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Quand l'élève est prête, le Maître apparaît...

Chapitre 15

Les archives

SM / Fétichisme
Mercredi, jour de la réunion hebdomadaire de neuf heures.
Richard passe me prévenir que nous allons commencer un peu en retard mais me signale de ne pas traîner non plus. Avec le sourire, je hoche la tête et prends mes dossiers sous le bras.
Alors que je m’installe à ma place habituelle, côté fenêtre, je vois Mathieu s’installer en face de moi. Nous sommes tous surpris de sa présence : on ne le voit que très rarement descendre de sa tour d’ivoire. Il m’adresse un sourire discret. Richard, mon chef, commence par nous détailler l’ordre du jour.
Si j’essaie de suivre les différents points de la réunion, je suis distraite par Mathieu qui joue, de manière suggestive, avec son stylo. Je me demande s’il est juste venu suivre la réunion ou s’il a d’autres projets pour moi. Car, à part la mise en place quotidienne des boules de Geisha que je dois filmer pour lui, il ne m’a encore donné aucun ordre particulier. Je n’ose même pas imaginer ce qu’il peut se passer dans son esprit.
Aujourd’hui, je sens son regard approbateur courir sur moi, avec l’impression qu’il me déshabille dans sa tête, qu’il me fait subir je ne sais quoi entre ses mains. Maintenant, à chaque fois que j’aperçois cette lueur lubrique dans ses yeux, je me sens tout excitée… Je n’arrive toujours pas à réaliser qu’il soit mon supérieur hiérarchique, qu’il m’ait choisie comme soumise… et que j’aie accepté de le devenir. Lorsque je songe à nos précédentes rencontres, très chaudes et excitantes, je sens mon sexe frétiller de plaisir. Et je n’ai qu’une envie : me soumettre à nouveau à lui.
Punaise, c’est pas le moment de penser à ça !
Je vois bien son regard glisser sur mes jambes et la naissance de mes cuisses, légèrement dévoilées sous ma courte robe. Il sait que je ne porte ni culotte, ni slip, ni string, car il l’a lui-même exigé. Mais se doute-t-il aussi que je ne porte pas de soutien-gorge aujourd’hui ? J’ai choisi une robe bustier sous un court boléro. Personne ne peut se douter que je n’ai rien d’autre qu’un porte-jarretelles et des bas noirs en dessous. D’humeur joueuse, je descends légèrement la fermeture éclair de ma robe et constate avec plaisir que son regard se porte sur ma main. Celle-ci glisse sur la tirette et la fait glisser un peu plus. Avec peine, il tente de se recentrer sur la discussion.
C’est mon tour de parler. Je me lève, fais glisser mes doigts sur la table et viens m’appuyer contre le bureau. Je fais le point sur les nouveautés que propose le C.E. ainsi que les nouveaux prestataires que je compte évaluer. Si mes collègues acquiescent en silence, je vois le regard lubrique de Mathieu poursuivre son déshabillage virtuel.

Pause de dix heures.
Je me lève pour aller préparer un café. Tandis que j’essaie d’attraper le paquet de café, je sens une présence juste derrière moi.
— Vous êtes sexy, aujourd’hui, mademoiselle.
La voix de Mathieu est chaude à mon oreille.
— Vos paroles ressemblent à du harcèlement, Monsieur.
Tandis que je verse l’eau dans la cafetière, je sens sa main se poser sur ma fesse et la caresser.
— Et là, c’est toujours du harcèlement ?— Ça se pourrait bien, oui.
Sa main glisse sous ma robe. Je glousse : elle est chaude sur ma peau.
— Tu ne disais pas ça la dernière fois… J’ai très envie de voir ce que tu caches en dessous.— Mais comme vous l’avez exigé : rien.— Hmmm… vraiment ?
