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Quand ma femme n'est pas là...

Chapitre 1

Inceste
J’émerge du sommeil, je m’appelle Bruno et j’ai 44 ans. Ma fille Sarah arrive pour me voir le samedi, j’avais l’habitude de faire une sieste dans le canapé en profitant de l’absence de ma femme qui partait pour rencontrer plusieurs de ses amies.
— Coucou papa ! me lance Sarah. — Hey ma belle, que se passe-t-il ? — Je sais pas, je m’ennuie... Tu veux faire quoi toi ? — J’en ai aucune idée... peut-être regarder la télévision...— Je peux te parler ?...— Bien sûr, assois-toi. Sarah prit place à côté de moi sur le canapé.
Elle portait encore son pyjama, un t-shirt rouge et un petit short doré qui faisait penser à ceux des danseuses.
— Tu sais que j’apprécie beaucoup que tu sois plus présent avec moi et maman...— Merci.— Depuis que tu es rentré du boulot de l’étranger, je te trouve plus... présent.— Je fais de mon mieux...— Tu sais pour te remercier, tu pourrais venir dans ma chambre...— Pourquoi ??— Faire comme quand j’étais enfant... Me lire une histoire...— D’accord, je promets d’être plus présent avec toi par la suite. — Merci papa. Le temps passe, j’étais dans mon lit quand Sarah entre dans la chambre. Et vint s’asseoir sur le lit. — Quelle heure est-il ? — L’heure du dîner papa... Tu avais promis de venir dans ma chambre.
Elle mit ses deux jambes de par et d’autre de mon corps. Elle prit ma main et la passa sur sa poitrine.
— Sarah ! Que fais-tu ?— Tu m’avais promis.
Elle guida ma main sur sa poitrine, bien que cela soit ma fille, j’eus du mal à enlever sa main. Je soulève alors légèrement son pull et vois qu’elle n’a pas de culotte !!
Sarah enlève la couette et mon caleçon, tout est arrivé si vite que je ne pus rien dire.
— Non Sarah... arrête... dis-je bien que je commence à bander dure.— Tu es si dur papa.— C’est mal...— Tout va bien papa, regarde, tu en veux aussi...— Tu promets de faire vite ? — Promis.
Sa bouche s’approche de mon membre et sa langue passe sur mon gland, le suçote et passe à mes testicules avant de remonter sur mon sexe. Je ne vous cache pas que j’en avais rêvé plus d’une fois. Ma main passe dans ses cheveux alors que ma bite est engloutie par sa bouche. Je dois avouer qu’elle savait y faire, elle cracha sur mon membre avant de le reprendre en bouche.
— Ce n’est pas si mal ?dit-elle.— Non... c’est même très bien... Dis-je malgré moi.
Sarah sourit et continue à me sucer. Je continue à mettre ma main sur sa joue, voir cette jeune femme que j’ai connue depuis sa naissance me sucer m’excitait au plus haut point. Elle salive une nouvelle fois sur mon sexe.
— Bonne fille, dis-je. — Maman te suce comme ça ? questionne Sarah. — Laisse ta mère où elle est... Tes lèvres sont... plus douces.
Contente de la réponse, elle prit ma bite en main et se mit à lécher mes burnes une nouvelle fois en les massant avec sa langue chaude et baveuse. J’n’en revenais pas, c’était si bon, voir ce petit visage d’ange me bouffer les testicules me rendait encore plus dur. Sa main droite se mit à me branler lentement puis elle reprit mon sexe en bouche pour l’enfoncer encore plus loin dans sa gorge. Puis une fois qu’elle fut bien humide, Sarah releva son pull et s’approche, et colle sa petite chatte vierge de poil sur mon sexe. Ma main releva son pull dévoilant ses seins. La coquine n’avait pas mis de soutien-gorge... Avait-elle l’habitude de ne pas en mettre ou avait- elle prévu ce moment ? Je n’en sais rien, je pince ses tétons avec mes doigts pendant que son abricot se frottait contre ma bite.
— Avant de continuer... Tu me promets de rien dire à maman...— Je te le promets, dit-elle en prenant mon sexe pour l’enfoncer dans le sien jusqu’à ce que ma bite disparaisse en elle.
Sarah se mit à faire quelques allers-retours en elle tout en guidant ma main sur sa poitrine. Nos regards se croisent alors qu’elle commence à gémir d’envie en faisant entrer mon sexe en elle.
— papa ! gémit-elle alors.
Mes allers-retours se firent plus rapides, tout en gémissant, Sarah tenait son pull pour que je puisse bien voir ses seins, malheureusement, comme cela faisait longtemps que ma femme et moi n’avions pas fait l’amour, je sens que la sauce allait bientôt venir.
— Je vais venir, dis-je en un souffle.
Sarah sort alors mon sexe de sa grotte et le prit en main, enroba de ses lèvres mon gland et continue à me branler. Mon sperme jaillit dans sa bouche, puis elle retira légèrement ses lèvres et mon sperme coule rapidement, repris par cette coquine qui remit sa bouche sur mon sexe, avant de tirer la langue pour me montrer qu’elle avait tout avalé. Malgré tout, Sarah continue à me masturber.
