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Quand ma grande soeur vient dormir chez moi

Chapitre 1

Inceste
              Il est d’usage avant tout récit de se présenter : je m’appelle Alex, je suis un étudiant de 21 ans mesurant un peu moins d’1,90m pour environ 80 kg, aux cheveux bruns et courts et aux yeux noisette. Ma grande sœur, Mélanie, a 30 ans mais en fait facilement cinq ou six de moins ; elle mesure environ 1,70m pour un poids que j’ignore, elle est en tout cas mince et sportive ; ses yeux sont de la même couleur que les miens – les chiens ne font pas des chats – et son sourire est ravageur, ses dents sont aussi blanches qu’un linge et ses cheveux sont châtains ; faisant beaucoup de sport, son corps est proche de la perfection et ses fesses sont rebondies ; sa poitrine quant à elle est assez petite mais charmante. Son teint est beaucoup plus mat que moi qui suis plutôt blanc.                  J’ai développé une attirance pour ma sœur au cours de mon adolescence. En fait, je crois que c’est depuis le jour où je suis parti en vacances avec elle, dans le sud, il y a quelques années. Je l’avais accompagnée avec une de ses copines, et malgré ma minorité nous sortions, consommant allégrement de l’alcool.                   Un soir, nous étions assis à une table à l’intérieur d’un bar d’une rue piétonne assez fréquentée. C’était l’été, il faisait chaud et nous buvions des mojitos et autres cocktails, mais ma sœur ne semblait pas tenir l’alcool comme elle l’espérait : elle draguait le serveur et jetait des regards par-ci par-là à la recherche d’un mec sans en trouver un à son goût. Elle buvait son cocktail à la paille tout en scannant la salle et c’est là qu’elle me regarda. Elle posa son verre en me souriant et, tout continuant de me regarder, elle passa sa langue très lentement sur sa lèvre supérieure, de droite à gauche, comme si elle voulait m’offrir, là, dans les toilettes du bar, une fellation. Une bosse se forma instantanément dans mon caleçon mais nous fûmes interrompus par sa copine qui était assise sur le côté de la petite table carrée à laquelle nous étions installés : « Hé Mél calme-toi, c’est ton frère ! » Elle avait dit ça en rigolant et ma sœur détourna aussitôt le regard, rigolant également, et jamais je ne sus ce que ce geste voulait dire pour elle. Depuis ce jour-là, ma sœur envahissait constamment mes pensées lorsque je me masturbais. Depuis ce jour-là, je la matais dès que l’occasion m’était donnée.                   Il était arrivé un jour où, chez nos parents, alors qu’elle se recoiffait devant un miroir, je regardais ses fesses tout en marchant pour accéder à l’escalier de la maison ; après quelques secondes, mon regard remonta son dos pour croiser le sien dans le miroir, je détournai alors mes yeux sans rien dire, puis montai dans ma chambre. Je crois que c’est ce jour-là qu’elle remarqua qu’elle me faisait de l’effet, ou tout du moins que son corps suscitait mon attention, fut-elle éphémère.                  Peut-être devenais-je parano, mais l’attitude de ma sœur envers moi semblait avoir changée et j’avais l’impression qu’elle cherchait à m’allumer constamment : elle se baladait de plus en plus souvent en sous-vêtements ; lorsqu’elle ramassait quelque chose à terre et que j’étais dans la pièce, elle se baissait exagérément, m’exposant ses fesses ; lorsqu’elle me parlait, elle me tournait souvent le dos en me fuyant du regard, comme une invitation à mater son superbe fessier ; elle était devenue beaucoup plus tactile avec moi, essayant de me chatouiller ou d’avoir un contact corporel avec moi à la première occasion, contact que je lui rendais d’ailleurs avec plaisir. Bref, je devenais fou. C’était ma sœur, donc un fantasme inavouable et impossible, mais parce que c’était ma sœur, c’était incroyablement excitant…