Il relève ma robe jusqu’à la taille et constate, avec un plaisir non dissimulé, que je ne porte rien d’autre que des bas et un porte-jarretelles. Je sens une douce moiteur naître dans mes chairs. Je gémis doucement alors que ses doigts caressent mon abricot fraîchement épilé de la veille. Je me retourne face à ui et tire doucement sur la glissière de ma fermeture éclair. Lentement, ma peau se dénude jusqu’au milieu de ma poitrine. Je lui souris alors qu’il passe la pointe de sa langue sur ses lèvres.
— Tu es très obéissante. J’apprécie beaucoup.
Sans hésiter, il saisit mon sein. Il me pince le téton, m’arrachant un petit cri de douleur, suivi d’un gémissement de plaisir. Ses doigts se frayent un chemin jusqu’à mon abricot juteux et tirent sur la chaînette des boules de Geisha. Je lâche un gémissement alors que la première est à la limite de sortir. Il relâche la tension pour recommencer. Le va-et-vient des boules dans mon vagin m’excite énormément. J’enfonce mon visage contre son épaule pour étouffer mes geignements alors qu’il accélère le mouvement. Je m’appuie contre le meuble. S’il continue, je vais jouir, là, dans le coin cuisine. Mais il s’arrête brutalement et recule de deux pas, lorsque la voix de Richard annonce la reprise de la réunion. Il se retourne et me cache au regard de mon chef pour me permettre de me rhabiller.
Je suis frustrée de cette interruption. Alors que je passe devant lui pour regagner la salle avec le café, il me chuchote à l’oreille.
— Un des privilèges du Maître. Ne t’autoriser à jouir que lorsqu’il le souhaite.— C’est… c’est de la triche, Monsieur.— Non, un jeu ou une punition selon les circonstances.
Je fronce les sourcils et regagne la salle en me demandant quelle idée peut lui trotter derrière la tête.
La réunion se prolonge jusqu’à ce que Richard y mette un terme à midi, pour que nous puissions aller déjeuner. Avant, je récupère les dossiers.
— Je descends aux archives, dis-je à Richard.— Tu sais, ça peut attendre.— Au moins ça sera fait.
Je lance à Mathieu un sourire très suggestif, en passant la pointe de la langue sur mes lèvres. Je le vois sur le point de m’emboîter le pas, mais Richard l’intercepte.
Sans me presser, je me dirige vers l’ascenseur et descends au sous-sol.

Salle des archives
Cinq minutes plus tard, je me retrouve perchée sur un petit escabeau pour ranger mes derniers dossiers. J’entends des pas derrière moi. Je me retourne et vois Mathieu appuyé contre les étagères.
— La vue est plutôt pas mal.
Je hausse un sourcil et descends, face à lui. Il se rapproche avec un sourire sexy et lève les yeux vers moi. Il pose ses mains sur mes hanches et me maintient fermement pour m’empêcher de tomber. Au fur et à mesure que je descends, je sens ma robe remonter.
À peine le pied posé au sol, je sens Mathieu m’attraper les bras et me ramener les poignets dans le dos. Il me les maintient fermement d’une seule main. Son autre main remonte sur ma gorge jusqu’à mon menton pour me ramener la tête en arrière.
— Tu n’as pas arrêté de m’exciter depuis ce matin, dit-il en resserrant délicatement ses doigts sur ma mâchoire. Te rends-tu compte du jeu auquel tu joues ?— Qu’est-ce qui… vous dit que c’est un jeu, Monsieur ? réponds-je en utilisant ses propres mots.— Si tu savais tout ce qui m’est passé par la tête depuis le début de la réunion.
Me collant contre lui, il fait glisser sa main sur le décolleté de ma robe et attrape la glissière de ma fermeture éclair pour l’ouvrir. Avant que je ne puisse le réaliser, il me débarrasse de mon vêtement et le jette un peu plus loin. Je suis quasiment nue entre ses bras.
