère que cela ne t’empêchera pas de remplir tes obligations de futur marquis.– Ah ! Le truc du cuissage fait Fujikumi.– Oui ma fille, c’est une tradition à laquelle je tiens particulièrement.– Cela ne me gêne pas, si je peux y participer.– J’y compte bien ! Avec Éléonora, vous serez une bonne aide à la préparation. La marquise commence à être comme moi, un peu âgée pour remplir ce devoir.
Le soir venu, la grand-mère ne peut s’empêcher de poser la question de la répartition des chambres. 3 chambres, 2 chambres ou une chambre. Elle ne veut pas faire d’impaires.
– Ne te fais pas de soucis, du moment que le lit est grand, une seule chambre suffit.– Vous partouzez à trois ?– Si on veut.– J’espère que ce n’est pas comme le bridge, vous n’avez pas besoin d’un participant pour faire le mort.– Non, tout baigne. Fuji fait des entraînements à mère pour parfaire sa technique amoureuse.– Comment cela ?– Ce que tu ne sais pas, grand-mère, c’est que la mère de Fuji était une geisha-samouraïs et avant que Fuji ne parte pour l’Europe, elle lui a fait de nombreux entraînements professionnels.– J’aimerai bien voir ça pour mourir un peu moins idiote.– Grand-mère quand même…– Mais oui, invite-la, suggère Fuji, permettez que je vous appelle aussi grand-mère, j’ai perdu la mienne depuis si longtemps.À ce moment-là, le grand-père lui annonce qu’il devra peut-être dans la semaine, s’occuper d’une jeune gitane, (pas papier maïs) qui doit se marier bientôt, mais que cela risque de poser des problèmes avec sa famille. La fille qui a discuté avec Hortensia, est assez d’accord, mais le fiancé pas trop. – Comme ce sont des gens assez ombrageux, si tu ne veux pas, je comprendrais. – Convoque-les, les deux, je verrai directement avec les intéressés. Mais dis-moi, qu’est-ce qu’ils encourent s’ils ne sont pas d’accord et qu’ils refusent ? – En tous cas, l’expulsion de mes terres pour toute la famille et surtout ma protection vis-à-vis de l’église, ils ne sont pas catholiques. Même si l’inquisition est morte, l’esprit reste. À ces mots, Fuji ouvre des yeux d’étonnement. – Mais c’est encore le Moyen Âge ! On se croirait au Japon sous Tokugawa quand il a banni les Chrétiens. – C’est plus compliqué que cela parait, si je montre un signe de faiblesse, mes droits et mes terres risquent bien de m’être retirés pour être attribués à bien pire que moi et de ce fait je priverais mon petit-fils de son héritage et mes administrés d’un marquis bien-veillant.… Du reste qu’est-ce qui est arrivé à ceux qui n’ont pas suivi Tokugawa.
Le lendemain matin, deux jeunes gens se présentent au château. Ramon les invite à la discussion et  expliquent ce que eux et leur famille risque. Il leur dit encore que ce n’est pas lui qui impose cette tradition, mais pas moyen d’y échapper.
– C’est une question d’honneur, je te défie en duel au couteau.– Je te comprends, viens demain avec tes témoins, je ne suis pas trop habitué au couteau, mais on fera avec.
Le soir, c’est conseil de guerre,
– Fuji, est-ce que tu as de l’expérience avec les combats au couteau ? – C’est une des premières choses qu’on apprend dans l’art martial des Geisha-Samouraïs. Surtout la défense contre une attaque au couteau, quand on en a  pas, mais également l’attaque.– Viens dans la pièce d’entraînement, on va prendre d’abord des couteaux en bois pour que je m’entraîne. Avec Jean, on a un peu négligé ce côté de l’entraînement.
Toute la soirée, c’est esquive, contre-attaque, ré-esquive etc. En allant se coucher, il a l’impression qu’il est au point.Le lendemain, arrive son opposant, avec un couteau de bonne dimension dans chaque main.
« Aïe, je n’avais pas prévu ceci, il va falloir que j’improvise. Avec un fauchage, peut-être que cela pourrait suffire pour le faire tomber sans utiliser le couteau. S’il m’a surpris, il faut aussi que je le surprenne. Je vais faire comme un lancer et à l’évitement, je le fauche d’un coup de savate sur le genou. »
Sans trop de difficulté, son plan marche à merveille et le jeune Alphar est mis hors combat, avec juste le genou un peu mal en point. Les témoins déclarent le duel terminé et Ramon gagnant. Pathétique, Alphar déclare qu’il ne lui reste plus qu’à se suicider.
– Plutôt que de te suicider, va d’abord trouver Juan et Hortensia et parle leurs et si cela t’intéresse, je te prends dans mon équipe et surtout viens assister, on va faire une exception avec toi tu participeras. Rentrant à la maison, sa mère l’apostrophe : – C’est quoi cette nouvelle variante ?– Quelque chose qui va te plaire, tu vas en premier lui faire passer un examen et s’il est concluant, il aura le droit de casser lui-même l’hymen.– Tu veux que je baise avec lui ? Tu n’es pas sérieux ! C’est un homme du peuple.
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