                  J’avais un appartement dans une grande ville étudiante, et ma sœur venait souvent dormir chez moi car son travail était plus proche de chez moi que de la maison de nos parents. C’était un modeste appartement déjà meublé comportant un petit couloir à l’entrée donnant sur deux portes : une salle de bain et une pièce unique qui continuait sur la gauche pour se transformer en une petite cuisine. Au centre de la pièce se tenait une table avec quatre chaises et dans un coin un bureau noir à côté d’une armoire beige. De l’autre côté transversal se tenaient une étagère et une commode à la gauche desquelles, dans le coin opposé, étaient disposés deux lits à place unique collés l’un à l’autre. Pratique pour que ma sœur vînt dormir chez moi…                  Mon comportement envers elle avait également changé. Je crois que j’essayais de l’exciter, peut-être pour quelle sautât le premier pas. Je dormais généralement en caleçon, et dès qu’elle rentrait dans la douche le matin, je sautais sur mon téléphone pour mater un bon porno et me masturber frénétiquement (en pensant à ma sœur, évidemment.) Lorsqu’elle revenait de la douche, ma couverture était relevée et je feintais de dormir, et mon boxer moulait mon sexe bandé. Impossible pour elle de manquer le spectacle.                   Une fois, je m’étais même masturbé à côté d’elle. Son réveil avait sonné – m’ayant réveillé par la même occasion – et elle délayait son lever en textotant dans son lit, collé au mien. Une excitation grandissait en moi et, le sexe bandé, alors que je lui faisais dos dans mon propre lit, je commençai du bout des doigts à me caresser sous la couverture. Mes mouvements étaient subtils, je ne faisais qu’effleurer le bout de mon gland avec des mouvements circulaires et ne faisais aucun bruit de frottement avec la couverture ; je m’arrêtai juste avant le point de non-retour pour recommencer quelques minutes plus tard, le caleçon rempli de liquide pré-séminal. Cela m’excitait au plus haut point de savoir ma sœur derrière moi, à seulement quelques centimètres. Alors que j’avais répété l’opération plusieurs fois et que j’arrivai une nouvelle fois au bord de l’éjaculation, je retirai une fois de plus ma main de mon caleçon et me tournai de l’autre côté, face à Mél ; je lui dis bonjour en souriant et éjaculai au même moment, sans même toucher à mon sexe, quel pied ! Elle m’avait répondu mais n’avait pas remarqué ce qui se passait sous la couette : les lits étant simples nous avions chacun une couverture et étions un minimum séparés.                  Lorsqu’elle s’en allait et qu’elle laissait ses affaires, je ne me privais pas pour me masturber en sniffant la culotte qu’elle venait de porter la nuit-même tout en me masturbant. Ça me foutait une trique pas possible de savoir que la culotte avait été en contact avec sa chatte, la chatte de ma grande sœur. C’était incroyable. Je la désirais.
                  Un jour, alors qu’elle n’était pas venue depuis quelques mois, je reçus un appel de Mél aux alentours de 15h :                   — Salut fréro, ça va, j’te dérange pas ? me demanda-t-elle.                  — Ça va et toi ? Non du tout, qu’est-ce qu’y a ?                  — Est-ce que je peux dormir chez toi ce soir ? J’ai une réunion jusque 21h et j’ai la flemme de me taper la route.                  — Bien sûr, répondis-je, tu seras là vers quelle heure ?                  — Cool, merci ! Je pars dès que ma réunion est terminée, vers 22h ça te va ?                  — Ça marche, à toute, bisous ! lui lançai-je.                  Elle me rendit mon bisou et raccrocha. Je vaquai à mes occupations qui consistaient essentiellement à réviser mes partiels qui n’allaient pas tarder à se pointer, et j’oubliai totalement sa venue.                  C’est vers 22h30 que j’eus un sursaut lorsque ma sonnette retentit : c’était ma sœur à la porte, je l’avais totalement oubliée – et elle, comme à son habitude, avait oublié ses clés. Je lui ouvrai en la saluant et lui fit la bise. Elle rentra un sac à main noir à son bras et un sac de sport marron sur son dos qu’elle tenait de l’autre bras, puis soupira en les posant tous les deux.                  — Quelle journée ! dit-elle. Ça va petit frère ?                  — Tranquille, répondis-je en fermant la porte derrière elle.                  Elle était vêtue d’un long manteau blanc qu’elle enleva une fois arrivée dans la pièce principale de l’appart, laissant apparaître une chemise, blanche elle aussi, et un jean bleu qui lui moulait parfaitement ses fesses. Comme à notre habitude, nous parlâmes un peu de tout et de rien ; je me calai dans mon fauteuil quand elle s’installait dans son lit en déplorant sa journée exténuante. À un moment nous allâmes fumer à la fenêtre, puis reprirent nos positions initiales. Je glandais désormais sur mon ordinateur alors qu’elle envoyait des messages sur son téléphone.