— Dommage que Richard soit venu nous interrompre tout à l’heure. Nous allons donc reprendre où nous nous sommes arrêtés. Mais avant…
D’une main ferme, il me pousse en avant. Je m’effondre, le ventre sur la dernière marche de l’escabeau, qui me coupe le souffle. Ses mains me caressent les fesses avant d’y asséner une tape cuisante. Je lâche un cri, dans lequel se mêlent plaisir et douleur. Une deuxième frappe s’abat sur l’autre fesse.
— Pourquoi, Monsieur ? Qu’ai-je fait ?— Je n’ai pas besoin de raison pour te faire ce dont j’ai envie, lâche-t-il en me fessant plusieurs fois de suite. Tu aimes, n’est-ce pas ?
Un gémissement s’échappe de ma bouche en guise de réponse.
— Réponds-moi !— Non.— Non ?— Non, Monsieur, je n’aime pas. J’adore.
Je le sens se courber sur moi, son poids peser sur mon dos. Ses mains se rejoignent sur ma taille qu’il pince douloureusement, m’arrachant un nouveau cri avant de descendre sur mes fesses, dans lesquelles il enfonce le bout de ses doigts. La douleur irradie dans mon bassin, alors qu’il m’écarte les fesses.
— C’est très sexy cette chaînette, là.— Mer-merci, Monsieur.
Il rapproche ses pouces de ma fente pour l’ouvrir. Il saisit la chaînette des boules de Geisha et exerce des tractions progressives et les relâche avant de recommencer. Les boules appuient contre mon point G, me massent les chairs de l’intérieur. Mon cœur s’affole, ma respiration s’accélère.
La tension sur la chaînette se relâche. Je tourne un peu la tête et le vois faire glisser sa ceinture de sa taille. Une vive inquiétude mêlée d’une excitation sans limite s’empare de moi : que va-t-il en faire ? Il sourit, un peu sadique, un sourcil haussé.
— Tu vas avoir besoin de t’asseoir encore, cet après-midi. J’ai un autre jeu.
Il attrape mes poignets et se sert de sa ceinture pour les lier. J’étouffe un gémissement alors qu’il tire dessus pour bien la serrer. Du coin de l’œil, je le vois s’agenouiller derrière moi. Il admire mon abricot épilé, grand ouvert devant lui. Il promène son doigt le long de mes lèvres, les caressant presqu’avec tendresse.
— J’adore cette douceur.— Ravie que cela vous plaise, Monsieur.
Sa langue glisse dans mon sillon, léchant ma rosette avant de descendre sur ma vulve. Elle s’étale sur mon intimité, m’arrachant des gémissements de plaisir. Il ouvre mon amande, prend le temps d’en faire le tour et titille mon clitoris au passage. Il me mordille les grandes lèvres, puis les petites, les étirent une à une, enfonçant un peu plus ses dents à chaque fois dans ces petits morceaux de chairs sensibles. La douleur est étonnamment délicieuse, m’arrachant des soupirs de plaisir au fur et à mesure qu’il me mord plus fort. Il s’empare de la chaînette des boules de Geisha et tire brutalement dessus. Je lâche un cri lorsque celles-ci forcent le passage les unes à la suite des autres. Une violente claque s’abat sur ma fesse. C’est si soudain et intense que mes jambes se mettent à trembler.
— Tu veux vraiment que Jacques nous entende ?— No-non, Monsieur, réponds-je les larmes aux yeux, alors que la douleur cuisante se répand sur ma fesse.
Il ne manquerait plus que le responsable des archives nous surprenne. Je n’aime pas ce type, et me débrouille toujours pour passer le moins de temps possible dans son antre. Ses doigts m’écartent de plus en plus pour se glisser dans mon vagin. Je me cambre pour lui offrir ma croupe sans aucune pudeur, tandis qu’ils s’enfoncent profondément en moi. Je gémis de plus en plus fort. Son autre main s’occupe tour à tour de mes seins.
