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Quand Maman n’est pas là…

Chapitre 1

Inceste
Après son divorce, lorsque maman m’a annoncé qu’elle souhaitait me présenter son nouvel ami, j’ai d’abord très mal réagi. Après l’avoir vu, lorsqu’elle m’a annoncé qu’ils allaient se marier et qu’il allait habiter avec nous à la maison, j’ai alors fait semblant de me résigner...
La vérité, c’est que c’est un super beau mec et qu’il m’a fait craquer dès notre première rencontre. La quarantaine, viril, un corps musclé, de grandes mains puissantes, de superbes fesses. La formule parfaite pour donner des insomnies à une petite coquine comme moi.
Depuis qu’il est à la maison, je ne manque jamais une occasion de tester mon charme sur lui: en déambulant dans mon pyjama sexy le week-end ; en me blottissant l’air de rien contre lui, le soir devant la télé ; en faisant en sorte de le croiser nue sous un linge de bain trop petit à la sortie de la salle de bain...
Le mois passé, maman s’est absentée quelques jours pour son travail, réalisant sans le savoir mon rêve secret: me retrouver seule à la maison avec mon “beau” papa...
Le soir même, juste avant qu’il ne monte se coucher, je m’introduis dans leur chambre, je retire mes vêtements et je m’installe nue sur le grand lit conjugal. Quelques minutes plus tard, vêtu uniquement de son boxer, il pousse la porte de la chambre et me découvre dans la lumière douce des lampes de chevet: “Putain Sara ! Qu’est-ce que tu fous ici !”.
Malgré sa réaction de surprise, je vois bien qu’il me regarde comme une petite friandise prête à être croquée. Je me cambre et je me caresse langoureusement, tout en prenant soin de bien lui monter ma croupe fraîchement rasée: “Mon petit Papa Chéri, je m’ennuie toute seule dans ma chambre, je peux rester près de toi ? Je te promets d’être gentille...”.
Faisant visiblement un grand effort pour se maîtriser, il s’assied sur le bord du lit en me faisant face et me répond d’un ton professoral: “Sara ! Tu es presque une jeune femme maintenant et tu sais parfaitement que ce n’est pas bien...”.
Pour toute réponse, je lui fais un large sourire, je tends mes pieds jusqu’à lui et les pose délicatement sur son entrejambe. Le silence envahit la pièce. Je sens distinctement son sexe gonfler au contact de mes pieds à travers le tissu de son boxer...
Visiblement décontenancé, il tente à nouveau de me raisonner: “Sara, ma chérie...”, mais il reste figé en regardant mes orteils tirer sur son caleçon et laisser s’échapper son sexe en pleine érection. A partir de ce moment, je sais qu’il est à moi et que je vais pouvoir le mener “par le bout de la queue”...
J’imaginais mon beau-père bien “équipé”, à en croire les gémissements de maman lorsqu’ils me croient endormie, mais pas à ce point-là ! Je fais du 34 et son sexe est bien plus grand que mes pieds.
J’encercle délicatement la colonne de chair parcourue de grosses veines avec la voûte de mes petits pieds et je commence à le branler lentement alors qu’il continue de prononcer mon nom tout en fermant les yeux.
Mon petit massage produit rapidement ses effets. Mon beau-père ne parle plus et sa respiration se fait de plus en plus profonde. Il lutte visiblement pour retarder son orgasme. Je m’attarde sur son gland et le masse entre mes orteils...
Je sens enfin sa queue tressaillir sous mes pieds. Il est sur le point de jouir. J’emprisonne immédiatement son gland dans mes orteils en prenant soin d’en bloquer l’orifice. Il jouit en haletant sans que son sperme ne puisse s’échapper, augmentant ainsi la durée et l’intensité de son orgasme.
Je relâche finalement mon éteinte et laisse le liquide épais s’échapper lentement et couler entre mes orteils. Mon beau-père s’écoule sur le lit en expirant, assommé par la puissance de son orgasme et en se demandant sans doute où j’ai bien pu apprendre des trucs pareils...
J’essuie consciencieusement le sperme qui souille mes orteils contre son sexe puis je m’installe à plat ventre pour lécher le liquide onctueux qui dégouline lentement sur ses couilles. Partagé entre plaisir et remords, mon beau-père me regarde lécher son sexe comme hypnotisé.
Sa queue luisante de salive est encore raide comme un pieu malgré sa première éjaculation. Je grimpe sur lui à califourchon et je m’empale lentement sur l’imposante colonne de chair en prenant appui des deux mains sur son torse.
Son engin est si massif qui s’enfonce en étirant ma chatte comme une gaine trop étroite. Une fois assise sur ses couilles, sa queue envahit mon ventre et stimule mes sens au point que je dois m’immobiliser un instant pour ne pas jouir sur-le-champ.
Il attrape mes petits seins avec ses grandes mains viriles et les masse doucement alors que je commence à le chevaucher en ondulant lascivement du bassin. Il est si large et je suis si étroite que ma chatte reste collée contre sa queue comme une seconde peau. Un orgasme irrépressible m’envahit déjà...
Je plonge mon regard dans le sien et lui murmure en gémissant: “Oh. Papa chéri, je vais jouir...”. Ces quelques mots suffisent à lui déclencher un nouvel orgasme. Il se cambre sur le lit en me soulevant comme une plume et inonde mon ventre de sperme en râlant comme une bête.
Je jouis à mon tour. Mes gémissements de plaisir se mélangent aux siens dans le silence de la maison familiale. Tous mes membres tremblent. Mon orgasme est si intense que mes forces m’abandonnent et que je m’écroule inanimée dans ses bras.
Je suis restée endormie dans cette position jusqu’à ce que je sente à nouveau sa queue grossir dans ma chatte au beau milieu de la nuit. Cette fois, c’est lui qui a pris le contrôle des opérations. Il m’a défoncée sauvagement en faisant grincer le lit conjugal et m’a arraché de multiples orgasmes jusqu’à ce que ses couilles soient totalement vides.
Le lendemain matin, mon beau-père a appelé le lycée pour excuser mon absence et nous avons baisé toute la journée, dans toutes les pièces de la maison et dans toutes les positions imaginables.
A son retour, je n’ai pas manqué de rassurer maman: “Tu n’as pas à t’inquiéter Maman chérie. Je t’assure que j’ai été très gentille avec lui... Tu peux repartir en voyage quand tu veux !”.
Bons baisers, Sara.
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