                  D’un coup, elle se leva pour aller fouiller dans mon armoire, juste à ma droite : elle se baissa comme à son habitude, exagérément, et je profitais de ses fesses cambrées en jetant un regard rapide sur elles. Ne trouvant pas ce qu’elle cherchait, elle me demanda :
              — T’aurais un tee-shirt à me prêter pour cette nuit s’il te plaît ?             — Ouais, lui répondis-je en me levant pour fouiller à mon tour et lui tendre finalement un vieux tee-shirt gris qui n’était plus à ma taille.                  — Merci, fit-elle en le saisissant, puis elle fila dans la salle de bain, me tournant le dos. Je crois que je vais aller m’coucher direct !                  J’hésitai quelques minutes puis la rejoignis dans la salle de bain. Lorsque j’entrai elle était en train de se laver les dents, en fait elle se rinçait la bouche, la tête en avant pour attraper le flot d’eau qui coulait du robinet. Je matai vite fait ses fesses puis l’imitai en prenant ma brosse à dent et du dentifrice.                  — Moi je regarde vite fait un truc sur le PC et je vais coucher aussi, lui dis-je.                  Elle acquiesça sans dire un mot, et après m’être rincé la bouche je quittai la salle de bain et m’installai dans mon fauteuil pour regarder un épisode d’une série. Elle, lorsqu’elle quitta la salle de bain, était vêtue de mon tee-shirt gris, trop petit, et portait une culotte rose ; elle se glissa dans le lit qui était le plus près du mur, dans le coin, et me souhaita bonne nuit.
                  Une fois mon épisode fini, j’éteignis mon ordinateur et me changeai rapidement dans la salle de bain après m’être passé de l’eau sur le visage, quittant mon short et mon tee-shirt pour simplement le boxer que je portais en-dessous. Ma sœur semblait dormir, je me glissai alors dans le lit à côté du sien en faisant le minimum de bruit et je réglai l’alarme de mon réveil se trouvant à notre gauche, il affichait 00:05 en gros caractères oranges ; sa luminosité était assez forte et, même si la pièce était totalement plongée dans le noir, il éclairait un peu les couvertures de nos deux lits côte à côte.                  Je tentais de m’endormir mais, j’avais dernièrement adopté un style de vie nocturne et minuit était une heure où les chances que je m’endormisse furent quasiment nulles, mais j’essayai quand même. Je n’arrêtais pas de me retourner dans tous les sens, un coup à droite, un coup à gauche, regardant au passage mon réveil : il affichait 1:27 dans des caractères éblouissants maintenant que mes yeux n’étaient plus accoutumés à la lumière. Le repositionnement continua pendant une heure de plus, et je pus voir avant de refermer mes yeux 2:47 sur mon réveil. « Putain, pensai-je, je vais jamais réussir à dormir. » En plus, je commençais à avoir une érection…                  Alors que j’étais allongé sur le côté droit, face à ma sœur, je la regardais dormir. En fait je ne voyais que son corps, ou en tout cas la couverture qui avait pris sa silhouette, légèrement éclairée par la luminosité que produisait mon réveil ; un oreiller séparait nos deux visages. Ma sœur semblait être allongée sur le côté gauche, me faisant face.                  Mais alors, je vis quelque chose dans l’obscurité : sa couverture semblait bouger, au niveau de son bassin. Hallucinai-je ? Ma sœur se touchait-elle à côté de son petit frère qui dormait – ou faisait semblant de dormir – ou voyais-je seulement ce que je voulais voir ? Je me repositionnai dans un soupir sur le dos et j’entendis un petit clac à ma droite, comme le bruit d’un élastique qui claquait contre la peau, comme l’élastique d’une culotte. Je guettai le moindre mouvement et après quelques minutes, la couverture semblait bouger derechef, et le souffle de ma sœur s’intensifia. Elle respirait plus rapidement, en prenant de grandes inspirations. Se touchait-elle vraiment ? Mon sexe grandit à cette idée, au point d’avoir une érection de folie. Je mis une main dans mon caleçon pour replacer ma queue vers la droite ; elle était plutôt grosse et tellement bandée qu’elle soulevait d’elle-même l’élastique de mon boxer, dépassant légèrement.                  