D’un coup, il ressort ses doigts et recule d’un pas. Je me redresse mais Mathieu appuie de nouveau sur mon dos et tire sur mes poignets, m’arrachant un petit cri.
— Non, non, jeune fille, dit-il en écartant un peu plus mes jambes.
Je sens son membre tendu qui titille mes chairs gonflées avant de me pénétrer brusquement, d’un coup de rein. Ses mains saisissent mes hanches pour me plaquer contre lui. Il s’enfonce brusquement, profondément. Je sens son souffle chaud sur moi. Je me cambre sous son assaut. Chaque poussée m’arrache un cri de plaisir. Son pilonnage devient de plus en plus fort, de plus en plus brutal et j’adore ça. Je suis immobilisé sous son poids. Il me domine complètement. Je me mords les lèvres pour retenir un cri et éviter d’attirer le responsable des archives.
Il se retire brusquement et me laisse pantelante, essoufflée.
— Attends, je n’en ai pas fini avec toi.
Brusquement il me tire par le bras et en moins d’un instant, je me retrouve hissée sur l’escabeau. Il m’écarte les cuisses et me pénètre de nouveau, d’un coup de rein violent. Je me cambre sous la violence de sa pénétration, manquant de basculer en arrière. Ses mains me rattrapent de justesse et s’enfoncent dans ma peau. Le pilonnage reprend de plus belle. J’ai l’impression d’exploser. Je ne peux retenir un cri de jouissance lorsqu’il enfonce ses doigts dans mes hanches et qu’il explose en moi dans un grognement rauque.
— Oh, putain, lâche-t-il.
Il s’écarte de moi et me lance un regard satisfait. Quel spectacle je dois lui offrir : nue sous ma robe ouverte, couverte de sueur, la vulve dégoulinante de plaisir. Je me laisse glisser à genoux au sol. Il caresse son membre, encore frétillant.
— Encore !
Son ordre claque comme un fouet. Vaillamment, je me redresse et ouvre la bouche. Son dard est avide des caresses de ma langue autant que ma bouche est avide de lui. Il se rapproche et me caresse la tête.
— Brave fille.
Sans me faire prier, je lui lèche le sexe avec application. Du gland à sa racine, je n’omets aucun centimètre de sa peau. Je le mordille et l’enfonce le plus possible dans ma bouche, en le caressant de la langue. Sa main me tire un peu les cheveux, pour m’obliger à rester ainsi. Quel plaisir de le sentir palpiter à nouveau sous ma langue et durcir encore. Mon application m’excite. Je tire sur la ceinture pour essayer de dégager une main pour me caresser, mais je n’y parviens pas.
— Attends.
Mathieu se dégage de ma bouche et me fait mettre à genoux par terre. Il s’agenouille derrière moi et appuie sur mon dos pour plaquer mes épaules contre le sol. Ses mains remontent jusqu’à mon bassin et ouvrent mon abricot sans aucune hésitation. Je sens ses doigts s’insinuer entre mes lèvres et s’y enfoncer profondément. Je serre les poings dans mon dos, alors que mon jus coule de ma fente et goutte sur le sol. Ses doigts s’enfoncent de plus en plus, un, deux trois. Son pouce caresse mon clitoris hypersensible.
— C’est comme ça que je te veux, grogne-t-il. Ouverte, humide et soumise.— Aaaaaah ! Ouiiii, Monsieur !
Mon corps explose littéralement sous ses doigts, sous sa langue. Il me saisit par la taille pour un dernier assaut. Je gémis de plus en plus, je ne vais pas parvenir à me retenir. Il se penche brusquement sur moi et plaque une main sur ma joue alors que j’hurle presque de jouissance. Je ferme les yeux, essoufflée, trempée…
— Moins fort. Il est revenu.