— Tu en veux encore ? questionne-t-elle en y mettant toute la sensualité qu’elle pouvait dans sa voix. — Et toi ? — Bien sûr... J’aime tellement la bite... Ta bite. — Je te fais la promesse que l’on continuera, dis-je.— Merci. — Après le dîner. Car j’ai peur que maman arrive. OK ? — OK ! Une semaine plus tard.
J’entre dans la chambre de Sarah.
— Papa ! — Hey mon ange. Elle portait un chemisier rose presque transparent, une petite jupe rose et une serre tête saumon avec des oreilles de chat. On aurait dit qu’elle était retombée en enfance, mais sa poitrine nue sous son chemisier disait le contraire. — Fais attention... Ta mère dort. Elle a eu une grosse journée.
Pendant que je parlais, mes mains écartent ses cuisses, sa main se pose sur son entrejambe encore caché par le tissu.
— Tout va bien ! lance Sarah tout en se caressant à travers sa jupe. Je pense que celle-là a faim !
Je relève sa jupe dévoilant son petit abricot. Je passe ma main sur celui-ci.
— Tu es sûre de vouloir continuer ? — Oui papa... Et je sens que ça aussi. Sa main caresse mon sexe à travers mon short. — Tu es si jolie !
Ma main passe sur ses seins qui m’avaient tellement manqué.
— Mais tu sais... Il n’y a pas des garçons de ton âge qui t’intéresse ? — Je m’en fiche des garçons, je te veux, toi.— Mon bébé... Sa main entraîna la mienne sur son mont de Vénus déjà humide. — C’est juste que... — Papa, tout va bien je te le promets, dit-elle d’une voix ferme presque autoritaire. — OK, alors on reste silencieux. »
Mes doigts massent ce bel abricot brûlant de désir alors que ma fille se mit à toucher mon membre à travers mon short que je retirai rapidement, Sarah prit mon sexe en main et cracha dessus. Avant d’étaler sa bave dessus.
— Bonne fille !
Sarah sourit, elle continue à me sucer avec plus d’envie, enfonce mon sexe au plus profond de sa gorge, jusqu’à en devenir rouge. Au fond de moi, j’étais fière de la salope qu’elle était devenue. Elle bavait beaucoup, et masturbait mon sexe luisant de salive, comme je m’y attendais, Sarah se mit à lécher mes testicules l’une après l’autre tout en continuant à branler ma bite.
— Ta mère ne suce pas aussi bien, tu sais mon bébé.
Sarah me sourit.
— Tu te sens bien papa ? — Oh tu n’imagines pas ma Puce. — Je veux que tu te sentes parfaitement bien.— Tu la veux en... toi ? — Oui s’il te plaît. Je m’allonge confortablement sur le lit.
Elle enlève son haut alors que mon sexe redécouvre sa grotte. J’entre dans ma fille dans un gémissement commun. Puis je me mis à accélérer le mouvement. Ma main sur son sein, je vois le visage de ma fille, ou plutôt celui d’une salope. Mes coups de hanches étaient rapides.
— Papa, c’est si bon !
Je soulève sa jambe gauche pour avoir une vue d’ensemble sur son regard, sa poitrine... sa chatte, j’entre en elle de plus en plus rapidement, sa mouille autour de ma verge fait clapoter mes allées et venues. Mon pouce entre dans sa bouche, elle le suça tout en poussant de temps à autre des soupirs, puis je m’allonge sur le dos et l’invite à venir sur moi. Avec mon pouce, je me mets à masser son bouton d’amour, ses tétons étaient durs d’excitation. Sa respiration plus courte, en lui faisant l’amour, j’eus un flash-back depuis sa majorité à maintenant, voir ses seins apparaître, ses fesses s’arrondir, elle était chaude, brûlante même. Je sors ma bite quelques secondes avant de bien la repositionner en ma fille adorée. Puis je sors de sa grotte avant de lâcher la sauce sur son ventre. Plusieurs giclées l’arrosent avant que je lui dise :
— Tu en veux encore ?— Oui papa, s’il te plaît !!!
Malgré le fait d’avoir éjaculé, je remets mon sexe en elle. Je récolte avec mon pouce mon sperme pour la porter à ses lèvres. Sarah le lécha et fit disparaître mon sperme. Ma fille me donnait de la force, car ma hampe était toujours aussi dure.
— Je veux que tu m’encules ! lâche Sarah.
En un rien de temps, ma fille fut à quatre pattes sur le lit. Je fis quelques coups de reins avant qu’elle me supplie de jouir en elle.
— Tu es sûre ? — Oui papa s’il te plaît ! Je me donne à cœur joie dans ce trou d’amour. En sortant de son antre, je vis quelques gouttes de sperme couler. — Tu reviendras ?— Autant que tu veux ma puce... Autant que tu veux...
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