D’un geste « maladroit » du pied gauche, je poussai ma couverture de façon à laisser mon boxer à l’air libre, puis j’écartai un peu les jambes en plaçant ma jambe droite sur le coin du lit de ma sœur. Désormais, je sentais l’air sur ma grosse bite qui dépassait un peu de mon boxer. Mon cœur battait la chamade : ma grande sœur, à quelques centimètres de moi, avait peut-être ses yeux rivés sur mon sexe, et cette idée m’excitait follement.                  Pendant un instant, mon cœur battait si fort que j’entendais mes pulsations cardiaques résonner dans mes oreilles comme un tambour, puis l’effet s’estompa. Je n’attendais plus qu’un signal. « Si elle se touche, je lui saute dessus ! » pensai-je, et cette idée m’enhardit davantage. Dans la foulée, j’entendis son souffle s’accélérer. Elle prenait de grandes et amples inspirations et ses expirations étaient courtes, elle haletait désormais et finit par laisser échapper un court soupir : « Han » fit-elle, presque en chuchotant. C’est à ce moment précis que je n’en pus plus.                  En un éclair, je me redressai légèrement ; de la main gauche j’allumai la lampe de chevet se trouvant sur la commode, et de la droite je tirai impétueusement sa couverture de façon à la faire valser sur le sol. La lumière fut une explosion solaire, et je découvris ma grande sœur se touchant dans son lit, la main droite dans sa culotte rose et l’autre sur ses seins qui pointaient à travers son tee-shirt gris. Par réflexe elle serra ses jambes et les replia sur elle-même, et se redressa également, mais j’atteignis déjà ses mollets et les écartai d’un coup, puis sans qu’elle ne comprenne je plongeai mon visage contre sa culotte toute mouillée. Je commençai à lécher à travers le tissu, puis j’écartai dans la foulée sa culotte sur le côté pour découvrir sa magnifique chatte totalement épilée. Elle se laissa faire. J’entrepris de lécher son clito, je lui donnais des coups de langues précis et descendais quelques fois sur ses lèvres.                  — Han oui, laissa-t-elle échapper, continue. C’est bon…                  Avec une main elle appuyait ma nuque contre sa chatte et avec l’autre elle se caressait les seins ; son bassin ondulait au rythme de mes coups de langue, ses yeux roulaient vers le ciel et elle mordait sa lèvre inférieure tout en gémissant. Je dégustais la chatte de ma sœur et goûtais à sa cyprine, elle était délicieuse. Elle ne contrôlait plus ses jambes qui faisaient sans cesse des allers-retours, se pliant, se dépliant, et c’est à ce moment-là que je lui insérai un doigt : elle était chaude et trempée. Là, elle ne put plus se contenir : son corps fut pris de violentes secousses et elle inonda le lit tout en gémissant :                  — Ohhhh oui !                  À peine eut-elle le temps de reprendre ses esprits que je me jetai sur elle, je lui embrassai le cou et mordillai son oreille. Dans le même temps, je frottais mon bassin contre son entrejambe.                  — J’ai trop envie de toi, Mél, lui soupirai-je.                  — Moi aussi, me répondit-elle avec un regard coquin et un sourire en coin.                  Je l’embrassai alors, nos langues s’entremêlaient pendant qu’une de ses mains caressait ma bite à travers mon boxer, puis effleurait mes couilles. Elle embrassait divinement bien, je n’en pouvais plus. Je me redressai sur mes genoux et me débarrassai de mon boxer, mon sexe apparut bandé et il paraissait plus gros que d’habitude. Ma sœur ne le quittait pas du regard, alors je lui lançai :                  — Suce-moi !                  