J’ouvre grand les yeux de surprise. Comment peut-il savoir que Jacques est revenu ? Est-ce que c’est la vérité ou bluffe-t-il ? Je n’ai aucun moyen de le savoir et, dans le doute, je préfère lui obéir. Je reprends mon calme, tandis que Mathieu me claque à nouveau.
— Plus haut, les fesses.
Je lui obéis. Je m’aplatis au sol, les seins écrasés contre le ciment froid. Il augmente la pression de sa main sur ma joue pour maintenir ma tête au sol. Je suis totalement à sa merci. Il saisit sa ceinture de sa main libre pour tirer dessus. une terrible douleur irradie dans mes épaules alors que ses va-et-vient sont de plus en plus brutaux. Il se penche sur moi.
— Ça t’excite de savoir que Jacques peut nous surprendre ?
J’écarquille les yeux : j’ai à la fois peur que ça arrive et je suis tout excitée. C’est l’excitation qui l’emporte. Je hoche fébrilement la tête.
— J’aurais pas cru ça de toi. Tu veux que je l’appelle ?
Je secoue vivement la tête : Jacques n’a jamais été un partenaire envisageable. Mathieu sourit.
— Ça va pour cette fois, dit-il en m’assénant un dernier coup de rein.
Je sens son membre palpiter en moi avant de se libérer de mes chairs qui l’enserrent délicieusement. Je suis surprise de le voir à peine essoufflé. Je reprends difficilement mon souffle et me rhabille fébrilement. Il sourit en faisant glisser la fermeture éclair jusqu’à la naissance de ma poitrine.
— Sois toujours aussi disponible.— Oui, Monsieur.— Tourne-toi et appuie-toi sur l’escabeau.
Comme je lui lance un regard surpris, il agite les boules de Geisha devant mes yeux. Je relève le bas de ma robe et écarte les cuisses en me penchant sur les premiers barreaux de l’escabeau. Sans aucune douceur, il enfonce les trois boules, les unes après les autres, chacun m’arrachant un gémissement de plaisir. Il laisse traîner ses doigts sur mon anus.
— Ce week-end, je m’occuperai de ton joli petit trou.— Comme vous le souhaitez, Monsieur, dis-je en me redressant et en réajustant ma robe.— C’est une évidence, ajoute-t-il en remettant sa ceinture. Attends cinq minutes avant de remonter.— Bien, Monsieur.
Je le regarde s’éloigner et disparaître au coin d’une rangée. Je l’entends appeler Jacques et lui demander d’aller lui chercher un dossier sur un client. Connaissant par cœur les rayonnages des archives, je sais d’une part que c’est le dossier d’un ancien client et d’autre part, que celui-ci se trouve à l’autre bout des archives. Ainsi, il me laisse la possibilité de m’éclipser en toute discrétion. Une fois dans l’ascenseur, je ne résiste pas à la tentation de jouer avec les boules de Geisha en me massant le bas-ventre. Les sentir rouler en moi est un vrai délice.
— Et tu peux faire ça discrètement, même s’il y a du monde.— Quelle perverse tu es devenue. J’ai honte pour toi.— Elle l’était déjà. Il l’a juste éveillée.— Pfff…Nous sommes tous des pervers… mais certains ne veulent pas le reconnaître.
La notification caractéristique d’un message sur TdS me tire de mon petit instant de plaisir solitaire. Je jette un coup d’œil sur l’écran.
[SMS,Mathieu,Clémence]< Vendredi soir, passe dans mon bureau à 17h.> Je serai à l’heure, Monsieur.< Prends juste de quoi te changer pour rentrer dimanche soir.> Bien, Monsieur. 
— Hmmm… un week-end complet avec ton Maître… Tu vas adorer… — Brave petit agneau qui se rend lui-même à son propre sacrifice… Pathétique.— Tout un week-end avec lui… Imagine tout ce qu’il va te faire.— C’est ça le problème, dis-je en rangeant TdS. J’ignore totalement ce qu’il va me faire…
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