Elle se rapprocha de moi en se mordant les lèvres, et saisit ma bite d’une main pour commencer à me branler, puis se cambra et rapprocha son visage de ma queue. Elle commença par la lécher d’un coup de langue de bas en haut – je faillis défaillir, puis aspira totalement mon gland et commença à me prodiguer une fellation exceptionnelle. Cette salope suçait trop bien ! J’étais nu, à genoux, et je me faisais sucer par ma grande sœur qui faisait de lents va et vient ; j’avais de mon côté une vue imprenable sur ses fesses pointues totalement cambrées, en l’air. Pendant qu’elle me suçait, une de ses mains s’était glissée dans sa culotte. Mes mains tenaient ses cheveux et bientôt j’accélérai le mouvement en lui forçant le rythme tout en donnant des coups de bassin, lui faisant subir de grosses gorges profondes ; elle s’étouffait avec ma queue pendant qu’elle touchait le fond de sa gorge dans bruit délicieux, cloc. De temps en temps elle s’arrêtait pour lécher mes couilles et ma queue ressortait toute baveuse, c’était royal, et j’en profitais pour l’encourager et lui asséner des bifles sur ses joues et son front.                  Au bout de quelques intenses minutes je lui fis comprendre que je n’en pouvais plus, mais elle me regarda d’un regard salace et continua à me pomper, elle voulait que je finisse dans sa bouche. Quelques secondes plus tard, je lâchais des grosses giclées de sperme dans la bouche de ma grande sœur dans un râle de plaisir.                  — Ahhh ouais putain, Mél !                  Elle avala, se délectant de ma semence en se léchant les doigts, ce qui me fit bander derechef. Elle nettoya rapidement ma queue avec sa langue magique puis elle me lança fièrement :                  — Elle est bonne ta bite, Alex.                  — Tu suces trop bien, c’est un délire, répondis-je.                  Je lui enlevai son maillot, mon maillot en fait, découvrant ainsi ses petits seins pointés vers moi, puis sa culotte que je balançai au milieu de la pièce. Elle roula sur le ventre. Ma sœur était nue, sur le ventre, les jambes écartées : elle n’attendait que moi, son petit frère chéri. J’avais une vue imprenable sur ses magnifiques fesses sur lesquelles j’avais tant fantasmé, sa chatte était gonflée et scintillait de cyprine et ses traces de bronzage ne faisaient que m’exciter davantage ; son petit trou du cul s’écartait naturellement tellement elle était excitée.                  Je décidai une nouvelle fois de la lécher goulument ; mes deux mains sur ses fesses, je les écartais tout lui léchant un coup sa chatte mouillée, un coup son trou du cul. Tantôt je lui donnais des coups de langue et tantôt je l’aspirais ; les mouvements circulaires et verticaux que je lui prodiguais la faisaient rugir de plaisir.                  — Han oui, han oui, gémissait-elle, continue, Alex ! Continue, c’est bon ! Lèche la chatte de ta grande sœur, lèche-là bien !                  Sur ces mots, je pivotai sur le dos tout en continuant de la lécher, remontant vers son clitoris.                  — Oh ! s’écria-t-elle, surprise.                  Désormais, elle était assise sur ma bouche, et c’est elle qui donnait des coups de bassin pour se faire plaisir avec ma langue, tenant mon cuir chevelu avec ses deux mains. Les miennes caressaient ses fesses dont je profitais.                  D’un coup, je la repoussai sur le côté et je sortis de mon tiroir une capote. Je l’ouvris et l’enfilai rapidement. Elle m’invita à la prendre façon missionnaire. Je m’approchai d’elle et tapotai ma queue sur son clitoris.                  — Qu’est-ce que tu fous bordel, baise-moi Alex, j’en peux plus là ! J’ai la chatte en feu !                  — Tu la veux la queue de ton p’tit frère, hein !                  — Ouais, j’veux que mon p’tit frère me baise, vas-y !                  N’en pouvant plus moi-même, je la pénétrai lentement, elle était délicieusement serrée. Elle lâcha un « oh » au moment où ma queue pénétra à l’intérieur d’elle. Je commençai alors à accélérer le rythme crescendo, elle m’avait donné une petite claque sur les fesses qui m’avait motivé. Je lui donnai des violents coups de bassin et l’embrassait à pleine bouche, ma langue tournoyait avec la sienne pendant que ses mains voyageaient sur mon corps.                   — Oh oui, oh oui, oh oui ! s’exclama-t-elle. Elle est bonne ta b-biiite ! Oh oui, continue !                  Je me contentai de la baiser tout en soupirant des « oh putain ! » On prenait notre pied.                  Je me retirai de sa chatte et la retournai, elle comprit le message et se cambra directement pour se faire prendre en levrette. Wow, quelle vue ! J’approchai ma bite de sa chatte et commençai à faire des vas et vient dans sa chatte serrée. Bientôt, j’accélérai le rythme en lui assénant des claques sur les fesses.                  — Han oui, han oui, continue, haleta-t-elle, vas-y fréro, ouiiiiiii…                  — T’aimes ça être soumise, hein, t’aimes ça te faire prendre par la queue de ton petit frère. Avoue-le ! lui ordonnai-je.                  — Oui j’adore, j’adore que tu prennes Alex, j’adoooooore. Ah putain c’est trop bon !                  — C’est bien salope ! dis-je, haletant, tout en lui procurant de nouvelles claques sur ses fesses affichant déjà des rougeurs.                  Je retenais ses mains dans son dos et ses fesses avaient pris un angle indécent, sa tête était contre le matelas, elle s’offrait totalement à moi. Je baisais son petit cul et elle aimait ça car son souffle était coupé et qu’elle répondait à mes coups de bassin par des « han » qui me motivaient.                  J’accélérai le rythme et désormais, je lui pilonnai la chatte. Tap tap tap tap, mes couilles venaient taper contre sa peau douce à chaque va et vient. Elle n’en put plus. Sa voix sautait à mesure que mon bassin venait s’écraser contre son cul :                  — OH OUII-I-I-I-I-I-I-I-I-I-I-I-I-I-I ! hurla-t-elle. VAS-Y, CONTINUE, JE VAIS JOUIR, JE VAIS JOUIR, JE VAIS JOUIIIIIIIIIIIR…                  Son corps fut pris de soubresauts alors que je continuais à la baiser. Sentant que je venais également, je me retirai d’elle et enlevai la capote puis, alors qu’elle avait une nouvelle fois inondé le lit, je me mis debout et elle, à genoux, commença une nouvelle fois à me pomper. Cette fois je n’avais plus aucune pitié, ses mains étaient sur mes hanches et elles tentaient de freiner les coups de bassin que je lui assénais frénétiquement tout en faisant une pression sur sa tête en même temps. Les gargarismes qu’elle produisait m’excitaient davantage et d’un coup, je pris ma bite dans la main et commençai à me branler : elle était lubrifiée par la salive dégoulinante de ma sœur qui attendait que je vienne en me regardant, la langue toute sortie. Je ne mis pas longtemps pour tout lâcher sur elle.                  — Oh ouaiiiis, lâchai-je dans un râle.                  Je la récompensai de grosses giclées de sperme. Au moins sept ou huit, je ne m’arrêtais plus ! Les premières jaillirent même derrière elles, ensuite elles atterrirent sur son visage : une dans ses yeux, une autre sur son front, encore une autre dans ses cheveux, une dans sa bouche béante… tout son visage était couvert de mon sperme.                   Elle s’en alla dans la salle de bain se nettoyer le visage, puis revint aussi nue qu’elle était partie. Elle me sourit mais nous ne dîmes rien, elle m’embrassa simplement puis éteignit la lumière. Ma grande sœur se blottit contre moi, ses fesses contre ma bite, et nous nous endormîmes là, au milieu de sa cyprine et de mon sperme...
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